Zappa n'a plagié qu'un seul artiste .... Ramon Pipin, d'ailleurs on le surnomme le Ramon Pipin américain ! L'info (drunk new et pas fake new) vient d'Algernon enfin je crois parce que j'étais aussi bourré que lui !arsen33 a écrit : ↑mar. 12 nov. 2019 23:18Je ne comprend pas pourquoi tu postes ça ici... Il ne s'agit pas d'un plagiat mais bien d'une reprise. Une reprise un peu déjanté puisque c'est Zappa mais une reprise quand même. Et Zappa ne s'est pas approprié les droits. Les ayant-droits n'ont pas apprécié et interdit la commercialisation du morceau, mais il n'y a pas eu de procès en plagiat. J'ajouterai que cette pièce étant dans le domaine publique en Europe, rien ne s'oppose à la sortie sur disque ou autre support de cette version en Europe (sauf si cette fois-ci les ayant-droits moraux s'y opposent). Par contre pour les USA, il faut attendre 2024.
Il y a eu un problème similaire avec le Mars de Holtz repris par King Crimson dans les concerts de 1969, qui initialement devait sortir sur le double album du début (double qui ne verra pas le jour remplacé par le simple que l'on connait) puis qui est sortie dans une version très modifiée sous un autre titre et sans mention de Holtz sur "In the Wake". Les héritiers se sont en effet opposés à la sortie de la pièce telle que jouée dans les concerts de 1969. Il donneront finalement leur accord sur la version studio à condition que la nom de Holtz n'apparaisse pas. Je n'ai jamais compris si par contre ils avaient touché des droits ou pas... Ils ont depuis revu leur position permettant la sortie des versions en concert de Mars.
Les plagiats et autres copies suspectes
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Re: Les plagiats et autres copies suspectes
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
Re: Les plagiats et autres copies suspectes
C'est vrai pour le requin super bosseur classieux mais il n'a pas réellement lancé Phil Spector et encore moins appris quelques ficelles (se vanterait-il un peu ?). Les ficelles c'est plutôt le tandem Leiber & Stoller qui les ont apprises au sieur Spector. Quant au lancement de carrière de Phil Spector, c’est à Lester Sill qu'il la doit.
Voici la petite histoire :
Jerry Leiber et Mike Stoller avaient monté une maison d’édition (Quintet Music) et une maison de disques (Spark) en s’associant avec Lester Sill.
Par la suite, plus ou moins absorbés par l’Atlantic Records des frères Ertegun, ils vont de succès en succès avec des chansons de variété (Charlie Brown par exemple ou le Hound Dogs interprété par Presley, 7 millions d’exemplaires quand même, et la succession de hits des Drifters : entre autres, Save the Last Dance for Me, que l’on doit à Doc Pomus et à Mort Shuman d’ailleurs, etc).
Leiber & Stoller avaient mis au point une combinaison à base de rythmes subtils et d’arrangements, une sorte de « coussin » sonore qu’ils confectionnaient avec tout plein de musiciens (et qui inspira plus que probablement le mur de son de Spector).
Un jour, Sill – qui était resté dans la boucle évidemment - appela Jerry Leiber pour lui demander s’il n’avait pas du boulot à filer « à un môme rudement doué » : Phil Spector.
Ce que Leiber fit.
Quelques temps plus tard, Phil Spector avait bouclé son fameux Spanish Harlem. Tout content, son premier réflexe fut d’appeler son vieil ami et mentor Lester Sill qui était associé – à l’époque – avec Lee Hazelwood (ils ont fini fâchés d’ailleurs, Lee Hazelwood ayant un caractère assez tempétueux).
Encore quelques années après, Sill et Spector s’associèrent pour fonder le mythique Philles Records.
Donc c’est bien Lester Sill qui a mis le pied à l’étrier à Phil Spector.
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Re: Les plagiats et autres copies suspectes
L'info technique distillée par Neil Young dans son autobiographie page 732
"Jack Nitzsche était l’arrangeur de Phil Spector à l’époque du Mur de Son, plusieurs chefs-d’œuvre doivent énormément à son génie. Dans une des arrière-salles des studios Gold Star à Hollywood, sur Santa Monica Boulevard, à quelques pas d’Hollywood Boulevard, se trouvait une légendaire chambre d’écho. Les sonorités magiques de cette chambre ont contribué à la gloire de tous les groupes du Mur de Son, qu’il s’agisse des Righteous Brothers, des Ronettes ou des Crystals, pour n’en citer que quelques-uns. Leurs disques sont des jalons importants dans l’histoire du rock.
Le Mur de Son reposait sur la réunion de très nombreux musiciens, jouant à l’unisson les mêmes parties : plusieurs tambourins, plusieurs basses, plusieurs pianos, avec des sections de cordes, le tout dans le même studio, en même temps. Ces sessions d’enregistrement représentent pour moi l’esprit de la musique telle que je l’aime. Elles captent l’essence de multiples forces musicales, jouant ensemble avec leurs tripes au même moment, déchiffrant une partition ou respectant un vague ordre préétabli, orchestré par Jack. Il s’agissait d’enregistrements analogiques, bien évidemment, et les sonorités obtenues étaient universelles et authentiques. L’écho des studios Gold Star réunissait tout ça dans le Mur de Son.
Imaginez tous ces gens installés dans le même studio, avec Spector en régie et Jack dans un coin, penché sur ses partitions. Légendaire. C’était de la vraie musique, mixée avec cet écho magique. Jour après jour, session après session, chair de poule garantie.
La chambre d’écho était un mystère en soi. Stan Ross, le patron des studios, interdisait à quiconque d’en approcher. On n’avait pas le droit d’y mettre les pieds. À la différence des petites machines d’aujourd’hui, c’était une vraie chambre. Depuis la régie, on faisait passer un son dans un haut-parleur installé dans la chambre, qui produisait un écho – un micro le captait et le renvoyait en régie, où il était remixé à la musique selon l’effet recherché. On réglait l’écho en jouant sur le volume du son que l’on envoyait dans la chambre et sur la manière dont on le mixait ensuite. On pouvait amplifier ou amortir l’effet, jouer sur les basses et les aigus en l’égalisant, mais il était interdit de toucher au haut-parleur ou au micro dans la chambre ! Défense absolue ! Le réglage était génial et le son magique. Si on avait modifié l’emplacement du micro ou du haut-parleur, tout aurait été foutu !
Ce son donnait des frissons. On ne pouvait pas faire mieux, et on ne pourrait certainement pas le reproduire avec un dispositif numérique. Le son était différent à chaque fois. On pouvait se perdre dans cette profondeur. C’était vraiment magique."
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Re: Les plagiats et autres copies suspectes
Et après pour lui, tout a marché comme sur des Ronettes
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
Re: Les plagiats et autres copies suspectes
Merci des précisions Pablitta, c'est tout à fait vraiPablitta a écrit : ↑mer. 13 nov. 2019 09:54C'est vrai pour le requin super bosseur classieux mais il n'a pas réellement lancé Phil Spector et encore moins appris quelques ficelles (se vanterait-il un peu ?). Les ficelles c'est plutôt le tandem Leiber & Stoller qui les ont apprises au sieur Spector. Quant au lancement de carrière de Phil Spector, c’est à Lester Sill qu'il la doit.
Voici la petite histoire :
Jerry Leiber et Mike Stoller avaient monté une maison d’édition (Quintet Music) et une maison de disques (Spark) en s’associant avec Lester Sill.
Par la suite, plus ou moins absorbés par l’Atlantic Records des frères Ertegun, ils vont de succès en succès avec des chansons de variété (Charlie Brown par exemple ou le Hound Dogs interprété par Presley, 7 millions d’exemplaires quand même, et la succession de hits des Drifters : entre autres, Save the Last Dance for Me, que l’on doit à Doc Pomus et à Mort Shuman d’ailleurs, etc).
Leiber & Stoller avaient mis au point une combinaison à base de rythmes subtils et d’arrangements, une sorte de « coussin » sonore qu’ils confectionnaient avec tout plein de musiciens (et qui inspira plus que probablement le mur de son de Spector).
Un jour, Sill – qui était resté dans la boucle évidemment - appela Jerry Leiber pour lui demander s’il n’avait pas du boulot à filer « à un môme rudement doué » : Phil Spector.
Ce que Leiber fit.
Quelques temps plus tard, Phil Spector avait bouclé son fameux Spanish Harlem. Tout content, son premier réflexe fut d’appeler son vieil ami et mentor Lester Sill qui était associé – à l’époque – avec Lee Hazelwood (ils ont fini fâchés d’ailleurs, Lee Hazelwood ayant un caractère assez tempétueux).
Encore quelques années après, Sill et Spector s’associèrent pour fonder le mythique Philles Records.
Donc c’est bien Lester Sill qui a mis le pied à l’étrier à Phil Spector.
Hazlewood est forcément un peu marseillais dans l'âme mais est ce qu'on peut lui en vouloir d'essayer de gratter un peu de lumière sur la cape du fou Spector : parce qu'au finale il le laisse effectivement produire le girl group des Paris Sisters, sur le label Gregmark dans lequel Hazlewood a des billes en 1961 (soit un an après Spanish Harlem). Et puis on doit aussi à LH la guitare twang (le single Girl On Death Row avec Duane Eddy), ses essais de reverb naturelle dans une citerne — je crois que Spector poussera le truc en faisant construire une piscine dans son studio. Pas mal de petites ficelles de producteurs qui ont fait le sel et contribué au wall of sound du Philou.
edit : j'ajoute le paragraphe en question :
Affreux, sale et méchant.
Re: Les plagiats et autres copies suspectes
Très très marseillais ... Gaudin c'est Greta Thunberg, à côtéThe lad a écrit : ↑mer. 13 nov. 2019 11:32Hazlewood est forcément un peu marseillais dans l'âme mais est ce qu'on peut lui en vouloir d'essayer de gratter un peu de lumière sur la cape du fou Spector : parce qu'au finale il le laisse effectivement produire le girl group des Paris Sisters, sur le label Gregmark dans lequel Hazlewood a des billes en 1961 (soit un an après Spanish Harlem).
C'est encore et toujours Lester Sill qui cherchait un nouveau tube pour les Paris et qui a rappelé Spector à Los Angeles.
Le bon Philou lui a refourgué un vieux titre dont il ne savait que faire : Be My Boy. Leur premier hit il me semble ( ). Sublime. Et, en effet, produit et arrangé (?) par Spector. Alors oui, LH le laisse produire mais sous la pression, disons, amicale de Sill ...
Et regarde ce qu'il disait dans une interview en 2002
Tout ceci étant dit, cela n'enlève rien à l'immense talent de Lee Hazlewood.
Re: Les plagiats et autres copies suspectes
Passionnant !gabuzomeuzomeu a écrit : ↑mer. 13 nov. 2019 10:43L'info technique distillée par Neil Young dans son autobiographie page 732
"Jack Nitzsche était l’arrangeur de Phil Spector à l’époque du Mur de Son, plusieurs chefs-d’œuvre doivent énormément à son génie. Dans une des arrière-salles des studios Gold Star à Hollywood, sur Santa Monica Boulevard, à quelques pas d’Hollywood Boulevard, se trouvait une légendaire chambre d’écho.
(...)
C’était vraiment magique."
J'adore l'histoire du rock
Re: Les plagiats et autres copies suspectes
... Et, pareil, Jack Nitzsche, y'en a aussi beaucoup à raconter !!!
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Re: Les plagiats et autres copies suspectes
Tant que mon unique neurone supporte les bonnes lectures (et la bière), l'appel à ma mémoire (c'est qui Alzheimer ?) peut encore servir à quelque chose !
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Re: Les plagiats et autres copies suspectes
Pablitta a écrit : ↑mer. 13 nov. 2019 13:04Très très marseillais ... Gaudin c'est Greta Thunberg, à côtéThe lad a écrit : ↑mer. 13 nov. 2019 11:32Hazlewood est forcément un peu marseillais dans l'âme mais est ce qu'on peut lui en vouloir d'essayer de gratter un peu de lumière sur la cape du fou Spector : parce qu'au finale il le laisse effectivement produire le girl group des Paris Sisters, sur le label Gregmark dans lequel Hazlewood a des billes en 1961 (soit un an après Spanish Harlem).
C'est encore et toujours Lester Sill qui cherchait un nouveau tube pour les Paris et qui a rappelé Spector à Los Angeles.
Le bon Philou lui a refourgué un vieux titre dont il ne savait que faire : Be My Boy. Leur premier hit il me semble ( ). Sublime. Et, en effet, produit et arrangé (?) par Spector. Alors oui, LH le laisse produire mais sous la pression, disons, amicale de Sill ...
Et regarde ce qu'il disait dans une interview en 2002Entre "je me suis retrouvé en studio avec lui deux ou trois fois" et "il est resté deux ans avec moi en studio", il pousse le bouchon un peu loin, Maurice ! S'il avait vécu, Lee nous aurait appris l'année dernière que Phil Spector et lui étaient la même personne (en même temps, les 2 étaient à moitié barjos).
Tout ceci étant dit, cela n'enlève rien à l'immense talent de Lee Hazlewood.
Énorme !
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Re: Les plagiats et autres copies suspectes
Je poste, tiens oui, pourquoi ?arsen33 a écrit : ↑mar. 12 nov. 2019 23:18Je ne comprend pas pourquoi tu postes ça ici... Il ne s'agit pas d'un plagiat mais bien d'une reprise. Une reprise un peu déjanté puisque c'est Zappa mais une reprise quand même. Et Zappa ne s'est pas approprié les droits. Les ayant-droits n'ont pas apprécié et interdit la commercialisation du morceau, mais il n'y a pas eu de procès en plagiat. J'ajouterai que cette pièce étant dans le domaine publique en Europe, rien ne s'oppose à la sortie sur disque ou autre support de cette version en Europe (sauf si cette fois-ci les ayant-droits moraux s'y opposent). Par contre pour les USA, il faut attendre 2024.
Il y a eu un problème similaire avec le Mars de Holtz repris par King Crimson dans les concerts de 1969, qui initialement devait sortir sur le double album du début (double qui ne verra pas le jour remplacé par le simple que l'on connait) puis qui est sortie dans une version très modifiée sous un autre titre et sans mention de Holtz sur "In the Wake". Les héritiers se sont en effet opposés à la sortie de la pièce telle que jouée dans les concerts de 1969. Il donneront finalement leur accord sur la version studio à condition que la nom de Holtz n'apparaisse pas. Je n'ai jamais compris si par contre ils avaient touché des droits ou pas... Ils ont depuis revu leur position permettant la sortie des versions en concert de Mars.
Les Planètes de Holst, c'est plutôt pas mal, assez cinématographique.
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Re: Les plagiats et autres copies suspectes
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Re: Les plagiats et autres copies suspectes
Si tu écoutes bien le refrain reprend exactement la suite d'accord de Hello Goodbye. Faut reconnaitre que les les pesants Tear For Fears avaient bien serré leur affaire.Julien84 a écrit : ↑mer. 6 nov. 2019 17:10Dingue ce titre de Tears For Fears: De la haute couture! Et l'album du même nom est tout aussi somptueux.
En effet le solo de trompette central semble une référence évidente à celui de Penny Lane… Y en a pas non plus beaucoup dans l'histoire de la pop!
Et puis les effets sur les voix et la production très plantureuse rappellent la période la plus créative des Beatles.
Re: Les plagiats et autres copies suspectes
Orbit a écrit : ↑dim. 17 nov. 2019 10:28Si tu écoutes bien le refrain reprend exactement la suite d'accord de Hello Goodbye. Faut reconnaitre que les les pesants Tear For Fears avaient bien serré leur affaire.Julien84 a écrit : ↑mer. 6 nov. 2019 17:10Dingue ce titre de Tears For Fears: De la haute couture! Et l'album du même nom est tout aussi somptueux.
En effet le solo de trompette central semble une référence évidente à celui de Penny Lane… Y en a pas non plus beaucoup dans l'histoire de la pop!
Et puis les effets sur les voix et la production très plantureuse rappellent la période la plus créative des Beatles.
Il n'y aurait pas eu ce sixième degré abaissé à la fin de la grille (septième degré la seconde fois dans le titre des Beatles), j'aurais dit que c'était amusant parce que les deux se ressemblaient, mais là le doute n'est plus permis, c'est un clin d'oeil appuyé, bien plus qu'un plagiat à mon avis. Super!
Re: Les plagiats et autres copies suspectes
Un hommage accompli. En plus, le chanteur principal la joue façon Paul avant que son comparse vers les 3/4 emprunte le style John !Julien84 a écrit : ↑dim. 17 nov. 2019 11:53Il n'y aurait pas eu ce sixième degré abaissé à la fin de la grille (septième degré la seconde fois dans le titre des Beatles), j'aurais dit que c'était amusant parce que les deux se ressemblaient, mais là le doute n'est plus permis, c'est un clin d'oeil appuyé, bien plus qu'un plagiat à mon avis. Super!
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Re: Les plagiats et autres copies suspectes
Les Faux Frères-Ce serait trop beau
Renée Martel-Si on pouvait recommencer
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Modifié en dernier par Romulien le dim. 21 nov. 2021 20:01, modifié 1 fois.
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Re: Les plagiats et autres copies suspectes
Je ne sais pas qui a copié qui mais la ressemblance est frappante.
Sacha Distel-Incendie à Rio.
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Re: Les plagiats et autres copies suspectes
Michel Pagliaro-M'lady (1971)
Janis Ian-Society's child (1965)
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Modifié en dernier par Romulien le dim. 12 nov. 2023 22:35, modifié 1 fois.
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Re: Les plagiats et autres copies suspectes
Un autre Michel avec une copie suspecte.
Michel Sardou-Et mourir de plaisir (1970)
The Chordettes-Born to be with you (1956)
C'est plus évident avec la reprise de Born to be with you par le groupe Les Filles.
Michel Sardou-Et mourir de plaisir (1970)
The Chordettes-Born to be with you (1956)
C'est plus évident avec la reprise de Born to be with you par le groupe Les Filles.
Modifié en dernier par Romulien le dim. 21 nov. 2021 20:03, modifié 1 fois.
Re: Les plagiats et autres copies suspectes
Je vais parler d'une chanson superbe, tirée d'un album qui l'est tout autant.
Le titre c'est Life's Shadow du groupe anglais Beckett sur leur unique album éponyme sorti en 1974.
Alors ce titre est magnifique et inspiré. (Il me rappelle par moment l'ambiance d'un Sebastian de Steve Harley)
Il est visiblement inspirant également. Steve Harris de Iron Maiden était un fan du groupe et il a pompé quelques couplets de la chanson dans Hallowed Be Thy Name ainsi que plus tard la partie instrumentale dans le titre The Nomad.
Il y a eu des menaces de procès (à rebondissements) 20 ans plus tard. Finalement un arrangement à l'amiable a été trouvé.
Un autre titre de Beckett, A Rainbow's Gold a été repris cette fois officiellement par Maiden en face B du single de 2 Minutes To Midnight.
Le titre c'est Life's Shadow du groupe anglais Beckett sur leur unique album éponyme sorti en 1974.
Alors ce titre est magnifique et inspiré. (Il me rappelle par moment l'ambiance d'un Sebastian de Steve Harley)
Il est visiblement inspirant également. Steve Harris de Iron Maiden était un fan du groupe et il a pompé quelques couplets de la chanson dans Hallowed Be Thy Name ainsi que plus tard la partie instrumentale dans le titre The Nomad.
Il y a eu des menaces de procès (à rebondissements) 20 ans plus tard. Finalement un arrangement à l'amiable a été trouvé.
Un autre titre de Beckett, A Rainbow's Gold a été repris cette fois officiellement par Maiden en face B du single de 2 Minutes To Midnight.
« Je peux ne pas croire en moi mais je crois en ce que je fais »
Jimmy Page
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