Les reprises et leurs originales.

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Monsieur-Hulot » mer. 23 déc. 2020 18:02

L'originale :



la reprise: !!! :ghee:

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Romulien » mer. 23 déc. 2020 22:02

C'est une expérience de vie que Lori Lieberman chante personne ne peut faire une reprise de cette chanson.

L'originale Lori Lieberman-Killing me softly (with his song)


La reprise par Roberta Flack
Modifié en dernier par Romulien le sam. 30 oct. 2021 01:07, modifié 3 fois.

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Danzik » jeu. 24 déc. 2020 14:03



Reprise de J.Dutronc...
Le Grand Bazar Vinylique : pleins de 45 tours EP & SP avec de vrais morceaux de vinyles dedans !
Citation : "Elle est pas électrique ta guitare... c'est une vieille, elle est encore à vapeur" Dupont et Pondu (1964)

C.V. (archives2) : ICI

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par nunu » sam. 26 déc. 2020 18:45

Des fois on tombe sur des trucs sur Youtube. Le grand écart absolu, Marduk qui reprend Paint It Black. :hehe:


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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » dim. 27 déc. 2020 18:15

Danzik a écrit :
jeu. 24 déc. 2020 14:03


Reprise de J.Dutronc...
Se basant donc sur ce célèbre riff voici quelques morceaux qui se ressemblent sans que ce soit une reprise (inspiration, influence, pompage à la note prés,...)

The Yardbirds (1965)


David Bowie (1972)


The Sweet (1973)


Arno & Beverly Jo Scott (1999)


Yodelice (2010)


...

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » dim. 27 déc. 2020 18:27

Summertime est une chanson qui a été reprise des centaines de fois, dans tous les styles, par de très nombreux artistes. L'origine réelle de ce standard du jazz est pourtant méconnue... Il vient de l'opéra ! C'est un air de Porgy and Bess.
Porgy and Bess est un opéra du compositeur américain George Gershwin créé en 1935. L'histoire est adaptée d'un roman de l'écrivain Dubose Heyward qui a aussi signé les paroles de Summertime. Si beaucoup de chansons de Porgy and Bess sont connues et ont par la suite été reprises de nombreuses fois (I Got Plenty O' Nuttin', It Ain't Necessarily So,...), aucune n'a atteint la popularité de Summertime.
C'est sur cette chanson que s'ouvre l'opéra. C'est une berceuse et la musique évoque d'ailleurs le va et vient d'un berceau. Dans cet opéra, Summertime est utilisée comme un leitmotiv et vient régulièrement ponctuer à sa façon un récit qui, autrement, décrit un contexte très dur : la vie des Afro-Américains dans la Caroline du Sud des années 1930.
Summertime est fortement inspirée par les "spirituals", la musique des esclaves noirs américains. Gershwin a tenu à la composer lui-même, car il voulait qu'il y ait une unité dans son opéra. Certains ont toutefois remarqué la proximité de Summertime avec un autre chant, Sometimes I Feel Like A Motherless Child,
que Gershwin a peut-être entendu lorsqu'il est allé à Charleston s'imprégner de l'atmosphère.



Et en français ça donne quoi ???
1) Première adaptation française



2) En tout cas une reprise Ska du classique de Gershwin, fallait oser !



3) Grand Corps Malade s'est inspiré de Summertime pour écrire les couplets de l'Heure d'été. Les refrains interprétés par la soprano Elise Oudin-Gilles sont directement empruntés à la chanson originale.


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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Monsieur-Hulot » mer. 30 déc. 2020 19:27

L'originale, the genuine (ô putain qu'ils vont vite, dis !)

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par alcat01 » ven. 1 janv. 2021 22:27

Version originale:
David Blue "Outlaw Man"



Reprise de Eagles:


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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » dim. 3 janv. 2021 18:20

La chanson de Prévert, c'est évidemment la célèbre chanson Les feuilles mortes dont les paroles ont été écrites par Jacques Prévert, mise en musique par Joseph Kosma, et apparemment chantée pour la première fois par Cora Vaucaire, puis popularisée, un peu plus tard, par Yves Montand. Serge Gainsbourg écrit sa chanson de Prévert en 1961, soit une quinzaine d'années après la chanson qui est le sujet de sa chanson.
La chanson de Prévert est mélancolique et lancinante. Comme dans Les feuilles mortes, Gainsbourg s'adresse, à la deuxième personne, à une femme. L'heure est aux regrets, aux souvenirs amers et à la nostalgie. Gainsbourg y conte un amour déçu, un de ses thèmes de prédilection. C'est une ode à la femme qu'il a aimé et dont il se souvient avec une certaine tristesse.
Coté anecdote : Gainsbourg aurait promis l'exclusivité à Yves Montand de La chanson de Prévert. En avril 1961 une indiscrétion dans un journal parisien révèle qu'à son retour de Tokyo, Montand fût très mécontent d'apprendre que Michèle Arnaud et Serge Gainsbourg l'avaient enregistré "depuis déjà deux mois".


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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » dim. 10 janv. 2021 18:37

T.Rex sort Electric Warrior en 1971, considéré jusqu'à présent comme le meilleur album du groupe. Après ce grand succès, Marc Bolan lance une série de singles avant la sortie de leur prochain album. En 1973, T.Rex sort 20th Century Boy, une chanson qui en seulement 3 minutes 25 combine tout ce qui est sensuel dans le Rock'n'roll : Un riff de guitare simple et séduisant, un clin d’œil au Blues, des paroles très ambiguës, un refrain aussi collant qu'un chewing-gum et une section rythmique grandiose qui - comme ses prédécesseurs à l'age d'or du R&B - nous invite à bouger et à nous rapprocher. 20th Century Boy est une bombe de groove qui frôle l'hystérie. Beaucoup de groupes l'ont d'ailleurs repris, tant il développe une énergie communicative et animale. Avec ce morceau, le T.Rex n'a jamais été aussi carnivore.


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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Pablitta » lun. 11 janv. 2021 12:10

:confusezzz:
On ben dis-donc ! Ca envoie.
C'est ça, un bon titre.

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Pablitta » lun. 11 janv. 2021 12:13

juthova a écrit :
dim. 27 déc. 2020 18:27
Summertime est une chanson qui a été reprise des centaines de fois, dans tous les styles, par de très nombreux artistes. L'origine réelle de ce standard du jazz est pourtant méconnue... Il vient de l'opéra ! C'est un air de Porgy and Bess.
Porgy and Bess est un opéra du compositeur américain George Gershwin créé en 1935. L'histoire est adaptée d'un roman de l'écrivain Dubose Heyward qui a aussi signé les paroles de Summertime. Si beaucoup de chansons de Porgy and Bess sont connues et ont par la suite été reprises de nombreuses fois (I Got Plenty O' Nuttin', It Ain't Necessarily So,...), aucune n'a atteint la popularité de Summertime.
C'est sur cette chanson que s'ouvre l'opéra. C'est une berceuse et la musique évoque d'ailleurs le va et vient d'un berceau. Dans cet opéra, Summertime est utilisée comme un leitmotiv et vient régulièrement ponctuer à sa façon un récit qui, autrement, décrit un contexte très dur : la vie des Afro-Américains dans la Caroline du Sud des années 1930.
Summertime est fortement inspirée par les "spirituals", la musique des esclaves noirs américains. Gershwin a tenu à la composer lui-même, car il voulait qu'il y ait une unité dans son opéra. Certains ont toutefois remarqué la proximité de Summertime avec un autre chant, Sometimes I Feel Like A Motherless Child,
que Gershwin a peut-être entendu lorsqu'il est allé à Charleston s'imprégner de l'atmosphère.


Je découvre à l'instant cette version de Lana Del Rey (merci !).
Je n'ai pas de goût particulier pour elle, mais il faut avouer qu'elle y met une essence spirituelle impressionnante.
Clip de toute beauté, pour couronner le tout.

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par gabuzomeuzomeu » mar. 12 janv. 2021 18:23

juthova a écrit :
dim. 10 janv. 2021 18:37
T.Rex sort Electric Warrior en 1971, considéré jusqu'à présent comme le meilleur album du groupe. Après ce grand succès, Marc Bolan lance une série de singles avant la sortie de leur prochain album. En 1973, T.Rex sort 20th Century Boy, une chanson qui en seulement 3 minutes 25 combine tout ce qui est sensuel dans le Rock'n'roll : Un riff de guitare simple et séduisant, un clin d’œil au Blues, des paroles très ambiguës, un refrain aussi collant qu'un chewing-gum et une section rythmique grandiose qui - comme ses prédécesseurs à l'age d'or du R&B - nous invite à bouger et à nous rapprocher. 20th Century Boy est une bombe de groove qui frôle l'hystérie. Beaucoup de groupes l'ont d'ailleurs repris, tant il développe une énergie communicative et animale. Avec ce morceau, le T.Rex n'a jamais été aussi carnivore.
Très bon et bien plus pêchue que la cover de Placebo :super:
J'en balance une dont l'originale était contemporaine au Bolan et avec un riff aussi dément ... d'ailleurs c'était aussi souvent sur mon teppaz !
Dave Mustaine (de Megadeth) - School's Out dans un Tribute d'Alice Cooper de 1999



Et le Vince et sa bande bien sûr !

L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par gabuzomeuzomeu » ven. 15 janv. 2021 14:16

Le Bal Des Enragés - If The Kids Are United (2010 et 2013 sur DVD) avec Tagada Jones / Lofofora / Parabellum / Damny de La Phaze / Punish Yourself / Black Bomb A



Sham 69 - If The Kids Are United (1978)

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Monsieur-Hulot » ven. 15 janv. 2021 14:38

Nous, avec notre groupe, on avait repris "God save the Queen" des Pistols mais en version Reggae très très Lazy en direct du hamac, c'était sympa, ça permettait de se reposer un peu pask'on avait que des tempos enlevés...des tempi speed quoi !
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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Romulien » ven. 15 janv. 2021 22:30

gabuzomeuzomeu a écrit :
mar. 12 janv. 2021 18:23
juthova a écrit :
dim. 10 janv. 2021 18:37
T.Rex sort Electric Warrior en 1971, considéré jusqu'à présent comme le meilleur album du groupe. Après ce grand succès, Marc Bolan lance une série de singles avant la sortie de leur prochain album. En 1973, T.Rex sort 20th Century Boy, une chanson qui en seulement 3 minutes 25 combine tout ce qui est sensuel dans le Rock'n'roll : Un riff de guitare simple et séduisant, un clin d’œil au Blues, des paroles très ambiguës, un refrain aussi collant qu'un chewing-gum et une section rythmique grandiose qui - comme ses prédécesseurs à l'age d'or du R&B - nous invite à bouger et à nous rapprocher. 20th Century Boy est une bombe de groove qui frôle l'hystérie. Beaucoup de groupes l'ont d'ailleurs repris, tant il développe une énergie communicative et animale. Avec ce morceau, le T.Rex n'a jamais été aussi carnivore.
Très bon et bien plus pêchue que la cover de Placebo :super:
J'en balance une dont l'originale était contemporaine au Bolan et avec un riff aussi dément ... d'ailleurs c'était aussi souvent sur mon teppaz !
Dave Mustaine (de Megadeth) - School's Out dans un Tribute d'Alice Cooper de 1999



Et le Vince et sa bande bien sûr !

Une autre reprise de School's out par The Donnas


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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Romulien » sam. 23 janv. 2021 03:20

Fidèle à l'originale.

Sonia-Young hearts run free
Modifié en dernier par Romulien le lun. 6 juin 2022 02:10, modifié 1 fois.

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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » sam. 23 janv. 2021 10:06

gabuzomeuzomeu a écrit :
ven. 15 janv. 2021 14:16
Le Bal Des Enragés - If The Kids Are United (2010 et 2013 sur DVD) avec Tagada Jones / Lofofora / Parabellum / Damny de La Phaze / Punish Yourself / Black Bomb A



Sham 69 - If The Kids Are United (1978)

Nihilistes, bien sûr, mais un peu moins que les Pistols, ils chantaient la décrépitude des banlieues glauques de la perfide Albion alors que les Sex Pistols chantaient la fin du monde.
Mais tout a commencé à partir en couille avant même qu’ils aient écrit If the Kids are United , hymne punk sentant bon la sueur, celle des vestiaires de foot et des décalitres de bière. C’est venu avec la reconnaissance. Plus ils avaient de succès, et plus leur public devenait craignos. Très vite, ce sont des cohortes de boneheads qui s’agglutinèrent en braillant des insanités "white power" au premier rang du public (les tondus ignoraient apparemment que le batteur, Mark Cain, était juif). Après quelques concerts (très violents) épiques où les Boneheads dégénérés furent dégagés manu militari de la salle sous les encouragements du groupe, il y eut un moment où le rapport de force s’inversa. En 1978, après que la scène du Middlesex Polytechnic aie été envahie par des crânes rasés du National Front, le groupe décida de cesser les concerts. Sham 69 se reforma plus tard mais ils avaient perdu le feu sacré.

Un classique des Béru :



Plus confidentiel, la VF :



On calme tout :


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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par juthova » sam. 23 janv. 2021 17:25

Lady D'Arbanville a toujours laissé perplexe. D'abord, qui est cette personne, sujet central de la chanson ? Est-elle de la noblesse ? Un personnage fictif ou réel ? Et quel secret cache-t-elle ?
Dans la chanson, le chanteur s'étonne et se lamente du sommeil si profond de sa belle. "Tu as l'air si froide ce soir, tes lèvres sont comme l'hiver, ta peau est devenue blanche.... Pourquoi me fais-tu tant de peine, ton cœur semble si silencieux". Puis plus loin, "je t'ai aimé, même si tu reposes dans ta tombe, je serai toujours avec toi".
Mince ! Cette femme serait-elle morte ? Mais non ! Comme d'habitude, il faut voir un peu plus loin que les simples mots. Cat Stevens n'est pas à la morgue en train de contempler un cadavre. La mort est une métaphore, c'est l'histoire qui nous le dit. A la fin des années 60, Cat Stevens rencontre Patricia D'Arbanville lors d'une fête où traînent pas mal de musiciens, genre Eric Clapton, Steve Winwood ou Jimmy Page. Patti D'Arbanville fait alors le mannequin et l'actrice. Ils commencent à se fréquenter, mais le métier de Patti l'appelle aux quatre coins de la planète. A Londres elle est a ses cotés, mais le reste du temps... Après un an, Cat Stevens veut s'investir plus sérieusement dans le couple. Peut-être trop. Et peut être trop tard...
Un jour, alors qu'elle est à New-York, Patti entend la chanson à la radio. Le coup de massue. "Cat Stevens a écrit cette chanson quand je suis partie pour New-York. J'étais partie pour un mois. C'était quand même pas la fin du monde non ? Mais il a écrit cette chanson "My Lady D'Arbanville, pourquoi dors-tu si calmement..." C'était moi en morte ! J'étais à New-York et lui me voyait dans un cercueil ! Je lui manquait tellement....c'est une chanson triste. Je me suis mise à pleurer quand je l'ai entendue. Mais c'est à ce moment que je me suis dit que c'était vraiment la fin de notre histoire".
Voila, une situation assez classique. Une personne hypersensible d'un coté, et de l'autre, quelqu'un épris de liberté et avide de voir le monde. Pour la première, l'éloignement ne peut être supporté que s'il est figuré au mieux que comme une "non existence" ou au pire, comme une mort.



Et en français, ça donne quoi ???
1) Quand Dalida glisse la chanson dans la hit parade de l'année 70



2) Richard Anthony a aussi enregistré l'histoire de cette femme délaissée et aux yeux si tristes.


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Re: Les reprises et leurs originales.

Message par Monsieur-Hulot » jeu. 28 janv. 2021 08:58

La rue Madureira :
"On retrouve dans la mélodie de « La Rua Madureira » le thème d’une pièce du guitariste Antonio Carlo Jobim que lui même aurait emprunté au prélude N°4 de Chopin et qui ressemblerait encore, selon les fans « Des demoiselles de Rochefort » à la chanson d’Andy interprétée dans le film par Gene Kelly. Emprunt ou pas, peu importe si un demi siècle plus tard la chanson garde son charme intact comme dans cette version de Stacey Kent."

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