Les reprises et leurs originales.
Re: Les reprises et leurs originales.
Je ne vais pas remettre ici l'original de l'été indien par africa le groupe de Toto Cutugno, ça évitera des jeux de mots hilarants sur le sujet.
- Unserious Sam
- Membre VIP
- Messages : 4205
- Enregistré le : ven. 23 août 2019 16:58
Re: Les reprises et leurs originales.
C'est vrai que les jeux de mots hilarants en réponse à certains posts, c'est pas du tout ton genre
"Luc Smets ( 76 ans ) chanteur du groupe belge The Pebbles qui eurent leur heure de gloire dans les sixties .."
"Luc Smets ( 76 ans ) chanteur du groupe belge The Pebbles qui eurent leur heure de gloire dans les sixties .."
A partir d'un certain âge, si on vous donne 10 ans de moins, un conseil : prenez-les !.
Re: Les reprises et leurs originales.
juthova a écrit : ↑dim. 30 juil. 2023 09:28Cosmic Dancer peut suffire à résumer le génie de Marc Bolan. C'est d'une simplicité renversante et personne d'autre ne pouvait le faire, ni même y songer. Pour se raconter en danseur universel, de la matrice à la tombe, il trouve le point exact entre la sauvagerie bucolique du Tyrannosaurus originel et l'éclat chromé des tubes en série. Son infinie douceur est irriguée d'une énergie sans bornes, un entrain désespéré.
La chanson va rentrer au firmament du rock grâce au chanteur des Smiths, Morrissey, qui la reprendra, mais surtout grâce au film Billy Elliott dont elle servira de générique et qui la mettra magnifiquement en valeur.
Très bonne pioche juthova !
Cette chanson Cosmic Dancer de Marc Bolan est magnifique à la base, cette interprétation tout en finesse est superbe
Note : je pense que l'ami Dark pink tomberai aisément sous le charme de Katie Jacoby
Pour ma part le film Billy Elliott est superbe : une magnifique histoire.
Le Grand Bazar Vinylique : pleins de 45 tours EP & SP avec de vrais morceaux de vinyles dedans !
Citation : "Elle est pas électrique ta guitare... c'est une vieille, elle est encore à vapeur" Dupont et Pondu (1964)
C.V. (archives2) : ICI
Citation : "Elle est pas électrique ta guitare... c'est une vieille, elle est encore à vapeur" Dupont et Pondu (1964)
C.V. (archives2) : ICI
Re: Les reprises et leurs originales.
@Danzig :
Nous sommes en 1971, Lou Reed est au plus bas de sa forme et de sa carrière, le Velvet Underground n'a pas connu le succès qu'il connaitra bien plus tard. Il a quitté le groupe de freaks monté de toute pièce par Andy Warhol au sein de la Factory, pour retourner vivre chez ses parents à Long Island, dans la banlieue new-yorkaise.
Arrivé de l'autre côté de la manche, l'un de ses fans les plus fidèles, qui lui connait un succès mondial, un certain David Bowie est de passage à New-York pour signer son futur quatrième album, Hunky Dory, chez RCA. Un diner est organisé et le courant passe entre la star anglaise et le bad boy new-yorkais.
La suite s'écrit en 1972 quand, après une énième tentative loupée en solo de Lou Reed, David Bowie et son guitariste Mick Ronson, décident de le récupérer pour produire ce chef-d'œuvre que deviendra Transformer. Un chef-d'œuvre dans lequel on retrouve donc ce Perfect Day, qui marquera notamment la plus belle scène d'overdose jamais filmée au cinéma dans Trainspotting.
Ivre la plupart du temps pendant l'enregistrement, Lou Reed se laisse diriger par Bowie et Ronson, et bénéficiera du majestueux travail d'orchestration musicale de ses producteurs, et notamment ce final où les cordes arrangées rencontrent cette mélodie inoubliable au piano, jouée par Ronson.
Et comme souvent avec Lou Reed, l'ambiguïté sur le thème du morceau restera entier : Est-ce l'histoire de la romance entre Lou Reed et Bettye Kronstad (qui deviendra par la suite sa première femme)) ou une glorification de l'héroïne ?
Nous sommes en 1971, Lou Reed est au plus bas de sa forme et de sa carrière, le Velvet Underground n'a pas connu le succès qu'il connaitra bien plus tard. Il a quitté le groupe de freaks monté de toute pièce par Andy Warhol au sein de la Factory, pour retourner vivre chez ses parents à Long Island, dans la banlieue new-yorkaise.
Arrivé de l'autre côté de la manche, l'un de ses fans les plus fidèles, qui lui connait un succès mondial, un certain David Bowie est de passage à New-York pour signer son futur quatrième album, Hunky Dory, chez RCA. Un diner est organisé et le courant passe entre la star anglaise et le bad boy new-yorkais.
La suite s'écrit en 1972 quand, après une énième tentative loupée en solo de Lou Reed, David Bowie et son guitariste Mick Ronson, décident de le récupérer pour produire ce chef-d'œuvre que deviendra Transformer. Un chef-d'œuvre dans lequel on retrouve donc ce Perfect Day, qui marquera notamment la plus belle scène d'overdose jamais filmée au cinéma dans Trainspotting.
Ivre la plupart du temps pendant l'enregistrement, Lou Reed se laisse diriger par Bowie et Ronson, et bénéficiera du majestueux travail d'orchestration musicale de ses producteurs, et notamment ce final où les cordes arrangées rencontrent cette mélodie inoubliable au piano, jouée par Ronson.
Et comme souvent avec Lou Reed, l'ambiguïté sur le thème du morceau restera entier : Est-ce l'histoire de la romance entre Lou Reed et Bettye Kronstad (qui deviendra par la suite sa première femme)) ou une glorification de l'héroïne ?
- Romulien
- Membre VIP
- Messages : 1249
- Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 19:50
- Localisation : Lévis, Québec
Re: Les reprises et leurs originales.
Françoise Hardy a fait une version en français de cette chanson italienne mais il existe aussi une version en anglais.
Verdelle Smith-Tar and cement
Verdelle Smith-Tar and cement
Re: Les reprises et leurs originales.
La chanson de Skeeter Davis qui parle de son chagrin à la perte de son papa a connu de nombreuses reprises.
L'originale de 1962:
Par Julie London en 1963:
Par Brenda Lee également en 1963
Par les Herman's Hermits
Par Nancy Sinatra en 1967
Par Les Carpenters en 1973:
Je m'arrête là car il y a 288 versions répertoriées ....
L'originale de 1962:
Par Julie London en 1963:
Par Brenda Lee également en 1963
Par les Herman's Hermits
Par Nancy Sinatra en 1967
Par Les Carpenters en 1973:
Je m'arrête là car il y a 288 versions répertoriées ....
« Je peux ne pas croire en moi mais je crois en ce que je fais »
Jimmy Page
Jimmy Page
- Fabrice Chotard
- Membre
- Messages : 7
- Enregistré le : ven. 28 juil. 2023 08:08
Re: Les reprises et leurs originales.
J'ai remonté rapidement le sujet (sans doute trop rapidement), et comme je n'ai rien vu sur Guns of Brixton, je poste donc l'original du Clash et la reprise de Jimmy Cliff.
La seule chanson entièrement écrite par Paul Simonon pour le groupe (il en écrira d'autres quand il fondera Havana 3 a.m. Le bassiste dit s'être inspiré du film The Harder They Come pour composer cette chanson qui évoque son quartier natal. C'est finalement par un retour plaisant à l'envoyeur qu'au XXIème siècle JImmy Cliff reprendra le morceau :
Et une curiosité, un groupe punk polonais, les Analogs
La seule chanson entièrement écrite par Paul Simonon pour le groupe (il en écrira d'autres quand il fondera Havana 3 a.m. Le bassiste dit s'être inspiré du film The Harder They Come pour composer cette chanson qui évoque son quartier natal. C'est finalement par un retour plaisant à l'envoyeur qu'au XXIème siècle JImmy Cliff reprendra le morceau :
Et une curiosité, un groupe punk polonais, les Analogs
Modifié en dernier par Fabrice Chotard le lun. 11 sept. 2023 08:22, modifié 1 fois.
Re: Les reprises et leurs originales.
C'est le partenaire d'écriture d'Elton John, Bernie Taupin, qui a écrit les paroles de Saturday Night's Alright (For Fighting). Taupin l'a appelé sa "première tentative d'écrire une chanson rock'n'roll totalement anglaise". Jusqu'à là, la plupart de ses compositions se concentraient sur la culture américaine.
Saturday Night's Alright parle de l'adolescence de Taupin dans les clubs britanniques, où les bagarres étaient courantes. De nombreuses chansons de Taupin sont écrites pour se rapporter à la vie d'Elton John, mais pas celle-ci (il est peu probable qu'Elton se batte dans un club).
Ce n'est pas grand et ce n'est pas intelligent, mais la chanson capture parfaitement ce sentiment d'être saoul (je veux avoir un ventre plein de bière) d'aller danser et emballer (je recherche une poupée qui me trouvera bien) et, si cela s'avère nécessaire, s'équiper et se battre (j'aime les sons d'un couteau à cran d'arrêt)...
Bien qu'il ne s'agisse que d'un succès modeste par rapport à ses autres tubes, Saturday Night's Alright (For Fighting) reste l'une des chansons les plus connues d'Elton John car elle est devenue un incontournable des performances live de l'artiste depuis de nombreuses années.
Saturday Night's Alright parle de l'adolescence de Taupin dans les clubs britanniques, où les bagarres étaient courantes. De nombreuses chansons de Taupin sont écrites pour se rapporter à la vie d'Elton John, mais pas celle-ci (il est peu probable qu'Elton se batte dans un club).
Ce n'est pas grand et ce n'est pas intelligent, mais la chanson capture parfaitement ce sentiment d'être saoul (je veux avoir un ventre plein de bière) d'aller danser et emballer (je recherche une poupée qui me trouvera bien) et, si cela s'avère nécessaire, s'équiper et se battre (j'aime les sons d'un couteau à cran d'arrêt)...
Bien qu'il ne s'agisse que d'un succès modeste par rapport à ses autres tubes, Saturday Night's Alright (For Fighting) reste l'une des chansons les plus connues d'Elton John car elle est devenue un incontournable des performances live de l'artiste depuis de nombreuses années.
Re: Les reprises et leurs originales.
Original : Freddy Cannon - "Hokie Pokie Girl " (1966)
Reprise : Sophie Mansart "Au secours aidez-moi " (1968)
Le Grand Bazar Vinylique : pleins de 45 tours EP & SP avec de vrais morceaux de vinyles dedans !
Citation : "Elle est pas électrique ta guitare... c'est une vieille, elle est encore à vapeur" Dupont et Pondu (1964)
C.V. (archives2) : ICI
Citation : "Elle est pas électrique ta guitare... c'est une vieille, elle est encore à vapeur" Dupont et Pondu (1964)
C.V. (archives2) : ICI
- gabuzomeuzomeu
- Membre VIP
- Messages : 8932
- Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 17:36
- Localisation : Dans les rades
- Contact :
Re: Les reprises et leurs originales.
Une scie musicale de 1982 ... moins minimaliste (including le Casio) et plus rock !
Jean-Marc - Est-ce qu'on cherche ou est-ce qu'on triche ? (2023) ... du Val de Marne ? ?
Jean-Marc - Est-ce qu'on cherche ou est-ce qu'on triche ? (2023) ... du Val de Marne ? ?
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
- ledzep56
- Top contributeur
- Messages : 585
- Enregistré le : lun. 4 mai 2020 17:02
- Localisation : Pontivy 56
Re: Les reprises et leurs originales.
On commence avec : Nina Simone - Plain Gold Ring
puis on a ça avec Nick Cave and the bad seeds
puis on a ça avec Nick Cave and the bad seeds
Re: Les reprises et leurs originales.
Petit classique du genre psychobilly un peu goth, Goo Goo Muck est intégré dans le deuxième album des Cramps, Psychedelic Jungle, en 1981. Mais en fait, ce morceau date de vingt ans plus tôt. La version originale est écrite et composée par Ronnie Cook and the Gaylads en 1962. Et ça sonne nettement plus rockabilly avec la grosse ligne de saxophone. Goo Goo Muck est presque plus joyeux et mignon, là où les Cramps l'ont rendu grandiloquent et lugubre.
Ce morceau qui raconte l'histoire d'un adolescent se transformant la nuit en Goo Goo Muck, avec tout un vocabulaire autour de l'horreur et du fantastique, est surtout une métaphore à peine voilée de l'éveil sexuel. Et c'est avec quelques modifications dans les paroles pour amplifier les thèmes sexuels, ainsi qu'avec une sensibilité punk rock supplémentaire, que les Cramps reprendront quelques années plus tard Goo Goo Muck.
Pour la petite anecdote, la mélodie et la partie de sax de Goo Goo Muck version Ronnie Cook doivent beaucoup à New Orleans, le premier single de Gary US Bonds en 1960 qui avait été un succès des deux côtés de l'atlantique.
En mode Cramps :
Et la V.O. du coup :
Ce morceau qui raconte l'histoire d'un adolescent se transformant la nuit en Goo Goo Muck, avec tout un vocabulaire autour de l'horreur et du fantastique, est surtout une métaphore à peine voilée de l'éveil sexuel. Et c'est avec quelques modifications dans les paroles pour amplifier les thèmes sexuels, ainsi qu'avec une sensibilité punk rock supplémentaire, que les Cramps reprendront quelques années plus tard Goo Goo Muck.
Pour la petite anecdote, la mélodie et la partie de sax de Goo Goo Muck version Ronnie Cook doivent beaucoup à New Orleans, le premier single de Gary US Bonds en 1960 qui avait été un succès des deux côtés de l'atlantique.
En mode Cramps :
Et la V.O. du coup :
- Romulien
- Membre VIP
- Messages : 1249
- Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 19:50
- Localisation : Lévis, Québec
Re: Les reprises et leurs originales.
Une bonne reprise.
Claudette Morissette-Je sais
Claudette Morissette-Je sais
Re: Les reprises et leurs originales.
Pionnier parmi les plus originaux et influents du rock'n'roll, le chanteur et guitariste Bo Diddley a inventé le jungle beat, un rythme syncopé mêlant guitare réverbérée, piano martelé et maracas. Il disait vouloir restituer musicalement le bruit d'un "train de marchandises". Cette trouvaille signera ses plus grands succès, comme Who Do You Love , excellent morceau, tribal, rock’n’roll, aux paroles tordues faisant référence à la magie Hoodoo (d'où le jeu de mots) et aux interprétations multiples.
Bo Diddley aura néanmoins été éclipsé commercialement par les rockers blancs dans l'Amérique de la ségrégation raciale et par ses deux rivaux, Chuck Berry (avec lequel il enregistrera en 1964) et le pianiste Little Richard. Il s'était pourtant trouvé un personnage excentrique, avec ses chapeaux à larges bords, ses grosses lunettes et ses guitares rectangulaires, parfois recouvertes de fourrure.
Bo Diddley aura néanmoins été éclipsé commercialement par les rockers blancs dans l'Amérique de la ségrégation raciale et par ses deux rivaux, Chuck Berry (avec lequel il enregistrera en 1964) et le pianiste Little Richard. Il s'était pourtant trouvé un personnage excentrique, avec ses chapeaux à larges bords, ses grosses lunettes et ses guitares rectangulaires, parfois recouvertes de fourrure.
- cericpop
- Top contributeur
- Messages : 49
- Enregistré le : mer. 31 juil. 2019 14:49
- Localisation : Pepperland
Re: Les reprises et leurs originales.
Une reprise de "Shiny Happy People" de R.E.M. par Micky Dolenz (The Monkees) tirée d'un EP "Dolenz Sings R.E.M." à paraitre en novembre.
L'original, avec la participation de Kate Pierson des B-52's.
L'original, avec la participation de Kate Pierson des B-52's.
Re: Les reprises et leurs originales.
Johnny Kidd n'est pas n'importe qui. Il est celui qui réalisa habilement la transition entre les Cliff Richard, Tommy Steele ainsi que la vague de rock américain avec la "British Invasion" et la nouvelle scène qui allait émerger éminemment comme les Stones, les Who, les Animals et bien sûr les Beatles.
D'ailleurs Shakin' All Over est dotée de cette couleur rythm & blues qui peindra le paysage musical de la décennie et influencera le blues britannique. Mais c'est ce riff incroyable et iconique, trouvaille du guitariste Joe Moretti, qui choque par sa modernité.
C'est dans un café de Soho où le groupe cherchait à mijoter un titre qui serait un mélange de Jerry Lee Lewis et Big Joe Turner, que Shakin' All Over prend vie. Joe Moretti pousse le génie plus loin lors de l'enregistrement et ajoute une partie slide à chaque refrain avec... son briquet. Johnny Kidd gratte par dessus un texte sans fioritures, sur ses nanas qu'il croise dans la rue et qui lui filent les jambes en coton et de sacrés frissons.
Malgré ce classique indémodable, Johnny Kidd & The Pirates ne trouveront plus la recette du succès et laisseront rapidement la place à une nouvelle génération prête à conquérir le monde.
Tout juste trentenaire, Johnny Kidd et son célèbre cache-oeil finiront leur trajectoire dans un accident de voiture le 7 octobre 1966 à Bolton où les Pirates donnaient un concert.
D'ailleurs Shakin' All Over est dotée de cette couleur rythm & blues qui peindra le paysage musical de la décennie et influencera le blues britannique. Mais c'est ce riff incroyable et iconique, trouvaille du guitariste Joe Moretti, qui choque par sa modernité.
C'est dans un café de Soho où le groupe cherchait à mijoter un titre qui serait un mélange de Jerry Lee Lewis et Big Joe Turner, que Shakin' All Over prend vie. Joe Moretti pousse le génie plus loin lors de l'enregistrement et ajoute une partie slide à chaque refrain avec... son briquet. Johnny Kidd gratte par dessus un texte sans fioritures, sur ses nanas qu'il croise dans la rue et qui lui filent les jambes en coton et de sacrés frissons.
Malgré ce classique indémodable, Johnny Kidd & The Pirates ne trouveront plus la recette du succès et laisseront rapidement la place à une nouvelle génération prête à conquérir le monde.
Tout juste trentenaire, Johnny Kidd et son célèbre cache-oeil finiront leur trajectoire dans un accident de voiture le 7 octobre 1966 à Bolton où les Pirates donnaient un concert.
- Elie Köpter
- Top contributeur
- Messages : 664
- Enregistré le : jeu. 1 août 2019 09:17
- Localisation : South-Breizh
Re: Les reprises et leurs originales.
Hi à tous
Juthova en avait parlé là :
https://www.rock6070.com/forum/viewtopi ... ild#p80065
Infos très intéressantes au demeurant
Donc une petite piqûre de rappel:
je remets la version originale de Steppenwolf :
Et la non moins pétaradante version de Slade:
Quel morceau quand même
Juthova en avait parlé là :
https://www.rock6070.com/forum/viewtopi ... ild#p80065
Infos très intéressantes au demeurant
Donc une petite piqûre de rappel:
je remets la version originale de Steppenwolf :
Et la non moins pétaradante version de Slade:
Quel morceau quand même
Re: Les reprises et leurs originales.
Selon Jim Morrison, Love Street a été inspiré par une rue de Los Angeles où il vivait. La rue s'appelait Rothdell Trail et il la décrivait comme un endroit paisible et serein où il avait l'habitude de se promener et de rêver à la vie et à l'amour. Un endroit où il échapperait au chaos de la ville et trouverait l'inspiration pour ses paroles.
Cette chanson d'amour, où la "she" des paroles se réfère à sa petite amie Pamela Courson, est sortie en 1968 et est devenue instantanément un succès. Le message d'espoir et d'amour de la chanson a trouvé un écho auprès des auditeurs et est devenu un symbole de la génération hippie et de sa quête de paix, d'amour et d'unité.
Et obligé...
Cette chanson d'amour, où la "she" des paroles se réfère à sa petite amie Pamela Courson, est sortie en 1968 et est devenue instantanément un succès. Le message d'espoir et d'amour de la chanson a trouvé un écho auprès des auditeurs et est devenu un symbole de la génération hippie et de sa quête de paix, d'amour et d'unité.
Et obligé...