Qu'écoutez-vous en ce moment ? (pas de pochette seule SVP)

[whereisbrian]

BRUIT ≤ live

[Douglas]

La série "Polish jazz" contient bien des trésors, voici l'orchestre de Jerzy Milian qui reprend un standard du jazz "Softly as is a morning sunrise" et lui redonne une belle fraîcheur.

Il s'est fait connaître dans les années soixante-dix et cet album marque son retour...

Piotr Wojtasik - trompette
Joachim Mencel - piano
Marcin Ślusarczyk - sax alto, soprano
Maciej Adamczak - contrebasse
Arek Skolik - batterie
Jerzy Milian - vibraphone, marimba

Polish jazz - Softly as is a morning sunrise- Jerzy Milian Quintet 22.02.2004. Jazzclub Hipnoza

[Pills]

BRUIT ≤, The Age Of Ephemerality, 2025

Groupe toulousain.

Post rock, neo classique (violon, violoncelle), participation du guitariste de Slift.
Engagé.

Vu en live vers chez moi en Octobre avec Alcest, c'était vraiment prenant, un petit côté GYBE! qui n'est pas pour me déplaire.

[nunu]

J'ai jamais été un gros fan de la musique que ca soit de White Zombie ou de Rob Zombie (j'aime bien ses films par contre) mais faut reconnaitre que cet album envoie sacrément

[vox populi]

Depuis L’Envolée (sorti il y a déjà 13 ans !), Eicher semble avoir enfin trouvé sa place dans la chanson française. Lui qui a tant voyagé dans tellement de directions différentes — en studio mais aussi, et surtout, sur scène — produit depuis une dizaine d’années une série de disques qui s’écoutent toujours tranquillement, au coin du feu.

C’est souvent quand un artiste trouve sa vitesse de croisière qu’il devient un peu chiant. C’est le cas la plupart du temps, mais pas avec Eicher. Pourquoi ? Parce qu’il est toujours extrêmement exigeant sur tout ce qui fait la qualité d’une belle chanson : le texte, la mélodie et le son.

Eicher, sur ce disque encore plus que sur les précédents, marche sur ses trois jambes et produit un album de chansons quasi parfait. Sans vraiment m’en rendre compte, ce disque m’accompagne depuis plusieurs jours, à quasiment tous mes instants de cerveau disponibles pour la musique.

Tant et si bien que je pense maintenant qu’il s’agit là de mon album préféré en 2025.

[vox populi]

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Théodora avait sorti en 2024 mon album préféré de l'année. Au mois de mai 2025, elle sort un remix de ce disque où elle pousse encore plus loin le délire sur les chansons. Je n’ai pas dû comprendre dix mots de cet album. Tout n'est que question de sons et de rythmes qui viennent de tant de cultures différentes qu'on ne sait plus où ranger cette artiste et son frère (qui est le producteur de tous les titres. Un génie !)

Ce disque reste une des expériences musicales les plus étranges que j'ai vécues ces dernières années. C'est à la fois une pop totalement sucrée et, en même temps, une musique pleine de références à des styles ancestraux.

Une sorte de nouvelle recette que j'ai totalement détestée la première fois que je l'ai goûtée, mais qui est très vite devenue pour moi un motif d'espoir pour la musique de demain. Quand je pense que c'est Bruel qui était numéro 1 quand j'étais ado… C'est quand même autrement plus excitant pour les jeunes aujourd’hui. Ils ont de la chance de pouvoir découvrir la musique avec des artistes comme Théodora.

[Pills]

Quelle merveille ce disque tout de même, il se tient du début à la fin, tout en justesse et c'est très bien enregistré. Disque mélancolique mais réconfortant.

Neil Young - On the Beach (1974)

[whereisbrian]

Slomosa au Hellfest 2025

[Harvest]

Quelle merveille ce disque tout de même, il se tient du début à la fin, tout en justesse et c'est très bien enregistré. Disque mélancolique mais réconfortant.

Neil Young - On the Beach (1974)

Effectivement un disque de très haute tenue. Admiré dès sa sortie - j’avais séché les cours pour me le procurer dès son arrivée chez le dealer de disques.

Avec Time fades away et Tonight’s the night, la trilogie parfaite, même si paraît -il la critique dit-on aujourd’hui avait mal reçu ces deux derniers. Ce dont je n’ai pas le souvenir.

On the beach, un de mes cent disques préférés.

[Unserious Sam]

Et le paysage et plus sympa que là-dessus :

[Cooltrane]

Quelle merveille ce disque tout de même, il se tient du début à la fin, tout en justesse et c'est très bien enregistré. Disque mélancolique mais réconfortant.

Neil Young - On the Beach (1974)

Effectivement un disque de très haute tenue. Admiré dès sa sortie - j’avais séché les cours pour me le procurer dès son arrivée chez le dealer de disques.

Avec Time fades away et Tonight’s the night, la trilogie parfaite, même si paraît -il la critique dit-on aujourd’hui avait mal reçu ces deux derniers. Ce dont je n’ai pas le souvenir.

On the beach, un de mes cent disques préférés.

En effet, la critique canadienne (et Nord Am) a +/- démoli à l'époque ces trois albums en les qualifiants de dépresso-suicidaires.

à un point qu'il aura fallu attendre presque 30 ans (2003) pour que On The Beach sorte enfin légalement en CD, alors que Tonight (encore plus déprimant) est sorti en 87.

Perso, entre Nowhere et Zuma, je passe plutôt mon chemin, sauf qqes titres (style Southern Man) et effectivement OTB étant celui que je préfère.
Zuma, Star & Bars et Rust Never Sleeps sont +/- ma trilogie à moi (Comes a Time étant négligeable) avec en apothéose le géant Live Rust >> dont j'ai vu la tournée deux fois, avec les Road Eyes.

[Phil]

LP
Retour sur une adolescence envolée.....


Magnum publiait en 2009 un album somptueux de hard rock mélodique intitulé Into The Valley Of The Moonking que je vous recommande vivement. Moins connu qu'un Wings Of Heaven, Vigilante ou bien Goodnight L.A, cet opus recèle néanmoins de bien jolies pépites telles ces The Moonking, No One Knows His Name ou bien encore Cry To Myself et All My Bridges.

[CCR]

Quelle merveille ce disque tout de même, il se tient du début à la fin, tout en justesse et c'est très bien enregistré. Disque mélancolique mais réconfortant.

Neil Young - On the Beach (1974)

Effectivement un disque de très haute tenue. Admiré dès sa sortie - j’avais séché les cours pour me le procurer dès son arrivée chez le dealer de disques.

Avec Time fades away et Tonight’s the night, la trilogie parfaite, même si paraît -il la critique dit-on aujourd’hui avait mal reçu ces deux derniers. Ce dont je n’ai pas le souvenir.

On the beach, un de mes cent disques préférés.

euh, ah bon.

Je me le suis procuré il y a une dizaine d'année Tonight's The Night et bonne déception. C'est pas tellement qu'il soit dépressif qui m'a déplu ( Third/Sister Lover des BIG STAR, enregistré 1 an plus tôt l'est tout autant et surtout meilleur !!). Le problème de Tonight's The Night, c'est son manque d'inspiration flagrant, en témoigne par exemple Borrowed tune copie totale de lady Jane...
Edit 1: je viens de voir les paroles de Borrowed Tune, il ne s'en cache même pas de l'avoir pompé sur les Stones.... pas peur quand même !
Edit 2 : c'est vrai que Big Star, ils ont repris un morceau du Velvet, sur ce Third/SL .... même principe au final

[Danzik]

Quelle merveille ce disque tout de même, il se tient du début à la fin, tout en justesse et c'est très bien enregistré. Disque mélancolique mais réconfortant.

Neil Young - On the Beach (1974)

Effectivement un disque de très haute tenue. Admiré dès sa sortie - j’avais séché les cours pour me le procurer dès son arrivée chez le dealer de disques.

Avec Time fades away et Tonight’s the night, la trilogie parfaite, même si paraît -il la critique dit-on aujourd’hui avait mal reçu ces deux derniers. Ce dont je n’ai pas le souvenir.

On the beach, un de mes cent disques préférés.

En effet, la critique canadienne (et Nord Am) a +/- démoli à l'époque ces trois albums en les qualifiants de dépresso-suicidaires.

à un point qu'il aura fallu attendre presque 30 ans (2003) pour que On The Beach sorte enfin légalement en CD, alors que Tonight (encore plus déprimant) est sorti en 87.

Perso, entre Nowhere et Zuma, je passe plutôt mon chemin, sauf qqes titres (style Southern Man) et effectivement OTB étant celui que je préfère.
Zuma, Star & Bars et Rust Never Sleeps sont +/- ma trilogie à moi (Comes a Time étant négligeable) avec en apothéose le géant Live Rust >> dont j'ai vu la tournée deux fois, avec les Road Eyes.

Je viens de le réécouter, de mon cd, et je vous rejoint, qu'elle petite merveille le contenu de One The Beach.
Découvert sur le très tard, grâce à ce forum me semble t'il.
Question de sensibilité j’apprécie un peu moins le titre For The Turnstiles.
D'une grande délicatesse et douceur musicalement, les musiciens sont parfais :
c’est très reposant, comme la compagnie d'un… chat.

[lienard]

J'ai copieusement détesté cette trilogie là ..

[nunu]

Justement puisqu'il est cité au dessus, un des mes lives favoris, une sort de best of 70's de Neil Young. La fin d'une époque avant des années 80 laborieuses pour le Loner.

[Pills]

Merci à tous pour vos retours enthousiasmants sur ce disque. Je m’en vais suivre vos conseils et écouter ce Live Rust que je ne connais pas du tout

[whereisbrian]

Justement puisqu'il est cité au dessus, un des mes lives favoris, une sort de best of 70's de Neil Young. La fin d'une époque avant des années 80 laborieuses pour le Loner.

C'est un monument. Une partie "folk" et une partie électrique.
Le film qui en a été tiré est tout aussi bien.

[Harvest]

J'ai copieusement détesté cette trilogie là ..

Aujourd’hui encore ?

[Harvest]

Justement puisqu'il est cité au dessus, un des mes lives favoris, une sort de best of 70's de Neil Young. La fin d'une époque avant des années 80 laborieuses pour le Loner.

Fantastique live. Là, ça devrait mettre tout le monde d’accord.