ANDWELLAS DREAM / ANDWELLA (Bio)

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alcat01
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ANDWELLAS DREAM / ANDWELLA (Bio)

Message par alcat01 » lun. 20 avr. 2020 15:55

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Andwella fut un groupe de Rock Psychédélique Nord-Irlandais formé en 1968, à l'origine sous le nom de The Method et renommé plus tard Andwellas Dream.

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Tout avait commencé avec un dénommé David Llewellyn Lewis, né à Belfast en 1951, en Irlande du Nord.
À l'âge de 12 ans, sa mère lui avait offert des places dans les clubs sociaux et les bars de Belfast. Il était aussi chanteur ténor à ses heures et son frère qui savait bien jouer du piano l'avait beaucoup influencé à écrire et à interpréter des chansons dès son plus jeune âge.
Après avoir maîtrisé la guitare et le piano, il avait quitté l'école à 15 ans et avait commencé à travailler dans le principal magasin de musique de Belfast, Crymbals, qui était l'épicentre de la scène musicale de Belfast à cette époque où il avait eu le loisir d'écouter "John Mayall & The Bluesbreakers w/ Eric Clapton"; il était fier de son temps et il s'était plongé dans le Blues Rock.

Image The Method

À 16 ans, en tant que guitariste, Lewis avait rejoint son premier groupe de R & B local de Belfast, The Method, dirigé par George Mechan et il avait commencé des activités musicales à grande échelle. C'était un groupe de Soul qui devenait populaire à Dublin et les fans à cette époque comprenaient Phil Lynott, alors dans le groupe Skid Row.
The Method devint ensuite un trio dirigé par Dave Lewis, avec un jeune bassiste de 16 ans, Paul Hanna et le batteur Wilgar Campbell et ils tournèrent dans les clubs de Belfast avec Van Morrison ou Gary Moore qui devinrent leurs amis.

The Method avait eu l'occasion de jouer dans un club à Dublin vers 1967, mais Lewis s'était fracturé la mâchoire dans un accident et Gary Moore, jeune guitariste de 16 ans l'avait remplacé pendant quelques semaines alors qu'il était à l'hôpital. Moore avait alors été vu par Brush Shiels, qui le recrutera plus tard pour jouer dans Skid Row.
The Method était surtout actif en tant que groupe de reprises, mais finalement la formation s'était senti obligé de se réorganiser afin de pouvoir jouer les propres compositions de Dave. Le groupe devint par la force des choses un trio de Hard Psyché Blues.

Image Andwellas Dream en 1968

Ils débarquèrent plus tard à Londres, en 1968, et ils optèrent pour le patronyme d'Andwellas Dreams. Le leader du groupe était toujours Dave Lewis, mutli instrumentiste: guitare, piano, orgue, chant, et compositeur et ses acolytes se nommaient Nigel Smith, à la basse et Gordon Barton, à la batterie.
Ils avaient été signés par une nouvelle société de gestion et d'enregistrement appelé Reflection Records, dirigée par Andrew Cameron Miller.

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Sous le nom de Andwellas Dream, à Londres, le groupe est entré en studio en 1968 pour enregistrer un premier album et cet opus mettait en vedette un invité de marque, le musicien de Jazz Bob Downes au saxophone, à la flûte, et aux percussions, et Wilgar Campbell à la batterie sur la piste "Felix".
Le nom de Bob Downes dira peut être quelque chose aux amateurs de Jazz (voir son fabuleux album "Electric city" paru en 1970; il collabora aussi, entre autres, avec Alex Harvey, Julie Driscoll, Manfred Mann...).

Ce premier travail intitulé "Love and Poetry" sort quelques mois plus tard, en 1969 sur le label CBS avec toutes les chansons écrites par Dave Lewis avant son 18ième anniversaire.
On découvre alors que, pendant la période de la fin des années 60 et du début des années 70, la chaleur psychédélique et l'élégance mélodieuse du Rock Britannique sont en train de fusionner pour créer un monument, et cet album a été par la suite hautement évalué comme un chef-d'œuvre du Psyché Britannique. Cet opus symbolise, à lui-seul, ce que représente ce genre musical.
L'album est d'ailleurs aujourd'hui reconnu comme l'un des meilleurs albums de rock psychédélique de l'ère psychédélique originale. Il figure dans le 'Top 100 British Psychedelic Records' du Record Collector des années 1960.

Au vu de la pochette et du nom de l’album "Love & Poetry", il n'y a guère de doute à avoir, car on se retrouve patfaitement en plein Flower Power, bien sûr pas à San Francisco mais dans la London Town.
L'auditeur peut passer allègrement de ballades acoustiques au rock garage, d’harmonies pop superbes à des délires psyché/acide, et c'est un album au climat parfaitement varié où brille de mille feux Lewis au chant mais aussi à l'orgue et à la guitare qui se fait parfois Hendrixienne.

"Love and Poetry" capture le moment crucial, juste avant que l'abandon abstrait du Psyché ne se transforme en la prévisibilité dominante du Rock Progressif. Composé entièrement de chansons de Dave Lewis, l'album évoque l'atmosphère grisante de la fin des années 60 avec des thèmes utopiques drogués et une expérimentation musicale toute innocente.
Le Hard Rock Psyché avec un travail de guitare boursouflant est mélangé à des thèmes Pop contemporains, le tout étant donné avec une dose libérale d'effets de percussions exotiques, de flûte et de guitare acoustique. Le mélange fonctionne à la perfection et avec l'ajout de peut-être l'un des meilleurs modèles de pochettes psychédéliques de l'époque, l'ensemble du paquet déborde de classe.

L'album s'ouvre sur l'un des meilleurs morceaux de l'album, "The Days Grew Longer For Love", qui comme la plupart des morceaux est lente et mélodique mais avec des passages de guitare sauvage.
Suit "Sunday" qui est la composition psychédélique la plus Heavy avec une guitare omniprésente et inspirée. C'est une superbe tranche de Rock Psychédélique avec un travail de guitare influencé par Hendrix.
Le merveilleux "Lost a Number, Found a King" est introduit lentement par plusieurs flûtes, avant qu'une guitare champêtre et l'orgue prennent la suite avec le chant.
Le joli Rock Psyché "Man Without a Name" est un morceau qui semble être inspiré par le Folk Anglais.
Introduit par un saxo, une guitaxe sèche et un orgue, "Clockwork Man" est une chanson guillerette pleine de gaieté, certainement inspirée par the Beatles
Inspirée par the Doors, "Cocaine" s'oriente quelque peu en direction d'un Rock plus ou moins Progressif avec beaucoup d'orgue et de guitare jazzy. Le riff est littéralement pompé sur "I Can't Keep From Crying Sometimes" de Al Kooper plus connu en Europe grâce à la version de Ten Years After.
La chanson qui suit, "Shades of Gray", est un morceau Psyché bourrée de guitares.
"High on a Mountain" est une chanson uptempo jouée et chantée à la manière du Donovan de ces années-là.
"Andwella" est une chanson Psyché introduite par un orgue et une guitare électrique semblant être inspirée par le folklore Anglais
introduction bande à l'envers, guitare sèche, basse et orgue pour "Midday Sun", un morceau qui pourrait être un croisement entre Procol Harum, the Byrds, et Bob Dylan.
L'influence Paul Mc Cartney sur"Take My Road" est manifeste avec l'intro piano, et le chant et les arrangement de cordes, le clavecin, et le violon font penser à the Moody Blues.
La façon dont est introduite le chanson suivante, "Felix", avec orgue, chant, et orgue fait immédiatement penser à Procol Harum. A noter l'usage de la réverbération qui fait ressortir un peu plus le côté psychédélique.
Le morceau de clôture, "Goodbye", est une chanson simple slowtempo enjouée avec guitare séche et chant.

L 'album n'a pas obtenu une large reconnaissance à l'époque et il n'a pas réussi à bien se vendre, mais comme dit plus haut, il figure aujourd'hui dans le 'Record Collector 's Book: 100 Greatest Psychedelic Records'.

La même année, CBS a sorti trois singles de l'album. "Mr. Sunshine / Shades Of Grey", "Sunday / Mrs. Man" et "Mrs. Man / Felix".
Pour les fans du groupe, il faut se procurer la réédition Sunbeam Records qui, outre les 13 titres originaux, propose 8 titres en plus (4 singles non édités en albums, 2 prises alternatives et 2 inédits).

A noter que cet album a inspiré son nom à une des plus remarquable série de CDs sur les années psyché, les "Love peace & Poetry"du label Allemand QDK media et Andwella figure sur le volume 5 consacré à l'Angleterre avec le titre "Felix" tiré de cet album.

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Pendant cette période, David Lewis a également fait un pressage privé de 500 exemplaires d'un album solo promotionnel en 1969 intitulé "The Songs of David Lewis" sur le label Axe qui n'a jamais été destiné à une sortie générale, c'était simplement un véhicule pour présenter ses chansons.

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Puis en 1970, David Lewis a écrit la musique pour "Goodbye Dave" du poète David Baxter, sur lequel il était soutenu par Andwellas Dream et il a produit l'album.

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Avec l'ajout de Dave McDougall au piano, à l'orgue et au chant, Andwellas Dream a ensuite été renommé Andwella.

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CBS les a ensuite fait passés à Reflection Records, une nouvelle série publiée par CBS Records (qui abritera plus tard Steamhammer et Dogfeet) pour enregistrer un nouvel album, le premier sous le nom d'Andwella.

Alors que l'on sent le groupe progresser en maturité, malheureusement, avec le changement de nom, une grande partie de son originalité semble avoir été perdue.
En effet, la première chose que l'on remarque à l'écoute, c'est que Andwella a changé de style musical; fini le Flower Power et la musique Psychédélique.
Le groupe propose en remplacement du Rythm'n'Blues, du Blues et du Rock et "World's End" a, malgré tout, ses excellents moments avec les flûtes toujours présentes qui ajoutent une certaine saveur musicale et l'orgue qui ajoute quelques bribes de Rock Progressif.

Il a des Rocks et des chansons plus douces: C'est un mélange quelque peu diversifié de Soft Rock parfois assez Hard, qui n'est clairement pas du tout dans la droite ligne de leurs débuts.
Mais "World's End" est, cependant, un très bon album avec un bon son, des arrangements magnifiques et une riche instrumentation qui le rendent pratiquement inimitable.
Et toutes les chansons sont jouées au sommet de la musicalité et, le plus important, malgré sa diversité musicale, l'ensemble de la collection est tout à fait cohérent.
David Lewis a écrit toutes les chansons à l'exception du "World's End Theme Part 1", qui a été écrit et arrangé par Bobby Scott, le compositeur de "He Ain't Heavy It's My Brother" et "Taste of Honey".

Le morceau d'ouverture qui fait un peu penser aux Rolling Stones (les percussions de "Sympathy For the Devil") , "Hold On To Your Mind", annonce tout de suite la couleur. Les percussions, le piano, et le chant introduisent ce morceau de Rythm'n'Blues très rythmé qui montre que la qualité est toujours là!
"Lady Love" joliment introduit par le piano, la basse et le chant est une superbe ballade dans le style des Beatles, mais avec des cuivres façon Chicago.
L'instrumental "Michael Fitzhenry" très mélodique avec flûte et lead guitare semble être une sorte d'hommage à leur ingénieur du son.
Le morceau suivant, "I'm Just Happy To See You Get Her", sonne comme Paul Mc Cartney et the Beatles (ou Wings) avec les arrangements de cordes.
Jolie introduction de la batterie pour "Just How Long" un Rock entrainant avec une bonne lead guitare.
La chanson-titre, "World's End Part I" et "Part II", est une grandiose suite symphonique avec intro cordes, instruments à vent et grand orchestre.
Vient ensuite "Back On The Road" qui fait penser à the Band avec son intro piano batterie midtempo et son chant, mais, en même temps, Procol Harum n'est pas loin!
"I Got A Woman" est une chanson rythmée bluesy à la Peter Green's Fleetwood Mc avec, en prime, un joli solo de flûte.
Suit "Reason For Living" qui est une ballade lente très 'beatlessienne' avec trompette, guitare et changement de tempo.
Enfin, pour finir, le piano et la batterie jouent un rythme à la "Come Together" en introduction d'ue sorte de Rythm'n'Blues intitulé "Shadow Of The Night". Pas le meilleur morceau!

Si certains morceaux font penser à d'autres groupes de l'époque, Andwella ne fait, en aucun cas, de plagiat; c'est plus joué 'à la manière de'!
Le disque s'est vendu de façon honorable, ce qui a permis à Andwella de pouvoir enregistrer un autre album, toujours sur Reflection Records.

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Pour ce faire, Dave Struthers a remplacé Nigel Smith à la basse et Jack McCullock s'est join au groupe comme batteur.
Cette nouvelle formation a donc enregistré un dernier album intitulé "People's People", toujours en 1971.

Bien que cet effort ne soit pas tout à fait à la hauteur de l'album précédent, il n'est pas si mauvais que bien des gens le disent.
Tout d'abord, et essentiellement, c'est encore différent sur le plan stylistique... le psyché et les tendances prog ont entièrement disparu, mais ce disque a un certain charme et il rappelle étrangement le groupe The Band.

"People's People" est un album lyrique plein de chansons qui créent des sentiments chaleureux et l'instrumentation est bonne et agréable bien qu'il n'y ait rien de bien original dans les mélodies.
Ce n'est certes pas un travail d'innovation. C'est juste la combinaison d'une bonne écriture de chansons, d'un accompagnement simple mais bien organisé et d'un chant chaleureux et plutôt émouvant.

Très décevant par rapport au "Love and Poetry" d'Andwella's Dream. Et pas vraiment à la hauteur de la version précédente "World's End", mais du Soft Rock à saveur Country / Roots standard.
C'est juste simple et dépourvu de toute véritable personnalité. Dommage car il y a du talent de compositeur basé sur le passé de Lewis qui a plutôt visiblement visé les Charts grand public mais en faisant cela, il semble avoir perdu toute personnalité.

Que dire sur les chansons elles-mêmes?
Elles semblent toutes, plus ou moins, avoir été influencées par le groupe de Bob Dylan, The Band.
Et aucune ne sort du lot!
Si cet album avait été fait par un groupe différent, beaucoup de gens auraient pu l'aimer comme tel.

Ceci posé, "People's People", la dernière œuvre du groupe fut très populaire auprès des fans de Rock Britannique en tant que chef-d'œuvre de British Swamp, ce qui se respecte...

Après quoi, le groupe a rompu en 1972.

Après la séparation d'Andwella, Lewis a poursuivi une carrière solo en tant qu'auteur-compositeur-interprète.
En Mai 1975, il a soutenu Don McLean lors d'un concert à Hyde Park à Londres devant un public de 85 000 personnes.
Cette même année, il a également fait une tournée avec Fairport Convention en jouant devant un public emballé partout au Royaume-Uni.
En 1975, Dave a également écrit une chanson à succès pour Demis Roussos; "Happy To Be on a Island in the Sun", la chanson a atteint le n° 1 dans toute l'Europe et est devenue platine.
Lewis a également sorti deux albums solo, "From Time to Time (en 1976) coproduit par Chris Rainbow qui a également fait des chœurs et conçu par Steve Lillywhite, et "A Collection of Short Dreams" (en 1978).
Vers cette époque, Lewis a formé le Dave Lewis Band, d'abord avec la formation de Felix Krish (basse), Dave Rose (claviers) et Preston Heyman (batterie), puis celle-ci a ensuite changé pour Rob Townsend (batterie), Charlie McCracken (basse) et Derek Beauchemin (claviers).
Dans les années 1980, Lewis a pris un congé sabbatique après avoir joué et tourné et il est parti en voyage.
A son retour à Londres, il s'est réinventé en tant que chanteur-pianiste après avoir remporté un concours organisé par le London Evening Standard pour trouver un artiste résident pour le nouveau West End, restaurant et bar à cocktails Smollensky's Balloon. Il a ensuite joué pendant plus de 14 ans chez Smollensky's Balloon et Smollensky's on the Strand.
Ces dernières années, Lewis a joué dans des salles du monde entier, notamment en Irlande, en Espagne, dans les Caraïbes et au Japon, où il a une base de fans de longue date qui remonte à ses jours avec Andwella.
En 2004, Lewis s'est produit lors de deux concerts Japonais organisés par Vinyl Japan au Club 251 à Tokyo avec un groupe spécialement créé "Tokyo Andwella" (dirigé par le musicien Koji Wakui). Le groupe a passé des semaines à se préparer et a joué devant un public bondé.
En 2005, l'une des chansons de Lewis "Whole Lotta Something Goin On" (jouée par le saxophoniste Raphael Ravenscroft) a été échantillonnée sur un Hit n° 1 du rap Américain "Feel It in the Air" de Beanie Sigel.
Plus tard dans la même année, une rencontre fortuite avec Van Morrison a conduit Dave à se produire sur l'album "Magic Time" de Morrison en 2005.
Lewis a également ouvert un spectacle pour Morrison à Belfast au Ulster Hall la même année.
Lewis continue d'écrire des chansons et peut actuellement être vu dans des salles à Londres.

Discographie:

Andwellas Dream:

Love and Poetry (LP, CBS 1969)

Andwella:

World's End (LP, Reflection Records 1970)
People's People (LP, Reflection 1971)

Sources: wikipedia, ROCKIN-JL
Modifié en dernier par alcat01 le dim. 26 avr. 2020 17:51, modifié 25 fois.

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Christang 29
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Re: ANDWELLAS DREAM / ANDWELLA (Bio)

Message par Christang 29 » lun. 20 avr. 2020 16:30

Groupe inconnu pour moi .
Qu'il est doux de ne rien faire quand tout s'agite autour de vous

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Re: ANDWELLAS DREAM / ANDWELLA (Bio)

Message par alcat01 » lun. 20 avr. 2020 18:20

Christang 29 a écrit :
lun. 20 avr. 2020 16:30
Groupe inconnu pour moi .
Si tu aimes le Psyché, il devrait te plaire!

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Pablitta
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Re: ANDWELLAS DREAM / ANDWELLA (Bio)

Message par Pablitta » mar. 21 avr. 2020 16:40

Intéressée par ta description, Alain, j'ai un peu fouillé.

Je suis tombé sur l'album que tu vas peut-être bientôt évoquer : World's End. Belle pochette, soit dit en passant.

C'est carrément très bien.



Par contre, pas compris qui est Michael Fitzhenri. Mais attendons ta suite de l'histoire !

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Re: ANDWELLAS DREAM / ANDWELLA (Bio)

Message par alcat01 » mar. 21 avr. 2020 17:10

Pablitta a écrit :
mar. 21 avr. 2020 16:40
Intéressée par ta description, Alain, j'ai un peu fouillé.

Je suis tombé sur l'album que tu vas peut-être bientôt évoquer : World's End. Belle pochette, soit dit en passant.

C'est carrément très bien.



Par contre, pas compris qui est Michael Fitzhenri. Mais attendons ta suite de l'histoire !
Ce n'est que le titre du morceau en écoute.
C'est le troisième titre de l'album "World's End"....

Je viens de m'apercevoir que c'est le nom d'un de leurs ingénieurs du son!

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Re: ANDWELLAS DREAM / ANDWELLA (Bio)

Message par Pablitta » jeu. 23 avr. 2020 14:44

alcat01 a écrit :
mar. 21 avr. 2020 17:10
Pablitta a écrit :
mar. 21 avr. 2020 16:40
Intéressée par ta description, Alain, j'ai un peu fouillé.

Je suis tombé sur l'album que tu vas peut-être bientôt évoquer : World's End. Belle pochette, soit dit en passant.

C'est carrément très bien.
Par contre, pas compris qui est Michael Fitzhenri. Mais attendons ta suite de l'histoire !
Ce n'est que le titre du morceau en écoute.
C'est le troisième titre de l'album "World's End"....
Ah mais oui, bien sûr ! :lunetz:
alcat01 a écrit :
mar. 21 avr. 2020 17:10
Je viens de m'apercevoir que c'est le nom d'un de leurs ingénieurs du son!
Oh ?

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Echoes
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Re: ANDWELLAS DREAM / ANDWELLA (Bio)

Message par Echoes » jeu. 23 avr. 2020 15:34

Excellent album, il tourne régulièrement ici, ambiance délicieuse :super:
« Je peux ne pas croire en moi mais je crois en ce que je fais »
Jimmy Page

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