Je l'ai classé premier, presque (certainement) par respect,
mais scuputête (de veau) caïman trois ou quatre autres LP très méritants.
Souvenirs d'une époque passionnante, en parallèle avec le tintouin punk, et en plus du prog "éprouvé".
Bowie, Kraftwerk, Eno, le Gab... (Iggy ? mouaf) Je me sentais plus intelligent (forcément) en découvrant leurs disques.
Et tout ça tient bon la barre, en égrenant les décennies. Que la plupart ne retiennent que le titre "hymneux", repris à Longwy, est un peu dommage.
Faut reconnaître que tout tout (maison) n'est pas extraordinaire, notamment les deux derniers titres de l'album, qui font un peu remplissage. Mais je suis...
Quoique "The Secret Life of Arabia" fera, en quelque sorte, le lien avec
Lodger.
Et puis voilà : Bowie / Eno / Visconti / Fripp, c'est de une rencontre au sommet, un Yalta musical.
"... Heroes as the album that indicated the most artistic growth for Bowie."
Contemplation, visions, projections d'une civilisation en approche qui poussera sur le monde ancien, le funk cyber incandescent,
comme des petits restes de
Diamond Dogs avec "Sons Of The Silent Age"
"Sons of the Silent Age" was the only song written before the sessions began and was originally intended to be the album's title track.
..."Heroes" just for one day... pour toute une vie.
Et puis... Low est vraiment très bien aussi. Il est 12e dans mon classement (pas très logique) : juste pour laisser respirer les autres artistes.
"The difference between Low and "Heroes" [essentially] lies in the details, but the record is equally challenging and groundbreaking.