GTA5: The Cinematographic Score (2014)
En 2013, Tangerine Dream a participé à la bande son du jeu vidéo "Grand Theft Auto 5", pour lequel il a composé des titres inédits.
C'était l'environnement musical pur composé et joué uniquement par T.
Peut-être peut-on reconnaître une mélodie ou un rythme ici et là, mais tout est construit dans la robe des lignes de séquenceur et des mélodies comme cela avait été composé en premier lieu.
Cette édition spéciale a été limitée à 2000 exemplaires, pour les fans purs et durs, et n'a surtout pas été distribué dans les grands magasins n"importe où.
Jane (1980)
Une nouvelle direction a été prise dans les années 1980 avec l'album éponyme Jane (Mask) (1980), appelé parfois Mask.
Il incorpore des éléments New Wave, punk et jazzy dans des configurations straight rock et il introduit un nouveau chanteur / guitariste / claviériste, l'excentrique yougoslave Predrag Jovanovic ou "Pedja".
Les vocaux n'ont jamais été le point fort de Jane et les interprétations énergiques de Pedja leur ont donné un son frais, mais ce fut malheureusement sa seule apparition avec le groupe car il retourna dans sa Yougoslavie natale pour former le groupe de synth-pop D'Boys.
A Black Box (1980)
L'album "A Black Box" est une production emphatique, puissante et techniquement excellente de Peter Hammill.
Plus Rock que "PH7", cet enregistrement trace un chemin entre les années 70 et 80. Les textes sont fouillés, poétiques, psychologiques.
Le morceau multipartie "Flight" est l'un des points forts de l'album. Il couvre tous les aspects et toutes les facettes du talent de Hammill, de la douceur à la force et à l'effronterie, puis de nouveau à la douceur, avec l'inimitable saxo de David Jackson.
N.B.: Le morceau en plusieurs parties est l'une des marques de fabrique de Hammill: il prend un thème lyrique et le développe, à la manière d'une histoire, à travers plusieurs morceaux courts et reliés entre eux.
Encore un disque étonnant de la part de Peter Hammill!
Sneak Me In (1980)
"Sneak Me In" est un album AOR solide avec quelques éléments Pop et quelques bons claviers ajoutés au son.
Les morceaux sont accrocheurs et le jeu énergique, même si cet album n'a rien à voir avec leurs premiers travaux. Mike Stars est plus confiant dans ses capacités vocales et cela se voit dans des morceaux comme "Star dancer" ou "Foxy lady", de bonnes voix typiques de cette approche musicale.
Cet album est agréable du premier au dernier morceau, rien de spécial en fait mais bon au final, les éléments progressifs ont disparu au profit d'un son plus mainstream.
1978 Grab It for a Second
Golden Earring a fait appel à un producteur Américain nommé Jimmy Lovene, pour la réalisation de l'album "Grab it for a second".
Malheureusement cet album n'a pas le succès escompté, surtout à cause du nouveau son de guitare jugé trop "heavy" par les fans.
Malgré ce demi-échec le groupe va continuer à tourner aux Etats unis en 1978.
1975 How Dare You!
Après avoir fait une percée commerciale avec "I'm Not in Love", 10cc a poursuivi sur sa lancée avec "How Dare You!".
C'est un album bien conçu qui montre toujours et encore l'humour excentrique et l'intelligence Pop de 10cc dans une mesure égale.
Au final, "How Dare You" n'atteint jamais les sommets de "The Original Soundtrack", mais il reste un album solide de chansons pop pleines d'esprit.
Solar Fire 1973
L'intérêt de Manfred Mann pour la musique classique Anglaise du vingtième siècle le voit adapter "Planets Suite'" de Gustav Holst, remportant un Hit au Royaume-Uni avec une version de "Jupiter" movement, avec des paroles ajoutées, intitulé "Joybringer".
En Aout 1973, ce simple "Joybringer" obtient un succès fracassant en Europe (numéro 9 au Royaume Uni). C'est le premier succès rencontré par le groupe depuis sa formation et il sort un nouvel album intitulé "Solar Fire" en Novembre (numéro 96 aux Etats Unis).
Le maintenant classique "Solar Fire", dont a été tiré le premier des dix Hits du groupe "Joybringer" et une reprise de Bob Dylan, "Father of Day", lancent enfin le groupe sur la voie du succès.
Même si le disque n'entre pas dans les Charts Britanniques, il continue malgré tout a se vendre régulièrement et obtiendra même un Disque d'Or plus tard.
L'album, vraiment excellent, est d'ailleurs le premier à attirer un large public en Europe et surtout en Allemagne où le succès ne se démentira jamais.
Stray (1970)
Le premier album de Stray, simplement intitulé "Stray" sur le label Transatlantic Records, a été publié en 1970 et il est tout à fait évident qu'il n'est pas là pour faire des prisonniers.
Il contient le classique «All In Your Mind", qui est encore un de leurs morceaux les plus populaires.
Bien qu'ils n'étaient âgés que de 17 et 18 ans à l'époque, leur musique a montré beaucoup plus de maturité que leurs jeunes années ne l'avaient suggéré.
Ils ont l'art de faire sonner leurs albums étrangement comme leurs performances en concert.
Stray (1970)
Le premier album de Stray, simplement intitulé "Stray" sur le label Transatlantic Records, a été publié en 1970 et il est tout à fait évident qu'il n'est pas là pour faire des prisonniers.
Il contient le classique «All In Your Mind", qui est encore un de leurs morceaux les plus populaires.
Bien qu'ils n'étaient âgés que de 17 et 18 ans à l'époque, leur musique a montré beaucoup plus de maturité que leurs jeunes années ne l'avaient suggéré.
Ils ont l'art de faire sonner leurs albums étrangement comme leurs performances en concert.
Je l'avais découvert celui-là il était top...
Pas encore découvert les suivants !
Je l'avais découvert celui-là il était top...
Pas encore découvert les suivants !
J'avais totalement loupé ce groupe (un peu comme le Edgar Broughton Band et Budgie) durant deux/trois décennies, judsqu'à ce que les albums soient réédité en CD dans les 00's.
Mais c'était trop tard dans ma vie pour que j'apprécie . Si j'avais découvert cela en tant qu'ado (de 74 à 81), j'adorerais sans doute encore ajd.
Stray (1970)
Le premier album de Stray, simplement intitulé "Stray" sur le label Transatlantic Records, a été publié en 1970 et il est tout à fait évident qu'il n'est pas là pour faire des prisonniers.
Il contient le classique «All In Your Mind", qui est encore un de leurs morceaux les plus populaires.
Bien qu'ils n'étaient âgés que de 17 et 18 ans à l'époque, leur musique a montré beaucoup plus de maturité que leurs jeunes années ne l'avaient suggéré.
Ils ont l'art de faire sonner leurs albums étrangement comme leurs performances en concert.
Je l'avais découvert celui-là il était top...
Pas encore découvert les suivants !
Si tu aimes celui-ci, tu ne dois pas rater les autres!
Germania (1981)
En ce débus des années 80, Jane revient avec des chansons fraîches et simples, beaucoup de riffs de guitare Heavy et avec une attitude musicale Post Punk.
Avec "Germania", le trio joue du Hard Rock pur et dur, avec seulement des indices de leur ancien son émergeant de temps en temps à travers le jeu de guitare de Klaus Hess.
Au moment de la sortie de l'album qui a mis fin à leur séjour sur le label Metronome, le groupe a commencé à ressembler légèrement aux Scorpions, et même la plus petite trace des penchants de Jane pour le Rock Progressif a disparu.
"Germania" est le chapitre final provisoire de Jane, dont la réputation en tant que pionniers de la scène Rock musicale Allemande était alors constante.
Sitting Targets (1981)
Du côté des musiciens, Peter Hammill s'appuie encore sur ses deux compères de Van Der Graaf Generator, Guy Evans à la batterie, très en avant sur tout l'album, et David Jackson aux saxos et flûte, beaucoup moins sollicité que d'habitude. Phil Harrison aux synthétiseurs et Morris Pert aux percussions interviennent sur quelques titres. Peter Hammill assure presque tous les instruments, guitares, claviers, basse et chant.
"Sitting Targets" se présente certainement comme l'album le plus Rock et le plus direct depuis "Nadir's Big Chance". Cependant, contrairement à ce dernier, le ton général est moins révolté, moins contestataire. Les titres représentent un ensemble cohérent de chansons relativement courtes (pas un titre excédant les 6 minutes), la plupart suivant une structure couplet / refrain assez classique.
Mean Machine (1981)
Le chanteur John Lawton fait officiellement son grand retour au bercail après trois albums avec Uriah Heep, pour l'album de 1981 "Mean Machine" sur Elektra Records. Ce dernier a vu le groupe revenir à son style de Metal d'origine.
Cette fois, la musique est dans la veine de Rainbow. Les riffs de guitare sont excellents, les refrains sont accrocheurs et Lawton chante toujours aussi bien. Sa voix est faite pour cette musique...
C'est l'un des meilleurs albums du groupe!
1979 No Promises...No Debts
En 1979 sort "No promises, No debts" conjointement en Europe et aux Etats-Unis.
Golden Earring était retourné dans son pays natal, la Hollande, pour enregistrer cet album. Cette fois, le guitariste George Kooymans avait pris les rênes de la production et tous les membres du groupe ont collaboré à l'écriture de l'album. L'écriture est plus Pop, plus accrocheuse, et les épopées complaisantes sont délaissées au profit de chansons courtes avoisinant les trois minutes.
"No Promises...No Debts" poursuit dans la direction Hard Rock directe des derniers albums, mais parvient à conserver la personnalité distinctive de Golden Earring, même s'il pousse le groupe dans une direction plus commerciale, AOR.
Même si le groupe se concentre tellement sur l'ensemble de l'album qu'il faut quelques écoutes pour que les chansons individuelles se distinguent d'elles-mêmes, "No Promises...No Debts" reste un disque élégant et cohérent qui plaira aux fans de Golden Earring comme à l'auditeur occasionnel.
1977 Deceptive Bends
Lorsque Kevin Godley et Lol Creme ont quitté 10cc en 1976 pour poursuivre une carrière solo, beaucoup ont pensé que cela sonnait le glas du groupe. Cependant, Eric Stewart et Graham Gouldman ont maintenu le groupe en vie en tant que duo, avec l'aide du percussionniste Paul Burgess et ils ont produit un album étonnamment solide avec "Deceptive Bends" en 1977.
Il n'y a peut-être pas l'esprit farfelu des précédents albums de 10cc, mais le groupe se rattrape en créant une série de chansons Pop luxuriantes et accrocheuses qui sont pleines d'esprit.
Dans l'ensemble, "Deceptive Bends" mérite d'être écouté par tous ceux qui ont aimé "Sheet Music" ou "The Original Soundtrack".
The Good Earth 1974
En Octobre 1974, sort l'album "The Good Earth" (numéro 157 en Amérique) qui ne réussit pas à égaler le succès de l'album précédent, car il est enraciné dans les préoccupations écologiques, un thème récurrant dans la musique de Mann des années plus tard, au point de donner un cadeau d'une parcelle de terre au Pays de Galles avec chaque album vendu (du moins en théorie).
Plus qu'une simple idée de marketing, cette initiative du groupe à permis de sauvegarder une colline boisée riche en faune et en flore menacée à l'époque par les industries. Même encore aujourd'hui, cette colline est toujours dans le même état naturel qu'à l'époque.
"The Good Earth" est encore une fois un excellent album, dans lequel est inclu le titre de Gary Wright "Give Me The Good Earth" et le simple "I'll Be Gone" signé par Mike Rudd.
Suicide (1971)
L'album "Suicide" de Stray, enregistré aux Olympic Studios et paru en 1971, contient entre autres le superbe "Jericho", et bien sûr, l'excellent morceau titre.
Le premier disque du groupe était éclectique, le second l'est aussi!... "Suicide" est essentiellement une nouvelle fusion imaginative de différents genres musicaux sous la définition de Rock Progressif.
Le titre plutôt négatif de l'album, présage, en fait, d'un reflet de l'humeur générale plus sombre de ces chansons en ce qui concerne les paroles.
"Son of the Father" alterne des passages calmes d'une beauté sublime mais glaçante avec d'autres sections plus entraînantes mais plutôt enjouées, le tout soutenant des méditations interrogatives sur les générations d'hommes envoyés à la guerre les unes après les autres.
Certains morceaux, comme "Nature's Way" et "Do You Miss Me ?", continuent de mettre en valeur la puissance de Stray par le biais d'accords et de grooves boogies (mais toujours entrelacés d'une jam inattendue ou d'un accent jazzy), et "Jericho" catapulte d'innombrables riffs contrastés les uns contre les autres avec une intensité urgente.
D'autres chansons obtiennent des résultats à la fois hypnotiques comme l'élégiaque "Where Do Our Children Belong", et consternants comme la Muzak larmoyante et chargée de cordes de "Dearest Eloise", tandis que "Run Mister Run" évoque un Southern Rock. Enfin, il y a le titre controversé, qui combine une progression de basse à la Black Sabbath de Gary G. Giles avec des accords fuzz inquiétants et des solos grésillants de Del Bromham rappelant Sir Lord Baltimore pour transmettre son histoire lugubre.
Ce n'est pas un final très réjouissant mais rien qui n'enlève à "Suicide" ses multiples facettes créatives, surtout si l'on considère que l'album a été enregistré en seulement 30 heures!
il était top...
