Pour Eudeline, il y a le rock : un point c'est tout.
Lui aussi est du genre "c'était mieux avant."
Ouch ! Que c'était laid ! Le générique, le plateau, certains invités et leur dégaine, la hype frenchy... et la tronche de Manoeuvre
Mais pourquoi je suis allé voir ça, moi...
J'ai irrésistiblement pensé à un sketch.
Mais hey, c'est quand même avec ça que nombre d'entre nous avons fait nos éducations musicales, y compris en opposition. Avec émotion je me remémore ces nombreux courriers d'injures envoyés à R&F, et je constate que lorsque l'on n'avait pas encore laissé Internet ouvrir un flux plus nourri de connaissance et d'expertise dont se sont emparés de plus jeunes que nous, les vieux se la pétaient quand même à mort avec leur petit savoir au tout petit périmètre, pour pas grand-chose en somme ! Bon sang que c'est superficiel, autosuffisant et prétentieux...
Un docu que j'ai regardé l'autre jour. L'ombre du géant suivit longtemps le fils, qui devint star lui aussi.
Un lien très fort les a uni, on le sait ou on s'en rend compte. Une scène très émouvante (pour moi, déjà) d'une conversation où ils se déclarent une fois de plus leur amour et leur fierté l'un pour l'autre, et, alors que Kirk devenu très âgé, Michael le soutient pour quitter la pièce où elle s'est déroulée.
Une détermination admirable, sa carrière d'acteur et de producteur qui force un peu le respect, son honnêteté sur ses fêlures, sa maladie, sa famille... c'est à son tour "de jouer au grand-père".
Sans tabous
Nourri d’archives et d’extraits de films, ce portrait de Michael Douglas par Amine Mestari (Claude Sautet – Le calme et la dissonance) retrace sa double carrière d’acteur et de producteur, toutes deux récompensées en un demi-siècle par deux Oscars, six Golden Globes et une Palme d’honneur à Cannes en 2023. Il se penche aussi, sans tabous, sur les épreuves personnelles qu’il a traversées et surmontées, de ses addictions à sa vie privée chaotique, de son cancer de la langue aux errances de son fils Cameron, condamné pour trafic de drogue. Au fil d’un entretien qui ponctue le film,
Michael Douglas se raconte aussi lui-même avec une rare sincérité, livrant d’émouvantes réflexions sur l’existence, la famille et son métier.
Un docu que j'ai regardé l'autre jour. L'ombre du géant suivit longtemps le fils, qui devint star lui aussi.
Un lien très fort les a uni, on le sait ou on s'en rend compte. Une scène très émouvante (pour moi, déjà) d'une conversation où ils se déclarent une fois de plus leur amour et leur fierté l'un pour l'autre, et, alors que Kirk devenu très âgé, Michael le soutient pour quitter la pièce où elle s'est déroulée.
Une détermination admirable, sa carrière d'acteur et de producteur qui force un peu le respect, son honnêteté sur ses fêlures, sa maladie, sa famille... c'est à son tour "de jouer au grand-père".
Sans tabous
Nourri d’archives et d’extraits de films, ce portrait de Michael Douglas par Amine Mestari (Claude Sautet – Le calme et la dissonance) retrace sa double carrière d’acteur et de producteur, toutes deux récompensées en un demi-siècle par deux Oscars, six Golden Globes et une Palme d’honneur à Cannes en 2023. Il se penche aussi, sans tabous, sur les épreuves personnelles qu’il a traversées et surmontées, de ses addictions à sa vie privée chaotique, de son cancer de la langue aux errances de son fils Cameron, condamné pour trafic de drogue. Au fil d’un entretien qui ponctue le film,
Michael Douglas se raconte aussi lui-même avec une rare sincérité, livrant d’émouvantes réflexions sur l’existence, la famille et son métier.
Réalisation : Amine Mestari - France 2022
J'ai vu aussi ce doc et je partage ton avis. La scène où il aide son père à se lever et à se déplacer est émouvante
quand on a l'esprit quel géant il a été.
Ça risque fort d'être plus que plein à craquer.
Joshi est LA sommité pour HPL
Belle affiche.
Et j'ai failli manquer le docu sur Alice Cooper. L'image est dégueu. Merci Gabu.
Druillet et La Dionnée en plus ça fait du beau populo BD !
Le Doc d'Alice en groupe c'est pour l'anecdote visuelle, c'est vrai qu'ils n'ont pas arrangé le master vidéo bien cracra
La dernière tournée en groupe et Welcome niveau footage c'est mieux surtout que vue à Paname !
Pour HPL c'est pas marqué mais il y a sûrement en plus réservation et paiement en même temps !
Je suis dans les bois, le jardin, la cuisine et l'atelier avec les djeuns mécanos alors à la revoyure La Dionnée !
Druillet passait avant de temps en temps en dédicace rue Losserand les mois de juin pour la brocante à L'Archipel ... mais il est plus tout jeune le bougre .... J'ai vu une vieille vidéo sur ce jeu e Philippe chevelu, faudra que je la retrouve !
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
Pour Eudeline, il y a le rock : un point c'est tout.
Lui aussi est du genre "c'était mieux avant."
Ouch ! Que c'était laid ! Le générique, le plateau, certains invités et leur dégaine, la hype frenchy... et la tronche de Manoeuvre
Mais pourquoi je suis allé voir ça, moi...
Mais hey, c'est quand même avec ça que nombre d'entre nous avons fait nos éducations musicales, y compris en opposition. Avec émotion je me remémore ces nombreux courriers d'injures envoyés à R&F, et je constate que lorsque l'on n'avait pas encore laissé Internet ouvrir un flux plus nourri de connaissance et d'expertise dont se sont emparés de plus jeunes que nous, les vieux se la pétaient quand même à mort avec leur petit savoir au tout petit périmètre, pour pas grand-chose en somme ! Bon sang que c'est superficiel, autosuffisant et prétentieux...
J'ai regardé les émissions qui sont sur YT, par curiosité de base. Un zoologue s'intéresse bien, à raison (funèbre), aux espèces nuisibles. Une note de plaisir que j'ai eu, c'est avec les participations de Philippe "Parallèles" Thieyre, que j'ai croisé pendant des années dans la boutique mythique. Il est aussi du sujet "Le Rock Sudiste".
Une note de plaisir que j'ai eu, c'est avec les participations de Philippe "Parallèles" Thieyre, que j'ai croisé pendant des années dans la boutique mythique. Il est aussi du sujet "Le Rock Sudiste".
Il est, et de très loin, l'intervenant le plus crédible et le moins puant de tout ce petit aréopage, mais même à certains égards, je regrette par moments l'approche de surface. Ceci dit, quand tu n'as pas le temps d'en placer une au milieu de snobinards blasés et (déjà) vieux junkies revanchards...
Une note de plaisir que j'ai eu, c'est avec les participations de Philippe "Parallèles" Thieyre, que j'ai croisé pendant des années dans la boutique mythique. Il est aussi du sujet "Le Rock Sudiste".
Il est, et de très loin, l'intervenant le plus crédible et le moins puant de tout ce petit aréopage, mais même à certains égards, je regrette par moments l'approche de surface. Ceci dit, quand tu n'as pas le temps d'en placer une au milieu de snobinards blasés et (déjà) vieux junkies revanchards...
C'est assez la hype chicos suffisamment défoncée et jouée sur scène, un temps, pour pouvoir affirmer détenir un semblant de vérité ... puis il faut bien bouffer et s'entretenir chez Castel (à une époque, au Palace à une autre) ou suivre le "ropage" qui piapiate et picassiette le Chivas et la coke à l'envie fournie par les saisies policières ... Eudeline (dont le frangin n'est pas aigri lui) en prend pas mal dans la gueule quand les proches de d'Éric Débris/Métal, des Dogs, Wampas ou Gazoline demandent d'arrêter ses conneries (j'ai assisté à quelques piques fendantes) ... mais ils le vannent surtout car il est un des rares à être devenu médiatique et politiquement acceptable ... les autres du plateau sont des gratte-papiers qui s'essayent à devenir Paringaux, Yves Adrien, Laurent Chalumeau (oxydrique) ou Jacky Berroyer assez malade mais toujours fidèle chez Siné Mensuel.
Hélas il en faut pour groniquer tout ce qui sort ... qui va parler du décès du Philou, du neuvième mariage de Mick ou de la 37ieme transfusion totale de Keith .. . merde il en faudra bien aussi un pour l'octuple live de Yes à venir
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
Documentaire de 2019 avec interview ... Maud Linder par Michèle Porte (la fille de Max) diffusé sur Bip TV la chaîne du 36 ... l'Indre où se trouve aussi Châteauroux patrie d'un grand Sâr ... Le Sâr Rabindranath Duval
Avec des extraits de L'Homme au chapeau de soie qui est un documentaire français réalisé par cette Maud Linder et sorti en 1985 après avoir été en compétition à Cannes.... Beaucoup d'extraits de film de Linder sonorisés en jazz fameux à la Spike Jones et à la Boris Vian!
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
J'ai vu passer un trailer, je me suis souvenu que je n'avais pas vu ce docu et que c'était une honte ! Passionnant.
Marrant, j'écoutais leurs disque en boucle ces dernières semaines, quel régal, leurs chansons sont tellement bien foutues.
Je me rappelle de la promo du documentaire et la capsule clickbait AJ+ "les noirs inventent le punk", c'était assez caustique.
C'est mon garçon de dix-sept ans qui m'a remis dedans. Il écoutait ça récemment sur son abonnement Spotify, au milieu de pas mal de découvertes qu'il fait tout seul comme un grand dans son coin. Il me parle d'un groupe de Detroit mais à l'évidence ne situe pas la temporalité réelle de l'affaire. M'étant assuré que l'on parlait bien des mêmes, je lui explique que For The Whole World To See date certes de la fin des 00s mais que les enregistrements sont du milieu des 70s, et sous cet angle, en réécoutant, nous avons convenu ensemble du fait que c'était extrêmement en avance sur son temps. Et en plus des punks noirs, ma pauv'dame, vous rendez-vous compte : j'imagine que c'est un facteur qui peut interroger à l'occasion, pour ma part, j'ai écouté tellement de groupes anglais de petits blanc-becs qui essayaient de sonner comme Jimmy Reed ou Little Walter que je n'ai même pas songé à m'étonner.
C'est mon garçon de dix-sept ans qui m'a remis dedans. Il écoutait ça récemment sur son abonnement Spotify, au milieu de pas mal de découvertes qu'il fait tout seul comme un grand dans son coin. Il me parle d'un groupe de Detroit mais à l'évidence ne situe pas la temporalité réelle de l'affaire. M'étant assuré que l'on parlait bien des mêmes, je lui explique que For The Whole World To See date certes de la fin des 00s mais que les enregistrements sont du milieu des 70s, et sous cet angle, en réécoutant, nous avons convenu ensemble du fait que c'était extrêmement en avance sur son temps. Et en plus des punks noirs, ma pauv'dame, vous rendez-vous compte : j'imagine que c'est un facteur qui peut interroger à l'occasion, pour ma part, j'ai écouté tellement de groupes anglais de petits blanc-becs qui essayaient de sonner comme Jimmy Reed ou Little Walter que je n'ai même pas songé à m'étonner.
C'est tout de même assez incroyable que dans une ville comme Détroit, home of les Stooges et le MC5, un magazine comme Creem et même Lester Bangs & co soient passé à côté de ce truc-là. Comme quoi, ça tient à pas grand chose le succès.
Tout-à-fait d'accord. Peut-être la couleur des Messieurs est-elle précisément un facteur à ne pas écarter. Je peux supposer que lorsque tu faisais de la musique à Detroit dans la première moitié des 70s, et que tu étais noir, tu avais forcément l'étiquette Motown à te faire coller sur le front, et que cela conditionnait l'attention que l'on pouvait te donner par rapport à la scène Stooges, MC5, Frost, Alice Cooper, etc. Non pas bien entendu que cela relève d'un phénomène d'ostracisme sans ost, mais on sait combien ce genre musical a finalement existé à travers les étiquettes que l'on se sentait obligé de coller sur des tiroirs que l'on se sentait obligé de classer. La prochaine fois, nous parlerons du rock féminin
Tout-à-fait d'accord. Peut-être la couleur des Messieurs est-elle précisément un facteur à ne pas écarter. Je peux supposer que lorsque tu faisais de la musique à Detroit dans la première moitié des 70s, et que tu étais noir, tu avais forcément l'étiquette Motown à te faire coller sur le front, et que cela conditionnait l'attention que l'on pouvait te donner par rapport à la scène Stooges, MC5, Frost, Alice Cooper, etc. Non pas bien entendu que cela relève d'un phénomène d'ostracisme sans ost, mais on sait combien ce genre musical a finalement existé à travers les étiquettes que l'on se sentait obligé de coller sur des tiroirs que l'on se sentait obligé de classer. La prochaine fois, nous parlerons du rock féminin
Même point de vue, les "tiquettes" c'est une forme de conservatisme puant !
Dylan qui passe au rock, Bowie qui change toujours, le black cantonné à la soul et au "Arendbi" ... heureusement Bad Brains, Peligro chez Dead Kennedys et chez nous Charlu chez Nuclear Device et Ludwig von 88, jenpasseetdesmeilleurs ont cassé les codes avec le punk, le hardcore et l'alternos !
L'inventivité n'a pas de couleur déterminée !
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
Tout-à-fait d'accord. Peut-être la couleur des Messieurs est-elle précisément un facteur à ne pas écarter. Je peux supposer que lorsque tu faisais de la musique à Detroit dans la première moitié des 70s, et que tu étais noir, tu avais forcément l'étiquette Motown à te faire coller sur le front, et que cela conditionnait l'attention que l'on pouvait te donner par rapport à la scène Stooges, MC5, Frost, Alice Cooper, etc. Non pas bien entendu que cela relève d'un phénomène d'ostracisme sans ost, mais on sait combien ce genre musical a finalement existé à travers les étiquettes que l'on se sentait obligé de coller sur des tiroirs que l'on se sentait obligé de classer. La prochaine fois, nous parlerons du rock féminin
Même point de vue, les "tiquettes" c'est une forme de conservatisme puant !
Dylan qui passe au rock, Bowie qui change toujours, le black cantonné à la soul et au "Arendbi" ... heureusement Bad Brains, Peligro chez Dead Kennedys et chez nous Charlu chez Nuclear Device et Ludwig von 88, jenpasseetdesmeilleurs ont cassé les codes avec le punk, le hardcore et l'alternos !
... Et Funkadelic, et Mother's Finest, et Mandrill, etc. Et puis les étiquettes, c'est quand même un truc pour les marchands de disques, non ? C'est juste pour bien savoir où ranger les nouveautés : From Genesis To Revelation, zou, religious bin
En définitive, tout aussi porteur de progressisme(s) qu'il ait pu être en faisant tomber pas mal de barrières à différentes époques, le rock a aussi su en construire, paradoxalement, et de fort étanches.
Tout-à-fait d'accord. Peut-être la couleur des Messieurs est-elle précisément un facteur à ne pas écarter. Je peux supposer que lorsque tu faisais de la musique à Detroit dans la première moitié des 70s, et que tu étais noir, tu avais forcément l'étiquette Motown à te faire coller sur le front, et que cela conditionnait l'attention que l'on pouvait te donner par rapport à la scène Stooges, MC5, Frost, Alice Cooper, etc. Non pas bien entendu que cela relève d'un phénomène d'ostracisme sans ost, mais on sait combien ce genre musical a finalement existé à travers les étiquettes que l'on se sentait obligé de coller sur des tiroirs que l'on se sentait obligé de classer. La prochaine fois, nous parlerons du rock féminin
Si je me rapelle, les critiques viennent plutôt de leur communauté qui préfererait les voir faire de la soul ou du funk — comme quoi. Et puis ils choissisent un studio ou un producteur en jouant aux dés ou aux fléchettes et tombent sur les mecs de United Sounds (!), c'est quand même bien random ça. J'ai bien peur qu'ils aient été surtout poisseux et se soient téléscopés comme tout un paquet de groupes dont Light In The Attic, Numero Group et consort ressortent les bandes aujourd'hui. Cette histoire de racisme me laisse un peu dubitatif et me parait plus être un argument de vente pour ce docu. Si on prends en compte la scène du Michigan, des White Panthers de J. Sinclair et de toute la subculture freak et politisée anti-raciste qui gravite autour, d'autant plus dans une ville aussi progressiste (musicalement) que Detroit qui a vu Black Merda, et consort…
Cette histoire de racisme me laisse un peu dubitatif et me parait plus être un argument de vente pour ce docu. Si on prends en compte la scène du Michigan, des White Panthers de J. Sinclair et de toute la subculture freak et politisée anti-raciste qui gravite autour, d'autant plus dans une ville aussi progressiste (musicalement) que Detroit qui a vu Black Merda, et consort…
Ne pas se méprendre : je n'invoque pas ici un phénomène de racisme dans cette situation, tout au plus une catégorisation culturelle où, comme tu le soulignes effectivement, il est plus naturel pour l'entourage de voir le groupe jouer de la soul. Mais le caractère random que tu évoques à juste titre, ainsi que les influences du groupe (les Beatles, les Who) ont fait déjouer ce cadre supposément intangible. Et je te rejoins également sur le fait que Detroit offrait l'environnement qui offrait les possibilités de ce type d'heureux malentendu ; c'est également là qu'un brillant songwriter, quasiment inconnu dans sa ville mais icône en Afrique du Sud, bossait comme ouvrier du bâtiment alors que dans un monde bien fait, il se serait vu consacrer comme l'un des plus illustres disciples de Dylan.
J'ai aussi pensé à Rodriguez. Encore un beautiful loser!
Pour en revenir à Death, putain y'a un truc dans la voix qui me rappelle Phil Lynott. C'est moi qui débloque?
Pour en revenir à Death, putain y'a un truc dans la voix qui me rappelle Phil Lynott. C'est moi qui débloque?
Non, je ne trouve pas ça déconnant du tout. La voix, mais aussi un phrasé bien particulier. Un des aspects parmi tout ceux qui justifient que l'on s'intéresse de près à ce groupe passionnant.
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