Un des meilleurs groupes de metal des années 90 et 2000 même s'ils atteignent leur sommet dans cette dernière decennie avant de raccrocher en 2011
Mené par Warrell Dane (RIP) au chant et par l'excellent Jeff Loomis a la guitare (qui est allée s'enterrer dans Arch Enemy, groupe que j'aime beaucoup mais vu son talent Loomis devrait avoir un groupe a lui, j'ai vu qu'il venait de rejoindre la version d'Alcatrazz de Graham Bonnet, puisque l'autre Alcatrazz existe toujours avec les musiciens du groupe et Doogie White au chant) pour leur album le plu court, le moins prog et le plus thrash
De l'instrumental ce matin avec l'excellent Buckethead. Le seul souci de ce type qu'il sort sort 15 albums par an (j'exagere a peine depuis 1992 et son premier album il a sorti 331 albums studios). Celui la est de 2006, considéré comme l'un de ses meilleurs et qui contient surement sont morceau le plus connu, son incontournable Soothsayer
Bien qu'ayant entendu très peu cette production dantesque, je confirme ce titre instrumental se mange sans faim, un titre qu'on ne peut pas étiqueter si l'on veut et que la mélodie devient entêtante !
Avec mes esgourdes dispendieuses, la rythmique et le solo font bien l'affaire ce jour ... peut-être qu'un autre jour j'aurai bashé le gratteux néo-guitar hero à la mords-moi-le-nœud des 80'S/90's ... mais il doit y avoir quelque chose en plus !
Bon après ma kraftwerkisaton japonisante (aussi du jour), j'enchaine, toujours en instru, avec des "cordes roumaines" ... qu'elles sont pas mauvaises ! (encore un truc pour The Dark dude) Balanescu Quartet - Robots (de qui vous savez si vous suivez d'autres teutons que ceux de la schlager music) ... me souviens qu'ils ont bossé avec David Byrne !
Modifié en dernier par gabuzomeuzomeu le ven. 14 janv. 2022 14:42, modifié 3 fois.
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
J'enchaîne ce matin avec Head Over Heels que je me suis procuré à Lille à noël en vinyl ré édition Akarma. Il a déjà été cité antérieurement.
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HEAD OVER HEELS | Head Over Heels (1971)
Historiquement parlant, la ville de Detroit a enfanté de nombreuses formations qui ont laissé une empreinte indélébile dans l’Histoire du Hard Rock, du Rock au sens large du terme: les STOOGES d’Iggy Pop, MC5, ALICE COOPER, Ted NUGENT (sans oublier AMBOY DUKES au sein duquel avait évolué auparavant « The Nuge »), BROWNSVILLE STATION. Cette ville a également vu naître des groupes qui n’ont pas eu la chance de connaître le même destin et qui sont plus ou moins restés confinés dans l’anonymat. HEAD OVER HEELS faisait partie de ceux-là.
Fondé vers la fin des 60’s, HEAD OVER HEELS évolue en tant que power-trio et s’est fait les dents en faisant autant de concerts que possible. Ce groupe a même eu le privilège d’ouvrir pour des légendes (en devenir) telles que JETHRO TULL, Frank ZAPPA, CHICAGO, entre autres. Signé chez Capitol, HEAD OVER HEELS a sorti son premier et unique album éponyme en 1971.
Drivé par un chanteur (un certain Paul Frank, également préposé à la guitare) à la voix chaleureuse, limite Soul, qui évoque parfois Glenn Hughes, HEAD OVER HEELS donne tout ce qu’il a dans le ventre sur les 8 titres composant cette galette et s’y entend pour faire taper du pied l’auditeur, comme peuvent l’attester « Road Runner », compo Hard Rock chaleureuse parfaitement ancrée dans son époque qui est dopée par une rythmique syncopée et nerveuse, ou encore « Question », le titre le plus bouillonnant, le plus exubérant de cet opus qui voit le chanteur faire évoluer son timbre vocal dans un registre plus haut perché. La voix de Paul Frank aidant, on n’est pas surpris de voir ce trio de Detroit davantage mettre l’accent sur le Blues au détour de plusieurs compos telles que « Tired And Blue/Land, Land », assez entraînante dans son propos, qui s’apparente à une rencontre en GRAND FUNK RAILROAD et le Rock Sudiste et surprend en obliquant ensuite vers un Blues lent inattendu (en matière de Hard/Blues, c’est aussi surprenant que réussi), ou encore « Circles », un Blues musclé, poignant, qui monte en puissance progressivement et fait la part belle à l’improvisation, les musiciens se lâchant totalement pour occuper l’espace sonore sans calculer. Ces mêmes musiciens ne se font pas prier pour démontrer leur savoir-faire en reprenant « Red Rooster » de Willie DIXON, ce qui leur permet de plonger un peu plus au coeur des racines du Blues et de gratifier l’auditeur de plus de 7 minutes de jouissance musicale à l’état brut, notamment sur la jam instrumentale finale.
Enfin, 2 ballades complètent cet album éponyme. « Right Away » est une ballade bluesy personnalisée par un refrain poignant, costaud sur laquelle les musiciens démontrent qu’ils ne sont pas des manchots, le solo de gratte étant là pour en témoigner, et on peut juste trouver dommage que cette ballade soit trop courte, trop brève. L’autre ballade, « Children Of The Mist », est plutôt teintée Folk, mais toujours très roots dans l’esprit avec des mélodies bluesy en arrière-plan, se signale également par un refrain très prenant et s’avère pertinente car jamais elle ne tombe dans le larmoyant, le gnan-gnan.
Cet album est l’unique témoignage discographique de HEAD OVER HEELS puisque, par la suite, le groupe s’est séparé et chaque musicien a poursuivi sa route de son côté. Quelle carrière aurait pu avoir cet ancien trio de Detroit si celui-ci avait été au-delà du stade du premier album ? Difficile d’y répondre, mais ce disque fait partie de ces reliques d’époque qui gagneraient à être redécouvertes, réhabilitées. Les 70’s regorgent de trésors cachés, comme le démontre cet album éponyme de HEAD OVER HEELS.
Tracklist:
1. Road Runner
2. Right Away
3. Red Rooster
4. Children Of The Mist
5 Question
6. Tired And Blue/Land, Land
7. In My Woman
8. Circles
Line-up:
Paul Frank (guitare, chant)
Michael Urso (basse, chant)
John Bredeau (batterie)
Face a face avec les Kinks. Je sais pas pourquoi une envie d'écouter la Bande de Ray DAvies alors j'ai pris celui la meme si c'est pas mon favori
J'ai souvent essayé de sauter dans le wagon de ce groupe qui me paraît a priori sympathique et aurait apparemment tous les atouts pour me plaire, mais à chaque fois j'ai été découragé par leur discographie... Je n'y comprends rien... Et les tout premiers trucs sixties... Bof... C'est comme pour les Beatles, j'apprécie à partir de 66/67... Alors que pour les Stones, c'est l'inverse, j'aime beaucoup les tout débuts et moins le reste... Va comprendre, Charles !
Du coup, pour les Kinks, j'en suis resté à "Waterloo Sunset", "You Really Got Me" et "Lola"... J'y perds sans doute beaucoup...
A partir d'un certain âge, si on vous donne 10 ans de moins, un conseil : prenez-les !.
Magma parce que ca fait longtemps avec le Live Marquee 74
Je viens de voir qu'ils ont ressorti en remaster le Bourges 79 qui est un des rares Lives qui me manquent dans les anciens, va falloir que l'investisse
Et puis aussi racheter un casquette, la mienne estampillé Magma commence séverement a fatiguée apres des années de bons et loyaux services
Face a face avec les Kinks. Je sais pas pourquoi une envie d'écouter la Bande de Ray DAvies alors j'ai pris celui la meme si c'est pas mon favori
J'ai souvent essayé de sauter dans le wagon de ce groupe qui me paraît a priori sympathique et aurait apparemment tous les atouts pour me plaire, mais à chaque fois j'ai été découragé par leur discographie... Je n'y comprends rien... Et les tout premiers trucs sixties... Bof... C'est comme pour les Beatles, j'apprécie à partir de 66/67... Alors que pour les Stones, c'est l'inverse, j'aime beaucoup les tout débuts et moins le reste... Va comprendre, Charles !
Du coup, pour les Kinks, j'en suis resté à "Waterloo Sunset", "You Really Got Me" et "Lola"... J'y perds sans doute beaucoup...
Mon préféré reste Kinda Kinks, bien garage mais pas que !
J'ai été aussi rebuté par certaines pochettes (l écolier les fesses à l'air avec le bonnet d'âne, c'est limite, et celle avec Ray Davies de profil tout déformé, beurk...). Je sais que c'est idiot de s'arrêter aux chopettes
A partir d'un certain âge, si on vous donne 10 ans de moins, un conseil : prenez-les !.
Kontroversy est très à mon goût, pour n'en citer qu'un.
C'est vrai que les pochettes... comment dire...
Et leur œuvre manque un peu de gros marqueurs côté albums, comparés aux Stones, aux Who...
quoique l'on puisse en dire. Mais pas de beaux cygnegueules, ça non.
Ce matin en train de faire le point sur mes bootlegs Led Zep j'écoute Wonderful Copenhagen du 3 mai 1971 - C'est la seule fois ou Led Zep a joué en live Four Sticks et Gallows Pole - Il y a 6 chansons du Led Zep 4 avec Black Dog, Starway, Rock And Roll et Misty Mountain Hop. Album sorti sur Windy Records.
Le son est moyen mais il restitue bien l'ambiance (la folie) de leurs concerts à cette époque.
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Chouette concert en effet, devant un public Danois agité que Robert Plant rappelle à l'ordre !
J'ai la version Equinox.
Un des meilleurs groupes de metal des années 90 et 2000 même s'ils atteignent leur sommet dans cette dernière decennie avant de raccrocher en 2011
Mené par Warrell Dane (RIP) au chant et par l'excellent Jeff Loomis a la guitare (qui est allée s'enterrer dans Arch Enemy, groupe que j'aime beaucoup mais vu son talent Loomis devrait avoir un groupe a lui, j'ai vu qu'il venait de rejoindre la version d'Alcatrazz de Graham Bonnet, puisque l'autre Alcatrazz existe toujours avec les musiciens du groupe et Doogie White au chant) pour leur album le plu court, le moins prog et le plus thrash
Ayant pas mal exploré la sphère metal à un moment donné, je me permets de donner mon avis ( aviné ou pas), alors pas sur ce Ennemies of Reality que je ne connais pas plus que ça, mais sur "This Godless Endeavor", que je trouve vraiment très bon : si je devais utiliser une étiquette à rallonge power trash lyrique et mélodique, technique et progressif. Disons que si quelqu'un connait d'autres albums qui combinent aussi bien, disons une certaine forme d'agressivité ,ou le brutal le dispute à un raffinement mélodique évident et de la taichenique , je suis preneur.
Je serais incomplet si je ne précisais pas qu'il avait été album du mois sur le mag Metallian.
Face a face avec les Kinks. Je sais pas pourquoi une envie d'écouter la Bande de Ray DAvies alors j'ai pris celui la meme si c'est pas mon favori
J'ai souvent essayé de sauter dans le wagon de ce groupe qui me paraît a priori sympathique et aurait apparemment tous les atouts pour me plaire, mais à chaque fois j'ai été découragé par leur discographie... Je n'y comprends rien... Et les tout premiers trucs sixties... Bof... C'est comme pour les Beatles, j'apprécie à partir de 66/67... Alors que pour les Stones, c'est l'inverse, j'aime beaucoup les tout débuts et moins le reste... Va comprendre, Charles !
Du coup, pour les Kinks, j'en suis resté à "Waterloo Sunset", "You Really Got Me" et "Lola"... J'y perds sans doute beaucoup...
Les Stones je trouve qu'ils ont été novateurs et régulièrement tueurs juqu'en 69-70. Après, c'est moins évident. Des groupes comme Led Zepp ou Black Sab avaient pris le relais.
Kontroversy il est pas mal, comme face To face.
Après, ce qui faisait la force des Beatles par rapport aux sus-mentionné c'est qu'ils étaient capables d'être tout aussi top en albums qu'en singles, ce qui faisait un peu défaut aux Kinks et parfois au Stones pour les albums.
Modifié en dernier par CCR le ven. 14 janv. 2022 18:57, modifié 1 fois.
The Beach Boys - Carl & The Passions - So Tough '72)
Pas trop apprécié en général, début de la fin, changements incessants de line-up, de la friture entre les membres, mais je ne le trouve absolument pas déshonorant ; assez bon même...
Différentes orientations musicales envisagées, "Marcella" rannonce les titres de Supertramp de Crime, "Hold On Tear, Brother" est dans une veine CSN&Y, du country rock, quelques harmonies...
Le Genius vient y faire une bricole ou deux, étant surtout occupé à co-produire l'album de sa muchacha et sa soeur (aidé par d'autres BB, d'ailleurs dont Dennis W)). Excellent album d'American Spring - Spring '71).
Je vous mets l'un de ses titres les plus beaux pour vous faire une idée, pop baroque :
Premier album de zz top après avoir vu la fin d’un reportage sur Arte
Y a pas à dire tout était là depuis le début
J’adore le son du groupe
Il ne me manquerait que les grandes chansons pour vraiment devenir un fan
Le maxi des Angeleno de Bone Cabal Five Budget Cuts ! sorti en 1983 sur Mystic Records, entre Art Rock et Post Punk un groupe atypique sur ce label qui était plutôt axé Punk HXC et débuts du Thrash Metal
De Cleveland le premier Lp' des Bizarros Bizarros sorti en 1979 sur Mercury groupe fondé en 1976 entre Art Rock et Proto Punk, dont le chanteur Nick Nicholis fonda Clone Records qui avec Hearthan Records fondé par David Thomas de Pere Ubu furent les deux premiers labels Punk historiques de Cleveland.
Le 45 Tours avec pochette spéciale des Bizarros À L'Angle Des Tourments sorti en 1980 sur Sordide Sentimental le mythique label Rouennais de Jean-Pierre Turmel
Joyeux Mondialiste Droit de l'Hommiste et Internationaliste convaincu, amateur d'étrangetés Vinyliques tournant en 33 et 45 tours en provenance des quatre coins de la planète et des 7 continents
Second album des texans.
Je le trouve plus solide en termes de songwriting que le premier, même s'il manque tjs des mélodies vraiment marquante.
Un point qui m'a surpris dans le reportage d'ARTE c'est d'entendre combien le bassiste était excellent.
Sur scène il avait un groove vraiment génial, et il bougeait comme un Dieu.
Sur disque c'est moins flagrant mais si on y prête l'oreille on entend toute la finesse de son jeu.
La beauté d'un trio, quand chaque instrument à l'espace pour prendre sa vraie dimension dans la musique
