Rions beaucoup

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Punker paname
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Re: Rions beaucoup

Message par Punker paname » dim. 4 sept. 2022 17:19

gabuzomeuzomeu a écrit :
mer. 31 août 2022 17:40
Y'a pas d'arnaque chez ce garagiste du Québec !

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Ça se voit qu'il ne bosse pas chez Carre moi dans ta glace - n'oubliez pas le point-Fr ::d ::d ::d :hehe: :hehe: :hehe: :hehe:
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Message par gabuzomeuzomeu » lun. 5 sept. 2022 06:08

Une monographie signée Jean Castex avec un sujet passionnant ! :diable: :mdr3:

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L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)

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Message par Echoes » lun. 5 sept. 2022 06:19

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Message par Algernon » lun. 5 sept. 2022 15:04

Après La Mouche à beurre en fer" :

Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.

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Message par gabuzomeuzomeu » lun. 5 sept. 2022 16:28

Après slow-hand, slow-à sortir de sa BMW !
Offert par le Comité de l'à-peu-près et des vannes pourries !

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Message par Pablitta » lun. 5 sept. 2022 17:27

Echoes a écrit :
lun. 5 sept. 2022 06:19
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:hehe: :hehe: :hehe:

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Message par DaFrog » lun. 5 sept. 2022 19:25

gabuzomeuzomeu a écrit :
lun. 5 sept. 2022 16:28
Après slow-hand, slow-à sortir de sa BMW !
Offert par le Comité de l'à-peu-près et des vannes pourries !

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C’est con mais j’ai ri alors je vais partager avec des amateurs :hehe:
It’s too late to be hateful :ange:

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Message par gabuzomeuzomeu » mar. 6 sept. 2022 05:15

C'est à peine un fake :mdr3: :hurt1: :diable: :cloonzzz: :cloonzzz:

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Message par Algernon » mar. 6 sept. 2022 06:36

Il y a des noms propres, comme ça, chargés de connotations. Sandrine Rousseau, ou... Steven Wilson. ::d :cote:
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.

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Message par Monsieur-Hulot » mar. 6 sept. 2022 07:15

J'ai trouvé ce texte signé François Bréant (claviers chez Bernard Lavilliers):

"Les trois jours de Cambrai
En 1968 le souvenir des guerres d’indépendance du Vietnam et de l’Algérie était encore frais. Le devoir national de tuer ou d’être tué pour des causes scélérates nous terrorisait. Il y avait aussi les U.S.A qui envoyaient leurs fils conscrits à la boucherie vietnamienne. L’anti-militarisme et la non-violence étaient pourtant parmi les fondements des idéologies du moment. Nous, les garçons, attendions avec terreur le moment du service militaire obligatoire. On n’entendait aucune passionaria féministe réclamer le droit d’être conscrite. Dans ce cas précis, on peut le comprendre, l’iniquité avait du bon.
Je reçus dans l’été ma convocation aux trois jours de sélection militaire à Cambrai pour le mois de septembre. J’étais tétanisé de trouille à l’idée de perdre un an de ma jeunesse en caserne. En 68, j’avais 21 ans, j’expérimentai ma toute récente vie d’adulte à Paris et je commençai à dessiner quelques pochettes d’album pour les maisons de disques. Mon groupe, Cruciferius, avait décroché un contrat chez Barclay. L’horizon s’ouvrait devant moi mais le service militaire allait tout faire s’écrouler, à mon retour Cruciferius aurait tracé sa route avec un autre organiste : je devais absolument me faire réformer, mais comment?
Passer pour un fêlé pouvait générer une exemption mais attention, les officiers psychiatres n’étaient pas nés de la dernière pluie. Se pointer à Cambrai avec un entonnoir sur la tête n’allait sans doute pas suffire.
Ma trouille d’être incorporé était si grande que je n’en dormais plus depuis des jours et j’arrivai donc à Cambrai dans un état d’angoisse caféinée et fébrile tel que je n’eus pas à beaucoup grossir les traits de mon look de psychotique, et avec mes cheveux longs, mes santiags, mon jean pat’d’eph et mes bagues navajos, je faisais plutôt tache parmi les autres appelés.
Supposant que l’armée préfèrerait garder un crétin balèze plutôt qu’un intello souffreteux coiffé « comme une fille », j’avais décidé de montrer aux recruteurs les meilleurs résultats possibles aux tests d’intelligence et de culture générale et les pires aux tests d’aptitude physique et sportive. Je souhaitais que les militaires aient de moi l’image d’une recrue peu docile avec une mauvaise influence sur le reste de la troupe. Mon look, toutefois n’allait pas y suffire et je savais que mon va-tout allait se jouer devant l’officier psychologue.
- Appelé Bréant, asseyez-vous.
- Laquelle ?
- Comment ça laquelle ?
-Laquelle des deux chaises ?
-Celle que vous voudrez.
-Est-ce un test pour savoir si je vais m’asseoir sur la mauvaise chaise ?
Le psy s’agace :
-Asseyez vous sur n’importe laquelle et commençons.
-Vous êtes sûr ?
Le psy hausse les sourcils façon « Je-suis-tombé-sur-un-p’tit-malin» :
-Oui je suis sûr ! Asseyez vous ! Finissons-en. Pourquoi avez-vous demandé à me voir ?
-Parce que je voudrais savoir dans quelle ville on va me mettre en caserne.
-Qu’en sais-je ? Et pourquoi voulez-vous le savoir ?
-C’est… pour ma Mère
regard surpris du psy :
-Votre mère ?
-Ben voilà, ma mère et moi, on ne peut pas se quitter. Alors j’ai besoin de savoir dans quelle ville je serai en garnison, comme ça elle va chercher un studio à louer dès maintenant… On doit se voir tous les jours sinon j’ai des crises d'angoisse.
A ce stade, je lis dans le regard du psychologue: « J’en ai entendu de toutes les couleurs mais celle là, on ne me l’a jamais faite. Là, je suis tombé sur un spécial ».
Intérieurement je flippe:
« Putain , il ne me croit pas, je vois bien qu’il ne me croit pas. Je suis cuit. Il faut monter en puissance. »
Dans une attitude prostrée et à voix presqu’inaudible façon Actor’s Studio :
-Mais Il y a aussi autre chose.
Le psy un peu narquois :
-Allez-y
-Voilà, je ne peux pas être nu dans les douches communes.
-Et pourquoi ?
-Parce que j’ai honte de mon…
-De votre ?
-De mon…s…ss…vous voyez bien, quoi…
-Et pourquoi ? rétorque-t-il avec l’air curieux de voir jusqu’où j’allais oser aller.
-Quand il sera…dur, les autres vont se moquer de moi.
-Pourquoi présagez vous d’avoir une érection.
-Et bien… sous la douche, les autres gars seront nus aussi. Alors forcément…
-Forcément quoi? Poursuivez.
Là, il fallait que je m’improvise un crédible traumatisme sexuel de l’adolescence. Peu sûr de moi, je lance en panique ce qui me passe par la tête:
-J’étais puceau, j’avais quinze ans, Olga, une amie de mon père très belle, la cinquantaine altière, un genre de princesse russe en exil avec une robe noire, une rose rouge, un fume-cigarette et une coupe de champagne, m’a convoqué chez elle. Elle m’a déshabillé dans le noir et à fait durcir mon…
-Votre ? Continuez.
-Ben,… euh… mon… vous voyez -Je vois, et ensuite.
-J’étais intimidé alors j’ai crié : je vous aime, Olga ! Et à cet instant quelqu’un a allumé la lumière et un groupe d’une quinzaine d’adultes dont deux prêtres orthodoxes, un milliardaire croate et un choriste de l’armée rouge surgirent de derrière le canapé en criant : « Surprise ! Ha,ha,ha ! » Olga se mit à rire de moi : mais moi aussi je t’aime, petit, tu fais si bien rire mes amis. Ha,ha,ha !
Là, c’est le psychologue qui se mit à pouffer de rire et moi, mentalement :
il ne me croit pas, putain, je suis cuit, il ne me croit pas…
-On va s’arrêter là, ça m’aurait amusé de vous entendre improviser plus mais j’ai d’autres appelés à entendre. Toutefois quelque chose de très subtil me dit que vous n’avez pas très envie de faire votre service militaire. J’ai tort ?
Je ne me sentais pas fier, je savais que tout ce jouait sur ma réponse. Une chance sur deux : « Je m’enferre dans les clichés psychos à quatre sous ou je me résous à la franchise ? J’osai :
-Ben non, je n’ai pas trop envie de faire mon service, je suis organiste dans un groupe de rock et si je suis incorporé, je ne pourrai pas participer à l’album qu’on doit enregistrer chez Barclay.
-Voilà ! Là on comprends mieux. Bravo pour la performance d’acteur, mais pour le scénario il y a beaucoup à redire. C’est un fatras de clichés psychos, Olga, le milliardaire croate, les prêtres orthodoxes, tout ça… y croiriez vous vous-même ? Franchement ? N’est-ce pas en trop ?...Vous pouvez disposer, j’ai assez ri.
Il m’avait démasqué de bout en bout, j’étais effondré.
Le lendemain, un officier orienteur me signifia avec prévenance, que l’armée française… n’allait hélas pas pouvoir me garder. Il m’expliqua que je ne devais pas en être trop déçu, que la vie me réserverait d’autres belles opportunités, que devoir renoncer au service national n’était pas nécessairement honteux et que mes copains auraient surement tort de se moquer de moi, bla,bla, bla… Je lui répondis sobrement qu’en effet j’allais survivre à cette épreuve… (dans ma tête retentissait un immense hurrah!!! de soulagement. j’avais envie de lui claquer la bise mais je m’en abstins.)
Il me tendit une feuille me signifiant mon motif de réforme : névrose obsessionnelle à tendance homosexuelle. Le psy de la veille venait de me sauver la vie. Bien sûr, beaucoup d’autres appelés n’eurent pas la même chance. Un autre jour, un autre psy et j’aurais probablement été envoyé en garnison disciplinaire en Allemagne à éplucher des patates durant douze mois pour soigner mes « traumatismes sexuels d’adolescent ».
Après un printemps 68 mouvementé, porteur de l’espoir d’une vraie liberté, d’une vraie fraternité et d’une vraie égalité, la France insurgée apaisa docilement sa colère sur les plages et dans les campings. On voulait bien faire la révolution, certes, mais sans se gâcher le bronzage. Le Grand Soir pouvait très bien être retardé en septembre mais pas les vacances. En juin, les petits Che Guevara en carton que nous étions lancèrent donc ce mot d’ordre: (après les vacances) « la rentrée sera chaude ». En vérité, une fois la classe ouvrière calmée par quelques maigres avancées sociales lâchées aux accords de Grenelle, septembre 68 fut des plus tiédasses. Le renversement du système prévu n’eut jamais lieu et tout rentra dans l’ordre gaulliste. Néanmoins, malgré les piètres résultats sociaux de la grève générale, mai 68 avait quand même fait vaciller les certitudes du pouvoir et l’état ne souhaitait pas, pour l’instant, encombrer l’armée française avec des chevelus incontrôlables dans mon genre. Tant mieux pour moi."
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Message par Echoes » mer. 7 sept. 2022 05:57

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:miam: :diable:
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Message par nunu » mer. 7 sept. 2022 08:03

J'ai dégusté son foie avec des feves au beurre et un excellent chianti

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Message par gabuzomeuzomeu » mer. 7 sept. 2022 16:32

À l'arrière des Dauphines....

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Re: Rions beaucoup

Message par gabuzomeuzomeu » mer. 7 sept. 2022 17:53

Brève page 18 de Siné-Mensuel de septembre sorti ce matin et complément numérique d'hier. Choc émotif qu'il a dit ! :hehe:
À la manière de USam ... bien que nul en orthographe et en compréhension de texte "L’absence de Blanquer le dessert beaucoup" ... le dessert à la Chantilly c'est bien après le fromage ? :ghee: :mdr3: :hurt1: :diable: :gene: :cloonzzz: :frime1:

"Le procès des deux profs ayant aspergé Blanquer de chantilly, on y était hier ! Le déroulé de la séance, à la Siné Mensuel :
Dans la salle d’audience du tribunal de Montargis, pleine à craquer de soutiens aux trublions, le "M. Blanquer ?" de la juge a sonné dans le vide. Pas trace non plus d'avocat pour le représenter.
Le chef d'accusation : « violences en réunion n'ayant pas entrainé d'ITT ». ça ne rigole pas. Si les deux profs sont reconnus coupables, il y aura inscription dans leur casier judiciaire, et ils ne pourront plus enseigner.
Deux témoins ont été présentés par les accusés. Le célèbre psychanalyste Gérard Miller a commencé par préciser qu’il « avait compulsé toute la littérature scientifique : il n'est fait état d'aucun cas de traumatisme psychologique dû à l'aspergage de chantilly". Il a souligné la démesure de la réaction de l’ex-ministre, et s’est dit frappé par le profil des deux accusés, des cinquantenaires, qui lui rappellent celui de l'infirmière à bout ayant jeté des cailloux sur des flics. "On parle de gens qui ont une vie de bons et loyaux services derrière eux"
A sa suite, Dominique Cau-Bareille, spécialiste de l’enseignement, a raconté l'épuisement général des profs, maltraités par le système, et qui veulent pourtant "défendre leur métier". Une situation qui, elle le sait, va empirer avec le manque de profs et l'arrivés d'enseignants mal (ou pas) formés.
Pour le procureur, expliquer le contexte ne change rien aux faits : il s'agissait d'une "action violente, qui était préméditée" et qui a causé un "choc émotif". Les accusés peuvent être condamnés selon la jurisprudence Noël Godin, il a donc requis un stage de citoyenneté et 1000 euros d'amende.
Les avocats des enseignants ont tenu à analyser les termes : pour parler de "violence", il faut qu'il y ai un choc physique ou psychologique. Coté physique, contrairement aux tartes des entarteurs, la chantilly est, vous l'aurez remarqué, liquide. Coté choc émotif, « Il n’en est pas question dans les déclarations de [M. Blanquer]. Une atteinte à son honneur, peut-être ! Mais c’est une autre infraction ça. On ne vous demande pas l’impunité, on vous démontre que vous n’avez pas les éléments pour les sanctionner pour cette infraction ». L’absence de Blanquer le dessert beaucoup : « il s’en est désintéressé, M. Blanquer, de tout ça ! » note l’un des avocats. « pour lui, c’est dérisoire. Ce n’est pas dérisoire, pour ces deux-là : c’est toute leur carrière qui est en jeu » avant de conclure : « Il a donné son objectif : les faire virer. C’est pas trop le moment, il en manque 4 000 »
Fin mot de l’affaire : condamnés à 300 euros d’amende… mais dispensés d’inscription au casier judiciaire ! Christophe Villain et Olivier Decool peuvent pour l’instant continuer à exercer. Ils ont annoncé faire tout de même appel de la sanction.
Pour suivre leurs aventures :
@profschantilly sur twitter"

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Re: Rions beaucoup

Message par bibabeuloula » mer. 7 sept. 2022 19:00

Bientôt une police pour surveiller votre obeïssance au Pass Climatico-Chauffago-fin du mondesque!

Vous avez été flashé à 28° en prenant votre douche :priezzz:

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Message par Echoes » ven. 9 sept. 2022 07:12

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Re: Rions beaucoup

Message par Monsieur-Hulot » ven. 9 sept. 2022 08:36

::d ::d ::d
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Re: Rions beaucoup

Message par Algernon » ven. 9 sept. 2022 08:49

Je ne ris pas, mon avatare porte le deuil. P'têt même un mois durant.
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Message par Romulien » sam. 10 sept. 2022 02:00

Du Stephen Harper a son meilleur


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Re: Rions beaucoup

Message par Echoes » sam. 10 sept. 2022 09:03

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