Les reprises et leurs originales.

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juthova
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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » mar. 11 août 2020 17:28

En juillet 1967, Light my fire est numéro 1 dans les charts.
L'amérique stupéfaite découvre alors Jim Morrison et The Doors, groupe emblématique d'une culture anti-sociale à la recherche d'absolu. Porté par le charisme quasi mystique du chanteur , symbole d'une génération décalée de la société, le groupe va devenir l'une des formations musicales les plus influentes et les plus importantes de tout les temps.
Les 5 années qui vont suivre la sortie ce premier album historique ne seront que disques fulgurants , concerts intenses et habités, tensions internes et scandales en tout genre avant que Jim Morrison, ruiné par ses propres excès ne vienne mourir à Paris durant l'été 1971.

Part 1)

Cette chanson parle de la rue de Laurel Canyon, en Californie, où Jim Morrison a vécu avec sa petite amie, Pamela Courson. L'adresse était le 1812 Rothdell Trail, mais ils l'appelaient "Love Street" parce qu'ils pouvaient s'asseoir sur le balcon et regarder les hippies passer.



La première partie s’ouvre avec une mélodie plutôt lancinante et annonciatrice d’une apocalypse (ce n’est donc pas un hasard qu’on la retrouve dans Apocalypse Now, un des films cultes de Coppola). Puis arrive le calme, et l’air revient, accompagné de percussions. Jim Morrison commence à s’énerver. La batterie prend le contrôle de la chanson qu’elle sublime, accompagné de cette mélodie toujours présente, parfois cachée. Morrison chuchote « And all the children are insane » (« tous les enfants sont fous ») et la machine pourrait s’emballer… mais non, et c’est là tout le génie des Doors.



Pour anecdote, la musique et les paroles ont été composées en un après-midi par Jim Morrison.
La chanson décrit les effets des hallucinogenes sur la perception, mais aussi les sentiments de solitude et de dépression de Morrison...



Alabama Song est une reprise d’une chanson connue aussi sous le titre de Whisky Bar. Avis aux adeptes de la boisson ! Ou aux amateurs de sympathiques chansons enjouées et entêtantes. La guitare en picking est particulièrement appréciable, tout comme les chœurs. Tout commence par des paroles d’un homme (ou d’un groupe) visiblement à la recherche d’alcool. Mais comme chaque chanson des Doors, la mort est omniprésente avec le « I tell you we must die ».



Light my fire est présent sur le premier album du groupe baptisé The Doors en référence à un essai littéraire d'Aldous Huxley lui même inspiré d'un texte de William Blake où le poéte anglais raconte son experience de la mescaline .


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Slade
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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Slade » mar. 11 août 2020 19:55

Sortie en 1976 sur l'album "Jailbreak " "Boys Are Back in Town" était un moment fort lors des concerts de Thin Lizzy .




Bon Jovi l'a repris quasi à l'identique , Garry Moore l'a jouait régulièrement également .
Par contre The Cardigans se réapproprie la chanson en 1999 et c'est pour moi du moins une réussite .

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lienard
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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par lienard » mar. 11 août 2020 20:25

Haaa non alors, toute l'énergie de Thin Lizzy est transformée en guimauve avec les Cardigans .. :vieuzzz:

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Pablitta » mer. 12 août 2020 15:47

juthova a écrit :
mar. 11 août 2020 17:28
La première partie s’ouvre avec une mélodie plutôt lancinante et annonciatrice d’une apocalypse (ce n’est donc pas un hasard qu’on la retrouve dans Apocalypse Now, un des films cultes de Coppola). Puis arrive le calme, et l’air revient, accompagné de percussions. Jim Morrison commence à s’énerver. La batterie prend le contrôle de la chanson qu’elle sublime, accompagné de cette mélodie toujours présente, parfois cachée. Morrison chuchote « And all the children are insane » (« tous les enfants sont fous ») et la machine pourrait s’emballer… mais non, et c’est là tout le génie des Doors.


Encore merci Juthova ! :super: J'adore quand on apprend des choses et que c'est bien écrit :)
L'interprétation des Raveonettes est subjugante. On hésite entre l'angélisme (les voix noyées dans l'écho, le rythme, la délicatesse des cordes), très pop finalement et une sorte de morbide insalubre. C'est carrément somptueux.
M'en vais aller voir ce qu'ils ont fait d'autres, ces braves gens.

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » ven. 14 août 2020 13:31

@Pablitta : merci à toi et c'est toujours un plaisir de poster ici.
Et du coup la 2ème partie spécial Portes...

L.A. Woman, ode d’adieu du chanteur à ses deux plus grandes muses : Los Angeles et les femmes.
S’inspirant du roman City Of Night de John Rechy, Jim Morrison compose un texte sublime, entremêlant dans une même figure la ville et l’être aimé. Chevelure de feu, motels minables, folie meurtrière, le chanteur extrapole dans ses vers la fuite qu’il planifie. Désirant mettre les bouts en Afrique, il avait créé le patronyme Mr Mojo Risin (l’anagramme de son nom, son Mr Hyde en gros). La chanson est une merveille de construction, d’abord fluide, fouettée aux sangs par une guitare alerte, puis une fois la promesse de départ déçue, le morceau se cabre, se tord en convulsion pour se clore sous un rythme haletant tout en transes exquises.



Robbie Krieger, le guitariste des Doors, a composé cette chanson après que le claviériste, Ray Manzarek, ait imploré chaque membre du groupe à rentrer chez lui pour écrire quelques chansons.
Les paroles de Love me two times étaient inspirées de la tournée des Doors ainsi que des soldats américains envoyés au Vietnam. Il est à nouveau question de l’incertitude de l’avenir. Dans Love me two times, le sexe serait un moyen de survivre dans une étrange époque.



Un jour de septembre 70, Robby Krieger est en train de gratter son nouvel achat, une Gibson 335 acoustique 12 cordes, et tombe sur un joli riff et des accords aléatoires, et Love Her Madly a commencé à prendre forme.
Pour le texte, Krieger se fixe sur l'idée d'un gars dont la petite amie est son obsession mais elle continue de sortir et de lui donner le tourbillon. En fait le gars, c'était lui...et le fille, Lynn, maintenant sa femme.



Cette chanson est issue de la poésie écrite dans les cahiers de Jim Morrison. Il l'a écrit après s'être séparé de sa petite amie, Mary Werbelow, à l'été 1965.
The Crystal Ship est une magnifique chanson pleine de poésie, avec des claviers sublimissimes de Ray Manzarek pour emporter le tout loin, très loin, dans les cieux. Courte, cette chanson est une des plus belles du groupe, une pure petite merveille à écouter et à réécouter sans lassitude, vraiment sublime et très éloignée des précédentes chansons, vraiment apaisante, calme, zen... Mythique.


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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Zézette » ven. 14 août 2020 14:08

juthova a écrit :
mar. 11 août 2020 17:28
En juillet 1967, Light my fire est numéro 1 dans les charts.
L'amérique stupéfaite découvre alors Jim Morrison et The Doors.
Pablitta a écrit :
mer. 12 août 2020 15:47
Encore merci Juthova ! :super: J'adore quand on apprend des choses et que c'est bien écrit :)
pareil
Joyeux Noël Félix !

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par lienard » ven. 14 août 2020 18:15

Clap clap, il n'y a pas d'heure pour en savoir un peu plus ... :chapozzz:

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Romulien » sam. 15 août 2020 21:26

The Donnas-Wig wam bam


La version originale par The Sweet

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par nunu » lun. 17 août 2020 16:38



Je ne présente pas je vous mets les paroles avant la reprise

Out on the road for forty days
Last night in Little Rock put me in a haze
Sweet, sweet Connie, doin' her act
She had the whole show and that's a natural fact
Up all night with Freddie King
I got to tell you, poker's his thing
Booze and ladies, keep me right
As long as we can make it to the show tonight

La reprise de Rob Zombie



La ya les paroles de la vidéos, regardez bien la partie que j'ai mis en gras et la différence avec la reprise. Ils ont remplacé Freddie King.

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Polka Dot » mer. 19 août 2020 08:21

nunu a écrit :
dim. 9 août 2020 16:51


Kate bush-the Infant Kiss

Extrait de Never for Ever, son 3 ° album, celui ou elle se demande dans une chansons ou sont ses babouches :hehe:


La même chanson en francais par Kate Bush. Alors l'accent francais est tres prononcé. Je ne sais pas si elle parle francais a la base.

étonnant cette version en français ! Il est plus qu'évident qu'elle chante en phonétique.
J'ai vu la lumière le jour où à la tv Iggy Pop s'est tartiné de beurre de cacahuètes

Les Rubettes c'est un peu les Ronettes de Roubaix

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » jeu. 20 août 2020 16:45

River Deep, Mountain High est considéré par le producteur Phil Spector comme son chef-d’œuvre. Le refrain grandiloquent et intense est porté par Tina Turner : sa voix jouant avec les bords du précipice y est époustouflante. Bien que crédité, son mari de l’époque et collaborateur, Ike, n’interviendra pas du tout sur le morceau.
Écrit au printemps 1966, River Deep, Mountain High est né de la plume du couple Jeff Barry et Ellie Greenwich, et du producteur Phil Spector. La chanson devait créer un tsunami sans précédent sur les ondes radios et bouleverser l'histoire de la musique populaire américaine. Tout a été conçu, planifié, orchestré pour faire de River Deep un énorme hit et propulser la chanson dans la légende : 21 musiciens d'élite ont été recrutés, 21 choristes assurent l'accompagnement vocal, avec le meilleur matériel audio à disposition.
Lorsque Tina Turner arrive au studio, les cadors de la pop sont tous là, au garde à vous, figés en rang d'oignons. Quand à Ike Turner, il les surveille tous, l'air suspicieux. Car Ike se montre anormalement nerveux. Il est jaloux comme une teigne. Or ce jour là, sa femme est l'épicentre de toutes les attentions. Il faut dire que tout ce beau monde mate les seins de Tina pendant qu'elle dandine des fesses en hurlant dans la cabine. La situation devient encore plus explosive quand Tina, véritablement habitée par le titre et crevant de chaud dans sa cabine, ôte son chemisier et termine la séance en soutif moulant, sa paire de seins suggestifs explosant les limites de la physique théorique. La situation aurait pu vraiment dégénérer si Phil Spector ne s'était pas entouré de toutes les précautions afin d'éviter la moindre embrouille avec le colérique Ike, célèbre pour ses coups de sang et son tempérament volcanique. Spector aurait donné 20 000 dollars pour dissuader le mari puncheur de participer à la création du disque tout en associant son nom au dos de la pochette du disque, malgré son absence significative durant l'enregistrement.
Bien qu'aujourd'hui considéré comme un chef d'oeuvre, River Deep, Mountain High s'est très mal vendu aux USA. Son échec (seulement 88ème au hit-parade) sera lourd de conséquence : à la suite de cette énorme déception, Phil Spector se retirera du monde du disque trois années durant. Son talent, son génie peut-on même dire, n’était pas en cause, mais plutôt l’hostilité des médias qui, souvent, ne pardonnent pas la réussite : Spector, en un temps record, était parvenu à faire entrer au hit-parade 26 de ses productions. Le "métier" ne lui en accorderait pas un 27ème ! Tina Turner, quant à elle, considère que, par rapport au marché américain, la chanson était "trop pop pour le public noir, et trop soul pour le public blanc".


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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » lun. 31 août 2020 15:15

Le titre est culte, entre ballade hippie et ode western, et semble presque être intouchable de la musique des années 60. Pour l'histoire, Summer Wine fût initialement chanté par Suzi Jane Hokom et rendu célèbre par la version de Nancy Sinatra et Lee Hazlewood.
La voix de baryton profond et distinctive de Lee Hazlewood donne un ton inquiétant à une chanson dont certains ont interprété les paroles comme une allégorie sur la consommation de drogue. Drogue en 1967 ???...Non...
Summer Wine parle d'une femme qui remarque les éperons argentés d'un homme marchant dans la rue. Elle l'aborde et lui propose d'aller boire du "vin d'été" qu'elle a concocté elle-même à partir de fraises, de cerises, et d'un baiser printanier d'ange. Puis, l'homme ayant bu jusqu'a l'ivresse, il tombe sous les charmes de la séductrice. Quand il se réveille, la mystérieuse femme a disparu, et il remarque qu'elle a emporté les éperons ainsi qu'une pièce d'un dollar et une pièce de 10 cents. Loin de se plaindre de cette perte, il voudrait bien plutôt goutêr d'avantage de vin d'été.


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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par gabuzomeuzomeu » jeu. 3 sept. 2020 07:12

Belle version intemporelle qui passe tout les genres sans l'ombre d'un doute ! Et avec les rock bluesys de ce genre ça devrait plaire :hello:
Clutch - Fortunate Son (fin 2019)

L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Slade » jeu. 3 sept. 2020 09:36

The Cult sont des gens de bon goût pour reprendre ce "Faith Healer" du génialissime S.A.H.B. qui ouvrait ses concerts avec ce titre d'anthologie .

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » ven. 4 sept. 2020 16:54

gabuzomeuzomeu a écrit :
jeu. 3 sept. 2020 07:12
Belle version intemporelle qui passe tout les genres sans l'ombre d'un doute ! Et avec les rock bluesys de ce genre ça devrait plaire :hello:
Clutch - Fortunate Son (fin 2019)

Dans leur titre Fortunate son, le Creedence Clearwater Revival dénonce ces « fils privilégiés » exemptés de service militaire (et de guerre du Vietnam) grâce à leur statut de fils d'hommes de pouvoir (sénateur, député, haut-gradé) ou de célébrité.
Le titre, terriblement efficace, rencontra un grand succès. En deux minutes trente, le Creedence déroule son rock de bûcheron, à base de guitares acérées et de mélodies entêtantes. Irrésistible.

Si, Si, on peut raper sur du Creedence ::d


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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » sam. 5 sept. 2020 16:08

C'est en 1968 que sort Black Magic Woman, chanson tirée de la discographie de Fleetwood Mac.
Peter Green, guitariste du groupe, en signe le texte et la musique (avec une "légère inspiration" d'un autre titre qu'il avait fait pour le premier album du groupe appelé I Loved Another Woman).
Bien que loin d'être aussi populaire que la version de Santana, elle est tout de même devenue un standard du blues rock, se classant fort honorablement dans les charts anglais.
Coté anecdote : Après la sortie de ce titre, Peter Green s'est lié d'amitié avec des gens qui pratiquaient la magie noire. Dans une interview pour le magazine Rolling Stone, Christine McVie (l'épouse du bassiste du groupe) a dit que ces gens l'avaient incité à prendre de l'acide, ce qui a conduit Peter a quitté Fleetwood Mac.
Les royalties générées par la reprise de Santana ont contribué à soutenir Peter Green qui, en quittant le groupe, avait cédé la majeure partie de son argent, et se serait retrouvé dans la misère plus tard dans les années 70 s'il n'avait pas été rémunéré pour ses anciens tubes.


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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Halifax37 » sam. 5 sept. 2020 16:21

Une reprise puissante que je préfère à l'originale de John Barry: Goldfinger par Magazine.


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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Zézette » dim. 6 sept. 2020 04:07

juthova a écrit :
sam. 5 sept. 2020 16:08
C'est en 1968 que sort Black Magic Woman,
Quelle reprise ! J'y suis allé sans conviction et je ne me suis pas ennuyé une seconde durant les sept minutes de la belle performance de Wille & the Bandits.
Joyeux Noël Félix !

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Zézette » dim. 6 sept. 2020 04:13

Halifax37 a écrit :
sam. 5 sept. 2020 16:21
Une reprise puissante que je préfère à l'originale de John Barry: Goldfinger par Magazine.
Ah oui, puissante. Bien fausse aussi. Je vois que le chanteur est mort. Il ne pourra pas la réenregistrer à jeun, tant pis.
Existe-t-il une reprise par Jane Birkin ?
Joyeux Noël Félix !

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Halifax37 » lun. 7 sept. 2020 14:12

Zézette a écrit :
dim. 6 sept. 2020 04:13
Halifax37 a écrit :
sam. 5 sept. 2020 16:21
Une reprise puissante que je préfère à l'originale de John Barry: Goldfinger par Magazine.
Ah oui, puissante. Bien fausse aussi. Je vois que le chanteur est mort. Il ne pourra pas la réenregistrer à jeun, tant pis.
Existe-t-il une reprise par Jane Birkin ?
Débouche toi les oreilles.

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