Qu'écoutez-vous en ce moment ? (pas de pochette seule SVP)

[Punker paname]

Bonnie Raitt
Bonnie Raitt 1971
Moi je me suis replongé dans ce premier album , une vrai pépite blues qui n'a pas pris une ride , le suivant est tout aussi bon

Elle m'évoque un peu dans sa voix des chanteuses Blues Rock, Heavy Rock de la fin des 60's et des débuts des 70's comme Genya Ravan (Je suis un immense fan de cette chanteuse ) à sa période avec les Ten Wheel Drive ou la fabuleuse Lynn Carey qui joua avec les C. K. Strong et surtout les fabuleux Ivar Avenue Reunion et Mama Lion deux groupes dans lequel jouait aussi le regretté fameux bassiste et auteur compositeur Neil Merryweather, des groupes dont j'aimerais bien avoir les disques d'ailleurs

Pour moi ce matin

Le second Maxi 45 8 titres des Italiens des Stinky Rats Vergognati sorti en 1986 sur Chaos Produzioni / Blu Bus , un des groupes phares des grandes heures de la vague Punk HXC Italienne des mid 80's avec Raw Power, Negazionne, Wtretched, CCM-Cheetah Chrome Motherfuckers, Declino, Kina



d'Actualité le 9éme Lp des Taïwanais de ChthoniC Bù-Tik sorti en 2013 sur Spinefarm Records et a Taïwan sur Ciong Zo Records entre Black Metal et Metal Symphonique bien foutu, mené par Freddy Lim qui est aussi un ardent activiste défenseur des droits humains et député du Parlement de Taïwan

ChthoniC Defenders of Bú-Tik Palace -Official Video

La réedition Vinyle du Lp Solo de Rik L Rik The Lost Album sortie en 2017 sur Radiation Reissues et sur Posh Boy en 1991 une compilation des morceaux et démos les plus personnels de Rik (1960-2000) entre Rock Garage et Punk.

Rik L Rik chanta dans les légendaires F-Word!, Negative Trend qui devinrent l Flipper et les Toiling Midgets. et plus tard avec les Electric Frankenstein

Rik L Rik The Out Back

Rik L Rik Teenage Destiny

Rik L Rik Can't Seems To Make You Mine a Seeds Cover

[alcat01]

j'écoute le seul album de Jamul...



Sorti en Février 1970, l'album contient principalement une musique Heavy Rock brillante avec quelques influences Blues, dominée par des guitares emballées, des vocaux extrêmement puissants et une section rythmique carrée, et une touche de Country Rock.
Sur les onze titres qui le composent, huit ont été écrites par le groupe, qui a, en plus du chanteur principal Steve Williams, deux autres bons chanteurs, Bob et Ron, et les trois autres sont d'excellentes reprises, plutôt des relectures de vraies chansons originales déstructurées, comme une interprétation assez brutale du Blues traditionnel "Tobbaco Road", avec un solo de guitare solide et de l'harmonica Blues, "Long Tall Sally" de Little Richard et une version Heavy de "Jumpin 'Jack Flash" des Rolling Stones.

Leur version de "Long Tall Sally" est venue aux oreilles du compositeur, qui a été impressionné par ce qu'il a entendu et a invité le groupe à enregistrer une vidéo en jouant ladite chanson. Richard lui-même est venu participer au tournage, qui a eu lieu à Washington.
Le son de cet album sale et plein de sensation crée une certaine atmosphère. Les compositions sont merveilleuses, la voix est parfois déchirée, parfois plus pure dans les ballades, les guitares sont féroces et la sonorité d'ensemble est totalement caractéristique de l'époque.
Les meilleures chansons sont "Tobacco Road", "Ramblin Man" (qui n'a rien à voir avec la chanson des Allman Brothers) et l'apocalyptique "Valley Thunder".

Cet enregistrement exceptionnellement bien produit ne peut être que recommandé, en particulier pour les fans de Frantic, Steppenwolf, Euclide et autres Yesterday's Children.

L'album avait été enregistré en 1970 et il fut publié la même année. Le groupe a réalisé une bonne reconnaissance aux États-Unis; Ils ont vendu à environ 75.000 exemplaires et atteint le numéro 93 au Billboard, mais la percée après ce succès n'a pas suivi.

[alcat01]

J'ai enchainé sur "While You're Down There" de Stray Dog...



Pour leur deuxième album, "While You're Down There", Stray Dog a ajouté deux nouveaux membres et cela a complètement changé le son, ce qui fait qu'on peut même très bien aimer l'un et ne pas aimer l'autre.
Austin Godsey, l'ingénieur du staff chez Record Plant à Los Angeles, à ce moment-là, produisait un artiste solo sous le nom de Tim Harrison (alias Tim Dulaine, ex Buckwheat Honey, Timmy Harrison Group) qui connaissait Snuffy, car ils étaient originaires de la même ville, Baytown, au Texas
Il avait joué avec lui au Texas à la fin des années 60 dans The Cellar à Houston lorsqu'il était arrivé de retour de l'un de ses concerts de New York City et il avait joué dans le même club.
Ils avaient travaillé ensemble pendant pratiquement huit mois. Chaque fois qu'il y a un studio ouvert chez Record Plant, ils se réunissaient et enregistraient tout ce qu'ils pouvaient.

Stray Dog, en trio, était à Los Angelès et ils demandèrent à Tim de jouer sur deux morceaux, parmi lesquels"Calamity Jane".
Les morceaux sont assez bons et Tim a été invité à rejoindre le groupe.
Luis Cabaza, un claviériste de session local est devenu un nouveau membre et Austin Godsey a été demandé pour produire et faire l'ingénieur sur l'album.

Cet album n'a jamais vraiment marché et s'est beaucoup moins bien vendu que le premier.
"Very well" est à l'origine une chanson intitulée "Circles" et le Tim Harisson Group avait l'habituse de la jouer avec différentes paroles et arrangements différents...Quand Rufus et Chaka Khan avaient enregistré la chanson, ce morceau avait été triple platine!

C'était un puissant disque de Hard Rock, mais pour une raison quelconque, ils ont décidé de le remixer, et il en est donc d'autant plus "édulcoré".
Le son est assez faiblard et la basse d'Al était tout juste audible
Ik faut dire qu'à ce moment-là, Manticore était en train d'être distribué par Motown...
Et Motown ne savait probablement pas comment mettre sur le marché un groupe comme Stray dog.

Malheureusement, Stray Dog n'a jamais été un groupe célèbre et il n'a jamais atteint les Charts.

Ce disque s'écoute sans déplaisir, mais il n'est en aucun cas comparable au premier...

[Algernon]

A noter que la pochette de l'album est un tableau de 1961 de Mati Klarwein intitulé "Annunciation".

Si vous voulez voir plus à propos de Mati Klarwein, un peintre psychédélique (et pas que) majeur.
Ça vaut le coup de se plonger dans ses oeuvres, dans leur profondeur et leurs détails, même sans substances (bien que ce soit mieux avec )


https://fr.wikipedia.org/wiki/Mati_Klarwein

https://www.wikiart.org/fr/abdul-mati-k ... pe:masonry

Il a fait pas mal de pochettes de disques, pour Miles entre autres. ex : Bitches Brew

Le profil a resservi pour une autre pochette de 1975. Unique album pour un trio qui comprenait Busta Jones (bass & vocals).

[bushi]

Il y a un très beau livre sur les pochettes qu'il a peint, pour des artistes aussi variés que Miles, Santana, Osibisa, Jon Hassel, mais aussi Greg Allman, un maxi 45 de Jimi Hendrix, Yusef Lateef, etc...
Le livre est au format 33T, on voit donc vraiment les pochettes.

Capture d’écran 2022-08-05 à 17.59.29.jpg (180.75 Kio) Vu 1770 fois

[alcat01]

Au court de l'Eté 1969, deux amis originaires de Coventry, au Royaume-Uni, le claviériste Robert (Bob) Jackson et le batteur Paul Hooper décident de former un groupe. Ils fondent un quatuor de Rock Progressif et ils lui donnent le nom de Indian Summer.
Pour ce faire, ils engagent le guitariste / chanteur Colin Williams, et le bassiste Malcolm Harker.

Le groupe commence par faire des tournées dans les universités et les collèges locaux dans leurs Midlands natals.
C'est alors qu'ils sont découverts par un certain Jim Simpson, un promoteur manager installé dans les Midlands qui s'occupait également des groupes comme Black Sabbath et Bakerloo.
A noter, par ailleurs, que Indian Summer et Black Sabbath ont tous deux joué au meilleur club de Birmingham connu sous le nom Henry's Blues House.

En fait, ils ont souvent suppléé Black Sabbath quand ils étaient trop pauvres pour pouvoir se permettre de se rendre aux concerts où ils devaient jouer!
Quartet progressif ayant un potentiel énorme, Indian Summer s'était mesuré à Black Sabbath avec l'opportunité de signer un contrat d'enregistrement avec l'ex-directeur de Vertigo Records Olav Wyper.
Mais Black Sabbath avait remporté ce contrat, ce qui fait que Indian Summer dût attendre un an avant de signer en 1971 avec Wyper, employé par RCA pour diriger son label progressif nouvellement créé appelé Neon Records.
Indian Summer parlait de l'apparence plutôt menaçante du Sabbath: longs cheveux noirs et barbes, mais leur musique avait une qualité mélodique et elle était généralement plus sophistiquée.

En tout cas, Black Sabbath a eu la chance d'enregistrer un album en premier, tandis que Indian Summer devait attendre son tour.
Dans l'intervalle, le groupe a passé son temps à faire de la tournée et à affiner son métier.
Après nouvelle recommandation de Simpson, Olav Wyper a enfin signé le groupe après avoir été témoin d'une véritable tempête à la Henry's Blues House à Birmingham.

En collaboration avec le producteur Rodger Bain, qui avait produit le premier album de Black Sabbath, il les a fait s'installer dans les légendaires Trident Studios de Londres pour enregistrer leur premier et unique album.
Ce disque est fortement recommandé aux fans de prog. Il est composé d'assez longs morceaux à tendance de Hard Rock emmenés par l'orgue Hammond avec un peu de Mellotron avec beaucoup d'interaction instrumentale: une version typique de l'époque.

Bien qu'ils puissent être placés parmi des groupes comme Deep Purple Mk2 ou Uriah Heep, ils parviennent à avoir un son propre: Il s'agit d'un quatuor de base, mais ils ont assez de trucs pour garder votre intérêt et enthousiasme dans l'ensemble de l'album.
L'album a donc été publié à l'origine sur Neon, le même label que Spring, Tonton Macoute, Dando Shaft, Mike Westbrook, Raw Material, ou encore The Running Man, qui n'a pas réussi à bien promouvoir leurs artistes.
Un des éléments intéressants tirés de la note jointe: l'artwork de la couverture a été fait par Keef, la même personne responsable du "Gasoline Alley" de Rod Stewart, du premier album de Black Sabbath, du "Valentyne Suite" de Colosseum, du "Vol. 2" de Manfred Mann's Chapter III et tellement d'autres.

L'album "Indian Summer" a été l'un des deux titres de Neon sortis en Amérique (l'autre étant "Septober Energy" de Centipede), mais il n'a pas fait surface en Amérique avant 1974, trois ans après sa sortie originale au Royaume-Uni, et à ce moment-là, Neon avait cessé d'exister, donc le disque a été édité aux États-Unis sur le label standard RCA / Victor.

Cet opus est chargé de beaucoup de rythmes et de passages musicaux psyché mettant l'accent sur les claviers et les guitares.
Les vocaux sont assez bons et ils possèdent une certaine folie! on aime ou on déteste...
Bien que clairement Heavy musicalement parlant, Indian Summer résonne avec certaines tendances Canterbury, en fait, et parfois le groupe rappelle une version de Caravan plus Heavy.
Les chansons sont bien écrites et portent en elles une certaine atmosphère sombre. Le groupe a une qualité sonore très originale et professionnelle pour leur musique et c'est clairement l'un des meilleurs groupes qui ait eu une existence trop brève.
La chanson d'ouverture, "God is the Dog" est évidemment une protestation du groupe contre la religion, et malgré cela, c'est l'une des meilleures chansons de l'album.

Le quatuor a estimé que Neon n'a pas correctement promu leur disque, et ne l'a lancé que dans le 'public étudiant' plutôt que dans le grand public. Il était évidemment difficile pour eux d'attirer l'attention des médias pendant une période avec tant de groupes extrêmement prospères tels que Deep Purple, Black Sabbath, The Who, Yes, Led Zeppelin et autres Emerson, Lake & Palmer.

C'est en revenant d'un concert au début de 1972 sans argent (et un sac de chips entre eux!) que le groupe a senti que quelque chose n'allait pas du tout et Indian Summer a été dissous.

L'album est maintenant un élément de collection et Indian Summer a encore un culte parmi les fans de musique progressive dans le monde entier. C'est un de ces albums qui, une fois bien écouté, ne vous lâche plus...
Tentez l'expérience!...

[gabuzomeuzomeu]

Doom metal, stoner, heavy-psyché avec un simili-Robert Plant(igrade), ampli Orange, pochette fumante, un trailer Youteube pour voir leur têtes de premiers de la classe et un tour sur le bandcamp
Grave Bathers - Rock N' Roll Fetish (sorti ce jour 5 août 2022)

[nunu]

Que des chef d'oeuvre sur cet album : le stade nasal, astrid, la viande de porc, le jour ou les oranges pelurent et tellement d'autres

[nunu]

Avant la fin de la decennie et le virage disco, Earth,Wind & Fire c'est un groupe qui vaut le détour entre soul funk et R&B. Troisième album du groupe, le seul avec Roland Bautista a la guitare, Al McKay arrivant pour l'album suivant et l'envol du groupe vers les sommets. Un bon album qui tire pas mal vers le R&B et qui contient une reprise de Pete Seeger.

[alcat01]

Le premier du groupe Boston, publié le 25 Août 1976 sur Epic Records, est l'un des albums les plus vendus de tous les temps, et à juste titre. Il a culminé au numéro 3 dans le Billboard 200, et a été certifié 17 fois disque de platine en 2003.

En raison de la montée en puissance de la disco et du punk, le rock FM à la radio semblait tout à fait mort jusqu'à la montée de groupes comme Boston, Tom Petty, et Bruce Springsteen.
Boston pourra être entendu sur la radio rock des décennies plus tard en raison de la forte voix de Brad Delp et du son unique de la guitare de Tom Scholz. Ingénieur chez Polaroïd, celui-ci est considéré par la plupart des amateurs comme l' inventeur du Rock FM, autrement dit, l' AOR pour les Américains.

Tom Scholz avait commencé un mixage de fortune dans un groupe, nommé Mother's Milk, qui comprenait le batteur Jim Masdea et les futurs membres de Boston Barry Goudreau et Brad Delp. Insatisfait de la sonorisation en live, le perfectionniste Scholz avait dissout alors ce groupe et à la place, il avait enregistré des demos faites dans son home studio avec la voix de Delp.
Celles-ci ont, finalement, attiré l'attention de Epic Records.

Scholz en était tellement satisfait qu'il aurait voulu les utiliser comme un dernier album, mais Epic avait refusé. Le matériel avait donc dû être réenregistré dans un studio "professionnel" exactement de la même manière, et Scholz avait insisté poue le faire dans son sous-sol.
Le producteur d'Epic John Boylan, qui avait travaillé avec le Little River Band, entre autres, avait passé un accord avec lui.
Boylan voulait que le reste du groupe de fortune enregistre quelques arrangements en studio à Los Angeles, pour "créer une diversion", pendant que Scholz faisait ses enregistrements multipistes chez lui.

La part du lion de l'instrumentation a donc été réalisée par Scholz et enregistrée dans le studio de son sous-sol dans le Massachusetts, tandis que le chant de Delp a été enregistré à Los Angeles avec le producteur Boylan.
Le batteur Sib Hashian joue sur tous les morceaux sauf "Rock N Roll Band", et seulement deux chansons comportent les contributions de Goudreau et Fran Sheehan, "Foreplay / Long Time" et "Let Me Take You Home Tonight".

L'album s'est rapidement vendu, avec trois singles atteignant rapidement le Top 40 des USA, et.les huit chansons de l'album passant régulièrement sur l'antenne sur Classic Rock Radio.
Roger Huyssen a créé la couverture du disque désormais devenue classique.

Prenant à peine deux mois pour obtenir un RIAA Gold Record Award (500.000 ventes à l'unité) en 1976, et un Platinum Award (1.000.000 ventes à l'unité) après trois mois, il a été le plus rapide de toutes les ventes du tout premier album d'un groupe Américain.
Il a continué à se vendre très bien, accumulant 9 millions de dollars en ventes pour son dixième anniversaire en 1986, atteignant le disque de diamant en 1990, et 17 fois platine en 2003.

Legacy Records a publié une version remasterisée en CD en Juin 13, 2006. Les bandes originales ont donc été remasterisées numériquement et personnellement par le leader du groupe, Tom Scholz, après qu'il ait entendu dire que le projet de remasterisation devait être géré absolument par Sony.
Cela était parfaitement inacceptable pour lui, et il a pris sur lui-même, après quelques négociations avec Legacy.

Un petit nombre de versions remasterisées par Sony a été brièvement mis en vente au Canada le 4 avril 2006 avant d'être retiré des étagères. Ces disques incluaient également des bonus avec des versions live de "Smokin" et "Foreplay / Long Time" tirées d'un concert de 1976 à Philadelphie.

Aucun titre n'est véritablement en dessous des autres, car tous font apprécier la musique de Boston et surtout le 'SON' Boston, si caractéristique, cosmique, même, et surtout parfaitement indémodable.

L'album commence par "More Than A Feeling" qui est une véritable claque dès la première écoute. Ce morceau est le plus gros Hit de Boston, sans parler de l'un des morceaux Rock les plus populaires de tous les temps et une ballade Rock très mélodique, et certainement l'une des meilleures de son époque. En réalité un véritable 'Classic Rock'.
"Peace Of Mind" est un autre 'Classic Rock', et un autre énorme succès pour le groupe. Tom Scholz et Barry Goudreau montrent vraiment leurs capacités à jouer de la guitare, et c'est aussi une chance pour Brad Delp de briller particulièrement au chant.
"Foreplay/Long Time" est la chanson phare de l'album, en raison de son caractère simplement unique, et aussi le fait que deux titres n'en font plus qu'un. L'ouverture "Foreplay" est une séquence fortement instrumentale d'orgue, dans laquelle chaque membre du groupe obtient une chance de montrer ses talents musicaux. De là, il s'efface au profit de "Long Time", qui est une jolie petite musique rock très mélodique. C'est la plus longue chanson sur cet album et jamais un seul instant ennuyeuse...
"Rock And Roll Band" est un morceau de Rock pur, dans lequel le groupe raconte l'histoire de sa naissance à la grandeur du Rock. Les paroles sont inestimables, et la manière dont Brad Delp les chante ne fait qu'ajouter à l'excellence du morceau.
C'est certainement l'un des plus beaux morceaux sur le sujet.
"Smokin'" est un pur Hard Rock avec un break de duel guitare-synthé tout à fait somptueux. Bien que cette chanson n'a jamais été un succès aussi grand que certaines des premières chansons qui figurent sur l'album, il est encore assez populaire malgré cela.
Il y a de nombreux morceaux sur cet album qui sont de véritables vitrines de la capacité du groupe avec la guitare, et celui-ci ne fait pas exception.
A ce moment-là, nous revenons à un ralentissement de style, et le groupe gère la transition à merveille. "Hitch A Ride", est un morceau qui commence et fini par un doux arpège de guitare electro-accoustique mais contenant en son milieu un fantastique solo endiablé d'eviron deux minutes. Certes, ce n'est pas l'un des morceaux les plus populaires de l'album, mais il est quand même assez réussi, et le chant lui-même est unr pure merveille musicale.
"Something About You" est un collage mélodique et électrique, et les résultats en sont tout à fait étonnants. Boston a vraiment la capacité à créer de simples Rocks, ainsi que les plus grands Rocks mélodiques. Cette chanson n'est pas tout à fait l'un ou l'autre, mais plutôt le juste milieu entre les deux. En fin de compte, cela est sans doute la moins populaire des chansons de l'album, mais c'est pourtant un véritable chef-d'œuvre, en dépit de son manque de popularité par rapport à d'autres chansons.
"Let Me Take You Home Tonight" qui clos l' album est l'un de ses plus beaux morceaux, une ballade aux grands choeurs à faire pleurer les plus durs d' entre nous finissant avec un Brad survolté. Très lente et très mélodique, la chanson sonne radicalement différente des autres morceaux, mais dans le même temps, c'est nettement du pur Boston.

En fin de compte, cet album est un véritable classique, un Must.

[DaFrog]

Avant la fin de la decennie et le virage disco, Earth,Wind & Fire c'est un groupe qui vaut le détour entre soul funk et R&B. Troisième album du groupe, le seul avec Roland Bautista a la guitare, Al McKay arrivant pour l'album suivant et l'envol du groupe vers les sommets. Un bon album qui tire pas mal vers le R&B et qui contient une reprise de Pete Seeger.

J’aime bien cette période, plus que September

[nunu]

Toujours avec E,W&F avec leur sommet, Gratitude, une grosse partie Live et la dernière partie de morceaux studios inédits. Le moins qu'on puisse dire c'est qu'on se régale. Les mecs sont plus de 10 sur scène, le duo Al McKay/Johnny Graham fait merveille, le gaucher, McKay et le droitier Graham se complète a merveille aux guitares. La basse de verdine White emmène tout sur son passage et fait groover l'ensemble.

[Algernon]

Que des chef d'oeuvre sur cet album : le stade nasal, astrid, la viande de porc, le jour ou les oranges pelurent et tellement d'autres

[gabuzomeuzomeu]

Que des chef d'oeuvre sur cet album : le stade nasal, astrid, la viande de porc, le jour ou les oranges pelurent et tellement d'autres

Rien que le nom des crédits et le sticker me met en joie... un album que j'ai partagé jadis tellement que je le trouvai indispensable pour tout à chacun !
Bref de la connerie salutaire avec Costric 1er et Hubert de La Motte Fifrée au maximumde leur art

[nunu]

Ohio Players-Fire

Un classique des Ohio Players, et toujours avec une superbe pochette

[vox populi]

Des années que je n'avais plus écouté ce disque.
QUel plaisir de le redécouvrir

[bushi]

Avant la fin de la decennie et le virage disco, Earth,Wind & Fire c'est un groupe qui vaut le détour entre soul funk et R&B. Troisième album du groupe, le seul avec Roland Bautista a la guitare, Al McKay arrivant pour l'album suivant et l'envol du groupe vers les sommets. Un bon album qui tire pas mal vers le R&B et qui contient une reprise de Pete Seeger.

Encore une pochette de Mati Klarwein, dont on a parlé plus haut

[alcat01]

"Too wild to tame", sorti en 1978, est l'unique album paru de The Boyzz dont la durée aura été(malheureusement) éphémère.
La pochette de cet album évoque une période désormais révolue: les années 50. Elle montre, sur le recto, Dirty Dan Buck, le chanteur du groupe, devant une Hydra-Glide dans une pose rappelant Marlon Brando dans "L'équipée sauvage" (le film de Laslo Benedek) et au verso, l'ensemble du groupe qui se trouve devant la moto.

Leur Hard Rock bien graisseux est fortement teinté d'influences Boogie et Southern Rock.
The Boyzz semble s'être inspiré de Lynyrd Skynyrd, Black Oak Arkansas, et Foghat et le groupe peut compter sur Dirty Dan Buck, un chanteur au timbre rugueux, voire criard.

L'alchimie entre les six musiciens fonctionnant à merveille, il ressort de cet album beaucoup de choses positives:
Le puissant "Too Wild to Tame" aux allures de classique, le catchy "Hoochie Koochie" qui est un magistral clin d'oeil au Southern Rock, les punchys et entrainants "Wake it up, Shake it up" et "Back to Kansas"(qui a même des allures de classique), le fantastique "Destined to Die"avec ses cavalcades de guitares acérées et offensives, "Lean n' Mean" et son rythme endiablé, sans oublier "Good life shuffle" un Rockabilly jovial, direct et expeditif, montrent clairement à quel point The Boyzz était un combo inspiré, affamé et avait le feu sacré.

D'autre part, il convient de préciser que le sextet a eu la bonne idée de parsemer ses compositions de cuivres, de piano, d'harmonica, de saxo et, accessoirement, de synthés. Ces ajouts n'enlèvent pourtant rien à l'impact rugissant et dévastateur des Gibson sur l'ensemble de cette oeuvre et, à son écoute, on comprend mieux pourquoi The Boyzz a été adopté par les bikers de l'époque...

Ce Rock surpuissant est des plus convaincants: C'est un super disque de Rock, un album ravageur tirant même franchement du côté Southern Rock avec des guitares jouissives et affutées, des hymnes à reprendre à tue-tête et surtout la voix de Dirty Dan Buck, le chanteur-hurleur de ce gang radioactif, rocker de la grande espèce dont le larynx rocailleux rappelle surtout Bob Seger. The Boyzz ne sont d'ailleurs pas loin du Silver Bullet.
Dans la tradition d'un Rock graisseux made in Motor City, voilà un groupe qui parvient à avoir un son moderne, ce qui ne gâche rien. Au-delà de cette indomptable fureur, des paysages musicaux se dessinent à renfort de synthétiseurs qui donnent une facture très particulière au son de ce groupe.

Ce qui fait que cet album fut l'un des plus violents de cette époque-là.

[alcat01]

Lorsque le deuxième album de East of Eden "Snafu" sort au début de 1970, la musique Rock arrivait à la fin de sa décennie la plus créative.
Il marque une évolution positive. Le groupe acquiert beaucoup plus de personnalité. Il se disperse toujours autant mais structure mieux l’ensemble avec de nouvelles compositions plus percutantes, dans lesquelles les différentes individualités osent plus se mettre en valeur ; le dynamisme interne en est favorisé.
Sans renier les autres genres qu’il abordait déjà, il se dirige plus volontiers vers le Jazz tout en en accordant un meilleur rôle au saxophoniste et en réduisant les parties vocales. Il est plus représentatif globalement, car il intégre du reggae et des morceaux influencés par Charles Mingus et John Coltrane.

Pour certaines personnes, cet album a été un mélange de Jazz-rock fusion, quelques éléments de Ska et de Reggae, classique et populaire, ainsi qu'une improvisation très libre dans un format Rock.
Il intègre une nouvelle section rythmique qui, comme la précédente, ne s’éternisera pas. Elle est constituée du bassiste Andy Sneddon, et du batteur Geoff Britton, à l’aube d’une belle carrière. Ce futur Wings, Rough Diamond, Manfred Mann’s Earthband, The Pirates, Chicken Shack, j'en passe et des meilleurs, se fera également remarquer en tant que karatéka, spécialiste des Arts Martiaux et entraîneur.

Rock bien tourné, "Have to Whack It Up" est mené par la guitare avec le violon légèrement en retrait qui ponctue joliment. Le chant, délirant, n’intervient que sur la fin.
L’instrumental "Leaping Beauties for Rudy Marcus Junior" est une petite merveille. Il mêle Jazz et Rock avec des sonorités propres aux musiques d’Europe Centrale. La première partie se déroule entre le saxophone et la batterie. C’est déjanté, sans direction, Free Jazz. La suite s’accélère nettement, atteint même un rythme fou. Elle est alors dominée par le saxophone et le violon qui évoluent en parallèle, offrant quelques jolis solos. La guitare, acérée, tient le rythme avec la basse et la batterie, déchaînée. La version en bonus exclut simplement la première partie.
En fait, "Xhorkom / Ramadhan / In the Snow for a Blow / Better Get It in yo’ Soul" est une succession de morceaux bien distincts. D’abord, des bruitages de peu d’intérêt ; ensuite, une variante de l’excellent titre précédent, avec le chant en plus ; puis, quelques minutes de Jazz très "Sixties" qui donnent la vedette aux saxophones ; enfin, une conclusion bébête au violon. "Uno Transito Clapori" semble reprendre les bruitages d’un vieux disque rayé qui se refuse à passer au sillon suivant. "Gum Arabic Confucius" démarre sur des sonorités orientales. Le rythme est lent et le tout paraît évoluer dans un troupeau de chèvres ornées de clochettes au cou. La suite se muscle. Flûtes et saxophones se mettent alors en valeur dans une configuration Jazz. Le batteur est également plus que remarquable.
Bon titre, "Nymphenenburger" donne entièrement le leadership à Dave Arbus et son violon. L’intrusion du chanteur est courte et peu bouleversante, au contraire de celle du guitariste.
Bien que subdivisé en trois parties, "Habibi Baby / Beast of Sweden / Boehm Constrictor" conserve un caractère Psychédélique typiquement Californien. Quicksilver Messenger Service semble une fois encore la référence, dans "Boehm Constrictor" tout particulièrement. Dave Arbus est inspiré par le jeu de David Freiberg ou de Papa John Creach. Le court traditionnel aurait pu intégrer ce morceau.
L’instrumental "Jig-A-Jig" deviendra un Hit. C’est une petite merveille: une sorte de chanson traditionnelle du folklore Britannique à la Fairport Convention ou Steeleye Span, joué à grande vitesse, dominé par le violon, enrichi avec bonheur par tous les autres instruments.
"Little Girl" est une jolie petite ballade, tendre, à laquelle le violon apporte une couleur originale.
Autre pièce chantée, mais plus nerveuse, "Biffin Bridge" incorpore deux solos remarquables, au violon et à la guitare. La rythmique est tout aussi flamboyante. Le Psychédélisme et Quicksilver Messenger Service servent encore et toujours de référence.
Un autre bon moment, avec "Blue Boar Blues" aborde, comme annoncé, une ligne plus Blues et Jazz. Flûte, guitare, violon, saxophone sont mis tour à tour en valeur.

"Snafu" a atteint le top 30 au Royaume-Uni.

Encore un excellent album...

[Unserious Sam]

SNAFU : Situation Normal, All Fucked Up... Un peu comme les textes Google Trad...