Les reprises et leurs originales.

Venez discuter ici de tout ce qui n'entre pas dans les autres catégories et concerne les années 60 et 70, de sujets divers mais musicaux.
Avatar du membre
gabuzomeuzomeu
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 8885
Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 17:36
Localisation : Dans les rades
Contact :

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par gabuzomeuzomeu » mer. 1 déc. 2021 07:55

Reprise anecdotique, instrumentale et confinée ... on peut pas dire amateur pour le guitariste, mais c'est pas son style de musique !

Cathy & Nono (Norbert nono Krief) - Space Oddity 10/05/2020 ... avec final Rebel Rebel



David Bowie - Space Oddity (2019 Mix)

L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)

Avatar du membre
juthova
Contributeur
Contributeur
Messages : 299
Enregistré le : sam. 28 sept. 2019 11:04

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » dim. 5 déc. 2021 15:06

Contrairement à ce que son titre pourrait laisser penser, la chanson Copacabana ne parle pas d'une plage ou d'un hôtel, mais d'un des clubs les plus légendaires de New York.
Nous sommes en 1940, le monde est en guerre et le Tout-Manhattan cherche un peu de légèreté sous les palmiers de pacotille de cette nouvelle boîte de nuit à la décoration brésilienne. Car le Copa - pour les intimes-, accueille les grands noms de la musique pour des shows exceptionnels : c'est l'endroit où il faut voir et être vu. Et ce, malgré tous les mafieux qui y traînent... En effet, cette boîte de nuit new-yorkaise est l'œuvre de Monte Proser et de Frank Costello, surnommé " le Premier ministre du crime".
Sa réputation sulfureuse n'empêchera pas le Copacabana de devenir un lieu mythique, porté à l'écran par Groucho Marx dans un film musical savamment intitulé Copacabana (1947), ou chanté par Barry Manilow dans l'entêtant Copacabana. C'est d'ailleurs cette chanson qui relancera la popularité du club à la fin des années 70.
L'histoire racontée dans cette chanson sur une showgirl prénommée Lola et son petit ami barman Tony va de pair avec la mélodie joyeuse pour la première moitié de la chanson, mais par la suite elle va prendre rapidement une tournure tragique lorsque Tony est tué et que nous retrouvons Lola, 30 ans plus tard, folle et détruite par sa perte.


Avatar du membre
Pablitta
Modérateur
Modérateur
Messages : 3756
Enregistré le : jeu. 15 août 2019 10:03

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Pablitta » dim. 5 déc. 2021 15:56

"Liesse et bonheur" ! Pas mal !
J'ignorais tout de l'histoire de Copacabana ! :chapozzz:
Grohl le fait bien. On notera son mouvement de buste :hehe:

Avatar du membre
Romulien
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 1241
Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 19:50
Localisation : Lévis, Québec

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Romulien » dim. 5 déc. 2021 22:19

juthova a écrit :
dim. 5 déc. 2021 15:06
Contrairement à ce que son titre pourrait laisser penser, la chanson Copacabana ne parle pas d'une plage ou d'un hôtel, mais d'un des clubs les plus légendaires de New York.
Nous sommes en 1940, le monde est en guerre et le Tout-Manhattan cherche un peu de légèreté sous les palmiers de pacotille de cette nouvelle boîte de nuit à la décoration brésilienne. Car le Copa - pour les intimes-, accueille les grands noms de la musique pour des shows exceptionnels : c'est l'endroit où il faut voir et être vu. Et ce, malgré tous les mafieux qui y traînent... En effet, cette boîte de nuit new-yorkaise est l'œuvre de Monte Proser et de Frank Costello, surnommé " le Premier ministre du crime".
Sa réputation sulfureuse n'empêchera pas le Copacabana de devenir un lieu mythique, porté à l'écran par Groucho Marx dans un film musical savamment intitulé Copacabana (1947), ou chanté par Barry Manilow dans l'entêtant Copacabana. C'est d'ailleurs cette chanson qui relancera la popularité du club à la fin des années 70.
L'histoire racontée dans cette chanson sur une showgirl prénommée Lola et son petit ami barman Tony va de pair avec la mélodie joyeuse pour la première moitié de la chanson, mais par la suite elle va prendre rapidement une tournure tragique lorsque Tony est tué et que nous retrouvons Lola, 30 ans plus tard, folle et détruite par sa perte.

La version originale par Barry Manilow

Barry Manilow-Copacabana (at the Copa)
Modifié en dernier par Romulien le lun. 6 juin 2022 02:39, modifié 1 fois.

Avatar du membre
Monsieur-Hulot
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 5390
Enregistré le : mer. 31 juil. 2019 06:40
Localisation : Third Stone From The Sun

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Monsieur-Hulot » lun. 6 déc. 2021 10:37

Une cover qui donne des frissons:
FILLES & MOTEURS, JOIES & DOULEURS.

Avatar du membre
juthova
Contributeur
Contributeur
Messages : 299
Enregistré le : sam. 28 sept. 2019 11:04

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » mer. 8 déc. 2021 17:28

Romulien a écrit :
dim. 5 déc. 2021 22:19
juthova a écrit :
dim. 5 déc. 2021 15:06
Contrairement à ce que son titre pourrait laisser penser, la chanson Copacabana ne parle pas d'une plage ou d'un hôtel, mais d'un des clubs les plus légendaires de New York.
Nous sommes en 1940, le monde est en guerre et le Tout-Manhattan cherche un peu de légèreté sous les palmiers de pacotille de cette nouvelle boîte de nuit à la décoration brésilienne. Car le Copa - pour les intimes-, accueille les grands noms de la musique pour des shows exceptionnels : c'est l'endroit où il faut voir et être vu. Et ce, malgré tous les mafieux qui y traînent... En effet, cette boîte de nuit new-yorkaise est l'œuvre de Monte Proser et de Frank Costello, surnommé " le Premier ministre du crime".
Sa réputation sulfureuse n'empêchera pas le Copacabana de devenir un lieu mythique, porté à l'écran par Groucho Marx dans un film musical savamment intitulé Copacabana (1947), ou chanté par Barry Manilow dans l'entêtant Copacabana. C'est d'ailleurs cette chanson qui relancera la popularité du club à la fin des années 70.
L'histoire racontée dans cette chanson sur une showgirl prénommée Lola et son petit ami barman Tony va de pair avec la mélodie joyeuse pour la première moitié de la chanson, mais par la suite elle va prendre rapidement une tournure tragique lorsque Tony est tué et que nous retrouvons Lola, 30 ans plus tard, folle et détruite par sa perte.

La version originale par Barry Manilow (la version longue)

Barry Manilow-Copacabana (at the Copa)
Et la VF (pour les non-bilingues :hehe: )


Avatar du membre
Romulien
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 1241
Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 19:50
Localisation : Lévis, Québec

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Romulien » ven. 10 déc. 2021 22:26

Linda Ronstadt-The tracks of my tears.mp3
(2.93 Mio) Téléchargé 96 fois
La version originale The Miracles

Avatar du membre
Romulien
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 1241
Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 19:50
Localisation : Lévis, Québec

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Romulien » sam. 11 déc. 2021 03:02

Ray Charles-Yes indeed


Les Valiants-Oui vraiment.mp3
(2.08 Mio) Téléchargé 97 fois
La version originale Tommy Dorsey-Yes indeed!

Avatar du membre
juthova
Contributeur
Contributeur
Messages : 299
Enregistré le : sam. 28 sept. 2019 11:04

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » sam. 11 déc. 2021 16:23

Si certains titres n'ont résisté ni au temps ni aux modes, d'autres en revanche, ressortent régulièrement arrangés et repris par une multitude d'artistes de tous âges et de tous horizons. C'est le cas de la chanson Beggin', un tube de 1967 de Frankie Valli and The Four Seasons, groupe de doo-wop italo new-yorkais qui rivalisa en son temps avec les Beach Boys et les Beatles. [media]
[/media]
En 1968, Claude François dégomme nos Hits Parades avec Reste, une traduction frénétique de cette chanson des Four Seasons. Le décibel poussé à fond, cette version plus protéinée que l'original enflamme les chorégraphie de plus en plus bondissantes de Cloclo et de ses Claudettes. [media]
[/media]
En 1974, alors que les premiers titres disco commencent à fleurir chez les disquaires, les Shocking Blue, un combo hollandais tout juste sacralisé par le carton de Venus, adapte pour les accros à la boule à facette ce titre sorti sept ans plus tôt. [media]
[/media]
Quatre décennies après l'original des Four Seasons, Beggin', retrouve le sommet des Charts planétaires avec Madcon, un duo norvégien pétrit de musique urbaine, qui va amener la chanson pendant sept semaines N°1 dans notre Top national. [media]
[/media]
Tenues Glam-Rock, maquillage appuyé, énergie dévastatrice, il n'a suffi que de ces ingrédients pour faire de Maneskin (d'après le mot danois signifiant Clair de Lune) le nouveau phénomène rock européen. Grand gagnant de l'Eurovision 2021, le groupe reprend Beggin' en y infusant un son rock rafraichissant. A l'origine, la formation l'avait entonnée lors de sa participation au télé-crochet "X Factor Italia" en 2017, où Maneskin s'était à l'époque hissé jusqu'en finale. Cette reprise était ensuite parue sur l'EP Chosen, sortie dans la foulée de l'émission. Quatre ans plus tard, le morceau est donc de nouveau plébiscité.


Avatar du membre
Romulien
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 1241
Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 19:50
Localisation : Lévis, Québec

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Romulien » dim. 12 déc. 2021 03:42

La reprise par The Hollies-The air that I breathe



Albert Hammond-The air that I breathe (la version originale)

Avatar du membre
Romulien
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 1241
Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 19:50
Localisation : Lévis, Québec

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Romulien » ven. 17 déc. 2021 21:44

Ginette Reno-Aimez-le si fort


La version originale par Bobbi Martin-For the love of him

Avatar du membre
juthova
Contributeur
Contributeur
Messages : 299
Enregistré le : sam. 28 sept. 2019 11:04

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » sam. 18 déc. 2021 17:45

Sittin' on the dock of the bay est publié un mois après le décès d'Otis Redding. Nous sommes en 1968, en pleine révolution culturelle et la chanson devient instantanément un succès planétaire.
Le chanteur de 25 ans, venu à San Francisco au cours de l'été 1967, est logé sur un bateau-hôtel à Sausalito. Il vient tout juste de rentrer du festival de Monterey où sa prestation a laissé sous le charme des milliers de personnes. Otis Redding griffonne alors quelques lignes étroitement liées à sa situation, celle d'un jeune homme, tout juste parti de sa Géorgie natale, qui voyage à travers l'Amérique pour satisfaire sa passion : la musique.
Différent de tout ce que l'artiste a pu réaliser auparavant, Sittin' on the dock of the bay a un aspect "pop" qui effraie son label. Au contraire, Otis Redding, lui, est séduit par ses paroles mélancoliques et le tempo doux de la chanson. On apprendra par la suite, qu'avant la sortie de ce titre, ce dernier s'était confié à sa femme affirmant qu'il souhaitait marquer un tournant dans sa carrière avec cette chanson. Otis Redding décède un mois après l'enregistrement dans un accident d'avion, fin 1968. Et c'est le guitariste Steve Cropper qui finalisera le morceau en ajoutant des sons de goélands et des vagues, comme l'avait souhaité le chanteur. Des sons qui lui rappelaient ce qu'il entendait sur le bateau dans la baie de San Francisco.
En janvier 1969, le titre sort et il conquit le monde entier. Les professionnels de la musique sont aussi sous le charme, et aux Grammy Awards, Sittin' on the dock of the bay remporte la récompense de la meilleure chanson Rythm & Blues et Otis Redding devient meilleur chanteur R&B en 1968.


Avatar du membre
Monsieur-Hulot
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 5390
Enregistré le : mer. 31 juil. 2019 06:40
Localisation : Third Stone From The Sun

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Monsieur-Hulot » jeu. 23 déc. 2021 18:33

Liesse & Bonheur !

FILLES & MOTEURS, JOIES & DOULEURS.

Avatar du membre
juthova
Contributeur
Contributeur
Messages : 299
Enregistré le : sam. 28 sept. 2019 11:04

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » dim. 26 déc. 2021 17:38

I Only Want To Be With You parle d'une fille qui a enfin trouvé le gars de ses rêves - ou du moins elle le pense. C'est vraiment une chanson d'amour pour adolescents dans la même veine que la plupart des chansons de groupes de filles que Dusty Springfield aimait.
Coté anecdote : L'ancienne choriste Jean Westwood a révélé que I Only Want To Be With You avait été en fait écrite par son mari auteur-compositeur Mike Hawker et lui était destinée. Le parolier aurait écrit cette chanson pour lancer la carrière musicale de sa femme. Cependant, les jeunes mariés auraient été approchés par le producteur de Dusty Springfield qui avait désespérément besoin d'un single à succès.



VS l'original


Avatar du membre
Romulien
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 1241
Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 19:50
Localisation : Lévis, Québec

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Romulien » mer. 29 déc. 2021 21:43

La meilleure reprise de cette chanson.

Nazareth-Love hurts (1975)


La version originale par les Everly Brothers (malheureusement pas en mono)

Avatar du membre
Algernon
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 12192
Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 17:36

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Algernon » jeu. 30 déc. 2021 17:27

Ma version préférée

Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.

Avatar du membre
Echoes
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 6696
Enregistré le : mer. 2 oct. 2019 13:16
Localisation : Suisssssse

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Echoes » ven. 31 déc. 2021 09:42


Rodrigo y Gabriela - Echoes

Une version originale, pas étonnant venant de leur part :) :]
« Je peux ne pas croire en moi mais je crois en ce que je fais »
Jimmy Page

Avatar du membre
Algernon
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 12192
Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 17:36

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Algernon » ven. 31 déc. 2021 12:06

Reprise à beaucoup du classique des seigneurs de la "musique morte"



Herve Koster : drums
Hadrien Feraud: bass
Johan Dalgaard : keyboards
Julien Tekeyan : percussions
Greg Zlap : harmonica
Olivier Louvel : saz
Gaël Benyamin : rhodes
Amandine Bourgeois : backing vocals
Jessie Lee Houllier : backing vocals
Erica Simeone: backing vocals
Gus G : guitar
Richard Daudé : guitar
Youri De Groote: guitar
Jean-Michel Kajdan : guitar
Yann Negrit : guitar
Nym Rhosilir : guitar
Frédéric Judge Fredd Consavela : guitar
Régis Savigny : slide guitar
Ludovic Egraz : guitar
Robin Saturax : guitar
Alexis Didier : guitar
Fred Chapellier : guitar
Fabrice Dutour : guitar
Julien Bitoun : guitar
Yoann Kempst : guitar
Swan Vaude : guitar

Arranged & produced by Axel Bauer
Mixed by : Steven Forward
Vidéo editing : Erica Simeone
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.

Avatar du membre
Echoes
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 6696
Enregistré le : mer. 2 oct. 2019 13:16
Localisation : Suisssssse

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Echoes » sam. 1 janv. 2022 09:42

Très bon :chapozzz: :super:
« Je peux ne pas croire en moi mais je crois en ce que je fais »
Jimmy Page

Avatar du membre
gabuzomeuzomeu
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 8885
Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 17:36
Localisation : Dans les rades
Contact :

Re: Les reprises et leurs originales.

Message par gabuzomeuzomeu » sam. 1 janv. 2022 09:57

Algernon a écrit :
ven. 31 déc. 2021 12:06
Reprise à beaucoup du classique des seigneurs de la "musique morte"



Herve Koster : drums
Hadrien Feraud: bass
Johan Dalgaard : keyboards
Julien Tekeyan : percussions
Greg Zlap : harmonica
Olivier Louvel : saz
Gaël Benyamin : rhodes
Amandine Bourgeois : backing vocals
Jessie Lee Houllier : backing vocals
Erica Simeone: backing vocals
Gus G : guitar
Richard Daudé : guitar
Youri De Groote: guitar
Jean-Michel Kajdan : guitar
Yann Negrit : guitar
Nym Rhosilir : guitar
Frédéric Judge Fredd Consavela : guitar
Régis Savigny : slide guitar
Ludovic Egraz : guitar
Robin Saturax : guitar
Alexis Didier : guitar
Fred Chapellier : guitar
Fabrice Dutour : guitar
Julien Bitoun : guitar
Yoann Kempst : guitar
Swan Vaude : guitar

Arranged & produced by Axel Bauer
Mixed by : Steven Forward
Vidéo editing : Erica Simeone
[/quote]
Oui du bon Jean-Mi Kass-Dent de chez Ramon un signe de "bonitude" ! :)

Une version plus pompeuse avec un autre manche qui assure chez les grungeux Alice In Chains .. Cantrell et le chanteur qui fait bien le job du Plant !

L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)

Répondre