Rions beaucoup
Re: Rions beaucoup
Intéressants ces échanges plus haut, sur la moraline, les woke, la cancel culture, etc.
Pour moi, il ne s'agit de rien d'autre que du fruit des excès de notre temps, où nous nous trouvons sur le point de devoir passer le relais aux suivants, sans s'y être préparés psychologiquement et culturellement. Sur fond de polarisation extrême, où si tu n'es pas A tu es forcément B, auquel cas il est obligatoire à ce titre de se foutre sur la gueule. Si l'on se met un instant à la place des suivants, l'on peut éventuellement considérer qu'ils méritent mieux en termes de monde dont hériter.
Ce qui me semble au cœur de ces questions, c'est : les suivants, notre prochain, que veulent-ils, et de quoi ne veulent-ils plus ? J'ai vécu dans la célébration permanente de l'héritage des idéaux de 68, où une génération avait rejeté le modèle des précédentes, en affirmant son droit à vivre selon ses aspirations, ses valeurs, les choix qu'elle estimait avoir la légitimité de faire. En somme, tout ce que celle-ci, un peu plus d'un demi-siècle plus tard, refuse à ses petits-enfants. A la différence près que des boulevards entiers s'ouvraient devant les premiers, tandis que l'horizon se ferme chaque jour davantage pour les seconds (réchauffement climatique, austérité économique et sociale, pauvreté et inégalités, contexte géopolitique, crise démocratique), et nous sommes obligés d'en tenir compte, notamment parce que nous portons notre part de responsabilité dans tout ce qui déconne : nous y avons soit activement contribué, soit avons-nous assez lâchement laissé faire.
- Bonjour Madame, je voudrais trois meringues enrobées de granules de chocolat.
- Oui, des têtes de nègre ?
- Je vous parlais de ces pâtisseries-là.
- Oui ben c'est des têtes de nègre.
- Redites-ce mot encore une fois et je vous prends plutôt du flan pâtissier, je vous le mets en travers de la gueule et je pars sans payer.
N-word. Je suis atterré de voir changer le titre d'un ouvrage d'Agatha Christie (cf. l'exemple plus haut), mais que l'on ne s'y trompe pas : il ne s'agit pas tant de s'inscrire dans une considération d'éthique que de ne pas compromettre le business d'une maison d'éditions. Parce que le mot qui fâchait déjà autrefois, fâche toujours, on l'a trop entendu, et les suivants ne veulent plus l'entendre. Là où nous nous contentions de protester mollement, eux opposent une fin de non-recevoir catégorique, intransigeante et effectivement marquée par cette outrance contemporaine, dont il faut rappeler qu'elle n'est pas seulement l'expression d'un tempérament propre que le résultat de ce que nous avons semé et cultivé en termes de projet de société.
Et je crois qu'à ce titre nous ne sommes pas assez vigilants : en termes de fluidité dans l'approche des questions de genre, de l'égalité hommes - femmes (et de lutte contre le sexisme et les violences associées), de refus du racisme, de redéfinition de la laïcité, etc, nous avons raté quelques trains, et pas des moindres. Et si nous n'avons à opposer aujourd'hui que des anathèmes du type injures droitardes, woke, bobo, chouineuses, islamo-gauchistes, khmers verts, etc, je ne peux m'étonner du fait que les intéressé.e.s nous chient à la gueule, et je me range de leur côté. A plus forte raison que nous serions inspirés dans le cas présent, à faire preuve d'humilité, d'esprit de solidarité. Parce que cela me semble être un phénomène mécanique : plus on dira et fera de la merde, et davantage en face ils montreront les dents.
Little Richard / 45-tours : l'humour sur le racisme ne porte plus autant qu'autrefois, et crée des malentendus d'intention ? Peut-être bien que le racisme ordinaire, sans velléité de dérision, s'est trop librement et largement exprimé, et nous n'avons qu'à prendre qu'à nous-même. On peut plus rien dire, oh Desproges aujourd'hui voudrait refaire ce sketch, il serait interdit. C'est peut-être vrai, mais à côté de Desproges en 83, il y avait Michel Leeb, et ce n'était pas le même public qui riait, ni pour des raisons identiques. Et à l'époque, l'extrême-droite ne faisait pas les scores qu'elle atteint aujourd'hui. Desproges fut-il toujours de ce monde, je vous fiche mon billet qu'il dirait, je ne veux plus refaire ce sketch, les gens sont devenus trop cons pour comprendre. Et surtout cela ne résonnerait-il plus du tout de la même manière pour le public invité à recevoir le message : rire du racisme (ce qui est déjà différent de rire raciste), c'est envisageable lorsque tu n'es pas toi-même exposé au racisme en tant que victime. Et du reste, ceux qui en sont victimes ne sont pas dénués d'humour, ne manquent jamais d'une occasion d'en rire eux-même, et ce que j'ai par exemple entendu de plus drôle, intelligent et féroce en termes d'humour lié à la Shoah venait de petits-enfants de déportés. Mais chacun à sa place.
L'idée c'est de se détendre. Personne ne vous interdit rien, personne ne renie personne ni n'efface qui que ce soit. Ceux qui hurlent à la censure ne sont pas ceux qui se voient le plus invisibilisés. Juste pourrait-on faire gaffe deux minutes à ce qu'on dit ou écrit. Un homme, ça s'empêche. Et pour le reste, le droit encadre assez bien les choses, à nous de rester vigilants pour que cela reste le cas, parce que dans un cadre dit démocratique (les gens votent), on voit s'installer des systèmes extrêmement contraires à l'esprit et à la lettre de la démocratie. Et à l'image de la métaphore employée pour parler du réchauffement climatique avec la grenouille mise gentiment à bouillir en marmite, un jour l'on se rend compte qu'on n'a pas pris assez garde et il est trop tard.
Pour moi, il ne s'agit de rien d'autre que du fruit des excès de notre temps, où nous nous trouvons sur le point de devoir passer le relais aux suivants, sans s'y être préparés psychologiquement et culturellement. Sur fond de polarisation extrême, où si tu n'es pas A tu es forcément B, auquel cas il est obligatoire à ce titre de se foutre sur la gueule. Si l'on se met un instant à la place des suivants, l'on peut éventuellement considérer qu'ils méritent mieux en termes de monde dont hériter.
Ce qui me semble au cœur de ces questions, c'est : les suivants, notre prochain, que veulent-ils, et de quoi ne veulent-ils plus ? J'ai vécu dans la célébration permanente de l'héritage des idéaux de 68, où une génération avait rejeté le modèle des précédentes, en affirmant son droit à vivre selon ses aspirations, ses valeurs, les choix qu'elle estimait avoir la légitimité de faire. En somme, tout ce que celle-ci, un peu plus d'un demi-siècle plus tard, refuse à ses petits-enfants. A la différence près que des boulevards entiers s'ouvraient devant les premiers, tandis que l'horizon se ferme chaque jour davantage pour les seconds (réchauffement climatique, austérité économique et sociale, pauvreté et inégalités, contexte géopolitique, crise démocratique), et nous sommes obligés d'en tenir compte, notamment parce que nous portons notre part de responsabilité dans tout ce qui déconne : nous y avons soit activement contribué, soit avons-nous assez lâchement laissé faire.
- Bonjour Madame, je voudrais trois meringues enrobées de granules de chocolat.
- Oui, des têtes de nègre ?
- Je vous parlais de ces pâtisseries-là.
- Oui ben c'est des têtes de nègre.
- Redites-ce mot encore une fois et je vous prends plutôt du flan pâtissier, je vous le mets en travers de la gueule et je pars sans payer.
N-word. Je suis atterré de voir changer le titre d'un ouvrage d'Agatha Christie (cf. l'exemple plus haut), mais que l'on ne s'y trompe pas : il ne s'agit pas tant de s'inscrire dans une considération d'éthique que de ne pas compromettre le business d'une maison d'éditions. Parce que le mot qui fâchait déjà autrefois, fâche toujours, on l'a trop entendu, et les suivants ne veulent plus l'entendre. Là où nous nous contentions de protester mollement, eux opposent une fin de non-recevoir catégorique, intransigeante et effectivement marquée par cette outrance contemporaine, dont il faut rappeler qu'elle n'est pas seulement l'expression d'un tempérament propre que le résultat de ce que nous avons semé et cultivé en termes de projet de société.
Et je crois qu'à ce titre nous ne sommes pas assez vigilants : en termes de fluidité dans l'approche des questions de genre, de l'égalité hommes - femmes (et de lutte contre le sexisme et les violences associées), de refus du racisme, de redéfinition de la laïcité, etc, nous avons raté quelques trains, et pas des moindres. Et si nous n'avons à opposer aujourd'hui que des anathèmes du type injures droitardes, woke, bobo, chouineuses, islamo-gauchistes, khmers verts, etc, je ne peux m'étonner du fait que les intéressé.e.s nous chient à la gueule, et je me range de leur côté. A plus forte raison que nous serions inspirés dans le cas présent, à faire preuve d'humilité, d'esprit de solidarité. Parce que cela me semble être un phénomène mécanique : plus on dira et fera de la merde, et davantage en face ils montreront les dents.
Little Richard / 45-tours : l'humour sur le racisme ne porte plus autant qu'autrefois, et crée des malentendus d'intention ? Peut-être bien que le racisme ordinaire, sans velléité de dérision, s'est trop librement et largement exprimé, et nous n'avons qu'à prendre qu'à nous-même. On peut plus rien dire, oh Desproges aujourd'hui voudrait refaire ce sketch, il serait interdit. C'est peut-être vrai, mais à côté de Desproges en 83, il y avait Michel Leeb, et ce n'était pas le même public qui riait, ni pour des raisons identiques. Et à l'époque, l'extrême-droite ne faisait pas les scores qu'elle atteint aujourd'hui. Desproges fut-il toujours de ce monde, je vous fiche mon billet qu'il dirait, je ne veux plus refaire ce sketch, les gens sont devenus trop cons pour comprendre. Et surtout cela ne résonnerait-il plus du tout de la même manière pour le public invité à recevoir le message : rire du racisme (ce qui est déjà différent de rire raciste), c'est envisageable lorsque tu n'es pas toi-même exposé au racisme en tant que victime. Et du reste, ceux qui en sont victimes ne sont pas dénués d'humour, ne manquent jamais d'une occasion d'en rire eux-même, et ce que j'ai par exemple entendu de plus drôle, intelligent et féroce en termes d'humour lié à la Shoah venait de petits-enfants de déportés. Mais chacun à sa place.
L'idée c'est de se détendre. Personne ne vous interdit rien, personne ne renie personne ni n'efface qui que ce soit. Ceux qui hurlent à la censure ne sont pas ceux qui se voient le plus invisibilisés. Juste pourrait-on faire gaffe deux minutes à ce qu'on dit ou écrit. Un homme, ça s'empêche. Et pour le reste, le droit encadre assez bien les choses, à nous de rester vigilants pour que cela reste le cas, parce que dans un cadre dit démocratique (les gens votent), on voit s'installer des systèmes extrêmement contraires à l'esprit et à la lettre de la démocratie. Et à l'image de la métaphore employée pour parler du réchauffement climatique avec la grenouille mise gentiment à bouillir en marmite, un jour l'on se rend compte qu'on n'a pas pris assez garde et il est trop tard.
- whereisbrian
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Re: Rions beaucoup
Ok, je suis d'accord.
Un certain temps j'ai pratiqué la danse bretonne dans un cercle celtique, 4 ans. C'était sympa, le week-end, j'allais m'éclater dans les festou noz
(il n'y a pas loin de la transe au plinn). Il m'est arrivé de me faire engueuler parce qu'on estimait que je n'avais pas la bonne position de doigt
(c'était une bonne femme du village à côté).
Dernièrement, un canard local a mis en une un sonneur breton, noir. Qui joue super bien.
Le journal s'est pris des tombereaux de haine et des menaces.
Dans d'autres cas, il y a eu des menaces physiques et des passages à l'acte (incendies criminels).
Tant que c'est des mots, cela peut, à l'extrême rigueur, passer. Mais quand en on arrive à ce genre de faits divers, c'est inadmissible.
Voilà, on commence par des blagounettes et on peut aussi finir avec une manche de pioche à la main pour casser du bougnoul (pardonnez l'expression). Ce n'est bien sûr pas automatique, il faut être vigilant.
Un certain temps j'ai pratiqué la danse bretonne dans un cercle celtique, 4 ans. C'était sympa, le week-end, j'allais m'éclater dans les festou noz
(il n'y a pas loin de la transe au plinn). Il m'est arrivé de me faire engueuler parce qu'on estimait que je n'avais pas la bonne position de doigt
(c'était une bonne femme du village à côté).
Dernièrement, un canard local a mis en une un sonneur breton, noir. Qui joue super bien.
Le journal s'est pris des tombereaux de haine et des menaces.
Dans d'autres cas, il y a eu des menaces physiques et des passages à l'acte (incendies criminels).
Tant que c'est des mots, cela peut, à l'extrême rigueur, passer. Mais quand en on arrive à ce genre de faits divers, c'est inadmissible.
Voilà, on commence par des blagounettes et on peut aussi finir avec une manche de pioche à la main pour casser du bougnoul (pardonnez l'expression). Ce n'est bien sûr pas automatique, il faut être vigilant.
Re: Rions beaucoup
C'est justement ce qui se joue en ce moment. Et pardon de jouer les Cassandre à pas cher, mais lorsque l'on a du mal à savoir ce qui différencie un Etat gouverné par la macronie et un Etat qui serait aux mains de Le Pen et compagnie, c'est la libération du tabou du passage à l'acte. Ce qui effectivement invite à la vigilance, parce que lorsque tous ceux qui sont patiemment, quotidiennement, chauffés à blanc sur fond de théories type grand remplacement et terroristes partout, se sentiront s'enhardir et seront encouragés en cela par le pouvoir, ça va donner de la guerre civile caractérisée.whereisbrian a écrit : ↑mar. 26 mars 2024 10:59Tant que c'est des mots, cela peut, à l'extrême rigueur, passer. Mais quand en on arrive à ce genre de faits divers, c'est inadmissible.
Voilà, on commence par des blagounettes et on peut aussi finir avec une manche de pioche à la main pour casser du bougnoul (pardonnez l'expression). Ce n'est bien sûr pas automatique, il faut être vigilant.
Re: Rions beaucoup
Et :
"Bougnoul(e)" vient de la déformation de Bougnat, je crois avoir lu > "Les Auvergnats ou Bougnats étaient perçus péjorativement."
LE BRETON, UN BOUGNOULE COMME LES AUTRES
https://torrebenn.over-blog.com/article ... 53701.html
"Bougnoul(e)" vient de la déformation de Bougnat, je crois avoir lu > "Les Auvergnats ou Bougnats étaient perçus péjorativement."
LE BRETON, UN BOUGNOULE COMME LES AUTRES
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Re: Rions beaucoup
Deux pt'ite chansons des Avengers avec des paroles bien caustiques par la charmante Penelope Houston qui maintenant s'est lancée dans le Folk Rock (elle à sorti depuis 9 disques solo excellents depuis 1987) dont certains plairaient surement à notre petit Vox Populi jette un coup d’œil sur sa disco Voxy
pas sur que ce genre de chansons passeraient auprès de certains de nos pisses vinaigres contemporains......
Lyrics Well, you don't know what you want
working everyday in your restaurant
your life is slipping out of control
lose your job gonna lose you soul
now boy, young and white, so you wanna make it bigger
boy, you better watch your step, white nigger
When you were young you had such big plans
such big ambitions gonna be a good man
I say look at you now, oh what a coward
living your life but you don't know how to live
boy (little boy) young and white, so you try to make it bigger
boy, you just don't understand do you white nigger?
Work like a devil, work like a dog
where does it get you, where do you go oooohhhhh
Work for the money, work for the show
Work for the people that you don't know
I see you driving around in your car
pretend you're not what you really are
just look in the mirror look in your eyes
what you discover will be no surprise
something is missing something's wrong
you got your money but something's gone
something you had right from the start
you should have listened to your heart
Work like a dog, work like a slave,
Work like a devil, and what have you made ohhhhhh no, no, no
Work like a dog, work 9-5
working shaking his hand you're staying alive ohhhhhh no, no where you gonna go
Work work every day
Work your life away and sure it pays
but where does it get you, where are you now
come on white nigger
The Avengers - We Are The One - 1/14/1978 - Winterland
Lyrics We are the leaders of tomorrow.
We are the ones to have the fun.
We want control. We want the power.
Not gonna stop until it comes.
(Chorus)
We are not Jesus Christ.
We are not fascist pigs.
We are not capitalist industrialists.
We are not communists. We are the one.
We will build a better tomorrow.
The youth of today will be the tool.
American children made for survival.
Fate and our destiny we shall rule.
(Chorus)
I am the one who brings you the future.
I am the one who buries the past.
A new species rises up from the ruins.
I am the one who is made to last
pas sur que ce genre de chansons passeraient auprès de certains de nos pisses vinaigres contemporains......
Lyrics Well, you don't know what you want
working everyday in your restaurant
your life is slipping out of control
lose your job gonna lose you soul
now boy, young and white, so you wanna make it bigger
boy, you better watch your step, white nigger
When you were young you had such big plans
such big ambitions gonna be a good man
I say look at you now, oh what a coward
living your life but you don't know how to live
boy (little boy) young and white, so you try to make it bigger
boy, you just don't understand do you white nigger?
Work like a devil, work like a dog
where does it get you, where do you go oooohhhhh
Work for the money, work for the show
Work for the people that you don't know
I see you driving around in your car
pretend you're not what you really are
just look in the mirror look in your eyes
what you discover will be no surprise
something is missing something's wrong
you got your money but something's gone
something you had right from the start
you should have listened to your heart
Work like a dog, work like a slave,
Work like a devil, and what have you made ohhhhhh no, no, no
Work like a dog, work 9-5
working shaking his hand you're staying alive ohhhhhh no, no where you gonna go
Work work every day
Work your life away and sure it pays
but where does it get you, where are you now
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The Avengers - We Are The One - 1/14/1978 - Winterland
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We are the ones to have the fun.
We want control. We want the power.
Not gonna stop until it comes.
(Chorus)
We are not Jesus Christ.
We are not fascist pigs.
We are not capitalist industrialists.
We are not communists. We are the one.
We will build a better tomorrow.
The youth of today will be the tool.
American children made for survival.
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Re: Rions beaucoup
Sherlock et Watson : + 1
le coup du lampadaire :
le coup du lampadaire :
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
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Re: Rions beaucoup
Ah si, elle est marrante, celle du lampadaire
A partir d'un certain âge, si on vous donne 10 ans de moins, un conseil : prenez-les !.
Re: Rions beaucoup
Nan ! (tente d'apporter la contradiction )
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
Re: Rions beaucoup
Wokiste ! (tente de mettre un boxon pas nécessaire)
- Unserious Sam
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Re: Rions beaucoup
Les wokistes, il ont une ou deux bosses ?
Sinon, le chalumeau, c'est bien cet outil qui a deux bosses ?
Sinon, le chalumeau, c'est bien cet outil qui a deux bosses ?
A partir d'un certain âge, si on vous donne 10 ans de moins, un conseil : prenez-les !.
Re: Rions beaucoup
Ce sketch comporte le mot lampadaire.
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Re: Rions beaucoup
Quel trio ! Je les admire, se souvenir de tout ce texte !
A partir d'un certain âge, si on vous donne 10 ans de moins, un conseil : prenez-les !.
- Punker paname
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Re: Rions beaucoup
Bande de Chameaux et de Chamelles
Chameaux et dromadaires sont de la même espèce les Camélidés
La charte, la charte Bo...del de M..... Arrêtez avec vos blagues Camélidéophobes
Einstein l'avait bien dit ???
Désolé pas pu résister
Chameaux et dromadaires sont de la même espèce les Camélidés
La charte, la charte Bo...del de M..... Arrêtez avec vos blagues Camélidéophobes
Einstein l'avait bien dit ???
Désolé pas pu résister
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Re: Rions beaucoup
Chapeau bas Messieurs les comiques, dès comme vous, ça n'existe plus ..
- whereisbrian
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