Qu'écoutez-vous en ce moment ? (pas de pochette seule SVP)

[whereisbrian]

Voici le premier album de "Dwarfs Of East Agouza" sorti en 2016, avec le titre d'ouverture "Baka of the Future", la suite est bien aussi...

Ils sont trois, rencontrés Au Caire, du même quartier, qui leur a donné leur nom de baptême.

Sir Alan Bishop, basse et sax alto, Sam Shalabi à la guitare électrique et Maurice Louca à l'orgue, aux synthés et aux percus.

J'aime bien d'ailleurs je me suis acheté les 4 premiers, il viennent d'en sortir un nouveau, j'y jetterai une oreille (pas trop loin quand même...)

Baka of the Future

Waou!

[whereisbrian]

Chat Pile & Hayden Pedigo, In The Earth Again, 2025

Etonnant. Des titres franchement hardcore (Chat Pile oblige) et d'autres quasi folk (Hayden Pedigo oblige) et d'autres mélangés (au sens Réunionnais du terme).
On ne s'en plaindra pas.

[whereisbrian]

Michel Cloup Duo, Danser Danser Danser Sur Les Ruines, 2020

Français, expé, c'est très bon et utopique (on s'en doute).
Essayez "Les Vrais Héros Ne Meurent Jamais"

[Douglas]

Un titre bien pêchu de Curtis Amy qui donne envie de bouger...
J'en avais déjà parlé avec une interrogation qui perdure sur l'année de sortie (66 ou 67?)

Curtis Amy Mustang (long version)


Written-By – Sonny Red
Baritone Saxophone – Leroy Cooper
Bass – Edgar Willis
Drums – Bruno Carr
Guitar – Carl Lynch
Piano – Kenny Barron
Tenor Saxophone, Soprano Saxophone – Curtis Amy
Trumpet, Flugelhorn – Jimmy Owens
Vocals – Eva Harris

[Punker paname]

Aujourd'hui

Une petite série entièrement fRancophone, pour une fois pas de groupes Painque et Metal des coins les plus reculés de notre pauvre petite planète mais juste un peu de Painque et de la Power Pop de par ici

La réedition Cd' du second Album de Camera Silens Rien Qu'en Traînant sortie en 2003 sur Euthanasie , la période Punk'n 'Reggae du groupe avec de magnifiques sections de cuivres et des superbes chansons comme par exemple Espoirs Déçus qui évoque les trahisons que subirent les réfugiés républicains Espagnols qui fuyaient la junte fasciste de Franco.



Spéciale dédicace à Danzik et Ceric Pop Le retour des Floo Flash Rose Bonbon sorti cette foutue année sur Flamb Records un pur chef d’œuvre Power Pop valant lui aussi plus que largement ses Cinq Love Mauve

https://hervepaul.com/floo-flash/





La Compile totale discographie ressortie en Cd' des Mega Sonic Boom Blast sortie il y a peu sur Twisted Soul Records regroupant 20 titres avec les morceaux de leur introuvable unique Lp autoproduit de 2000 et de leurs 45tours sortis par le Fanzine Flying Charentaise des inédits et des démos, un de nos plus Australophile et total Cultissime groupe Parisien des années 90's et du High Energy Rock'n'Roll Detroito Sydneyite valant plus que très largement ses Cinq Love Mauve

[Danzik]

Merci Punker paname !

Je viens d'écouter, c'est sympa le maxi de Floo Flash C'est un trio maintenant, et il y a aussi du changement au niveau des musiciens.

[Punker paname]

Merci Punker paname !

Je viens d'écouter, c'est sympa le maxi de Floo Flash C'est un trio maintenant, et il y a aussi du changement aux niveaux des musiciens.

De rien Danzik j'étais sur que ça te plairait, à noter que leur Guitariste Hervé Paul à un sacré paquet de disques Solo dans son Cv plus dans une veine Pop Chanson mais sur lesquels je vais me pencher aussi

https://www.discogs.com/fr/artist/11623 ... C3%A9-Paul

[Douglas]

Un grateux tchèque qui connaît son affaire...

Jakub Šimanský - The Crippled Step



Ears of village - Jakub Šimanský

[Piranha]

Chat Pile & Hayden Pedigo, In The Earth Again, 2025

Etonnant. Des titres franchement hardcore (Chat Pile oblige) et d'autres quasi folk (Hayden Pedigo oblige) et d'autres mélangés (au sens Réunionnais du terme).
On ne s'en plaindra pas.

Pas encore écouté, cet album. Merci pour ta rougail description c'est alléchant.
J'aime beaucoup (beaucoup) Hayden Pedigo. J'ai pu le voir en septembre dernier lors de sa première tournée européenne. C'était dans une guinguette à Laval (Mayenne) devant 30 personnes. Ses mélodies à la guitare font mouche à chaque fois et on s'imagine rapidement sur les routes du nord Texas.

On va voir ce que cela donne avec les énervés de Chat Pile

[Punker paname]

Piranha Pas encore écouté, cet album. Merci pour ta rougail description c'est alléchant.
J'aime beaucoup (beaucoup) Hayden Pedigo. J'ai pu le voir en septembre dernier lors de sa première tournée européenne. C'était dans une guinguette à Laval (Mayenne) devant 30 personnes. Ses mélodies à la guitare font mouche à chaque fois et on s'imagine rapidement sur les routes du nord Texas.

Comment c'est Laval en 2025 j'ai des potes de la bas qui me disait que dans les années fin 70's et les 80's c'était un véritable désert culturel question Rock et qu'a par les très bon Cold Waveux de Réseau d’Ombres - dont j'aimerais bien avoir les disques d'ailleurs et les Blue Valentines dont j'ai eu enfin la chance de trouver le Cd' il y a peu, il n'y avait selon pas grand chose qui se passait.

[nunu]

Le Sommet des Isley Brothers avec l'album suivant. Je viens de voir que Chris Jasper le claviériste du groupe est mort en début d'année d'un cancer, laissant me semble t'il Ernie Isley comme le seul survivant du groupe

[vox populi]

J’aimerais toujours Orelsan car c’est lui qui m’a fait apprécier le rap avec l’album La fête est finie en 2016. Il y a sur ce disque plusieurs chansons vraiment drôles et c’est le style de morceau que je considère le plus difficile à écrire. Avant lui, il n’y avait guère que Renaud et Bobby Lapointe qui avaient réussi à me faire marrer en écoutant de la zik. Bref, Orelsan fait partie de ces musiciens qui m’ont ouvert des portes et qui ont changé ma façon d’écouter la musique. Je crois que tout le monde compte ce genre d’artistes sur les doigts d’une seule main. Pour moi, il y a eu Goldman, James Brown, John Lee Hooker, King Crimson, et donc Orelsan. Tout le reste n’est que déclinaison d’un de ces groupes ou artistes.

Quand on aime, on est parfois déçu, et ça avait été le cas avec l’album Civilisation, sorti il y a 5 ans, qui prenait un virage plus « variété ». Même si ce mauvais penchant a toujours été présent chez lui, il était, à chaque fois avant "civilisation", contrebalancée par l’écriture de quelques « chansons kamikazes » qui nous empêchaient de classer l’artiste dans le monde de la variété. Je pense à Suicide social sur Le chant des sirènes par exemple.


Ouà la chanson Sale pute, qui a fait hurler les féministes, comme le symptôme d’une planète qui n’arrive plus à contextualiser les messages qu’elle perçoit. Pour ma part, je considère cette chanson comme un chef-d’œuvre, car elle assume une vérité qu’on a tous ressentie un jour ou l’autre lors d’une rupture. Il fallait simplement oser la dire et écrire ce que pouvait vraiment être le ressenti de quelqu’un qui se sent trahi dans une relation. Le faire sans jugement, c’est extrêmement fort et courageux.


Bref, Orelsan a toujours été un artiste inclassable. Capable d’écrire des bluettes tout à la fois variétoche comme La terre est ronde et des chansons incendiaires, avec le même talent.

La fuite en avant est son premier disque depuis qu’il a passé la quarantaine. On retrouve toujours en creux l’autoportrait qu’il dessine au fil de ses albums. La musique d’Orelsan est totalement autocentrée. On peut trouver cela prétentieux mais c’est, à mon avis, ce qui a aussi fait son succès. Orelsan, c’est en quelque sorte l’archétype parfait de l’adulescent que sont devenus les adultes aujourd’hui. Ce qu’il écrit, on est nombreux à le ressentir : l’impression d’être un peu bloqué dans l’ado qu’on était. Journées jeux vidéo, soirées weed et regrets le lendemain en se disant qu’on va reprendre les choses en main. Mais ça finit toujours par foirer. Les responsabilités viennent toujours trop tôt pour beaucoup de gens de notre génération, et c’est ce qu’Orelsan raconte dans ce disque avec des chansons comme Encore une fois ou Les monstres.

Orelsan a du mal à grandir et pourtant il va devenir père au moment où il écrit ce disque, ce qui lui fout un peu la trouille. Le sujet de l’album est banal, c’est vrai, mais on n’a pas besoin d’être original quand on a vraiment du talent. On retrouve aussi le côté antisocial du bonhomme dans ce qui reste mes chansons préférées du disque. Sama enchaîne les punchlines et brûle tous les camps, comme d’habitude.


C'est quand il fait le sale gosse que je le préfère. Il me fait rire, car j’ai appris avec Orelsan qu’il ne faut pas prendre ses chansons trop au sérieux. Il le dit lui-même dans Soleil levant : « J’ai pas dit que j’suis un putain de rebelle, j’dis que j’écris des putains de textes. » Et c’est vrai : il s’amuse à écrire des punchlines au kilomètre, tout simplement parce qu’il aime ça. Orelsan se prend moins au sérieux que ne le pensent ceux qui le critiquent. D’ailleurs, lorsqu’il veut s’autocramer, il le fait avec la même fausse conviction que lorsqu’il clashe les autres.


Avec La fuite en avant, Orelsan ne fait donc pas de révolution. Il vieillit avec son public et il est fort à parier que les jeunes vont parler de cet album comme d’un disque pour « darons ».

Si je n’ai pas été déçu par l’auteur, j’ai par contre été un peu refroidi par le producteur, car c’est à ce niveau-là que le disque pêche le plus. Les prods sont pour la plupart très quelconques, voire très cheap. Il fait quelques tentatives, comme la chanson Yoroi (surcompressée, dommage), mais elles sont tellement isolées qu’elles paraissent hors contexte ; c’est peut-être la raison pour laquelle il l’a mise à la fin de l’album. Beaucoup de chansons semblent être des décalques de ce qu’il avait déjà produit. Yoroi fait penser à L’odeur de l’essence, Oulala fait penser à Christophe, et beaucoup de chansons cherchent à retrouver le filon variété-rap de La terre est ronde. La musique sonne donc souvent comme un ressuscé de son passé et c’est, à mon avis, le vrai point faible de l’album, ce qui le rend au final un peu décevant.

Je pense que le prochain disque d’Orelsan sera un moment de vérité. Soit il aura le courage de se réinventer musicalement, soit il restera un auteur extrêmement doué mais qui ne s’adressera finalement plus qu’à un public conquis d’avance.

[Phil]

LP


Je suis très période Stocks en ce moment et ce live, 1er album restera une sorte de coup de poker, réussi par le groupe, cela va sans dire puisqu'à l'époque de sa sortie, il eut un certain retentissement. Même si la formation a changé que je viens de voir au Stock de Mennecy (endroit bien sympa soit dit en passant), Marquilly est toujours là et conserve la flamme qui l'a toujours animé. Un des meilleurs lives français tous genres confondus, j'ai dit !!!!! .


Concert légendaire !!!!!!!!!

[Titis]

Glenmor
Ouvrez Les Portes De La Nuit 1974
En faisant un peu de rangement je tombe sur cet album que n'ai pas écouté depuis un bon moment , c'est toujours un plaisir

un peu de lecture
https://fp.nightfall.fr/index_7453_glen ... -nuit.html

[whereisbrian]

Wire, Silver/Lead, 2017

Un Wire planant, éthéré et atmosphérique.

[Douglas]

Une version vidéo que je ne connaissais pas, juste génial, malgré les sigles de l'INA

Pigalle "Elle glisse" | Archive INA


Elle Glisse par Pigalle

Elle glisse le long du caniveau
Comme si ses pieds ne marchaient pas
Rien ne frémit, rien ne bouge
Que ses yeux noirs de jeune blonde
Elle glisse

Sur les hommes qui la baisent, mais qui ne l'aiment pas
Sur les regards goulus qui regardent ses bas
Sur les femmes jalouses qui ne lui parlent pas
Sur elle qu'est autre chose, mais ça on n'en veut pas
Elle glisse

Elle glisse toujours sans s'arrêter
Jean, blouson de cuir, un peu garçonne
Impassible et distante, fantôme
Seul l'emballage est disponible
Elle glisse

Sur les hommes qui la baisent, mais qui ne l'aiment pas
Sur les regards goulus qui regardent ses bas
Sur les femmes jalouses qui ne lui parlent pas
Sur elle qu'est autre chose, mais ça on n'en veut pas
Elle glisse

Elle glisse même devant son thé chaud
Quand au bar, une main frôle sa hanche
Pourquoi est ce qu'elle dirait non
Puisque même dans ses bras, sous lui
Elle glisse

Sur les regards admiratifs qui ne la trompent pas
Sur la tendresse toute simple qu'on ne lui donne pas
De bar en bar, de table en Formica
Sur les rares envies de rire qui ne sortent pas
Elle glisse

[Punker paname]

Ce matin

Un peu d'Anarcho Punk Dijonais avec la Compilation d' Heyoka Piqûres De Rappel (1991-1997) sortie en 2010 sur Maloka /Zone Onze Records / Deviance



De Torino Italie le deuxiéme Lp des Truzzi Broders 'Nzalla sorti en 1986 sur Totò Alle Prese Coi Dischi, un bon petit Lp au son bien Punk 77-83 pour ce groupe vétéran de la scéne Punk Turinoise fondé en 1982

Truzzi Broders 'Nzalla Full Lp' 1986

[nunu]

Faudrait vraiment que je vois le film un jour.

[whereisbrian]

Faudrait vraiment que je vois le film un jour.

Plus un film d'ambiance sur la Jamaïque qu'autre chose. Musique cool.

[andy]

Pas vu le film mais j ai le vinyle !