Au matin du 1er novembre 1970, la France se réveille au son d’un récit glaçant. Dans la nuit, 146 personnes, dont la plupart n’ont pas encore 20 ans, ont péri dans un incendie qui, en quelques minutes seulement, a ravagé la salle de l'un des dancings les plus fréquentés de l’Isère.
Dans un chaos que les rescapés peinent à décrire, des dizaines de jeunes venus faire la fête se sont retrouvés pris au piège d’une salle en feu dont les décors en plastique s’embrasent et fondent en quelques minutes seulement.
Cet événement qui a endeuillé de nombreuses familles de la région, de Chambéry jusqu'à Grenoble, est la conséquence d’une impensable légèreté, de la part des propriétaires d’abord, qui, en négligeant la pluplart des règles de sécurité, ont enfermé les jeunes fêtards dans ce que les pompiers qualifient rapidement de "boîte d’allumettes prête à s’enflammer".
Mais des autorités ensuite, qui en fermant les yeux sur une construction bancale et, sur de nombreux points, illégale, ont en quelque sorte permis à ce drame d’arriver.
Cet événement tragique resté dans la mémoire collective est alors pourtant rapidement éclipsé par la mort du général de Gaulle, survenue sept jours plus tard.
Algernon a écrit : ↑ven. 28 févr. 2020 16:34Voici un tragique exemple à opposer au "c'était mieux avant"
Par la suite, ne pourront plus s'ouvrir des lieux similaires avec autant de "légèreté".
68 manquements aux règles de sécurité !
Ceux qui sont suffisamment âgés pourront se souvenir du nom de Saint-Laurent-du-Pont. J'avais douze ans mais ce nom m'avait marqué.
Voici l’histoire du terrible incendie de la boîte de nuit, le 5-7, à Saint-Laurent-du-Pont en Isère, en 1970.
https://www.franceinter.fr/emissions/af ... vrier-2020
Au matin du 1er novembre 1970, la France se réveille au son d’un récit glaçant. Dans la nuit, 146 personnes, dont la plupart n’ont pas encore 20 ans, ont péri dans un incendie qui, en quelques minutes seulement, a ravagé la salle de l'un des dancings les plus fréquentés de l’Isère.
Dans un chaos que les rescapés peinent à décrire, des dizaines de jeunes venus faire la fête se sont retrouvés pris au piège d’une salle en feu dont les décors en plastique s’embrasent et fondent en quelques minutes seulement.
Cet événement qui a endeuillé de nombreuses familles de la région, de Chambéry jusqu'à Grenoble, est la conséquence d’une impensable légèreté, de la part des propriétaires d’abord, qui, en négligeant la pluplart des règles de sécurité, ont enfermé les jeunes fêtards dans ce que les pompiers qualifient rapidement de "boîte d’allumettes prête à s’enflammer".
Mais des autorités ensuite, qui en fermant les yeux sur une construction bancale et, sur de nombreux points, illégale, ont en quelque sorte permis à ce drame d’arriver.
Cet événement tragique resté dans la mémoire collective est alors pourtant rapidement éclipsé par la mort du général de Gaulle, survenue sept jours plus tard.
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Génial!stones72 a écrit : ↑sam. 14 mars 2020 06:55Déjà, "avant" c'est quand en fait ?....
Alors là ça dépends ....
- avant hier c'était bien le facteur m'a apporté de vinyls..
- avant projet ? perso j'en ais pas ....
- avant coureur : ah ! c'est mieux !! le caravane avec de jolies filles qui jettent des minis saucissons ..
- avant bras : j'ai vérifié j'ai bien deux arrières bras.
- avant première il parait que c'est la générale ..Yvonne ? la femme au grand Charles ?
- avant gout ... surement pas ! ça peut être de mauvais gout ...
Enfin de compte pour moi c'était mieux avant Michel Druquer : Jacques Martin !!!
Et surtout avant Jésus Christ : génial de chez génial .. on pouvait se battre à mains nues contre des tigres ou des lions ...
Tiens.. l'infirmier qui m’apporte mes bonbons...
