Les reprises et leurs originales.
Re: Les reprises et leurs originales.
Dans le même ordre d'idée:
Peter Gabriel "Biko"
Playing For Change / Song Around The World
Peter Gabriel "Biko"
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Re: Les reprises et leurs originales.
@ Danzik, Pablitta, Zézette, dark pink,...
Merci les z'amis. C'est vrai que j'aime bien connaitre (et partager) l'histoire, l'origine, les anecdotes des chansons que j'apprécie. Mais le mérite revient surtout à l'ensemble des posts que je trouve sur google et que j'adapte à ma façon
Fantaisiste et surtout contestataire, le tube de Jean-Patrick Capdevielle à rencontré son public dès sa sortie en 1979. Présent sur la face B du 45 tours extrait du premier album du chanteur, Quand t'es dans le désert séduit immédiatement les radios. Derrière ce titre rock désinvolte à la rythmique accrocheuse, les paroles énigmatiques de Capdevielle cachent une critique acide du pouvoir de la fin des années 70.
Joueur amateur d'accordéon, le président Giscard d'Estaing n'est pas épargné. Tout comme son premier ministre Raymond Barre, dépeint en "clown sinistre". Le chanteur évoque également d'autres éléments de la politique française de l'époque, comme les essais nucléaires. A quelques mois de l'élection présidentielle de 1981, qui élira Mitterrand président d'une France dont la jeunesse bouillonne, Quand t'es dans le désert propulse l'auteur-compositeur sur le devant de la scène.
Pourtant Jean-Patrick Capdevielle n'était pas prédestiné à rencontrer le succès musical. Bourlingueur, ancien journaliste et peintre désabusé, il se met à la chanson sur le tard. Mais l'artiste a quelques ressources. Amoureux des textes et de la poésie, il compose ainsi son tube en une heure et rédige les paroles dans l'avion qui l'emmène en Angleterre, où il va enregistrer son album.
43 ans après sa sortie, le punch du tube de Capdevielle opère toujours et provoque une irrésistible envie de le suivre dans son désert...
Merci les z'amis. C'est vrai que j'aime bien connaitre (et partager) l'histoire, l'origine, les anecdotes des chansons que j'apprécie. Mais le mérite revient surtout à l'ensemble des posts que je trouve sur google et que j'adapte à ma façon
Fantaisiste et surtout contestataire, le tube de Jean-Patrick Capdevielle à rencontré son public dès sa sortie en 1979. Présent sur la face B du 45 tours extrait du premier album du chanteur, Quand t'es dans le désert séduit immédiatement les radios. Derrière ce titre rock désinvolte à la rythmique accrocheuse, les paroles énigmatiques de Capdevielle cachent une critique acide du pouvoir de la fin des années 70.
Joueur amateur d'accordéon, le président Giscard d'Estaing n'est pas épargné. Tout comme son premier ministre Raymond Barre, dépeint en "clown sinistre". Le chanteur évoque également d'autres éléments de la politique française de l'époque, comme les essais nucléaires. A quelques mois de l'élection présidentielle de 1981, qui élira Mitterrand président d'une France dont la jeunesse bouillonne, Quand t'es dans le désert propulse l'auteur-compositeur sur le devant de la scène.
Pourtant Jean-Patrick Capdevielle n'était pas prédestiné à rencontrer le succès musical. Bourlingueur, ancien journaliste et peintre désabusé, il se met à la chanson sur le tard. Mais l'artiste a quelques ressources. Amoureux des textes et de la poésie, il compose ainsi son tube en une heure et rédige les paroles dans l'avion qui l'emmène en Angleterre, où il va enregistrer son album.
43 ans après sa sortie, le punch du tube de Capdevielle opère toujours et provoque une irrésistible envie de le suivre dans son désert...
Re: Les reprises et leurs originales.
"C'était dans les profondeurs les plus sombres de Mordor / J'ai rencontré une fille si belle / Mais Gollum et le Malin la surprirent et s'éclipsèrent avec elle" a chanté Robert Plant dans Ramble On. Cela n'a pas vraiment de sens par rapport aux livres - Le Mordor est le dernier endroit où l'on s'attend à trouver une fille si belle, et Gollum ne se soucie de rien sauf de son précieux - mais Robert Plant adapte librement la trilogie pour sa propre chanson sur "la vie sur la route".
Un morceau qu'on trouve sur le second disque de Led Zeppelin sorti en 1969... 15 ans après la publication du Seigneur des anneaux, la saga de J.R.R. Tolkien qu'avait adoré Robert Plant, le chanteur du groupe. A tel point que dans Ramble On (qui signifie partir en vadrouille, en excursion...), Robert Plant va y évoquer l'univers de Tolkien à plusieurs reprises.
Ramble On est un bon exemple de la capacité de Led Zeppelin à démarrer une chanson de manière douce et acoustique avant de se lancer dans le hard rock pour les refrains.
Un morceau qu'on trouve sur le second disque de Led Zeppelin sorti en 1969... 15 ans après la publication du Seigneur des anneaux, la saga de J.R.R. Tolkien qu'avait adoré Robert Plant, le chanteur du groupe. A tel point que dans Ramble On (qui signifie partir en vadrouille, en excursion...), Robert Plant va y évoquer l'univers de Tolkien à plusieurs reprises.
Ramble On est un bon exemple de la capacité de Led Zeppelin à démarrer une chanson de manière douce et acoustique avant de se lancer dans le hard rock pour les refrains.
Re: Les reprises et leurs originales.
Très belle reprise, je me suis régalé.juthova a écrit : ↑ven. 15 avr. 2022 17:14"C'était dans les profondeurs les plus sombres de Mordor / J'ai rencontré une fille si belle / Mais Gollum et le Malin la surprirent et s'éclipsèrent avec elle" a chanté Robert Plant dans Ramble On. Cela n'a pas vraiment de sens par rapport aux livres - Le Mordor est le dernier endroit où l'on s'attend à trouver une fille si belle, et Gollum ne se soucie de rien sauf de son précieux - mais Robert Plant adapte librement la trilogie pour sa propre chanson sur "la vie sur la route".
Un morceau qu'on trouve sur le second disque de Led Zeppelin sorti en 1969... 15 ans après la publication du Seigneur des anneaux, la saga de J.R.R. Tolkien qu'avait adoré Robert Plant, le chanteur du groupe. A tel point que dans Ramble On (qui signifie partir en vadrouille, en excursion...), Robert Plant va y évoquer l'univers de Tolkien à plusieurs reprises.
Ramble On est un bon exemple de la capacité de Led Zeppelin à démarrer une chanson de manière douce et acoustique avant de se lancer dans le hard rock pour les refrains.
Au passage, j'ai découvert que lorsqu'un claviériste n'avait pas assez de dix doigts, il s'en faisait un onzième avec une pochette d'allumettes !
Joyeux Noël Félix !
Re: Les reprises et leurs originales.
Je relance avec une reprise funky de CREEP (Radiohead). Une YouTuberie d'amateurs que j'ai mise dans mes favoris tout simplement parce que leur prestation me file la banane à chaque réécoute :-)
Joyeux Noël Félix !
- Monsieur-Hulot
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Re: Les reprises et leurs originales.
Ô con de ta race, je peux ENFIN ré-écouter ce morceau (des français voui madame !)
FILLES & MOTEURS, JOIES & DOULEURS.
Re: Les reprises et leurs originales.
Et en français français ! Ça sert à quoi que Ramon et Camille se décarcassent !?
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
Re: Les reprises et leurs originales.
Ce célèbre titre chanté à l'origine par Bowie repris de belle manière par Martin Lenoble et Christian Eigner avec surtout au chant Mark Lanegan et Dave Gahan.
Martyn Lenoble & Christian Eigner Feat. Mark Lanegan & Dave Gahan - Cat People (Putting Out Fire) - 2016
Martyn Lenoble & Christian Eigner Feat. Mark Lanegan & Dave Gahan - Cat People (Putting Out Fire) - 2016
« Je peux ne pas croire en moi mais je crois en ce que je fais »
Jimmy Page
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Re: Les reprises et leurs originales.
Ah, 1956, c'était au temps de la Dolce Vita, quand les raggazzi juchés sur leur Vespa ou au volant de leur Topolino se croyaient irrésistibles. Renato Corosone, un pianiste de Jazz, né à Naples et pétri de culture napolitaine compose cette rengaine sur laquelle son pote Nicola Salerno écrit Tu vuo fa' l'Américano, un texte pour chambrer et se moquer de tous ces italiens qui veulent se la jouer à l'américaine. Des paroles qui peuvent prêter à sourire mais qui sonnent comme une satire à l'américanisation de l'après-guerre.
Coté anecdote : En 1958, on doit la version française de Tu vuo fa' l'Américano au très corrosif Boris Vian qui, à l'époque se marre de l'arrivée chez nous de toute la culture italienne : pizza, pasta et tutti quanti...
Du coup, la version de Renato quand même...
Coté anecdote : En 1958, on doit la version française de Tu vuo fa' l'Américano au très corrosif Boris Vian qui, à l'époque se marre de l'arrivée chez nous de toute la culture italienne : pizza, pasta et tutti quanti...
Du coup, la version de Renato quand même...
Re: Les reprises et leurs originales.
Moins sérieux, quoique le gars est vraiment doué! Version étonnante du Bon, la Brute et le Truand
https://youtube.com/shorts/O1IeozjGrck?feature=share
https://youtube.com/shorts/O1IeozjGrck?feature=share
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Jimmy Page
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Re: Les reprises et leurs originales.
Super Renato Calzone et les musiciens qui l'accompagnent !
Je me suis demandé parfois quel était le créateur de ce morceau.
Je me suis demandé parfois quel était le créateur de ce morceau.
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
- dark pink
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Re: Les reprises et leurs originales.
Je préfère quand c'est Juthova qui fait le baratin ici mais je ne peux m'empêcher de signaler cette chanteuse qui m'a scié en deux dans le sens de la longueur. Je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé, j'imagine que oui, de trouver sur Youtube une chanteuse ou un chanteur qui vous captive au point que vous ne lâchiez plus ses vidéos pendant des plombes jusqu'à ne plus pouvoir vous lever de votre chaise, engourdis que vous êtes à la fin
C'est ce qui m'est arrivé avec Morgan James. Imaginez qu'elle ne se contente pas d'une reprise d'un titre d'un disque, elle fait aussi des reprises d'albums entiers ! Et pas n'importe lesquels. Elle fait tout le double blanc des Beatles ! Inutile de vous mettre un lien vers l'original mais voilà celui vers sa reprise complète du chef d'oeuvre pour en faire un autre, à mon avis. Les images valent le jus aussi :
C'est ce qui m'est arrivé avec Morgan James. Imaginez qu'elle ne se contente pas d'une reprise d'un titre d'un disque, elle fait aussi des reprises d'albums entiers ! Et pas n'importe lesquels. Elle fait tout le double blanc des Beatles ! Inutile de vous mettre un lien vers l'original mais voilà celui vers sa reprise complète du chef d'oeuvre pour en faire un autre, à mon avis. Les images valent le jus aussi :
Re: Les reprises et leurs originales.
Tout simplement sublime !dark pink a écrit : ↑mer. 20 avr. 2022 09:35Je préfère quand c'est Juthova qui fait le baratin ici mais je ne peux m'empêcher de signaler cette chanteuse qui m'a scié en deux dans le sens de la longueur. Je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé, j'imagine que oui, de trouver sur Youtube une chanteuse ou un chanteur qui vous captive au point que vous ne lâchiez plus ses vidéos pendant des plombes jusqu'à ne plus pouvoir vous lever de votre chaise, engourdis que vous êtes à la fin
C'est ce qui m'est arrivé avec Morgan James. Imaginez qu'elle ne se contente pas d'une reprise d'un titre d'un disque, elle fait aussi des reprises d'albums entiers ! Et pas n'importe lesquels. Elle fait tout le double blanc des Beatles ! Inutile de vous mettre un lien vers l'original mais voilà celui vers sa reprise complète du chef d'oeuvre pour en faire un autre, à mon avis. Les images valent le jus aussi :
Du coup je rajoute cette chanson qui raconte que toutes les plus grandes œuvres de ce monde sont attribuées à des hommes, mais qu'il n'en serait rien sans la présence indispensable des femmes...
Et cette agréable version du soul man de Brighton...
Re: Les reprises et leurs originales.
Ghost Riders in the Sky a été écrite en 1948 par l'auteur-compositeur américain Stan Jones. Inspiré par une histoire qu'il entendit quand il avait 12 ans, la chanson est un récit édifiant avertissant un cow-boy que s'il ne change pas ses habitudes, il rejoindra un jour les "cow-boys maudits" condamnés à chasser le bétail du diable pour l'éternité. Après avoir écrit la chanson, Jones utilisa la mélodie de When Johnny Comes Marching Home pour sa création.
Les compétences de Jones en matière de narration ont non seulement fait aimer la chanson mais surtout ont attirer un grand nombres de collègues chanteurs et acteurs très intéressés par l'enregistrement de la chanson.
Interprété pour la première fois par Burl Ives, Ghost Riders in the Sky est devenu un des grands classiques de la country music avec plus de 1 000 versions différentes... et une énorme source d'inspiration pour le Riders on the Storm des Doors.
Les compétences de Jones en matière de narration ont non seulement fait aimer la chanson mais surtout ont attirer un grand nombres de collègues chanteurs et acteurs très intéressés par l'enregistrement de la chanson.
Interprété pour la première fois par Burl Ives, Ghost Riders in the Sky est devenu un des grands classiques de la country music avec plus de 1 000 versions différentes... et une énorme source d'inspiration pour le Riders on the Storm des Doors.
- Romulien
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Re: Les reprises et leurs originales.
Les Sultans-La poupée qui fait non
La version originale par Michel Polnareff
La version originale par Michel Polnareff
Re: Les reprises et leurs originales.
Eh ! Les Sultans, c'est pas : "Elle est vraiment jolie...", mais : "Elle est tellement jolie..."
En plus, ça colle pas trop : "Elle est vraiment jolie, que j'en rêve la nuit" > Tsss...
En plus, ça colle pas trop : "Elle est vraiment jolie, que j'en rêve la nuit" > Tsss...
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- Romulien
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Re: Les reprises et leurs originales.
Les Sultans disent ''Elle est vraiment jolie...'', Michel Polnareff dit ''Elle est tellement jolie...''
Re: Les reprises et leurs originales.
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.