Le prog italien
Re: Le prog italien
Enfin obtenu et très vite lu le livre consacré à Patrick Djivas (le bassiste du 1er Area et celui de PFM à partir du 3ème album)
Comme je l'espèrais bien, à travers ce livre, c'est une grosse tranche d'histoire musicale à laquelle on a droit....
De la galère/bohême (ça dépend des points de vue...) entre Nice-Paris-Milan aux concerts barnumesques de la PFM aux USA en passant par la création d'Area, on a bel et bien affaire à une vie bien remplie (qui ne s'arrête pas à la PFM... surpriseS surprises...).
Des anecdotes qui valent vraiment le détour (Zappa, le 1er saxo d'Area, ...), des précisions techniques pour les zicos, ... mais peut être plus fondamental encore (même si ce sont les "détails" qui font la chair du corps...), des considérations du Maître sur la musique en général (et la compo de jingles/ indicatifs en particulier ..)
Un bien beau portrait d'un VRAI musicien, à une époque où beaucoup de choses n'étaient découvrables qu'à travers l'expérimentation ou le bouche à oreille...
Un must have pour les nostalgiques de l'époque la plus ébourrifante de l'histoire du rock.
Comme je l'espèrais bien, à travers ce livre, c'est une grosse tranche d'histoire musicale à laquelle on a droit....
De la galère/bohême (ça dépend des points de vue...) entre Nice-Paris-Milan aux concerts barnumesques de la PFM aux USA en passant par la création d'Area, on a bel et bien affaire à une vie bien remplie (qui ne s'arrête pas à la PFM... surpriseS surprises...).
Des anecdotes qui valent vraiment le détour (Zappa, le 1er saxo d'Area, ...), des précisions techniques pour les zicos, ... mais peut être plus fondamental encore (même si ce sont les "détails" qui font la chair du corps...), des considérations du Maître sur la musique en général (et la compo de jingles/ indicatifs en particulier ..)
Un bien beau portrait d'un VRAI musicien, à une époque où beaucoup de choses n'étaient découvrables qu'à travers l'expérimentation ou le bouche à oreille...
Un must have pour les nostalgiques de l'époque la plus ébourrifante de l'histoire du rock.
Re: Le prog italien
En voyant l'archive postée récente (...), je me suis dit, déjà : c'est de la came pour Jitoma.
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
Re: Le prog italien
Absolument ! Grazie mille !
J'ai vu passer ça dans mes notificazioni YouTube et j'ai fondu dessus comme la vérole sur le bas-clergé. Et je me suis dit oh-hoo, il va y en avoir d'autres !
Bon, ce n'est pas le morceau dont je suis le plus amateur chez eux, je trouve que leurs improvisations sont en général un peu, les Anglais ont un mot parfait pour ça, busy. Mais les mecs déboulaient sur le territoire américain à l'époque et devaient être blindés d'adrénaline (ou d'autre chose, peut-être), avec j'imagine le désir d'en mettre plein la vue.
Ces archives du Midnight Special sont décidément une pure mine d'or.
J'ai vu passer ça dans mes notificazioni YouTube et j'ai fondu dessus comme la vérole sur le bas-clergé. Et je me suis dit oh-hoo, il va y en avoir d'autres !
Bon, ce n'est pas le morceau dont je suis le plus amateur chez eux, je trouve que leurs improvisations sont en général un peu, les Anglais ont un mot parfait pour ça, busy. Mais les mecs déboulaient sur le territoire américain à l'époque et devaient être blindés d'adrénaline (ou d'autre chose, peut-être), avec j'imagine le désir d'en mettre plein la vue.
Ces archives du Midnight Special sont décidément une pure mine d'or.
Re: Le prog italien
Pile poil ce que je pensais en contemplant la prestation.
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
Re: Le prog italien
Tous les concerts de PFM, depuis le début, comprenaient des jams, et elles sont souvent inspirées mais là, format show télévisé oblige, ils sont obligés de faire plus condensé et concis, donc ils lâchent les chiens dès le départ, là où sur les versions habituelles, la tension prend son temps pour s'installer correctement et le rendu n'en est que plus cohérent. Là c'est chien fou, cane pazzo si je puis-dire, et ça en fait un peu il y en a un peu plus, je vous le mets quand même, tenez, prenez les trois tonnes, on n'en parle plus.
Mais c'est un reproche mineur, en définitive que j'aime ce groupe...
Re: Le prog italien
Area, Arbeit macht frei (1973)
Premier album du groupe. Jazz, rock, fusion. Engagé très à gauche. Je n’ai pas tous leurs disques, mais ceux que je connais sont toujours intéressants. Dans les années 70 on disait que c’était le Magma italien. Bon, c’est assez usurpé comme comparaison, ou alors on s'arrêtera au premier album de Magma, et encore. De toute façon, c’est suffisamment original et inouï pour que leur seule musique vaille un détour attentif.
Re: Le prog italien
Je pense que c'est surtout dû à leur caractère inclassable, ainsi qu'aux influences jazz et le chant de Demetrio Stratos qui n'a guère d'équivalent dans le domaine du rock que chez Christian Vander.
Découverte du jour :
Un album enregistré en 1974 mais publié seulement en 2013. Contrairement à ce que pourrait laisser penser la pochette et le nom du groupe, il ne s'agit pas de fusion sono mondiale et rock, c'est du rock progressif symphonique assez caractéristique de la scène de l'époque. Des morceaux aux constructions soignées, bien foutus et servis par des musiciens compétents, mais une production qui sonne relativement amateur. D'où peut-être la non-publication de ces bandes à l'époque.
Re: Le prog italien
Pas mal ce petit groupe. Effectivement dommage que ce ne soit qu'une auto-production avec des moyens limités mais belle découverte de grenier (Le disque de Sensitiva Immagine c'était déjà la même chose)...
Et comme je vois Museo dans un de leur titre, je ne peux m'empêcher de penser à Rosenbach avec un des grand classique du prog italien.
La musique de l'album est aussi belle que la pochette est moche...
Et comme je vois Museo dans un de leur titre, je ne peux m'empêcher de penser à Rosenbach avec un des grand classique du prog italien.
La musique de l'album est aussi belle que la pochette est moche...
Sauvegarde du patrimoine musical : Pour écouter et plus si affinité... http://memorhits.blogspot.fr/
Re: Le prog italien
Oui, le rapprochement avec Sensitiva Immagine n'est pas farfelu, quoique l'histoire est un peu différente (leur album E Tutto Cominciò Così... n'avait pas attendu aussi longtemps pour se voir publié). Excellent album, au passage.
L'album de Museo Rosenbach est une réalisation qui confine à la perfection dans le genre, qu'il s'agisse de l'écriture, de l'interprétation, de la production, honnêtement je ne trouve rien à y redire, et c'est l'un des albums que j'ai certes découvert sur le tard (les chroniques que j'en lisais m'attiraient moins que les descriptions d'autres albums dont les descriptions qui en étaient faites semblaient correspondre davantage à mes goûts, pour résumer, du genre de Per Un Amico de PFM) et qui m'a impressionné par la tension constante qu'il sait installer et maintenir du début à la toute fin. Et puis quel son énorme ils avaient, la vache. Pochette laide en revanche, tu as raison, et qui a prêté par ailleurs à de stériles et inutiles controverses qui n'ont pas été sans nuire à la carrière du groupe. Mais bon, titiller le mythe du surhomme et afficher la tronche du Duce sur une pochette, fut-ce à des fins critiques, dans l'Italie des 70s, forcément ça s'appelle chercher les emmerdes !
L'album de Museo Rosenbach est une réalisation qui confine à la perfection dans le genre, qu'il s'agisse de l'écriture, de l'interprétation, de la production, honnêtement je ne trouve rien à y redire, et c'est l'un des albums que j'ai certes découvert sur le tard (les chroniques que j'en lisais m'attiraient moins que les descriptions d'autres albums dont les descriptions qui en étaient faites semblaient correspondre davantage à mes goûts, pour résumer, du genre de Per Un Amico de PFM) et qui m'a impressionné par la tension constante qu'il sait installer et maintenir du début à la toute fin. Et puis quel son énorme ils avaient, la vache. Pochette laide en revanche, tu as raison, et qui a prêté par ailleurs à de stériles et inutiles controverses qui n'ont pas été sans nuire à la carrière du groupe. Mais bon, titiller le mythe du surhomme et afficher la tronche du Duce sur une pochette, fut-ce à des fins critiques, dans l'Italie des 70s, forcément ça s'appelle chercher les emmerdes !
Re: Le prog italien
Le super blog Verso La Stratosfera propose ces jours-ci l'intégrale du groupe j.e.t, à savoir leur unique (et excellent) album Fede Speranza Carità, assorti de tous leurs singles. Comme souvent, ces derniers taquinent des choses plutôt commerciales, alors que l'album est plus ambitieux. Il fait partie de mes favoris dans le genre, prog symphonique très heavy, avec une influence marquée de Vanilla Fudge dans les vocaux, et de très beaux développement instrumentaux.
A découvrir ou redécouvrir ici : http://verso-la-stratosfera.blogspot.co ... l-47.html
Il existe très peu de documents vidéo les concernant, à ma connaissance un seul, que l'on retrouve ici à 5'07'', enjoy !
Re: Le prog italien
Bel album en effet...
JET (avec l'adjonction du batteur de Museo Rosenbach!) deviendra ensuite Matia Bazar avec le succès que l'on connaît ("Solo tu" notamment).
Mais s'ils ont fait dans la variété sophistiquée, il reste quelques touches de prog par ci par là...
Pour preuve, leur live à la Télévision Suisse en 81 que j'avais proposé il y a quelques temps...
JET (avec l'adjonction du batteur de Museo Rosenbach!) deviendra ensuite Matia Bazar avec le succès que l'on connaît ("Solo tu" notamment).
Mais s'ils ont fait dans la variété sophistiquée, il reste quelques touches de prog par ci par là...
Pour preuve, leur live à la Télévision Suisse en 81 que j'avais proposé il y a quelques temps...
Sauvegarde du patrimoine musical : Pour écouter et plus si affinité... http://memorhits.blogspot.fr/
Re: Le prog italien
Oui, effectivement, Matia Bazar, je ne connais que de nom, je n'ai jamais écouté. C'est comment par rapport à j.e.t ?
Re: Le prog italien
Y'a à boire et à manger...
C'est plutôt pop (pour ce que je connais) avec quelques fulgurances avec la chanteuse que me fait penser à Annie Haslam de Renaissance...
Mais je pense qu'ils étaient meilleurs en live que sur disque (Plus libre peut-être). La preuve avec cet autre concert enregistré pour la RAI en 1980.
C'est du prog pur jus... Dès l'intro tu t'en rendras vite compte...
Sauvegarde du patrimoine musical : Pour écouter et plus si affinité... http://memorhits.blogspot.fr/
Re: Le prog italien
C'est bien ce qu'il me semblait avoir lu, mais je vais me faire une idée par moi-même, merci pour le lien !
Re: Le prog italien
Bon, quand je disais, va y en avoir d'autres, dans le mille Emille, grazie mille !
Impeccable, il manque juste à la fin la citation du riff de The World Became The World (Impressioni Di Settembre), souvent enchaînée en concert, et qui avait un rendu parfait. Nom de d'là, j'a-do-re ce groupe.
Re: Le prog italien
Très tôt (encore un an et c'est le demi-siècle), la pochette de Cook m'avait fortement intrigué :
qu'est-ce que ça peut être comme style de zike ?
Je n'avais jamais entendu parler de PFM par qui que ce soit, à part deux potes vraiment branchés sur le prog. Et encore ! Personne n'avait un seul album. Des albums chroniqués dans la presse idoine, quand même. Leurs zeuvres ne devaient pas courir les bacs. C'est dans les années 80, que je me suis décidé à mettre la main sur un exemplaire deuxième main. Mais, j'avoue que je ne me suis pas intéressé davantage à PFM, avant que de trouver les albums sur le Ouaibe.
Comme pour beaucoup d'autres groupes et artistes, d'ailleurs (Straits).
qu'est-ce que ça peut être comme style de zike ?
Je n'avais jamais entendu parler de PFM par qui que ce soit, à part deux potes vraiment branchés sur le prog. Et encore ! Personne n'avait un seul album. Des albums chroniqués dans la presse idoine, quand même. Leurs zeuvres ne devaient pas courir les bacs. C'est dans les années 80, que je me suis décidé à mettre la main sur un exemplaire deuxième main. Mais, j'avoue que je ne me suis pas intéressé davantage à PFM, avant que de trouver les albums sur le Ouaibe.
Comme pour beaucoup d'autres groupes et artistes, d'ailleurs (Straits).
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
Re: Le prog italien
Je ne peux pas vraiment mesurer de quelle exposition ils bénéficiaient en France back in the day. Dans mes repères c'est largement faussé par le fait que c'était très familier chez moi, puisque mes parents possédaient un exemplaire de Photos Of Ghosts, qui faisait partie des albums marquants pour eux dans les 70s. Mon père y avait été initié par Jérôme Lavigne, le clavier de Satan, qui était très à la pointe des nouvelles tendances, et particulièrement branché par tout le courant prog-symphonique, qui n'était pas sans influencer ce qu'il apportait à son propre groupe dans ses contributions instrumentales (c'est particulièrement évident sur plusieurs morceaux de l'album de Satan).
Je peux supposer que la distribution en Europe via le label Manticore des trois affreux, a dû aider à mieux connaître PFM à partir de Photos Of Ghosts et Banco dès son quatrième album, en anglais. Mais pour le reste de la scène italienne, à moins d'avoir des copains sur place ou bien de faire des voyages d'études derrière les Alpes, ça ne devait pas être évident à connaître.
Quand j'étais au lycée, dès la seconde j'ai fait la connaissance de l'un de mes meilleurs amis via une petite annonce dans les couloirs du bahut (cherche musiciens pour jouer du Zappa et moins si affinités), son père était né à Pise et avait atterri en France à la fin des 60s. Il avait été entre autres DJ dans plusieurs clubs manceaux et sarthois, et c'est lui qui m'a fait écouter Le Orme pour la première fois, en 1994 (j'avais seize ans). Il s'amusait de me voir tripper sur ELP, Magma, VDGG, Soft Machine, selon lui des trucs ultra casse-couilles à plus forte raison qu'il affectionnait surtout le jazz, de préférence cool. Donc un jour il me dit, ma, tu vas passer à quelque chose de big, big, big, tiens, emporte ça chez toi, et il me prête son exemplaire de Uomo Di Pezza. La gifle gigantesque dès la première écoute, tu imagines quand tu es fan de ELP et que tu en entends une version accessible et mélodique. J'ai plongé les deux pieds dedans, et bien entendu, dès que je trouvais un album enregistré ou sorti en Italie dans les 70s, je ne cherchais pas plus loin et faisais parfois l'impossible pour me le procurer. Et c'est le père de ce copain, à l'époque où il s'était reconverti dans la vente de disques, qui m'a vendu mon exemplaire de Cook, mais aussi Chocolate Kings, ainsi que des Garofano Rosso de Banco et Le Orme In Concerto. Il m'a aussi beaucoup parlé des New Trolls, je me souviens. Cela a été une expérience passionnante.
Je peux supposer que la distribution en Europe via le label Manticore des trois affreux, a dû aider à mieux connaître PFM à partir de Photos Of Ghosts et Banco dès son quatrième album, en anglais. Mais pour le reste de la scène italienne, à moins d'avoir des copains sur place ou bien de faire des voyages d'études derrière les Alpes, ça ne devait pas être évident à connaître.
Quand j'étais au lycée, dès la seconde j'ai fait la connaissance de l'un de mes meilleurs amis via une petite annonce dans les couloirs du bahut (cherche musiciens pour jouer du Zappa et moins si affinités), son père était né à Pise et avait atterri en France à la fin des 60s. Il avait été entre autres DJ dans plusieurs clubs manceaux et sarthois, et c'est lui qui m'a fait écouter Le Orme pour la première fois, en 1994 (j'avais seize ans). Il s'amusait de me voir tripper sur ELP, Magma, VDGG, Soft Machine, selon lui des trucs ultra casse-couilles à plus forte raison qu'il affectionnait surtout le jazz, de préférence cool. Donc un jour il me dit, ma, tu vas passer à quelque chose de big, big, big, tiens, emporte ça chez toi, et il me prête son exemplaire de Uomo Di Pezza. La gifle gigantesque dès la première écoute, tu imagines quand tu es fan de ELP et que tu en entends une version accessible et mélodique. J'ai plongé les deux pieds dedans, et bien entendu, dès que je trouvais un album enregistré ou sorti en Italie dans les 70s, je ne cherchais pas plus loin et faisais parfois l'impossible pour me le procurer. Et c'est le père de ce copain, à l'époque où il s'était reconverti dans la vente de disques, qui m'a vendu mon exemplaire de Cook, mais aussi Chocolate Kings, ainsi que des Garofano Rosso de Banco et Le Orme In Concerto. Il m'a aussi beaucoup parlé des New Trolls, je me souviens. Cela a été une expérience passionnante.
Re: Le prog italien
le clavier de Satan : d'où les vidéos. Il explique le son, les sons recherchés par le groupe, et difficile - pour moi déjà - de ne pas penser à Francis Décamps, avec ses sonorités de claviers, et la restitution d'un aspect "symphonique".
Tu nous en avais déjà parlé de Satan, il y a un bout de temps, non ? ou je gâtouille ?
Tu nous en avais déjà parlé de Satan, il y a un bout de temps, non ? ou je gâtouille ?
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
Re: Le prog italien
En effet, je me suis beaucoup intéressé à ce groupe et avais fait part de mes recherches à leur sujet, sur l'ancienne version du forum. Mes recherches n'ont pas abouti comme je l'espérais, elles sont restées en plan, et hormis un bout de bouquin jamais terminé de rédiger, quelques conférences données à l'université du Mans, une expo autour de la reformation one-shot de Ciel D'Eté (la mouture "bal" du groupe), il y a heureusement eu la parution de leur album en 2016.
https://gonzai.com/le-rock-francais-satan-lhabite/
Oui, il y a une similitude dans le son des claviers, bien que le matériel et les procédés soient différents (Francis Décamps était vraiment un sorcier du son). A l'époque du tournage par FR3 Le Mans, Jérôme ne disposait pas encore des instruments qui lui permettront d'établir réellement sa patte sonore telle qu'elle éclate sur l'album, à ce moment-là il tournait avec un orgue Farfisa, un orgue Vox, un pianet Hohner et quelques effets. Mais ça sonnait quand même pas mal. Et donc il trippait sur tout ce qui était prog, symphonique, et en particulier sur PFM, dont il était l'un des ambassadeurs les plus enthousiastes sur Le Mans. Je crois aussi que c'est lui qui a fait vendre pas mal d'exemplaires du premier album de Wallenstein par chez nous !
https://gonzai.com/le-rock-francais-satan-lhabite/
Oui, il y a une similitude dans le son des claviers, bien que le matériel et les procédés soient différents (Francis Décamps était vraiment un sorcier du son). A l'époque du tournage par FR3 Le Mans, Jérôme ne disposait pas encore des instruments qui lui permettront d'établir réellement sa patte sonore telle qu'elle éclate sur l'album, à ce moment-là il tournait avec un orgue Farfisa, un orgue Vox, un pianet Hohner et quelques effets. Mais ça sonnait quand même pas mal. Et donc il trippait sur tout ce qui était prog, symphonique, et en particulier sur PFM, dont il était l'un des ambassadeurs les plus enthousiastes sur Le Mans. Je crois aussi que c'est lui qui a fait vendre pas mal d'exemplaires du premier album de Wallenstein par chez nous !