Les films vus en salle ou chez vous
Re: Les films vus en salle
Caisse que je dois comprendre ? 2001 ou Ad Astra ?
https://www.franceculture.fr/emissions/ ... embre-2019
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Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
Re: Les films vus en salle
Que quand tu parles d'un film soporifique mais que tu mets les comparaisons 2001 ben tu te dit que le film concerne est forcément moins soporifique que 2001Algernon a écrit : ↑jeu. 26 sept. 2019 17:36Caisse que je dois comprendre ? 2001 ou Ad Astra ?
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- Unserious Sam
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Re: Les films vus en salle
Vu que j'ai du retard de sommeil, si Ad Astra est plus soporifique que 2001, je vais aller le voir. Car 2001, comme snorefest, ça se pose un peu là...
A partir d'un certain âge, si on vous donne 10 ans de moins, un conseil : prenez-les !.
Re: Les films vus en salle
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Modifié en dernier par Algernon le ven. 27 sept. 2019 06:01, modifié 1 fois.
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
Re: Les films vus en salle
Bon sinon rambo. C'est long a démarrer mais après il casse des gueule a l'ancienne, il fait des pièges, déglingue des mecs a la machette, au couperet de cuisine, au marteau. Pour un vieux de 73 ans il a de la ressource
- Olivier
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Re: Les films vus en salle
Après avoir vu la bande-annonce, j'aimerais bien aller voir Rambo!
Re: Les films vus en salle
Re: Les films vus en salle
Du spoil! Heureusement que t’as pas parlé de la scène finale, genre la phrase qui est dite plusieurs fois au cours du film et qu’on attend tous.
- Roulie
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Re: Les films vus en salle
Les scènes avec Di Caprio et Pitt sont celles qui marchent le mieux je trouve dans le film - le reste y'a des problèmes de rythme. Film que j'ai trouvé sympa mais plutôt divertissant qu'autre chose.hexbreaker a écrit : ↑sam. 21 sept. 2019 16:34Vu le dernier Tarantino, et j'ai passé un très bon moment. La paire Di Caprio / Pitt fonctionne parfaitement. Ils sont quasi cabotins.
Nostalgie de la fin des 60's, un autre monde, ...
Cela dit, "nostalgie des 60's", je suis pas d'accord. A part la musique, j'ai un peu la sensation que Tarantino déteste cette période. Ça se ressent dans le film en tous cas, encore plus avec son anti-hippisme. Et puis j'ai été quelque peu dérangé par la fin. Réecrire l'histoire pour se venger (un peu comme il l'avait fait dans Inglourious Basterds) de façon aussi grossière et outrancière, je trouve ça légèrement irrespectueux envers les victimes et ceux qui portent leur deuil - ou en tous cas, "de mauvais goût", comme le signalait le Canard.
Le 106 mars, le millième doudou vivant a été certifié par l'Office informel des enfants crédibles.
Alain Damasio
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Re: Les films vus en salle
Je me suis gavé avec ce film, vu 6 fois au cinoche, mon record. Sinon en coréen, as tu vu le gangster le flic et l’assassin? Déçu pour ma part car je m’attendais à un autre The Raid.Cooltrane a écrit : ↑jeu. 26 sept. 2019 15:18
Parasite (Corée): Deux familles, que tout oppose, se rencontrent via l'intermédiaire d'un prof privé d'anglais demandant de le remplacer à de ses un pote des quartiers défavorisés de Séoul (ce n'est pas précisé, mais on peut aisément l'imaginer) auprès d'une étudiante dans une famille dans les beaux quartiers (la baraque vaut le détour), le tout avec un diplôme bidon d'Oxford comme sésame. Du coup, avec ce pied dans la porte, la famille peu fréquentable va parasiter celle de la haute, en s'incrustant dans son quotidien, en faisant "sauter" les gens de maison en place à coup d'ignobles subterfuges. Peu à peu s'installent la sœur (en tant que psy du gamin bourgeois turbulent), puis le père (en tant que chauffeur du couple) et finalement la mère en gouvernante. Tout irait pour le mieux dans le meilleur des deux mondes, si un grain de sable ne venait enrayer la véritable machine à bonheur.
Le film est à la fois drôle (les inventions du père des parasites sont parfois hilarantes, mais aussi glaciales) et interpellant (socialement, en tout cas), changeant de voie (style) en cours de route et une fin fort surprenante. L’intrigue du film réserve d’innombrables et de délicieuses surprises, tant le scénario alterne suspense et humour, terreur et émotion avec une incontestable forfanterie (ne demandez pas trop de réalisme, SVP). La palme d'or de Cannes 2019 et pour une fois, ce choix ne pose aucune discussion, car le film est non seulement divertissant, mais aussi assez profond dans sa critique sociale, si on s'y arrête un instant. 9/10
Re: Les films vus en salle
Moi j'ai adoré, mais je savais a quoi m'attendre au vu des acteurs(le gangster est joué par le mec qui joue le gars dont la femme est enceinte dans Dernier train pour Busan). Et faire the Raid c'est vraiment pas leur genre aux Coréens, leur grosse production sont plus du polar, apres ils font de l'action mais c'est des prod plus petites.
Re: Les films vus en salle
En film Coréen je conseille aussi The Spy Gone North, sorti il y a un an ou deux. Par contre la pas d'action, un film d'espionnage
Sinon j'ai vu Bacurau, un film brésilien. Totalement un OVNI ce film.
Dans un futur proche, le petit village de Bacurau dans le Nordeste pleure la mort de sa doyenne qui avait 94 ans. Mais quand ils rencontrent des américains a moto disant faire des tourisme, il trouve qu'il y a du louche, a partir de la ca dégenere et on bascule vraiment dans un autre type de film, on sort du coté drame pour rentrer dans un thriller.
Alors ca met un peu de temps a démarrer, mais on reste quand même la a savoir ce qui va se passer. Et sous le coté film d'anticipation/action se cache en fait une critique de Bolsonaro qui veut faire du Nordeste, une région assez pauvre a la base et tres aride a l'intérieur des Terre dont Bolsonaro voulait a une époque faire une attraction pour les touristes
Sinon j'ai vu Bacurau, un film brésilien. Totalement un OVNI ce film.
Dans un futur proche, le petit village de Bacurau dans le Nordeste pleure la mort de sa doyenne qui avait 94 ans. Mais quand ils rencontrent des américains a moto disant faire des tourisme, il trouve qu'il y a du louche, a partir de la ca dégenere et on bascule vraiment dans un autre type de film, on sort du coté drame pour rentrer dans un thriller.
Alors ca met un peu de temps a démarrer, mais on reste quand même la a savoir ce qui va se passer. Et sous le coté film d'anticipation/action se cache en fait une critique de Bolsonaro qui veut faire du Nordeste, une région assez pauvre a la base et tres aride a l'intérieur des Terre dont Bolsonaro voulait a une époque faire une attraction pour les touristes
- Cooltrane
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Re: Les films vus en salle
j'ai l'intention de voir Bacurau ce w-e.
Re: Les films vus en salle
Cette semaine ca sera Atlantique pour moi. Surement demain du coup
- Cooltrane
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Re: Les films vus en salle
Je ne louperai pas le film Islandais Mjlok (C'est de celui qui a déjà fait Béliers - Rams)
Pour l'instant la patrie de Bjork à fait qqes films bien étonnant, surtout le Woman At War et le très déjanté Under The Tree et celui-ci promet d'être bien dans la lignée
Pour l'instant la patrie de Bjork à fait qqes films bien étonnant, surtout le Woman At War et le très déjanté Under The Tree et celui-ci promet d'être bien dans la lignée
- Cooltrane
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Re: Les films vus en salle
Double shot avec la compagne ce w-e
Son choix :
Alice et le Maire : Le maire de Lyon est un peu en fin de course et ne parvient plus à trouver de nouvelles idées, du coup, son entourage lui adjoint une ravissante adjointe, philosophe de formation. Une politique-fiction entre le très (inter)national Quai d’Orsay et l’ultra-local L’arbre, le maire et la médiathèque de Rohmer avec le même Lucchini. Malgré l’échelle de la ville (Lyon), on est plus proche du second cas, ne-fut-ce que par les propos/fondements & débats de gauche, mais aussi de la manière dont ceux-ci nous sont asséné. En fait, on est surtout terriblement content de ne pas se choper l’insupportable blonde (pourtant c’était son meilleur rôle), avantageusement remplacée par cette jolie brunette qui joue une introvertie.
On évite aussi les guimauveries d’une comédie romantique, car si le sujet est abordé au détour, ce n’est pas le propos (too bad pour toi, Fabrice), mais plutôt la politique politicarde, dada du réalisateur Nicolas Pariser (trois film sur quatre). Assez plaisant et amusant (même si Lucchini n’en fait pas des tonnes), mais on comprends que sa candidature à Cannes soit restée lettre morte. 7/10
Mon choix :
Bacurau : (Brésil) Dans le Nord-Est du Brésil (le Sertao) peu peuplé (les fans de Caatinga de Hermann apprécieront), un village ne figurant pas sur les cartes et risque d’en être rayé définitivement, car il gênerait (même si rien n’est précisé). Perdu au fin fond de la province qui a des décors dignes de l’Outback australien ou du Nouveau-Mexique (dépaysement garanti et rinçage d’œil certifié), même si tout le monde pianote sur son smartphone, on reste dans l’oubli total (y compris niveau force de l’ordre) et le confort très spartiate (le camion-citerne qui amène l’eau de distribution, vu que le barrage local est vide, car opérationnel), le tout donnant un air de western moderne qui ne manquera pas de se dérouler comme tel, malgré les situations parfois cocasses (un drone en forme de soucoupe volante des 50’s), un chouia de ésotérico-fantastique et le danger tardant à se déclarer.
Mais les vilain(e)-méchant(e)s-pâbôôô.belles (car, #-obligeant, il y a des méchantes) vont se heurter à la résistance des locaux, la rébellion faisant partie de l’ADN de la région, surtout que celui-ci est exposé dans l’amusant musée local, édifice plus important que l’église. Que les fans de pétarades et sanguinolences se rassurent, ils auront leur quota jusqu’à plus-soif, mais ce qui distingue ce film, c’est aussi le cadre inhabituel et les personnages inhabituels, qui fait que l’on fonctionne bien, alors qui si cela avait lieu au Texas, on baillerait d’ennui. Du western à la chronique sociale, du thriller politique au slasher, cet OVNI nous trimballe d’un genre à l’autre à un point que pour un peu, on s’attendrait à voir débouler Mad Max et foutre son grain de sel gros comme un obus de Grosse Bertha.
Clairement le film fut filmé avant l’avènement du Trump brésilien, et les underdogs gardent la cote, alors que le nouveau chef rêverait plutôt d’éradiquer cette non-menace, devenue son ennemi personnel. Difficile de ne pas faire lien avec l’actualité toute récente, mais la genèse du film en fait quasi un présage prémonitoire. 8/10
Son choix :
Alice et le Maire : Le maire de Lyon est un peu en fin de course et ne parvient plus à trouver de nouvelles idées, du coup, son entourage lui adjoint une ravissante adjointe, philosophe de formation. Une politique-fiction entre le très (inter)national Quai d’Orsay et l’ultra-local L’arbre, le maire et la médiathèque de Rohmer avec le même Lucchini. Malgré l’échelle de la ville (Lyon), on est plus proche du second cas, ne-fut-ce que par les propos/fondements & débats de gauche, mais aussi de la manière dont ceux-ci nous sont asséné. En fait, on est surtout terriblement content de ne pas se choper l’insupportable blonde (pourtant c’était son meilleur rôle), avantageusement remplacée par cette jolie brunette qui joue une introvertie.
On évite aussi les guimauveries d’une comédie romantique, car si le sujet est abordé au détour, ce n’est pas le propos (too bad pour toi, Fabrice), mais plutôt la politique politicarde, dada du réalisateur Nicolas Pariser (trois film sur quatre). Assez plaisant et amusant (même si Lucchini n’en fait pas des tonnes), mais on comprends que sa candidature à Cannes soit restée lettre morte. 7/10
Mon choix :
Bacurau : (Brésil) Dans le Nord-Est du Brésil (le Sertao) peu peuplé (les fans de Caatinga de Hermann apprécieront), un village ne figurant pas sur les cartes et risque d’en être rayé définitivement, car il gênerait (même si rien n’est précisé). Perdu au fin fond de la province qui a des décors dignes de l’Outback australien ou du Nouveau-Mexique (dépaysement garanti et rinçage d’œil certifié), même si tout le monde pianote sur son smartphone, on reste dans l’oubli total (y compris niveau force de l’ordre) et le confort très spartiate (le camion-citerne qui amène l’eau de distribution, vu que le barrage local est vide, car opérationnel), le tout donnant un air de western moderne qui ne manquera pas de se dérouler comme tel, malgré les situations parfois cocasses (un drone en forme de soucoupe volante des 50’s), un chouia de ésotérico-fantastique et le danger tardant à se déclarer.
Mais les vilain(e)-méchant(e)s-pâbôôô.belles (car, #-obligeant, il y a des méchantes) vont se heurter à la résistance des locaux, la rébellion faisant partie de l’ADN de la région, surtout que celui-ci est exposé dans l’amusant musée local, édifice plus important que l’église. Que les fans de pétarades et sanguinolences se rassurent, ils auront leur quota jusqu’à plus-soif, mais ce qui distingue ce film, c’est aussi le cadre inhabituel et les personnages inhabituels, qui fait que l’on fonctionne bien, alors qui si cela avait lieu au Texas, on baillerait d’ennui. Du western à la chronique sociale, du thriller politique au slasher, cet OVNI nous trimballe d’un genre à l’autre à un point que pour un peu, on s’attendrait à voir débouler Mad Max et foutre son grain de sel gros comme un obus de Grosse Bertha.
Clairement le film fut filmé avant l’avènement du Trump brésilien, et les underdogs gardent la cote, alors que le nouveau chef rêverait plutôt d’éradiquer cette non-menace, devenue son ennemi personnel. Difficile de ne pas faire lien avec l’actualité toute récente, mais la genèse du film en fait quasi un présage prémonitoire. 8/10
Re: Les films vus en salle
le joker de todds phillips , très bon film ,on plonge dans gotham city très bien filme , un grand joaquin phoenix dans le rôle du joker , pas d effets spéciaux c est très bien comme ça , film très sombre , vers la fin la musique de cream , j ai pense a qui vous savez
- Monsieur-Hulot
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Re: Les films vus en salle
Cooltrane, je dois te remercier et te féliciter pour l'animation de ce post toujours très bien écrit en prenant ton temps de faire des phrases (ce qui est loin d'être mon cas) ! MERCI donc.
FILLES & MOTEURS, JOIES & DOULEURS.