Ac/dc
- Faine Jade
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Re: Ac/dc
Angus n'a jamais enregistré d'album solo en 50 ans de carrière. Toujours fidèle à sa SG branchée directement dans son ampli, sans aucun effet (wha wha et autre).
C'est plutôt rare dans le monde du rock ce genre de constance non ?
C'est plutôt rare dans le monde du rock ce genre de constance non ?
« The Future Never Waits »
Re: Ac/dc
Apres c'est rare qu'un groupe tienne aussi longtemps sans que les membres principaux ne bouge pas trop. la plupart des groupes pètent au bout de 10 ans parfois moins.
Billy Gibbons a attendu tres longtemps avant de faire un album solo et parce que ZZ Top fait plus trop grand chose (2 albums depuis 20 ans). Lemmy a jamais versé dans l'album solo, au mieux il a joué avec les Head Cat a coté de motorhead. La plupart des groupes qui tiennent longtemps ans interruption c'est rare que les membres principaux qui sont la depuis longtemps sortent des trucs en solo. Ils le font quand le groupe se sépare ou qu'eux se barre ou alors 'exemple de Bill Gibbons
Et puis les albums solos de guitariste (j'imagine pas Angus chanté deja) qui sortent d'un groupe souvent faut quand meme reconnaitre que c'est pas terrible, c'est pas Jimmy Page et Brian May qui vont me contredire.
Billy Gibbons a attendu tres longtemps avant de faire un album solo et parce que ZZ Top fait plus trop grand chose (2 albums depuis 20 ans). Lemmy a jamais versé dans l'album solo, au mieux il a joué avec les Head Cat a coté de motorhead. La plupart des groupes qui tiennent longtemps ans interruption c'est rare que les membres principaux qui sont la depuis longtemps sortent des trucs en solo. Ils le font quand le groupe se sépare ou qu'eux se barre ou alors 'exemple de Bill Gibbons
Et puis les albums solos de guitariste (j'imagine pas Angus chanté deja) qui sortent d'un groupe souvent faut quand meme reconnaitre que c'est pas terrible, c'est pas Jimmy Page et Brian May qui vont me contredire.

- Faine Jade
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Re: Ac/dc
Ok mais Billy Gibbons, Lemmy, Jimmy Page et Brian May ont fait des enregistrements avec d'autres zicos, mais Angus aucun, jamais !!?
Personne ne l'invite, ou il refuse, timidité ? Ou bien il joue trop fort pour les autres !
N'a t-il jamais songé à faire un album de reprises de blues ou de rock n roll ? AC/DC lui suffit semble t-il.
Personne ne l'invite, ou il refuse, timidité ? Ou bien il joue trop fort pour les autres !

N'a t-il jamais songé à faire un album de reprises de blues ou de rock n roll ? AC/DC lui suffit semble t-il.
« The Future Never Waits »
Re: Ac/dc
Peut etre que personne veut de lui parce que son sons est trop ACDC et qu'il sait jouer que caFaine Jade a écrit : ↑ven. 27 nov. 2020 09:28
Personne ne l'invite, ou il refuse, timidité ? Ou bien il joue trop fort pour les autres !![]()
N'a t-il jamais songé à faire un album de reprises de blues ou de rock n roll ? AC/DC lui suffit semble t-il.

Il peut refuser pendant des années Steve Harris a refusé de jouer pour un autre groupe que Iron Maiden faisant une exception pour sa fille uniquement avant finalement de sortir deux albums "solos" tres tard et vraiment pas bons.
Apres la maison de disque a pu mettre le hola aussi en disant que un album solo d'Angus est moins vendeur qu'un album d'ACDC. Regarde Seventh Star de Black Sabbath, a la base ca devait etre un disque solo de Iommi mais la maison de disque a mis la pression et finalement c'est sorti sous le nom de Toni Iommi featuring Black Sabbath et les rééditions sont juste crédité a Black Sabbath.
- Faine Jade
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Re: Ac/dc
Ah oui, c'est très bon le bœuf Angus !

Les sensass silllons : https://leboncraignos.blogspot.com
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Re: Ac/dc
ouais, bof
Même en comptant le line-up classique 75-83 (que ce soit avec Bon ou Brian) il y a eu pas mal de changement (et d'allées et venues) avant et depuis.
Angus Young (lead guitar), Malcolm Young (rhythm guitar, bass, backing vocals, 1973-2014), Dave Evans (vocals, 1973-74), Colin Burgess (drums, 1973-74, 1975), Larry van Kriedt (bass, 1973-74, 1975), Peter Clack (drums, 1974-75), Rob Bailey (bass, 1974-75), Bon Scott (vocals, 1974-80), Phil Rudd (drums, 1975-83, 1994-2015, 2018-present), Mark Evans (bass, 1975-77), Cliff Williams (bass, backing vocals, 1977-2016, 2018-present), Brian Johnson (vocals, 1980-2016, 2018-present), Simon Wright (drums, 1983-89), Chris Slade (drums, 1989-94, 2015-16), Stevie Young (rhythm guitar, backing vocals, 2014-present)
En fait c'est des p'tits gars sortis de la classe ouvrière qui ont eu du bol que cela fonctionne (fort bien) pour eux et y sont restés accrochés (un peu comme un bébé à son hochet). Ils ont étés fidèles à eux-même, certes, mais n'ont pas eu le courage ou la curiosité de voir ailleurs ou essayer de faire autre chose. Par sur que Bon serait resté si longtemps, s'il n'avait pas disparu aussi tôt.
Pour moi, ajd, il y a un coté un peu guignol triste à voir Angus encore habillé en écolier.

Re: Ac/dc
Voilà ce que j'ai écrit concernant l'album pour daily rock . La flemme d'en dire plus
« C’est toujours la même chose. »
« Brian Johnson est vraiment un chanteur limité »
« Autant écouter les précédents ça coûte moins cher »
Voilà ce que l’on peut lire sur les forums, et entendre dans les conversations quand arrive la délicate question du dernier album d’AC/DC. Pourtant, depuis sa sortie, "Power Up" atteint le sommets des ventes un peu partout, et parvient même à glisser ses riffs sur plusieurs stations de radio. Alors qu’est-ce qui pousse tant de gens à acheter le dernier album d’un groupe jouant toujours les mêmes 2 ou 3 accords ?
Pour comprendre, il faut avoir entendu cette musique à 12-14 ans. A cet âge, vous ne cherchez pas une musique alambiquée, fine ou mélodieuse, mais une came assez forte pour vous faire oublier les tourments de l’adolescence. Alors vous tombez sur ce lutin en costume d’écolier, ce hard blues tendu comme un string de strip-teaseuse et vous comprenez enfin que le monde a de l’intérêt. Bien sûr, Bon Scott devient votre dieu, celui qui a écrit vos hymnes inoubliables, des leçons de vie aussi essentielles que "Dog Eat Dog" ou "Problem Child".
La période précédent "Highway to Hell" fût la plus puissante de cette époque, pour la simple et bonne raison que le groupe bénéficiait de la production la plus dépouillée possible. Vanda et Young ont vite compris qu’AC/DC était une bête qu’il ne fallait pas enfermer, alors ils se sont contentés de faire tourner les bandes pendant que le groupe jouait. Puis vint "Highway to Hell" et sa production plus soignée, qui figeait la musique du groupe dans une formule bien rodée.
AC/DC ne cherchait pas l’innovation, il se contentait de varier les tempos, ses deux ou trois accords lui offrant des possibilités presque illimitées. Même à leurs débuts, Bon Scott n’a su s’éloigner de leur schéma sacrée que le temps d’un "It’s a Long Way to the Top (If Wou Wanna Rock n Roll), et deux ou trois autres friandises mélodiques ou plus lascives. Après son départ, Brian Johnson a obligé les frères Young à se fixer sur une formule sécurisante. Dans un premiers temps, le riff vous rentre dedans comme un train lancé à pleine vitesse, Brian Johnson braille ensuite ses premiers cris de guerre, qui débouchent sur des cœurs vindicatifs, explosant dans un solo cours mais cinglant.
C’était simple, direct, accroché au blues comme un morpion à son testicule, c’était la base du vrai truc. Cela fait plus de trente ans que les australiens secouent l’héritage du vieux Chuck Berry comme des dingues, et ce n’est pas Airbourne qui parviendra à les éclipser. Voilà où se situe le génie d’ACDC, personne ne sait jouer leur truc mieux qu’eux. Ils sont au blues ce que les Ramones furent au punk, des sauvages méprisés mais inégalables, et cette énergie sera enterrée avec eux. Alors on met ce disque dans le lecteur en se disant que, cette fois, on ne se fera pas avoir, qu’on est trop intelligent pour encore s’enthousiasmer face à un truc aussi primaire.
Et puis ce bon vieux hard blues vous prend encore par les tripes, on se souvient des heures passées à écouter "Balbreaker", "Back in Black", et bien sûr "Highway to Hell", le casque suivant difficilement notre tête battant la mesure. Alors oui, c’est toujours la même chose, ce n’est pas très artistique, on ne peut même pas appeler ça un chef d’œuvre.
AC/DC a pris le Rock n Roll dans ce qu’il a de plus littéral, il est revenu à la simplicité irrésistible de son idole Chuck Berry. Et, après tant d’années, il continue à dire merde à tous ceux qui voudraient le voir évoluer. Fuck it ! Après tous ce n’est que du Rock n Roll ! Et c’est déjà beaucoup.

« C’est toujours la même chose. »
« Brian Johnson est vraiment un chanteur limité »
« Autant écouter les précédents ça coûte moins cher »
Voilà ce que l’on peut lire sur les forums, et entendre dans les conversations quand arrive la délicate question du dernier album d’AC/DC. Pourtant, depuis sa sortie, "Power Up" atteint le sommets des ventes un peu partout, et parvient même à glisser ses riffs sur plusieurs stations de radio. Alors qu’est-ce qui pousse tant de gens à acheter le dernier album d’un groupe jouant toujours les mêmes 2 ou 3 accords ?
Pour comprendre, il faut avoir entendu cette musique à 12-14 ans. A cet âge, vous ne cherchez pas une musique alambiquée, fine ou mélodieuse, mais une came assez forte pour vous faire oublier les tourments de l’adolescence. Alors vous tombez sur ce lutin en costume d’écolier, ce hard blues tendu comme un string de strip-teaseuse et vous comprenez enfin que le monde a de l’intérêt. Bien sûr, Bon Scott devient votre dieu, celui qui a écrit vos hymnes inoubliables, des leçons de vie aussi essentielles que "Dog Eat Dog" ou "Problem Child".
La période précédent "Highway to Hell" fût la plus puissante de cette époque, pour la simple et bonne raison que le groupe bénéficiait de la production la plus dépouillée possible. Vanda et Young ont vite compris qu’AC/DC était une bête qu’il ne fallait pas enfermer, alors ils se sont contentés de faire tourner les bandes pendant que le groupe jouait. Puis vint "Highway to Hell" et sa production plus soignée, qui figeait la musique du groupe dans une formule bien rodée.
AC/DC ne cherchait pas l’innovation, il se contentait de varier les tempos, ses deux ou trois accords lui offrant des possibilités presque illimitées. Même à leurs débuts, Bon Scott n’a su s’éloigner de leur schéma sacrée que le temps d’un "It’s a Long Way to the Top (If Wou Wanna Rock n Roll), et deux ou trois autres friandises mélodiques ou plus lascives. Après son départ, Brian Johnson a obligé les frères Young à se fixer sur une formule sécurisante. Dans un premiers temps, le riff vous rentre dedans comme un train lancé à pleine vitesse, Brian Johnson braille ensuite ses premiers cris de guerre, qui débouchent sur des cœurs vindicatifs, explosant dans un solo cours mais cinglant.
C’était simple, direct, accroché au blues comme un morpion à son testicule, c’était la base du vrai truc. Cela fait plus de trente ans que les australiens secouent l’héritage du vieux Chuck Berry comme des dingues, et ce n’est pas Airbourne qui parviendra à les éclipser. Voilà où se situe le génie d’ACDC, personne ne sait jouer leur truc mieux qu’eux. Ils sont au blues ce que les Ramones furent au punk, des sauvages méprisés mais inégalables, et cette énergie sera enterrée avec eux. Alors on met ce disque dans le lecteur en se disant que, cette fois, on ne se fera pas avoir, qu’on est trop intelligent pour encore s’enthousiasmer face à un truc aussi primaire.
Et puis ce bon vieux hard blues vous prend encore par les tripes, on se souvient des heures passées à écouter "Balbreaker", "Back in Black", et bien sûr "Highway to Hell", le casque suivant difficilement notre tête battant la mesure. Alors oui, c’est toujours la même chose, ce n’est pas très artistique, on ne peut même pas appeler ça un chef d’œuvre.
AC/DC a pris le Rock n Roll dans ce qu’il a de plus littéral, il est revenu à la simplicité irrésistible de son idole Chuck Berry. Et, après tant d’années, il continue à dire merde à tous ceux qui voudraient le voir évoluer. Fuck it ! Après tous ce n’est que du Rock n Roll ! Et c’est déjà beaucoup.
Re: Ac/dc
je l'ai aussi cette box. Achetée à sa sortie. Un must pour les fans du groupehexbreaker a écrit : ↑ven. 11 oct. 2019 16:23
En attendant un nouvel album ... ,j'écoute souvent ces bandes des débuts du groupe: de la dynamite audio !
Re: Ac/dc
Je sais plus quel membre d'ACDC déclarait que les probs se déclarent au sein d'un groupe quand il est en pause/à l'arrêt; je confirme... tant que ça tourne, ça tourne... c'est durant les "stops" que ça gamberge. Donc, des groupes qui ont (eu) un rythme soutenu ont moins de chance de s'étioler.nunu a écrit : ↑ven. 27 nov. 2020 08:43Apres c'est rare qu'un groupe tienne aussi longtemps sans que les membres principaux ne bouge pas trop. la plupart des groupes pètent au bout de 10 ans parfois moins.
Billy Gibbons a attendu tres longtemps avant de faire un album solo et parce que ZZ Top fait plus trop grand chose (2 albums depuis 20 ans). Lemmy a jamais versé dans l'album solo, au mieux il a joué avec les Head Cat a coté de motorhead. La plupart des groupes qui tiennent longtemps ans interruption c'est rare que les membres principaux qui sont la depuis longtemps sortent des trucs en solo. Ils le font quand le groupe se sépare ou qu'eux se barre ou alors 'exemple de Bill Gibbons
Et puis les albums solos de guitariste (j'imagine pas Angus chanté deja) qui sortent d'un groupe souvent faut quand meme reconnaitre que c'est pas terrible, c'est pas Jimmy Page et Brian May qui vont me contredire.![]()
Quand le Top a signé son 1er contrat avec Bill Ham (en exclusivité), le producteur a bien pris soin d'exiger de chaque membre du groupe qu'il se dédie EXCLUSIVEMENT à ZZTop.
Tout à fait d'ac!! en "rock", c'est la paire* chanteur/guitariste qui peut faire mouche au niveau compos/son/originalité/...
*le rock, d'une façon générale, c'est essentiellement une histoire de paires

Re: Ac/dc
De ce que j'ai vu dans les reportages : ça fait peur !
C'est comme Status quo ou les Stones.
Au moins Aerosmith ont définitivement jeté l'éponge. Par K.O. technique ok.
Un demi-siècle de gloire rock, c'est pas mal, non ?

C'est comme Status quo ou les Stones.
Au moins Aerosmith ont définitivement jeté l'éponge. Par K.O. technique ok.

Un demi-siècle de gloire rock, c'est pas mal, non ?
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
- gabuzomeuzomeu
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Re: Ac/dc
J'avais piscine et Festival DARC à Châteauroux dans l'Indre du Sar Rabinhdrana Duval !
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
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Re: Ac/dc
gabuzomeuzomeu a écrit : ↑jeu. 15 août 2024 10:14J'avais piscine et Festival DARC à Châteauroux dans l'Indre du Sar Rabinhdrana Duval !



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