Producteur – Alvin Lee
Choeurs – Mick Fe'at, Steve Gould, Vicky Brown
Basse – Mick Fe'at
Batterie – Alan Young, Bryson Graham
Claviers – Tim Hinckley
Chant principal, guitare – Alvin Lee
Àu moment de la sortie de "Detroit Diesel", en 1986, Alvin Lee semble s'être quelque peu assagi.
Ses chansons ne sont plus seulement des vitrines pour étaler sa technique étonnamment rapide, et il peut approfondir ses morceaux de Blues avec des grooves funky.
Mais, cela ne signifie cependant pas que "Detroit Diesel" soit un album particulièrement remarquable, mais il comporte des moments plus agréables, comme le "Too Late to Run for Cover" des Rolling Stones, que la moyenne des albums d'Alvin des dernières années.
Producteur – Mike Stone
Batterie – Greg Morgan
Guitare – John Halliwell
Guitare – Vinny Burns
Claviers – Ged Rylands
Chant – Gary Hughes
"The Robe" de Ten, sorti en 1997, n'est pas un disque de Heavy Metal, mais il détonne quelque peu. C'est un album Rock, avec des chansons rapides, des tempos moyens, des ballades, tous les attributs des albums classiques.
C'est un album un peu à part dans sa discographie.
Le chanteur Gary Hughes chante dans un registre médium très discret, sur une musique évoquant le Whitesnake du milieu des années 80. Les éléments épiques de la seconde moitié du morceau titre montrent que le groupe est bien plus qu'un simple retour en arrière.
Le seul reproche, mais il est de taille, concerne la production de Mike Stone. La guitare est enfouie et les cymbales trop proéminentes et aiguës.
"The Robe" est, malgré tout, un bon album...
"I'll be there" de Matthew Fisher, sorti en 1974, est un album Pop Rock 'middle of the road' correct, mais vraiment sans plus.
Les paroles sont tout à fait correctes, mais la musique est des plus ordinaire.
Les chansons ne laissent de sensations inoubliables: il y a trop peu de mélodies accrocheuses ou même, mémorables.
Cet album est décevant, surtout venant d'un ancien membre de Procol Harum!
Producteur – Gerrit-Jan Leenders
Basse, Harmonica – Cees van Leeuwen
Batterie, percussions, marimba – Pim Koopman
Guitare [électrique, acoustique] – Johan Slager
Mellotron, percussions – Max Werner
Claviers, accordéon – Ton Scherpenzeel
Chant – Johan Slager, Max Werner, Pim Koopman, Ton Scherpenzeel
L'album éponyme de Kayak, sorti en 1974, est essentiellement une sorte d'extension du premier album du groupe, "See See the Sun", bien qu'il ne soit pas aussi trouble et sombre dans ses profondeurs.
"Alibi" se pare de guitares gémissantes et d'un chant envoûtant sur le refrain, tandis que le récit du survivant, "Wintertime", est agrémenté d'accordéons et d'harmonies lumineuses rappelant un peu le travail de Supertramp.
Le reste de l'album, cependant, c'est surtout des morceaux trop sous-développés, étirés à la longueur d'un album. "They Get to Know Me" offre une interaction entre un orgue subtil, façon Adagio, et des lignes de guitare cinglantes, mais s'attarde trop longtemps sur son instrumental final.
La fin de "Kayak" marque une incursion dans le Space Rock avec "Trust in the Machine", bien que celui-ci ne soit guère plus qu'un morceau d'époque sinueux...
Genre: Funk / Soul, Blues, Blues Rock, Gospel, Delta Blues, Chicago Blues, Country Rock, Folk Rock
Producteur – Delaney Bramlett
Chant alto – Iva Bramlett
Guitare -- Eddie James, Ben Benay, Dave Mason, Duane Allman
Batterie -- Jim Keltner, Sandy Konikoff
Clavier -- Bobby Whitlock
Basse -- Carl Radle, Kenny Gradney
Chant -- Ben Benay, Bobby Whitlock, Bonnie Bramlett, Carl Radle, Dave Mason, Delaney Bramlett, Duane Allman, Gram Parsons, Jay York, John Hartford, Kenny Gradney, Leon Russell, Sandy Konikoff
Delaney & Bonnie croyaient suffisamment aux jams sessions nocturnes pour tenter d'en enregistrer une.
Sorti en 1971, "Motel Shot" avait pour but de documenter le son et l'ambiance des jams d'après-concert auxquelles le couple Bramlett participait souvent lors de leurs tournées.
Après avoir tenté d'enregistrer une de ces jams dans le salon de l'ingénieur du son Bruce Botnick, Delaney & Bonnie et leurs amis ont fini par réitérer l'expérience en studio.
"Motel Shot" dégage une atmosphère détendue et enjouée franchement prenante. Les performances sont presque entièrement acoustiques, et le set est dominé par des standards traditionnels de Blues, de Gospel et de Country que le groupe pouvait apprivoiser confortablement et adapter à son humeur.
Avec la valeur des amis de Delaney & Bonnie présents lors de ces sessions, il n'est pas surprenant que ce matériel soit bien plus abouti que les gaffes musicales de la plupart des gens, même si Jim Keltner se contente de taper sur une boîte vide au lieu de jouer de la batterie.
Delaney et Bonnie ont tous deux une voix magnifique, passionnés mais très présents dans l'instant. On ne peut pas prévoir un moment de génie spontané, mais le duo a été suffisamment intelligent pour savoir que sa muse n'aimait pas être forcée, et "Motel Shot" est un admirable compromis entre une séance de guitare à 2 heures du matin et une session acoustique en studio, et ce fut aussi leur dernier album vraiment efficace...
Basse – Bryan Beller
Batterie – Marco Minnemann
Guitare – Nick Johnston
"Atomic Mind", sorti en 2014, est un album de pure magie instrumentale de Nick Johnston avec les membres de the Aristocrats.
C''est une disque intéressant et dramatique qui comprend des mélodies mélancoliques, des batailles de guitare, de la Surf music et tellement plus encore.
Tous les membres du groupe qui jouent un Jazz Rock Fusion de premier ordre mêlé à des grooves Hard Rock ont été impliqués dans la production.
C'est de l'excellent travail...
Producteur – Lew Futterman, Tom Werman
Basse – Rob Grange
Batterie, chant – Cliff Davies
Guitare, chant – Derek St. Holmes, Ted Nugent
"Double Live Gonzo!" de Ted Nugent, sorti en 1978, est un patchwork d'enregistrements effectués sur la tournée "Free-for-all" de 1976 et celle de "Cat Scratch Fever" en 1977 à Dallas, San Antonio, Abilene, Springfield, Nashville et Seattle, soit pour la plupart des villes dites de seconde importance mais où le public adolescent friand de Hard Rock est le plus fervent.
Etonnamment, sur un petit total de onze chansons, on n'en compte pas moins de trois issues du répertoire des Amboy Dukes ("Great White Buffalo", "Hibernation" et "Baby, Please Don't Go", la reprise de Big Joe Williams qui figurait dans le premier disque du groupe) et deux compositions inédites (la survitaminée "Gonzo" et "Yank Me, Crank Me" qui n'auront jamais de versions studio.
"Double Live Gonzo!" est, quoi qu'il en soit, une orgie sonore et un double album live intense et excessif à l'image du bonhomme, qui s'inscrit en bonne place dans le peloton de tête des enregistrements en public emblématiques des années 70/80.
Basse, chant – Steve Gould
Batterie – Alan Young
Guitare [Slide] – George Harrison
Claviers, chant – Steve Grant
Orgue [Hammond] – Tim Hinkley
Piano – Tim Hinkley
Cordes, chant – Joe Brown
Chant – Deena Payne, Sam Brown
Chant, guitare – Alvin Lee
Sur "Nineteenninetyfour", paru en 1993, Alvin Lee est meilleur que jamais et il n'a rien perdu de ses riffs de guitare depuis sa popularité des années 70 avec Ten Years After.
Alvin a fait quelques reprises, dont le Hit de Dave Edmunds "I Hear You Knockin'", aussi bon, voire meilleur, que l'original et il a même superbement repris le morceau des Beatles "I Want You (She's so Heavy)".
C'est l'œuvre d'un véritable maître au sommet de sa forme. "The Bluest Blues" met en scène George Harrison à la slide et offre l'un des plus grands solos de guitare de la carrière d'Alvin.
Tous les amateurs de bons jeux de guitare adoreront cet album...
Producteur – Gary Hughes
Choeurs – Bob Catley, Jason Thanos, Rafe McKenna, Sue Willets
Guitare basse – Steve McKenna
Violoncelle – Rebecca Whettan
Batterie, percussions – Greg Morgan
Guitare – John Halliwell, Vinny Burns
Claviers – Ged Rylands
Pipe, sifflet, flûte – Mike McGoldric
Alto – Claire McFarlane
Violon – Francis Cummings, Susan Williamson
Chant – Gary Hughes
Avec "Spellbound", sorti en 1998, Ten perpétue son style caractéristique. La touche de certaines épopées de Whitesnake est indéniable et il y a aussi quelques mélodies mielleuses acceptables et pas mal du tout.
Des morceaux anthémiques comme "Fear the Force" ou la chanson titre déchiré par la guerre sont les Hits, mais il y a plus: les mélodies Irlandaises comme "We Rule the Night" et "Remembrance for the Brave", sont un délice et l'atmosphère Ecossaise de "Red" respire la passion. Les paroles parlent d'histoire, principalement d'Égypte (Antoine et Cléopâtre dans "Inside the Pyramid of Light"), de sorciers antiques ("The Alchemist"), d'amour et d'autres phrasés AOR, mais avec style.
Gary Hughes est un excellent chanteur et la section musicale délivre des mélodies savoureuses avec aisance.
"Spellbound" n'est pas le meilleur album de Ten, mais il fait partie de leur meilleure époque.
Producteur – Roger Wilkinson
Chœurs – Birgir Hrafnsson, Gunnar Hermannsson
Basse – Gunnar Hermannsson
Batterie, percussions – Sigurður Karlsson
Guitare électrique, guitare acoustique – Birgir Hrafnsson
Piano à queue, synthétiseur, violon, cithare, flûte – Sigurður Rúnar Jónsson
Chant principal – Pétur Kristjánsson
Chant – Sigurður Rúnar Jónsson
"What's Hidden there" de Svanfridur, sorti en 1972, est une vraie perle rare du Rock Progressif Islandais des débuts.
Seuls deux morceaux s'inscrivent dans une veine moins progressive: "The Woman Of Our Day", un Art Rock principalement axé sur la guitare, ni symphonique ni agressif, et 3Did You Find It?3, un morceau instrumental alternant solos de guitare acoustique et de basse, et passages lents.
Toutes les autres compositions sont résolument progressives et le groupe fait preuve d'une brillante virtuosité instrumentale, notamment les solos de basse, très intenses.
"What's Hidden there" est hautement recommandé à tout amateur de Prog!...
Producteur – Gerrit-Jan Leenders , Kayak
Basse, chant – Bert Veldkamp
Batterie, chant – Pim Koopman
Guitare, Chant – Johan Slager
Claviers, chant – Ton Scherpenzeel
Chant principal, Mellotron – Max Werner
"Royal Bed Bouncer", sorti en 1975, est peut-être le premier effort de Kayak, typique de Kayak, sans lien évident avec Yes, Genesis ou Pink Floyd, si ce n'est qu'il est principalement basé sur la musique symphonique.
Kayak a progressé jusqu'à ce "Royal Bed Bouncer" qui représente l'apogée de sa carrière.
On y entend beaucoup de piano clair et de belles guitares, ainsi qu'un peu de mellotron pour l'ambiance. La courte durée des morceaux ne permet pas de captiver l'auditeur avec des atmosphères plus charmantes, mais les changements d'ambiance constants et le mixage impeccable en font un voyage inoubliable. Le chant de Max Werner est toujours aussi bon et certains morceaux sont exceptionnels, comme le morceau d'ouverture rythmé "Royal Bed Bouncer" aux excellents arrangements au piano, et "Patricia Anglaia", une chanson basée sur un solo vocal féminin de la musicienne invitée "Patricia".
L'album est agréable du début à la fin et se termine par l'excellent "My heart never changes" chargé d'émotion.
Producteur – Pete King
Basse, basse électrique – Jeff Clyne
Batterie, percussions – John Marshall
Guitare – Chris Spedding
Piano – Colin Purbrook
Piano, piano électrique, hautbois – Karl Jenkins
Chant -- Linda hoyle
Linda Hoyle fut la chanteuse principale du groupe Affinity et elle a sorti en 1971 un excellent album,"Pieces of Me", sur Vertigo Records.
Le disque est une collaboration avec le compositeur et membre de Nucleus / Soft Machine, Karl Jenkins, et Nucleus compose la majeure partie du groupe, avec notamment le batteur John Marshall et le guitariste Chris Spedding.
Musicalement, il n'a rien d'exceptionnel, mais il contient quelques très bonnes chansons. Par exemple, le titre éponyme "Pieces of Me" est excellent.
"Paper Tulips" est sans doute la chanson, l'enregistrement et la performance les plus extraordinairement beaux jamais entendus. "For My Darling" est extatique et expressif, et le morceau-titre, complètement fou, est parfait. "Marty Mole" et "Journey's End" sont de jolis petits bijoux.
"Pieces of Me" est l'un des albums les plus rares du label Vertigo Swir car, apparemment, seuls 300 exemplaires originaux ont été produits...
Basse – Mike Starr
Batterie – Bobby Rondinelli
Guitare – Al Romano
Chant – Ray Gillen
L'album éponyme de Sun Red Sun, sorti en 1995, ne dure que vingt-neuf minutes. L'enregistrement à petit budget de huit chansons est certes court, mais chaque morceau est impressionnant. Avec la voix puissante de l'ancien leader de Black Sabbath et Badlands, Ray Gillen, ainsi que du batteur Bobby Rondinelli, du bassiste Mike Starr et du guitariste Al Romano, Sun Red Sun est imprégné d'un Hard Rock percutant du début à la fin.
Le morceau d'ouverture, "Hard Life", ouvre la voie avec le jeu de guitare furieux de Romano, tandis que Gillen exerce sa voix douce. "Outrageous" ralentit le rythme avec des graves lourds et grinçants, qui laissent place au morceau le plus en vogue, l'intense "Lock Me Up", qui s'appuie sur une guitare sauvage et une base de basse épaisse. "I Know A Place" démarre en force avec une intro rappelant une version améliorée d'"Opium Trail" de Thin Lizzy, avec la participation du batteur Mike Sciotto.
Un riff méchant anime le primal "Responsible", qui enchaîne sur le pulsatif "Big Misunderstanding". Le métallisé "Deadly Nightshade" est interprété comme du Judas Priest avec une certaine élégance. Le puissant "Intoxication" conclut le disque en trombe, avec l'image Heavy Metal posé avec autorité.
"Sun Red Sun" est un excellent album, mais trop court. On aurait aimé en entendre plus!...
Producteur – Gary Hughes, Simon Humphrey
Basse – Gary Frankland, Steve Steadman
Batterie – Dave Holtz, Darren Wilcock
Guitare solo – Dan Hope, Lee Revill
Guitare – Aziz Ibrahm
Claviers – Andy Thompson, Howard Smith
L'album éponyme du chanteur Gary Hughes, sorti en 1992, a été créé avant la fondation de Ten.
Ce disque penche vers le Blues, à la fois sous une forme plus groovy, de type Hard Rock ("This Thing of Beauty", "Seducer", "Blonde Angel") et sous une forme plus balladique avec "Renegade" (où Gary Hughes montre qu'on peut aussi chanter assez haut en tant que baryton) et surtout avec "Till the Rivers Run Dry".
Les seuls morceaux qui ressemblent un peu à du Ten sont "Suspendered Animation" et surtout "It Must Be Love".
"We Walk With Angels", qui présente des parties très intéressantes sur une guitare acoustique à 12 cordes avec des influences Folk et Country claires, mérite d'être salué.
Cet album est certainement l'un des disques les plus expérimentaux de Hughes. Malgré tout le côté Blues, le caractère Hard Rock est assez présent. Il faut donc être ouvert à la nouveauté, il y en a pour tous les goûts.
Alvin affirme que l'album "Saguitar", sorti en 2007, célèbre le pur plaisir de faire de la musique. Le Sagittaire est son signe astrologique.
C'est un véritable projet solo. Alvin joue de la quasi-totalité des instruments, à l'exception des claviers, et s'enregistre lui-même dans son home-studio pour un résultat assez impressionnant.
Parmi les musiciens invités, on retrouve le claviériste Tim Hinkley, un vétéran des projets passés d'Alvin et ancien leader de Jody Grind. Il apparaît sur "Motel Blues", l'un des moments forts de cet album de 14 titres.
Musicalement, il se contente de conserver les Boogies Blues Rock et le twang Country qu'il cultive depuis 40 ans.
Parmi les surprises, "Rapper" est un morceau construit à partir de différentes boucles de batterie avec un solo de guitare psychédélique qui serpente tout au long du morceau.
Lee n'est pas un batteur, et l'absence de section rythmique, hormis ses propres overdubs, crée une ambiance un peu raide et homogène qu'il aurait pu éviter s'il avait simplement engagé quelques pros pour jouer ces parties.
Sa voix n'a pas beaucoup changé depuis ses heures de gloire, et des chansons comme "The Squeeze" reproduisent fidèlement des Hits du style "I'd Love to Change the World" sans en être des copies conformes. "Smoking Rope" s'enfonce dans le riff Blues intermittent de "I'm a Man" avec un résultat étonnamment électrique, grandement aidé par les claviers de Tim Hinkley et un son acoustique qui claque sans la batterie qui nuit souvent au contenu de l'album.
Au final, c'est un album solide d'Alvin Lee que les fans apprécieront, mais qui ne risque pas d'attirer beaucoup de nouveaux venus vers son style indéniablement personnel et énergique.
Chant, producteur – Gary Hughes
Basse – Steve McKenna
Batterie – Greg Morgan
Guitare – John Halliwell, Vinny Burns
Claviers – Don Airey
"Babylon" de Ten, sorti en 2000 est conçu comme une histoire qui s’écoute tout au long de ce disque qui raconte que Babylon est en fait une cité de l’an 2999, cette cité étant en fait les U.S.A. de nos jours.
Mélange de chansons très mélodiques et bien balancées comme "Stranger" ou "Give in this time" dans la plus pure tradition de Ten et de superbes ballades comme "Silent Rain", certainement la plus belle ballade, "Love begame the law" ou "Valentine" très 'piano-voix'. Le tout porté par la voix chaude et agréable de Gary Hughes.
Les chansons un peu plus péchues comme "Barricade" se retiennent facilement.
"The heat" est une chanson terrible avec un refrain inoubliable.
"Timeless"est sublime…
"Black hearted woman" rappelle la chanson "Don’t cry" de "The Name of the Rose" de Ten.
En un mot comme en cent,"Babylon" est un très bon album qui se laisse écouter en toute simplicité...
Après avoir connu le succès avec Chicago, Peter Cetera a décidé de se lancer en solo en 1981 avec un album éponyme composé de dix titres.
S'éloignant de la formule sûre et efficace que Chicago utilisait jusqu'à l'épuisement, Cetera fait appel à une équipe d'artistes invités de premier ordre pour affirmer son projet. Carl Wilson et Ricky Fataar des Beach Boys font des apparitions, tout comme le jeune prodige de Toto, Steve Lukather, pour compléter la voix et le jeu de basse distinctifs de Cetera.
Le morceau d'ouverture, "Livin' in the Limelight", est un Rock où Lukather livre un solo de guitare enflammé et Cetera s'efforce d'être aussi Hard Rock qu'un rockeur soft peut l'être. Le calme revient un peu, avec un côté Chicago avec "Mona Mona" et "On the Line".
Tous ceux qui recherchent les ballades sûres et accessibles de Cetera seront légèrement déçus, par contre, les amateurs de Rock du début des années 80 seront agréablement surpris s'ils abordent ce disque avec une oreille attentive...
"The Last Encore", sorti en 1976, est le dernier disque avec Max Werner au chant et il marque la fin de la période progressive et symphonique de Kayak. Il semble moins influencé par d'autres groupes comme Yes, Genesis et Pink Floyd et le son est du plus pur Kayak.
Le son est centré sur le piano parce que Ton Scherpenzeel est l'un des principaux auteurs-compositeurs du groupe. La musique est symphonique et le disque est plein d'émotion, c'est pourquoi ce disque est, peut-être, le meilleur de Kayak, même s'il ne s'est pas très bien vendu.
"Love of a Victim" est la seule chanson véritablement Rock. Elle est assez inhabituelle dans sa sonorité et dans sa progression. "Love me Tonight / Get on Board" est le morceau le plus étrange car il ressemble à un vieil enregistrement du début du 20e siècle. C'est joyeux et étrange et c'est un très bel ajout à ce disque.
Max Werner a arrêté de chanter, car il souffrait de graves problèmes d'anxiété. Il a donc changé son rôle de leader à celui de batteur, ce qui est plus dans ce qu'il adorait faire.
"The Last Encore" marque donc la fin d'une époque digne de ce nom.
C'est du Prog Symphonique de haut niveau...
Chant, producteur – Gary Hughes
Basse – Steve McKenna
Batterie – Greg Morgan
Guitare – John Halliwell, Vinny Burns
Claviers – Don Airey
"Babylon" de Ten, sorti en 2000 est conçu comme une histoire qui s’écoute tout au long de ce disque qui raconte que Babylon est en fait une cité de l’an 2999, cette cité étant en fait les U.S.A. de nos jours.
Mélange de chansons très mélodiques et bien balancées comme "Stranger" ou "Give in this time" dans la plus pure tradition de Ten et de superbes ballades comme "Silent Rain", certainement la plus belle ballade, "Love begame the law" ou "Valentine" très 'piano-voix'. Le tout porté par la voix chaude et agréable de Gary Hughes.
Les chansons un peu plus péchues comme "Barricade" se retiennent facilement.
"The heat" est une chanson terrible avec un refrain inoubliable.
"Timeless"est sublime…
"Black hearted woman" rappelle la chanson "Don’t cry" de "The Name of the Rose" de Ten.
En un mot comme en cent,"Babylon" est un très bon album qui se laisse écouter en toute simplicité...
Chant, producteur – Gary Hughes
Basse – Steve McKenna
Batterie – Greg Morgan
Guitare – John Halliwell, Vinny Burns
Claviers – Don Airey
"Babylon" de Ten, sorti en 2000 est conçu comme une histoire qui s’écoute tout au long de ce disque qui raconte que Babylon est en fait une cité de l’an 2999, cette cité étant en fait les U.S.A. de nos jours.
Mélange de chansons très mélodiques et bien balancées comme "Stranger" ou "Give in this time" dans la plus pure tradition de Ten et de superbes ballades comme "Silent Rain", certainement la plus belle ballade, "Love begame the law" ou "Valentine" très 'piano-voix'. Le tout porté par la voix chaude et agréable de Gary Hughes.
Les chansons un peu plus péchues comme "Barricade" se retiennent facilement.
"The heat" est une chanson terrible avec un refrain inoubliable.
"Timeless"est sublime…
"Black hearted woman" rappelle la chanson "Don’t cry" de "The Name of the Rose" de Ten.
En un mot comme en cent,"Babylon" est un très bon album qui se laisse écouter en toute simplicité...
Une merveille, cet album de Ten.
En fait, je ne trouve pas vraiment de déchets dans toute la discographie du groupe, et celui-ci est un des meilleurs!
