Qu'écoutez-vous en ce moment ? (pas de pochette seule SVP)

[Pachy]

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Prequelle est le quatrième album studio de Ghost. Les précédents albums de Ghost ont abordé de grands thèmes tels que le destin imminent (Opus Eponymous - 2010), l'antéchrist et l'Inquisition (Infesstimum - 2013), l'humanisme et l'avarice (Meliora - 2015). Prequelle se penche sur les thèmes de la peste, l'apocalypse et les âges sombres.
Encore un album incroyable, même si on reconnais rapidement le groupe !

[whereisbrian]

Jimi Hendrix, Are You Experienced?, 1967

Le titre est un bonne question.

[Douglas]

Ça y est, tu as créé l'envie...

C'est un bel album, qui attaque réellement à partir du 4ème titre, avant, le côté expérimental peut dérouter, ensuite feu d'artifice.


Les trois premiers titres c'est comme la montée de l'escalier...

[whereisbrian]

Ça y est, tu as créé l'envie...

C'est un bel album, qui attaque réellement à partir du 4ème titre, avant, le côté expérimental peut dérouter, ensuite feu d'artifice.


Les trois premiers titres c'est comme la montée de l'escalier...

Exactement.
Content que l'album te plaise.

[vox populi]

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Erik Darling est un artiste totalement méconnu en France, et pourtant l’un des musiciens majeurs de la scène de Greenwich Village. Il a remplacé Pete Seeger lorsque ce dernier a créé les Weavers (ce qui donne déjà un indice sur l’importance qu’il occupait au sein de la scène folk à ce moment-là, puisque les Weavers étaient le groupe folk le plus important des États-Unis en 1958). Plus tard, il fonde son propre groupe, qui décroche un tube national au milieu des années 60 (Eh oui, à l’époque, un air folk datant de 1929 pouvait devenir numéro 1 dans les hit-parades).

Il poursuivra toute sa vie durant une carrière de musicien de très haut niveau — mais pas seulement. Il était également un érudit de la musique traditionnelle américaine, qu’il enseignait avec beaucoup de passion. Il a édité plusieurs livres d’apprentissage du banjo et de la guitare douze cordes, dont il était un spécialiste reconnu.

Au niveau de sa personnalité artistique, Darling était l’anti-Dylan. Autant Dylan symbolise une approche intuitive du répertoire, autant Darling était un maniaque de la précision rythmique et mélodique. Cette obsession du détail lui a permis de développer un groove proche de celui que peut avoir un musicien funk. Je crois que Darling est le musicien folk qui swingue le plus. Son banjo était capable d’emporter tout le groupe dans une dimension funky tout à fait originale, dans un style où la virtuosité n’était pas une qualité répandue.

Le plus remarquable étant que cette obsession du détail, tant au niveau du rythme que de la mélodie, ne se fait jamais chez Darling au détriment des émotions ou de l’originalité. La voix de Darling ne ressemble à aucune autre. Il avait une voix de ténor, qui lui permettait de passer facilement des graves aux aigus, donnant parfois l’impression qu’il chante en duo. Elle sait être à la fois précise (très précise) et introspective.

Tout semblait facile pour Erik Darling, qui utilisait la musique pour combattre une anxiété qui lui a pourri l’existence durant toute sa vie. Il est mort à 74 ans, en 2008, d’un cancer.

Il laisse derrière lui une œuvre considérable, reconnue aux États-Unis. Il a écrit une autobiographie, malheureusement non traduite.

[Pachy]

20250423_170319.jpg (3.4 Mio) Vu 600 fois

De temps en temps...cela fait du bien !

[vox populi]

Pete Seeger était un passionné de toutes les musiques traditionnelles, et en particulier de celles provenant d'Afrique.
Il était également un enseignant enthousiaste et il a enregistré quelques albums avec des chorales de lycée, en particulier l’une des plus connues d'entre elles, qui se nommait The Song Swappers.
Pour ce projet, il a recueilli une dizaine de chants traditionnels africains, en traduisant parfois les paroles. Il adapta aussi l'instrumentation en introduisant le banjo, qui n'était pas présent dans les versions originales, et occidentalisa beaucoup les mélodies, au point où l’on pourrait parfois penser que la chanson est américaine.
Nul souci à tout cela : c'est le folk process, avec les risques inhérents à cet art.
Dans l’introduction que Pete écrira pour ce disque, il commet plusieurs erreurs quant à la provenance ou à la signification des chansons.

La plus grande mésaventure qui lui soit arrivée lors de son exploration du répertoire traditionnel africain a eu lieu avec la chanson "Le lion est mort ce soir".
Je vous laisse découvrir cette histoire totalement incroyable.
http://folkprocess.unblog.fr/2021/11/27 ... t-ce-soir/

[Pachy]

TheBookOfRevelationsThePlumesOfEnceladus.jpg (13.97 Kio) Vu 550 fois

Et ben voilà...Genesis à encore un petit fils (Encore un) et bien sûr Anglais !
C'est comme si Genesis et Marillion et The Watch sont ensembles et cela donne ça !
Autant dire qu'ils n'y à pas de surprises avec eux...j'avoue que j'en n'ai marre de ce genre de groupes !
Pas que c'est mauvais, mais voilà rien de neuf....
En plus, le nom The Book Of Revelations...
Le nouveau viens d'être à l'écoute, je verrais bien ?

[Punker paname]

Commandé ce soir je suis super content de l'avoir enfin trouvé, cela faisait des années que je désespérait de l'avoir un jour

De Norvège la réedition Cd' du mythique premier Lp' de 1981 de De Press Block To Block sortie en 2021 sur Apollon Records un excellent mélange de Punk, d'Art Rock, de Post Punk et de Folk Rock pour les Lp's les plus récents du groupe qui a réalisé tout de même plus de 25 Lp's depuis sa fondation en 1981 par le chanteur et réfugié Polonais Andrej Nebb et le guitariste Jørn Christensen a noter également que ce magnifique premier disque fut produit par un Anglais dont le nom ne doit pas vous être inconnu puisque il s'agissait de John Leckie himself un cador du son qui travailla longtemps pour les studios d'Abbey Road

Le dernier disque en date du groupe The London Nightmare Tape est sorti en 2025 sur Apollon Records un label culte Norvégien existant depuis le début des 80's mais relancé depuis 2013, incroyable d'ailleurs que ce groupe soit si peu connu en fRance alors qu'il est très apprécié en Pologne et en Europe de l'Est.

https://idioteq.com/norwegen-polish-cul ... early-80s/



J'avais découvert le groupe avec leur troisième Lp' sorti en 1983 sur Uniton Records contenant des morceaux du groupe enregistré Live en Pologne et Norvége

De Press On The Other Side

[vox populi]

Dernier volet de la collaboration entre la chorale The Song Swappers et Seeger. Sorti en 1955, ce disque très court (22 minutes) est sans doute mon préféré de la trilogie, et ce malgré un probable problème d'encodage au moment de sa mise en ligne, car le son est vraiment très bas — tant et si bien qu'il faut pousser les potards de sa chaîne à fond pour bénéficier d'une écoute normale.

Cette fois-ci, les chansons viennent du monde entier, dont la France ! Oh mon moine est un traditionnel qui, allez savoir pourquoi, sonne à mes oreilles bien mieux lorsqu’il est chanté par un Américain !

J'ai refait l'expérience avec une autre artiste, Tracy Newman, qui a fait une belle carrière à la télévision aux États-Unis et qui a également sorti plusieurs disques de chansons folk pour enfants que j'aime beaucoup.

Confirmation, les Américains chantent beaucoup mieux les Francais que les locaux
Ils réussissent à sortir un rythme des mots que les chanteurs Français ne trouvent jamais
Etrange et bizarre

[whereisbrian]

Ty Segall, Possession, 2025

J'avoue que je suis plus trop celui-ci.
Dans la veine psychédélique, glam et davidbowesque. C'est très bien fait et légèrement ennuyeux.
Mais en même temps très bien fait. Et légèrement ennuyeux.

[vox populi]

Lorsqu'on s'intéresse à la naissance des songwriters dans la musique folk, on estime souvent, à grands traits, que l’histoire commence avec l'avènement du cinéma, qui a créé le phénomène de la starification. Très vite, seules les versions des airs traditionnels utilisées comme bandes originales des films étaient achetées par le public. On voulait la même version que celle qu'on avait entendue dans le film !
Du coup, pour un gagnant, il y avait des dizaines de perdants. Les maisons de disques ont alors décidé de proposer des œuvres plus singulières : des artistes qui composaient leurs propres chansons !

C’est à cette époque-là qu’A.P. Carter, de la Carter Family, s’est mis à composer ses premières chansons, qui devinrent de véritables tubes. Quelques années plus tard, il fut suivi par Woody Guthrie, qui composa plus de 2000 chansons au cours de sa carrière.
Oui, mais tous ces titres étaient, en fait, la plupart du temps des réécritures de vieux airs folk : on changeait les paroles, on gardait peu ou prou les mêmes mélodies.
Jusqu’à Dylan.

Dylan a commencé par faire la même chose qu’A.P. Carter et Guthrie. Les deux chansons originales de son premier album empruntent leur mélodie au répertoire folk, exactement comme le faisaient ses prédécesseurs.
C’est avec The Freewheelin’ que tout devient différent. Soudain, il semble qu’on ait affaire à de véritables nouvelles chansons ! Le songwriter folk est enfin pleinement né.

Bon… on se rendra compte, quelques années plus tard, que les mélodies de la plupart des chansons de Freewheelin’ sont en fait des réinterprétations de vieux airs folk, et que Dylan a simplement décidé de ne plus y faire allusion dans sa communication avec les médias.
C’est le début de la légende : la fusion totale entre le passé et le futur. Plus besoin de rien justifier. Ce qui est, est.

Ça, c’est l’histoire officielle. Mais comme toutes les histoires, elle est totalement fausse : c’est une construction intellectuelle.
Toutes les histoires personnelles, nationales ou universelles sont toujours des caricatures, des constructions a posteriori pour donner une impression de cohérence. À l'image d'un cerveau qui assimile des centaines de milliers d'impressions pour en faire une perception de la réalité, l'histoire nous raconte un récit qui est suffisamment vrai pour nous permettre de vivre dans ce monde sans exploser sous le poids des questions sans réponses. Mais la vérité c'est que notre cerveau se contente de coller ensemble des morceaux pour donner l'impression d'un tout homogène.

C'est exactement la même chose pour l histoire en règle générale et l'histoire de la musique en particulier

Dans la réalité, les compositeurs folk ont toujours existé, mais ils n’ont pas eu le succès suffisant pour inscrire leur nom dans l’histoire de cette musique.
Un des plus beaux exemples est celui de Connie Converse.

Une nana qui est venue à New York dix ans avant Dylan. Elle s’installe à Greenwich Village et achète une guitare dont elle apprend à jouer toute seule. Très vite, elle compose ses propres chansons, qui n’ont absolument rien de politique. Elle écrit sur la solitude, sur sa mélancolie.
Elle enregistre ses chansons dans sa cuisine, sur un matériel rudimentaire, sans jamais se produire sur scène dans les clubs du Village. Son public est composé de ses amis, qui viennent l’écouter chanter chez elle, la plupart du temps par politesse.

Elle parvient à passer en direct sur une ou deux radios, mais sans aucun retour probant. Les maisons de disques refusent de la signer, car elles ne comprennent absolument rien à ses chansons, qui ne ressemblent à aucune chanson traditionnelle et qui parlent des états d’âme d’une femme — alors que la folk music, à l’époque, doit parler de l’âme de l’Amérique ou des luttes politiques qui ont fondé la nation et son esprit de liberté.

En 1961, exactement l’année où Dylan débarque à New York, Connie quitte le Village et abandonne la musique pour devenir professeure à l’université du Michigan.
Connie est une femme formidablement intelligente, et cela lui permet de mener une carrière très honorable. Elle devient même directrice de la rédaction d’un journal de débat nommé Journal for Conflict Resolution. Bref, tout va bien pour elle… sauf qu’elle n’est pas heureuse.

Elle n’est pas heureuse parce que Connie est une artiste, et que sa vie n’a rien d’artistique. Elle sombre dans l’alcool et la dépression.

À 50 ans, en 1974, elle écrit à ses proches pour leur dire qu’elle veut changer de vie, qu’elle part. Elle charge ses affaires dans sa Volkswagen Coccinelle et… elle disparaît, au sens littéral du terme.
Plus aucune trace de Connie. Personne — absolument personne — ne sait ce qu’elle est devenue.
S’est-elle suicidée ? A-t-elle refait sa vie ailleurs ? Impossible à dire. Ni ses frères, ni ses amis, n’ont jamais eu de nouvelles.

Il faudrait qu’un jour, quelqu’un éclaircisse ce mystère…

Il faudra attendre le XXIe siècle pour que les chansons de Connie soient enfin éditées.
Ces chansons, devenues les témoins d’une légende, nous rappellent qu’il existait de très grands auteurs-compositeurs avant Bob Dylan — mais que, pour une raison ou une autre, ils n’ont pas eu son destin.

[vox populi]

Ce qui rend la vie d’un amoureux de la musique merveilleuse, c’est l’idée que chaque jour on puisse débusquer un nouveau trésor. Pour cela, une paire d’oreilles ouvertes suffit.
Ce matin, j’ai découvert un instrument que je ne connaissais pas du tout : le thérémine. Il s’agit de l’un des premiers instruments de musique électronique, inventé au début du XXe siècle en Russie. C’est peut-être le seul instrument au monde dont on peut jouer sans le toucher — comme par télépathie !

Il est essentiellement composé de deux antennes : l’une sert à modifier la hauteur des notes, l’autre à contrôler le volume. Plus vous vous approchez de l’antenne gauche, par exemple, plus la note produite est aiguë. Le musicien doit alors s’imaginer une corde sur laquelle il pose ses doigts, et glisser le long de cette corde imaginaire jusqu’à atteindre la note qu’il souhaite produire.

Toucher une corde imaginaire pour produire un son réel, c’est toute la poésie du thérémine

Cet instrument a longtemps été utilisé dans le cinéma pour créer des sons étranges ou inquiétants. Mais certains artistes, comme Clara Rockmore, ont eu l’ambition d’en faire un instrument virtuose et poétique, allant jusqu’à interpréter des œuvres classiques.
Entendre Ravel ou Gershwin joués au thérémine est déjà une expérience dépaysante, mais le voir en concert devait être un moment totalement… extraterrestre

Cette découverte me renvoie, par opposition, à une interview de Patrick Rondat.
J’ai écouté hier soir un échange avec un journaliste, durant lequel Rondat expliquait qu’il n’écoutait presque plus de musique, mais qu’il pratiquait la guitare entre cinq et six heures par jour.

Comment est-ce possible ?

Un musicien qui n’écoute plus de musique, c’est un humain qui cesse de respirer.
Ce qu’il y a de plus beau dans la musique, c’est qu’elle maintient en vous éveillés l’art de la curiosité et de l’émerveillement — l’art de rester un enfant, ce moment où le bonheur habite encore votre corps.

Le bonheur de découvrir chaque jour une nouvelle merveille du monde, c’est cela l’enfance, et c’est aussi cela, la vie d’un amoureux de la musique.


herbergeur d images

[nunu]

Katatonia-Nightmares as Extensions of the Waking State (2025)

Tout chaud sorti d'hier le nouvel album de Katatonia. Le premier sans Anders Nystrom. C'est du Katatonia pur jus melancolique et plombant bien comme il faut. Pas encore plongé le nez dans les paroles.

[Phil]

Je l'ai entendu il y a quelques semaines, cet album de Katatonia. Je le trouve excellent. Sans doute un futur achat en ce qui me concerne.

[nunu]

Je l'ai entendu il y a quelques semaines, cet album de Katatonia. Je le trouve excellent. Sans doute un futur achat en ce qui me concerne.

Perso je les aient tous je suis un grand fan du groupe.

[Pachy]

20250607_142039.jpg (4.47 Mio) Vu 267 fois

J'ai de la chance d'avoir ma meilleure amie qui est partie pendant 3 semaines au Japon, au pays du soleil levant !
J'avais entendu et depuis des années qu'il y avait une Meilleure version remastered du Japon de l'album Yessongs...le triple album Live de Yes et sorti en 1972!
Et effectivement et même si c'est bien la même musique, c'est déjà bien meilleur...surtout la basse de Chris Squire et les claviers de Rick Wakeman..
La voix est aussi bien meilleur, un travail de titan...
Je découvre vraiment le plaisir d'écoute de ce monument...trop content que je suis !

[Punker paname]

Vox Populi Ce qui rend la vie d’un amoureux de la musique merveilleuse, c’est l’idée que chaque jour on puisse débusquer un nouveau trésor. Pour cela, une paire d’oreilles ouvertes suffit.
Ce matin, j’ai découvert un instrument que je ne connaissais pas du tout : le thérémine. Il s’agit de l’un des premiers instruments de musique électronique, inventé au début du XXe siècle en Russie. C’est peut-être le seul instrument au monde dont on peut jouer sans le toucher — comme par télépathie !

Content que tu découvre cet instrument merveilleux Vox mais ho combien difficile à apprivoiser - je sais j'en ai un et avec des copains fans de synthés on attends toujours le fameux clone réedition alias le Berhemin que devait sortir le fabricant de synthés Allemand Berhinger qui n'est encore hélas resté qu'à l'état de prototype.... Dommage car il était prévu d'être commercialisé à moins de 100 dollars aux U.S.A et en dessous de la barre des 150 euros en Europe ce qui en aurait fait un magnifique instrument d'initiation



https://www.musicradar.com/news/behring ... ard-taurus

Les modèles et les fabricants actuels de cette fabuleuse machine

https://etheremin.com/sequiper/modeles-actuels/

Les deux modèles de Theremin fabriqués encore par Moog sont l'Etherwave + et le Theremini, et ci dessous la fameuse version luxe le Moog Etherwave Pro (Limited Edition - #423) n'est plus fabriqué et c'était vendu très très cher mais vu que Moog à été racheté par une grosse boite U.S je doute que la version Pro ressorte un jour



https://www.moogmusic.com/synthesizers/ ... -theremin/



Une vidéo de Charlotte Dubois une grande joueuse fRançaise de Theremin

https://www.youtube.com/@charlottedubois/videos



Enfin je te conseille cet excellent petit Roman inspiré de la vie de Léon Thérémine écrit par Emmanuel Villin aux Editions Asphalte parce la vie de Lev Sergueïevitch Termen - le vrai nom Russe de Léon Thérémine fut plus qu'une longue suite de galères, surtout quand on sait ce que lui firent endurer des ordures d'agents Staliniens du NKVD qui l’obligèrent à son retour forcé en URSS en 1938 et après un séjour au goulag à arrêter ses recherches musicales pour se consacrer uniquement à la fabrication et à la conception de matos d'espionnage, il ne sera réhabilité par le régime qu'en 1956 et définitivement reconnu en temps que grand inventeur Russe qu'au moment de la Peretroika en 1990

[Douglas]

Je n'avais pas encore eu le temps d'écouter cet album "Cutouts", je vous mets la dernière pièce, fort jolie...

The Smile - Bodies Laughing

[nunu]

Hexecutor- ...Where Spirits Withers In Its Flesh Constraint (2025)

Le nouvel album des Bretons d'Hexecutor. Death/thrash ultra efficace. Attention le chant est en francais sauf sur le premier morceau en Anglais. Et on sait que le chant en francais dans le metal un peu venere ca peu parfois etre un peu limite