Il n'a pas l'air content le matou .. t'es sûr que c'est la bonne cuvée ??
Non c'est du Valencay de Denisot, ça file des hallucinations
Le futur selon Crumb avec trois versions possibles .... vu l'ancienneté des dessins, il est meilleur qu'un paquet de prévisionnistes à la con pour que chacun choisisse sa préférence
En plus un must pour l'amateur de BD
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
Ça ne fera rire qu'Algernon celle-là ! Mais mauvaise graphie il fallait lire rougi au lieu de rouge !
Ceci dit, si j'avais +/- loupé Métal dans sa grande époque (Canada rendant les choses difficiles) , j'avais qd mm bien accroché à (A Suivre) - qui pourtant devait bcp à Métal.
Par contre, depuis un an, MH est de nouveau présent (en format trimestriel) et c'est plutôt bon.
Un numéro pour les nouveaux auteurs, puis en alternance un n° consacré à la grande époque.
20 boules le n° de 200 pages, c'est assez correct
Pousse et Constantin.
Malgré leur gueule de truand flingueur, par l'entremise des dialogues d'Audiard, il sont devenus des seconds rôles d'anthologie et de bons vivants.
André Pousse, pistard, un peu mac et plein d'autres boulots avait un langage châtié, une gouaille et un humour très particulier.
Je n'ai pas eu l'occasion de dîner dans son restaurant le Napoléon Chaix mais je l'ai vu fin 80's au sous-sol du BHV rayon bricolage, accompagné d'une pin-up en fourrure, là il n'était pas comique mais remettait à sa place un employé qui l'avait mal renseigné précédemment.... le gars ne connaissait ni André Pousse ni son boulot ... moment délectable autant qu'une réplique de cinéma !
Son autobiographie Je balance pas j'informe est aussi pas piquée des hannetons !
"A travers les innombrables vicissitudes de la France, le pourcentage d’emmerdeurs est le seul qui n’ait jamais baissé."
Une veuve en or, Pierrot le farceur
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
Pousse et Constantin.
Malgré leur gueule de truand flingueur, par l'entremise des dialogues d'Audiard, il sont devenus des seconds rôles d'anthologie et de bons vivants.
Deux petits gars de mon coin Michel Constantin est un pur natif du 1-5 de Paname c'était un grand habitué du petit marché au puces du Bouquin du Parc Georges Brassens ou on le voyait souvent
Pour le restau de Pousse à Balard c'est hélas devenu une gargotte à bobo branchouilles, rien a voir avec tout le petit monde du cinoche et du polar qui fréquentait avant
Joyeux Mondialiste Droit de l'Hommiste et Internationaliste convaincu, amateur d'étrangetés Vinyliques tournant en 33 et 45 tours en provenance des quatre coins de la planète et des 7 continents
Pousse et Constantin.
Malgré leur gueule de truand flingueur, par l'entremise des dialogues d'Audiard, il sont devenus des seconds rôles d'anthologie et de bons vivants.
André Pousse, pistard, un peu mac et plein d'autres boulots avait un langage châtié, une gouaille et un humour très particulier.
Je n'ai pas eu l'occasion de dîner dans son restaurant le Napoléon Chaix mais je l'ai vu fin 80's au sous-sol du BHV rayon bricolage, accompagné d'une pin-up en fourrure, là il n'était pas comique mais remettait à sa place un employé qui l'avait mal renseigné précédemment.... le gars ne connaissait ni André Pousse ni son boulot ... moment délectable autant qu'une réplique de cinéma !
Son autobiographie Je balance pas j'informe est aussi pas piquée des hannetons !
"A travers les innombrables vicissitudes de la France, le pourcentage d’emmerdeurs est le seul qui n’ait jamais baissé."
Une veuve en or, Pierrot le farceur
"Quand j'étais jeune, je croyais en trois choses : le marxisme, le pouvoir rédempteur du cinéma et la dynamite. Maintenant je crois juste en la dynamite."
Sergio Leone