Tom Waits, je n'ai jamais accroché du tout!
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Walkabouts 1993 – Satisfied Mind
Genre: Rock, Pop, Folk, Country, Folk Rock, Alternative Rock
Producteur – Kevin Suggs, The Walkabouts
Basse, harmonica, chœurs – Michael Wells
Batterie, percussions, chœurs – Terri Moeller
Piano, orgue, synthétiseur [Moog], accordéon – Glenn Slater
Chant, guitare – Chris Eckman
Chant, guitare, violoncelle – Carla Torgerson
"Satisfied Mind" de Walkabouts, sorti en 1993, est une sorte de recueil de reprises acoustiques. Parfois, le choix des reprises d'un groupe, combiné à sa capacité à s'approprier les chansons, finit par en révéler autant sur son art que sur sa musique originale, et c'est le cas ici.
Exploitant le travail d'artistes divers comme the Carter Family, Gene Clark, Mary Margaret O'Hara, John Cale et Nick Cave, "Satisfied Mind" représente l'esthétique du groupe et sa position à la croisée des chemins entre Country, Rock, Folk et Punk.
En présentant des chansons célèbres sous un jour entièrement nouveau: "Free Money" de Patti Smith devient une valse inquiétante, tandis que "Feel Like Going Home" de Charlie Rich se renouvelle en un chant funèbre épique.
"Satisfied Mind" ne suggère pas simplement que des sons divers peuvent coexister ensemble, il prouve qu'ils l'ont toujours fait...
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Bobby Womack 1989 – Save The Children
Genre: Electro, Soul, Funk
Producteur – Bobby Womack, Cecil Womack II, Frank Hamilton, Keg Johnson, Kevin Womack, Wilmer Raglin
Choeurs – Frankie Gaye, Léon Ware, Louis Williams, Alice Echols, Brandy (Diana) Moss, Brenda Lee Eggar, Hilliard Wilson, Lana Clarkson, Michelle Layborn, Pamela Starks, Patricia Henley
Basse – Ray Gilliard
Guitare – Carlos Santana, Blake Smith, Bobby Womack
Chant – Jackie Johnson
Cors – Bernard Baisden, Gerald Albright, Joe Campbell, Lesli Carroll, Noland Smith, Rastine Calhoun
Claviers – Alicia McCracken, Frank Hamilton, Patrick Moten
Percussions – Ananias "Thasher" Chambers, Tony Flores
"Save the Children", sorti en 1989, est une belle tentative de moderniser le son Soul des années 60 de Womack tout en reflétant les influences du Hip-Hop et de la Pop de la fin des années 80.
Parmi les morceaux les plus représentatifs, on trouve les entraînants "Baby I'm Back", "She's My Girl" et le duo flamboyant "Now We're Together", mais c'est sur "Too Close For Comfort", une ballade coécrite avec HT Payne, que Womack parvient le plus à raviver le son de certains des titres les plus connus. La chanson titre a réussi à entrer dans les Charts R&B à la fin de 1989.
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Great White 1999 - Great Zeppelin: A Tribute to Led Zeppelin
Genre: Hard Rock
Basse – Sean McNabb
Batterie – Audie Desbrow
Guitare – Mark Kendall
Guitare, claviers – Michael Lardie
Chant – Jack Russell
Sur "Great Zeppelin: A Tribute to Led Zeppelin", paru en 1999, le chanteur de Great White, Jack Russell, possède un timbre de voix relativement proche de celui d Robert Plant.
il s'agit tout simplement du concert de Led Zeppelin le plus crédible depuis eux-mêmes.
Niveau interprétation, tout le monde est en place et les musiciens se contentent de bien reproduire le travail original
La sobriété de la guitare est particulièrement appréciable. En effet, plutôt que de chercher à imiter Page en live, c'est presque un travail de studio qui est effectué, avec professionnalisme.
La sélection des morceaux est presque parfaite. Sans parler de raretés en live ('In The Light', 'All My Love', 'When The Levee Breaks'...), tous les titres présentés sont d'excellents morceaux que Great White s'approprie très naturellement.
"Great Zeppelin: A Tribute to Led Zeppelin" atteint sans aucun problème une qualité très satisfaisante. Mêlant une interprétation sans failles et une set list quasi imparable, ce live à tout pour plaire aux fans de Led Zeppelin comme aux autres.
Great White a au moins le mérite de ne pas tomber dans les différents travers possibles lors d'une telle entreprise et de délivrer une galette chaudement recommandable...
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The Woodentops 1987 – Live Hypnobeat Live
Genre: Indie Rock
Rolo McGinty - chant, guitare, composition
Simon Mawby - guitare
Alice Thompson - claviers
Frank de Freitas - basse
Benny Staples - batterie
"Live Hypnobeat Live" de The Woodentops, sorti en 1987, a été enregistré ors d'une performance live au Palace Theatre de Los Angeles en Nvembre 1986.
La qualité d'enregistrement est bonne, bien que le mixage sonore sur scène soit plutôt opaque, occultant certaines subtilités du groupe; les chœurs, les claviers et les guitares acoustiques, en particulier, ont parfois tendance à être absorbés par cet enregistrement.
Beaucoup de chansons sont interprétées à une vitesse effrénée, encore plus rapide que sur les sorties studio correspondantes. En de rares occasions, une telle frénésie se traduit par des voix principales confuses ou des claviers maladroits, mais dans l'ensemble, l'ampleur viscérale de ces performances s'avère vivifiante.
Le plus intéressant est l'arrangement de "Everyday Living", interprété à un tempo plus rapide et sans violon, devient un morceau étonnamment primitif et entraînant. Ce disque est une écoute fascinante, particulièrement recommandée aux fans de ce groupe atypique...
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The Wallflowers 1992 – The Wallflowers
Genre: Alternative Rock
Producteur – Andrew Slater, Fox Paul, The Wallflowers
Basse, chœurs – Barrie Maguire
Batterie, percussions, chœurs – Peter Yanowitz
Guitare, chœurs – Tobi Miller
Piano, orgue [Hammond] – Rami Jaffee
The Wallflowers, menés par Jakob Dylan, fils de Bob, un leader réticent, ont connu un certain succès au milieu des années 1990.
Ce groupe a ouvert la voie à un renouveau du Roots-Rock Pop via les Charts alternatifs, et ont enregistré un excellent disque au passage.
Le premier album, éponyme, sorti en 1992, est inoffensif, quoique bon enfant. S'il a rencontré l'indifférence commerciale et critique, c'est surtout à cause du refus strict de Dylan de se présenter comme leader du groupe. La dette stylistique envers son père n'est pourtant pas si évidente, de toute façon, mais des chansons comme "Sugarfoot", "Sidewalk Annie" et "Honeybee" sont au moins agréables à écouter...
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Dixon House Band 1979 – Fighting Alone
Genre: Pop Rock
Producteur – Mike Flicker
Guitare acoustique, guitare solo – Chuck Gardner
Basse, choeurs – James Kenfield
Batterie, percussions – Fred Zeufeldt
Claviers, chant, chœurs – Dixon House
"Fighting Alone" du Dixon House Band, sorti en 1979, est un excellent disque de Pop Rock mélodique vraiment puissant typique des années 70.
Les chansons et la production sont bonnes.
À l'époque de Foreigner, Boston et autres, ce groupe est malheureusement tombé entre les mailles du filet. Ils méritaient certainement mieux...
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John Mellencamp 1991 – Whenever We Wanted
Genre: Southern Rock, Pop Rock, Rock & Roll
Producteur – John Mellencamp
Basse, chœurs – Toby Myers
Batterie, percussions, vibraphone [Vibes] – Kenny Aronoff
Orgue électrique [Hammond B-3], Orgue [Farfisa], Accordéon, Tin Whistle [Penny Whistle] – John Cascella
Guitare – David Grissom
Guitare, chœurs – Mike Wanchic
John Mellencamp renoue avec le Rock avec "Whenever We Wanted", sorti en 1991.
Les meilleurs moments, "Love and Happiness", "Get a Leg Up", "Whenever We Wanted", ou encore "Again Tonight", brillent par leur maîtrise.
"Whenever We Wanted" est un album solide, on ne pouvait rêver meilleur album Rock: de superbes performances du groupe, un chant sincère et touchant de Mellencamp, interprété avec une sincérité et une âme absolues, et des compositions magnifiques. L'honnêteté transparaît dans tout ce qu'il fait.
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J aime bien cet artiste , mes albums préférés sont ceux d avant cet album que j ai en cd et que je trouve pas mal ! Vu deux fois en live , zénith et olympia
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Mon problème actuel, c'est que je n'arrive pas à remettre la main sur mes autres CDs de Mellencamp!
J'ignore où îls sont passés...
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Quiet Riot 1983 - Metal Health
Genre: Hard Rock, Arena Rock, Heavy Metal, Glam
Producteur – Spencer Proffer
Basse, chœurs – Rudy Sarzo
Batterie, percussions, chœurs – Frankie Banali
Guitare, choeurs – Carlos Cavazo
Claviers – Pat Regan
Chant, chœurs – Kevin DuBrow
En 1983, Quiet Riot s'est imposé au sommet des classements de singles grâce à sa reprise déjantée de "Cum On Feel the Noize" de Slade et à la première place du Billboard avec son album "Metal Health", vendu à plusieurs millions d'exemplaires.
Cet opus est loin d'être aussi banal qu'on voudrait le laisser croire, le morceau-titre de l'album continuant de tenir toutes ces années. Avec son riff de guitare percutant, ses paroles ineptes et son audace loufoque, c'est le Heavy Metal incarné dans toute sa splendeur et son ridicule excès.
Le groove étonnamment décontracté de "Don't Wanna Let You Go" succède au fulgurant "Cum On Feel the Noize", qui mène à "Slick Black Cadillac", légèrement années 50. "Love's a Bitch" clôt la première face avec fougue et caractère, mais malgré une tentative courageuse du puissant "Breathless", la deuxième face est loin d'être à la hauteur.
Même si "Run for Cover" est un morceau assez percutant, les trois derniers, "Battle Axe" (avec les intervantions de guitare ratées de Carlos Cavazo), "Let's Get Crazy" et "Thunderbird" tendent à minimiser l'importance dun disque.
Toujours sans conteste le meilleur album du groupe, "Metal Health" a fini par devenir un one-hit wonder grâce à l'incapacité de Quiet Riot à proposer une suite digne de ce nom...
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Lita Ford 1983 - Out for Blood
Genre: Heavy Metal
Producteur – Neil Merryweather
Basse, chœurs, chœurs – Neil Merryweather
Batterie, chœurs – Dusty Watson
Guitare, chant – Lita Ford
Après cinq ans passés avec The Runaways, la guitariste Lita Ford a entamé une nouvelle carrière solo et son premier album, "Out For Blood", est sorti sur Mercury Records en 1983.
Les Runaways s'étaient formés en 1975 et s'étaient séparés en 1979 et le Heavy Metal et le Hard Rock étaient clairement dans son esprit et dans son cœur.
De 1983 à 2009, Lita Ford sortira sept albums studio et son catalogue musical confirme sa fidélité évidente au Heavy Rock.
Lita Ford peut certainement être considérée comme une pionnière du Hair Metal…
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Acheté à sa sortie. Ca cartonnait grave à l'époque. Même que Les Enfants du Rock via l'émission Rêve de Fer en avaient fait la promo en diffusant le clip du morceau-titre. Le suivant Dancin' On The Edge n'est pas mal non plus. Après ça va un peu se gâter.
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C'est le seul que je connaisse!
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Great White 1999 -- Can't Get There from Here
Genre: Hard Rock
Producteur – Don Dokken, Jack Blades
Choeurs – Jack Blades
Basse – Sean McNabb
Batterie – Audie Desbrow
Guitare, claviers, chœurs, percussions – Michael Lardie
Guitare solo, chœurs, percussions – Mark Kendall
Chant, chœurs, percussions – Jack Russell
Great White a réussi un travail remarquable avec son album "Can't Get There from Here", paru en 1999.
A une époque où le Metal alternatif dominait le Hard Rock, il était rafraîchissant d'entendre un groupe chevronné qui ne cherchait pas à suivre la génération actuelle.
C'est du Hard Rock soul et bluesy bien fait, comme le groupe sait le faire.
La plupart des chansons sont co-écrites par Jack Blade de Night Ranger et Don Dokken.
Il manque, peut-être, quelques chansons plus Heavy que l'on retrouve notamment sur les deux premiers albums du groupe.
Ce n'est pas un mauvais album du tout, il ressemble au Great White de la fin des années 80 et du début des années 90...
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GUN 1989 - Taking on the World
Genre: Hard Rock, Alternative Rock, Pop Rock
Producteur – Kenny McDonald
Basse – Dante Gizzi
Batterie – Scott Shields
Guitare – Baby Stafford, Giuliano Gizzi
Chant – Mark Rankin
En 1989, le groupe de Rock Ecossais, GUN, a sorti son premier album, "Taking on the World".
Avec 10 titres, dont cinq singles, il est difficile de trouver de véritables moments de faiblesse.
GUN et son producteur ont réalisé un travail fantastique en livrant cet album que de nombreux fans de Rock considèrent comme l'un des meilleurs premiers albums Rock d'un groupe Ecossais.
Le timing est primordial, et GUN est peut-être arrivé un peu tard sur la scène Rock pour atteindre les sommets que son œuvre méritait sans doute.
Toujours est-il que "Taking on the World" est un disque qui doit être absolument écouté!
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Stone Poneys 1967 - Stone Poneys
Genre: Folk Rock, Psychedelic Rock
Producteur – Nick Venet
Guitare acoustique – Ken Edwards, Pete Childs, Bob Kimmel
Guitare acoustique, bouzouki – Cyrus Faryar
Guitare acoustique, guitare électrique – John T. Forsha
Basse – James E. Bond, Jr.
Batterie – Billy Mundi
Chant, cymbales à doigts – Linda Marie Ronstadt
Sorti en 1967, le premier album de Stone Poneys, éponyme, est leur disque le plus folk et leur meilleur, dominé par de belles harmonies et un matériel original fort des guitaristes du groupe, Bob Kimmel et Kenny Edwards.
Linda Ronstadt avait rencontré Bob Kimmel et joué avec lui au lycée.
Après un semestre d'université, elle avait déménagé à Los Angeles pour former un groupe avec lui. Le guitariste principal Kenny Edwards les avait rapidement rejoints et, après avoir joué dans les clubs locaux, ils avaient adopté le nom de The Stone Poneys.
C'était essentiellement un groupe Folk et ce disque refléte ce style.
Si Ronstadt allait rapidement devenir le point central du groupe, cet album est une affaire de groupe. Kimmel et Edwards ont composé sept des dix morceaux, et les voix sont partagées avec une grande part d'harmonisation.
L'album fut malheureusement un échec commercial à sa sortie, mais il fut réédité en 1975, après la célébrité de Linda, et il atteignit les bas de classement des Charts Américains.
Son impact durable reste le fait qu'il marqua les débuts de l'une des artistes Pop / Rock féminines les plus populaires de l'histoire de la musique américaine.
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Ana Popović 2001 - Hush!
Genre: Modern Electric Blues
Producteur – Jim Gaines
Guitare acoustique – William Lee Ellis
Choeurs – Jacqueline Johnson, Susan Marshall
Basse – Bart Kamp, Dave Smith
Contrebasse – Sam Shoup
Batterie – Ronald Oor, Steve Mergen, Steve Potts
Guitare, chant – Ana Popović
Piano, orgue – Ernest Williamson, Rob Geboers
Guitare rythmique – Jack Holder
Saxophone – Jim Spake
Trompette – Scott Thompson
Chant [Duo avec] – Bernard Allison
Originaire de Yougoslavie, Popović semble avoir grandi dans un environnement atypique pour s'imprégner de la Soul profonde, du Swamp Rock robuste et du R&B rauque qu'elle révèle sur son premier disque, "Hush!", sorti en 2001.
Avec l'aide du célèbre producteur de Blues Rock Jim Gaines, Ana a livré un album robuste, assuré et éclectique qui met en valeur ses nombreux talents, notamment à la slide guitare, dans des compositions oscillant entre le Jazz ("I Won't Let You Down", "Minute 'Til Dawn"), le Funk profond (une reprise innovante de "Downtown" de Tom Waits) et la Pop Soul ("How Lonely Can a Woman Get?").
Avec une voix rauque et sensuelle, elle aborde ces morceaux avec beaucoup d'autorité.
Le duo avec Bernard Allison sur "Bring Your Fine Self Home" de Johnny Copeland est à la fois sexy et brut, les deux s'échangeant couplets et riffs avec une excitation et un respect mutuel évidents.
Une version déchaînée de "A Man of Many Words" de Buddy Guy ("Girl of Many Words") sort le morceau de l'oubli, tandis qu'Ana en sort une version visqueuse aux cuivres endiablés qui modernise le morceau tout en le personnalisant.
Ses compositions originales ne repoussent pas les limites du genre, mais sont des morceaux compressés de Blues Rock qui mettent parfaitement en valeur son chant puissant, ses leads nerveux à la Hendrix et sa posture affirmée.
"Hometown", son écriture personnelle, un voyage gluant et ondulant à La Nouvelle-Orléans sur fond de percussions tribales hypnotiques, n'est qu'un des morceaux phares de l'album.
Enregistré à Memphis, Ana a capturé le charme R&B évocateur et brut de la ville sur cet album soigné qui fut nominé "Meilleur nouvel albume de débutant" au WC Handy Award à Memphis, dans le Tennessee...