Je me suis posé la même question que toi.
Si chaque membre du forum crée sa propre section de ce qu'il écoute, on se dirige vers un genre de foire à la saucisse primesautière.
Et il pourrait subdiviser en qu'est-ce que j'écoute en blues, en reggae, en punk, en disco, en métal, en variété moldave.
Et une sous section vêtement, en slip, en T shirt, en burka, en latex etc etc et un section nourriture, en dégustant un burrito, un Père Dodu, une 8.6 ...
Je ne vois pas où est le problème. Chacun peut ouvrir un topic avec ses chroniques ... et pourquoi pas dans les subdivisions psychés, jazz-blues, prog, punk/glam etc... , s'il le veut
La seule réserve est que dans la période en question, il y avait autre chose que des albums "classiques" à base essentiellement blues/rock, des artistes innovants, et là tu passes à travers.
Par contre, sur la forme, à savoir un fil à part, là, ça peux se discuter, d'où mon post.
Je pourrais me tromper, mais j'ai l'impression que c'est cela qui te dérange... que ce soit les années ou le style de musique.
Perso, que ce soit en jazz, jazz-rock, en psyché/prog (ou un peu plus tard en glam), le tout était largement innovant entre 67 & 73.
Je sais que plein de membre de l'intelligentsia rock n'aiment pas l'indulgence des années 71 à 74, mais l'industrie courrait après les artistes, plutôt que le contraire. Et cela me va très bien comme cela. Dommage que l'industrie aie repris le contrôle àpd 74/5 via les radios commerciales - qui ne voulaient plus de morceaux de 10/15 minutes, car trop peu de pubs passaient entre les morceaux sur une heure.
Alain discute de toutes sortes: blues, prog, hard, psyché, jazz-rock, etc... et son topic , je l'ouvrirai tant qu'il continuera à l'alimenter. De tout ce qu'il a chroniqué jusqu'à présent, seul les Black Sabbath sont du "high-profile", mais quel intérêt de parler de trucs comme Zep ou Yes, que tout le monde connait comme le fond de sa poche. Et même s'il nous chronique du Zep ou Beatles ou Stones, cela me va aussi.
Je me suis posé la même question que toi.
Si chaque membre du forum crée sa propre section de ce qu'il écoute, on se dirige vers un genre de foire à la saucisse primesautière.
Et il pourrait subdiviser en qu'est-ce que j'écoute en blues, en reggae, en punk, en disco, en métal, en variété moldave.
Et une sous section vêtement, en slip, en T shirt, en burka, en latex etc etc et un section nourriture, en dégustant un burrito, un Père Dodu, une 8.6 ...
Je ne vois pas où est le problème. Chacun peut ouvrir un topic avec ses chroniques ... et pourquoi pas dans les subdivisions psychés, jazz-blues, prog, punk/glam etc... , s'il le veut
La seule réserve est que dans la période en question, il y avait autre chose que des albums "classiques" à base essentiellement blues/rock, des artistes innovants, et là tu passes à travers.
Par contre, sur la forme, à savoir un fil à part, là, ça peux se discuter, d'où mon post.
Je pourrais me tromper, mais j'ai l'impression que c'est cela qui te dérange... que ce soit les années ou le style de musique.
Perso, que ce soit en jazz, jazz-rock, en psyché/prog (ou un peu plus tard en glam), le tout était largement innovant entre 67 & 73.
Je sais que plein de membre de l'intelligentsia rock n'aiment pas l'indulgence des années 71 à 74, mais l'industrie courrait après les artistes, plutôt que le contraire. Et cela me va très bien comme cela. Dommage que l'industrie aie repris le contrôle àpd 74/5 via les radios commerciales - qui ne voulaient plus de morceaux de 10/15 minutes, car trop peu de pubs passaient entre les morceaux sur une heure.
Alain discute de toutes sortes: blues, prog, hard, psyché, jazz-rock, etc... et son topic , je l'ouvrirai tant qu'il continuera à l'alimenter. De tout ce qu'il a chroniqué jusqu'à présent, seul les Black Sabbath sont du "high-profile", mais quel intérêt de parler de trucs comme Zep ou Yes, que tout le monde connait comme le fond de sa poche. Et même s'il nous chronique du Zep ou Beatles ou Stones, cela me va aussi.
Signé par Chris Blackwell de Island Records, la première exposition du groupe Art est venu par le single "What's That Sound" b/w "Rome Take Away Three".
Fait intéressant, la face A était une reprise imaginative de "For What It's Worth" de Buffalo Springfield, avec une petite erreur pour le crédit porté à Stephen Mills pour ce titre.
Issu du groupe the V.I.P.s, Art composés de Greg Ridley, Luther Grosvenor, Mike Harrison et Mike Kellie, futurs Spooky Tooth, sort un seul et unique album, "Supernatural Fairy Tales", produit par Guy Stevens en 1967.
La couverture accrocheuse a été conçue par les membres du collectif Hapsash the Coloured Coat, Michael English et Nigel Weymouth.
Enregistré en 1967, cet opus ne ressemble à aucun autre album psychédélique Britannique de ce millésime.
Cependant, Art a enregistré quelque chose sonnant beaucoup plus Américain avec un côté plus fantaisiste que ce qui se faisait à l'époque au Royaume-Uni.
"Supernatural Fairy Tales" est indéniablement un grand album trop méconnu.
C'est un disque légèrement supérieur à la moyenne des disques d'Acid Rock.
Mais, pour la plupart des fans, Art fait mieux quand ils se donnent à fond dans le Rock.
Propulsé par la voix brute de Mike Harrison et la guitare de Luther Grosvenor, des originaux du groupe comme "Room with a View" et "Flying Anchors" offrent un panel de Rock beaucoup plus Hard, donnant une bonne indication de ce qui allait se passer polus tard avec Spooky Tooth.
Pour un LP qui est souvent commercialisé comme un artefact psychédélique majeur, "Supernatural Fairy Tales" montre une surprenante diversité et un album parfaitement accompli. Par exemple, rappelant le catalogue de the V.I.P.s, "Come On Up" et "Brothers, Dads and Mothers" offrent des morceaux très axés R & B / Soul.
Il y a certainement une influence psyché sur des morceaux témoins tels que "I Think I'm Going Weird" et la chanson-titre vaporeuse.
Parmi des propositions plus étranges, et propulsé par la batterie de Mike Kellie, "African Thing" reflète certaines polyrythmies Africaines très intéressantes.
Cet unique album est aussi un très beau reflet de la musique psychédélique avec de jolis morceaux: Plusieurs chansons très fortes comme "Think I'm Going Weird", "Room with a View", "Supernatural Fairy Tale", "Love Is Real", "Alive Not Dead" et "Rome Take Away Three" ne peuvent que contenter les fans de psyché des années 60'.
Enfin, les deux chansons de reprise, "What's That Sound", une version de "For What It's Worth" de Buffalo Springfield et "Come On Up" de The Young Rascals, sont tout à fait excellentes...
Bref, pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un album à écouter absolument!
Encore une fois (je me répète) merci Alain pour ta chronique et l'écoute du disque d'ALAMO que je ne connaissais pas et que j'ai découvert grâce et toi et que je mes
suis déjà trouvé en CD. C'est le quatrième je crois en quelques jours. Que de découvertes.... Je connais et j'ai déjà deux autres des albums que tu as chroniqué: le Sitting Bull qui est superbe et le dernier dont tu viens de parler.
Encore une fois (je me répète) merci Alain pour ta chronique et l'écoute du disque d'ALAMO que je ne connaissais pas et que j'ai découvert grâce et toi et que je mes
suis déjà trouvé en CD. C'est le quatrième je crois en quelques jours. Que de découvertes.... Je connais et j'ai déjà deux autres des albums que tu as chroniqué: le Sitting Bull qui est superbe et le dernier dont tu viens de parler.
Cela me fait plaisir car mon but premier est de faire découvrir les disques qui m'ont plus ou moins accoché à leurs écoutes!
Modifié en dernier par alcat01 le sam. 27 août 2022 13:24, modifié 1 fois.
Après la sortie de leur troisième album qui n'avait pas produit de Hit, United Artists les a laissés tomber. Peu de temps après on leur a offert un contrat avec Avalanche Records, mais ils durent changer leur nom parce que le label United Artists distribuait des disques d'Avalanche et ils sont devenus Glory.
En 1973, Glory publie un LP auto-intitulé sur la filiale de UA, Avalanche avant de se séparer.
Le chanteur Adam Blessing a ensuite repris à son vrai nom, Bill Constable, et son frère Ken a rejoint le groupe en tant que chanteur. Ken a une voix plus élevée que celle de Bill, ce qui produit de très belles harmonies.
Ceci est un excellent disque. La musique qui le compose est du Hard Rock teinté de psychédélisme, de Soul ainsi que de Flower Power dans une atmosphère ensoleillée et joyeuse.
L'album possède quelques excellents morceaux.
Par exemple, "Sunny Days", pseudo funky avec une belle basse de tout premier plan, des réverbérations apaisantes comme un de ces couchers de soleil de Californie où les rêves et la vie sont confus, alléchant avec des refrains chantés d'une voix ferme par Bill Constable, des guitares électriques et des solos saturés qui coulent au milieu en toute simplicité.
On y retrouve aussi des vrais Rocks tels que "You Can Believe" qui est un Rock particulièrement inspiré avec des harmonies vocales tout à fait incroyables ou "Hot Momma" qui est un pur Rock'N'Roll endiablé avec toujours de belles harmonies vocales et un grand jeu de guitare.
Certains morceaux, comme le merveilleux "Nightmare", nous ramène quasiment à Atomic Rooster, ou plus encore à Styx; un grand morceau de Rock aux teintes sombres avec un orgue acide. Ils cassent vraiment la baraque sur celui-là.
On y découvre donc une certaine similitude avec Styx dans leur son à l'écoute de toutes les parties élevées des harmonies vocales.
Cet enregistrement montre qu'ils sont devenus plus polis, funky, et un groupe de Rock plus Hard qu'ils ne l'étaient auparavant.
Non seulement la musicalité est une réussite, mais les vocaux sont absolument incroyables. Bill et Ken Constable ne font que voler le spectacle.
Les musiciens sont littéralement possédés sur cet album; Ils l'ont vraiment enjolivé du début à la fin.
Le plus remarquable étant Kalamasz à la lead guitare, il est absolument étincelant.
Bref, encore un disque à écouter!... Ou à acheter!
The Fallen Angels est un groupe légendaire et intemporel de Rock Britannique sans précèdent, oh combien éphèmère, composé du chanteur Phil May (chanteur des Pretty Things), du guitariste Bill Lovelady, du guitariste Mickey Waller (alias Mickey Finn, ancien Steve Marriott All Stars), du bassiste Allen Wally Waller (ancien Pretty Things), du claviériste Brian Johnston (ancien Streetwalkers), du batteur Brian "Chico" Greenwood(ancien Moonrider), du claviériste John Povey (ancizn Pretty things), du batteur Fran Byrne (ancient Ace, ancien Frankie Miller Band), et du guitariste Ed Deane(ancien Frankie Miller Band).
Quel dommage! Quel gâchis! Cet album avait vraiment tout pour lui! Il aurait pu et surtout, il aurait dû être énorme!
L'album intitulé "Phil May & The Fallen Angels" semble pourtant avoir été, d'une certaine façon, dès le début, voué à l'échec car la manière dont le groupe a enregistré cet album est assez embrouillée, pour ne pas dire obscure.
En 1976, le guitariste Mickey Finn, et le bassiste Greg Ridley (ancien membre des Spooky Tooth, de Humble Pie, et des Marriott's All Stars) se sont tout à coup retrouvés sans travail.
Ridley décide alors de former un groupe avec le batteur des Pretty Things, John "Twink" Alder (ancien membre aussi de The Pink Fairies) pour commencer, puis invite aussi l'ancien guitariste rythmique de Fleetwood Mac, Bob Weston.
Ils sont rejoints aussi, selon la rumeur, par l'ancien guitariste de the Winkies, Guy Humphries, et même l'ancien guitariste de Fleetwood Mac, Jeremy Spencer, revenant de son voyage religieux vers le monde réel, jouera pendant quelques mois dans le groupe.
Ensuite, Brian Robertson, ainsi que Ritchie Blackmore ont été invités et ils ont probablement participé à certaines sessions.
Le plus gros du travail de l'album a été enregistré avec ce line up, mais tout cela ne dure pourtant pas longtemps.
Car, malheureusement, le tout est plus ou moins tombé en morceaux petit à petit, même si, en fait, certains donateurs et sympathisants du groupe ont été trouvés.
Jusqu'à ce fameux soir, où Spencer "emprunte" la voiture et une guitare de Finn, puis disparaît sans laisser de trace. Mickey Finn attendrait, parait-il, toujour de récupérer les objets empruntés ...
Le batteur 'Twink "Alder avait réussi à organiser un concert, prévu pour un patron de label dans l'espoir d'un contrat, qui n'a finalement pas lieu, celui-ci ne s'étant pas déplacé.
Au moment où l'ancien manager du groupe a finalement trouvé un mécène pour la production d'un album, ce sponsor ne trouve rien de mieux à faire que d'utiliser Greg Ridley et Bob Weston pour d'autres projets, laisant Finn littéralement tout seul.
Le line up est donc changé presque immédiatement après.
Au Printemps de 1977, Phil May et Wally Allen des fameux Pretty Things (le groupe est suspendu à cet époque) montent à bord et finalement, le line up se retrouve plus ou moins stabilisé, avec en outre, une nouvelle fois Finn, ainsi que Brian Johnston (ancien membre de The Street Walker) Et Bill Lovelady.
Pendant l'année 1977, le nouveau groupe Fallen Angels ayant enfin trouvé un sponsor, un "insensé" qui avait déjà dépensé des centaines de milliers de livres pour l'enregistrement d'un album, part pour Genève.
Ce qui fait également quelques vagues lorsque les troupes débarquent dans les studios Aquarius de Genève pour enregistrer cet album.
Dès lors, il était encore plus fou, après les bagarres et les bousculades, de passer six semaines sur place pour ne rester que dix jours en studio.
Ces six semaines passées en Suisse sont réglées par des excès en tout genre, car les musiciens, pendant cette période, sont bien trop occupés avec les dealers locaux de la drogue et dans les bars, et the Fallen Angels n'ont finalement enregistré que huit chansons, dont aucune n'était achevée.
Résultat, en un mois et demi, le groupe a passé à peine dix jours dans le studio et huit morceaux restent incomplets.
À son retour au Royaume-Uni, tout le monde part, sauf Phil May.
May voulant s'assurer que l'album soit terminé, engage John Povey (ex The Pretty Things) et Fran Byrne, ainsi que Ed Deane (tous deux ex Frankie Miller Band), en studio, pour achever les huit morceaux, et en rajoute deux nouveaux, "California" et "Shine On Baby".
Une fois cela fait, May donne quelques concerts et finit par réintégrer the Pretty Things.
Au même moment, Finn reforme le groupe et enregistre trois chansons de plus.
L'album original intitulé "Phil May & The Fallen Angels" sort uniquement en Hollande, en 1978 et est proprement et entièrement immémorial, sonnant comme le résultat improbable d'une jam entre The Eagles, Humble Pie et autres The Black Crowes.
C'est juste un mélange de style Garage Rock, Blues Rock entièrement Britannique.
Rétrospectivement, on peut dire qu'il craint un peu, dans un cadre charmant et bucolique.
Mais, d'un autre côté, il est aussi, malgré tout, très bon. Cela confine au miracle. La musique en est très variée, mais aussi très typique de la moitié des années 70.
Retour aux faits tristes de cet album, ou le projet en tant que tel intitulé "Phil May & The Fallen Angels" sort enfin en 1978, alors que le groupe n'existe plus, Phil May ayant ravivé The Pretty Things et les autres musiciens s'étaient éparpillés aux quatre vents. Le disque a donc bien été publié, en Hollande...et seulement en Hollande!
Il ne sera publié ailleurs que bien des années plus tard alors que Mickey Finn l'aura complèté de trois nouveaux norceaux avec quelques anciens membres du groupe.
En résumé, ce disque est un trésor inexploité que je trouve trop sous-estimé!
Modifié en dernier par alcat01 le dim. 4 sept. 2022 13:00, modifié 1 fois.
Perso je trouve cela génial et très intéressant et utile en plus ce que fait Alain. ...
Comme à dit notre jeune amie un peu plus haut, vous n'êtes pas obligé de lire mais n'empêchez pas Alain de nous faire plaisir et de nous faire partager ses écoutes.
Continues Alain. Moi je te lis et tes chroniques me plaisent et m'intéressent....
Voilà un avis que je partage tout à fait. Au regard du boulot titanesque fait pour les biographies, un petit descriptif des disques écoutés est fort bienvenu.
Je viens de tomber sur ce topic. Bon faudra du temps pour tout lire et écouter mais cela m'a permis de me replonger dans certains vieux Sabbath et ZZTOP.
Merci !
Perso je trouve cela génial et très intéressant et utile en plus ce que fait Alain. ...
Comme à dit notre jeune amie un peu plus haut, vous n'êtes pas obligé de lire mais n'empêchez pas Alain de nous faire plaisir et de nous faire partager ses écoutes.
Continues Alain. Moi je te lis et tes chroniques me plaisent et m'intéressent....
Voilà un avis que je partage tout à fait. Au regard du boulot titanesque fait pour les biographies, un petit descriptif des disques écoutés est fort bienvenu.
Je viens de tomber sur ce topic. Bon faudra du temps pour tout lire et écouter mais cela m'a permis de me replonger dans certains vieux Sabbath et ZZTOP.
Merci !
L'album "Ghost", paru en 2001, qui a été acclamé par la critique, est tout simplement un renouveau du groupe Crack the Sky avec des arrangements qui tiennent la route, un bon jeu de basse et un bon tandem de lead guitaristes!
Seul le chant pourrait être un problème parfois, mais il n'empêche pas de savourer le bon retour du groupe!...
Les chansons ne sont pas pourtant pas spécialement spectaculaires, et seulement légèrement prog, mais un bon feeling imprègne profondément tout l'album.
Il y a aussi beaucoup moins de ressemblance à tout autre groupe sur cet album que les précédents, bien que John Lennon semble être toujours l'une des plus grandes inspirations de Palumbo. Et une fois encore, les paroles sont le point focal.
S'étant fixé, en quelque sorte, un objectif de retour à leurs racines avec cet album, Crack the Sky n'a pas tout à fait réussi, mais ils s'en sont largement approché.
C'est cependant un album de bonne qualité qui plait aux fans de longue date,..
Modifié en dernier par alcat01 le dim. 4 sept. 2022 13:00, modifié 1 fois.
The Fallen Angels est un groupe légendaire et intemporel de Rock Britannique sans précèdent, oh combien éphèmère, composé du chanteur Phil May (chanteur des Pretty Things), du guitariste Bill Lovelady, du guitariste Mickey Waller (alias Mickey Finn, ancien Steve Marriott All Stars), du bassiste Allen Wally Waller (ancien Pretty Things), du claviériste Brian Johnston (ancien Streetwalkers), du batteur Brian "Chico" Greenwood(ancien Moonrider), du claviériste John Povey (ancizn Pretty things), du batteur Fran Byrne (ancient Ace, ancien Frankie Miller Band), et du guitariste Ed Deane(ancien Frankie Miller Band).
Album que j'avais acheté dès sa sortie et .. comique, à l'époque, j'ai suivi des cours chez Canon à Amsterdam et pour m'y rendre, c'est l'album que j'avais enregistré sur k7 qui n'a pas arrêté de tourner ... .. il était donc retourné chez lui ..
J'adorais "my good friend" ...
The Fallen Angels est un groupe légendaire et intemporel de Rock Britannique sans précèdent, oh combien éphèmère, composé du chanteur Phil May (chanteur des Pretty Things), du guitariste Bill Lovelady, du guitariste Mickey Waller (alias Mickey Finn, ancien Steve Marriott All Stars), du bassiste Allen Wally Waller (ancien Pretty Things), du claviériste Brian Johnston (ancien Streetwalkers), du batteur Brian "Chico" Greenwood(ancien Moonrider), du claviériste John Povey (ancizn Pretty things), du batteur Fran Byrne (ancient Ace, ancien Frankie Miller Band), et du guitariste Ed Deane(ancien Frankie Miller Band).
Album que j'avais acheté dès sa sortie et .. comique, à l'époque, j'ai suivi des cours chez Canon à Amsterdam et pour m'y rendre, c'est l'album que j'avais enregistré sur k7 qui n'a pas arrêté de tourner ... .. il était donc retourné chez lui ..
J'adorais "my good friend" ...
Etant fan des Pretty Things, je savais que le disque existait, mais je ne l'ai écouté et acheté (en CD) qu'au début des années 2000.
Et, malgré les quelques critiques plutôt négatives que j'avais pu lire dans la presse spécialisée, je le trouve bon...
The Happy Dragon Band est un groupe formé en 1978, à Detroit, dand le Michigan.
L'album "The Happy Dragon Band" semble en fait l'œuvre d'un certain Tommy "The Happy Dragon" Court, qui avait déjà publié un album presque aussi obscur sur Capitol en 1974 sous le nom de 'Phantom's Divine Comedy'.
Quatre ans plus tard, le batteur John Bdanjeck, le chanteur guitariste Tom Carson, le bassiste Dennis Craner, le claviériste Mike DeMartino et le guitariste Gary Meisner réapparaissent comme The Happy Band Dragon, un nom de groupe complètement lunatique, pour ne pas dire farfelu.
Je suppose qu'il n'y a pas grand monde à en avoir entendu parler mais il paraitrait que ce groupe était très proche des Doors musicalement parlant, mais aussi quelque chose de mystérieux.
Publié par le petit label Fiddlers, installé dans le Michigan, les connaisseurs s'attendant à entendre un deuxième opus de faux Doors d'inspiration psyché ont dû être surpris en 1978 par l'album "The Happy Dragon Band". le LP a été pressé dans en quantité infime, seulement 200 exemplaires ont été imprimés.
Considérant que le précédent LP de Phantom's Divine Comedy tout un matériel d'origine, les morceaux de ce nouvel album ont été écrits par Tommy Court.
Quel qu'il fût, Court a également été crédité de la production, de l'ingénierie et de la direction.
Chargé au niveau des synthés et autres effets électroniques de toute sorte, et engageant de multiples musiciens et chanteurs outre lui-même, l'idée de Tommy d'un retour quelques années plus tard avec ce groupe a été d'enregistrer cet étrange album. Les dix titres composant l'album ont chacun leur charme unique.
Musicalement, l'album crée une sorte de choc majeur. Abandonnant leur position antérieure de pseudo-Doors, le materiel tel que "3-D Free", "In Flight" et l'instrumental "Bowling Pin Intro" place le groupe directement dans l'expérimentation musicale pure et simple. C'est un album très étrange.
Bref, un album chaotique, confus, excentrique et pourtant, tellement brillant et agréable à écouter!
Modifié en dernier par alcat01 le dim. 4 sept. 2022 13:01, modifié 1 fois.
"Looking In" est certainement le meilleur album de Savoy Brown!... et certainement un must pour tout fan de Savoy Brown qui se respecte..
Simmonds sera le seul membre du Savoy Brown à continuer avec le groupe après cet album, car tous les autres partiront former Foghat l'année suivante.
Je t'invite à écouter l'album précédent, Raw Sienna, que je trouve encore supérieur.
En fait de Getting To The Point (la couverture US est géniale) à Looking In, ils sont tous excellent, mais inégaux.
Puis une fois les trois futurs Foghat partis, c'est la période Chicken Shack (les gars du 100 Ton Chicken) qui mettent la barre moins ghaut, mais Street Corner, Hellbound & Lion's Share sont tous trois fort bons... cela se gâte un peu et se dilue par la suite
Je le connais!
En fait, je les ai à peu près tous, mais il y a un bon moment que je ne les ai pas écouté!
En fait, "Looking In" a été l'un de mes premiers albums du groupe achetés, avec "Street Corner Talking", un autre très bon disque!
Ce matin, "New Born Day", le premier album de Ruphus.
"New Born Day" est un 'solide' début pour l'un des tout premiers groupes prog de son pays, mais qui n'a jamais vraiment été connu en dehors de la Norvège, à part quelques incursions en Allemagne et en Suisse.
Ce disque est définitivement un classique du Prog Norvégien perdu que le temps a quasiment oublié. C'est une sorte d'hommage très crédible aux premiers grands noms du prog qui vaut la peine d'être écouté par quiconque est curieux des premières racines de la scène Scandinave.
Il présente un son qui ressemble beaucoup à une version plus Heavy du Yes des deux premiers albums, avec l'influence d'un King Crimson pré-'Lark's Tongues' et un soupçon de Van der Graaf Generator.
Mais, ce qui est finalement le plus important, c'est l'aura enthousiaste et sauvage de chacune de ces chansons. En effet, bien qu'ils soient tous de bons instrumentistes, la musicalité n'est toutefois pas forcément toujours excellente, mais ce qui est le plus frappant est leur grand enthousiasme, surtout les chanteurs.
Plus Hard que Yes, donc, avec un puissant duo vocal masculin / féminin et des paroles réfléchies malgré la lourdeur générale, cela les distinguent de leurs contemporains Britanniques et si des comparaisons pouvaient réellement être faites, ce pourrait être plutôt avec le groupe Allemand Octopus, qui ne sera opérationnel que quelques années plus tard.
Ce premier opus est surtout un vrai coup de maître, car les musiciens avaient capté et bien intégré tout les sons exaltants de ces groupes Britanniques précités, il y a en effet un peu de tout cela: Le groupe s'inspire tour à tour de Deep Purple, de Yes, de King Crimson, mais aussi de Uriah Heep et les inclut dans son propre mixage, gardant des airs variés, imprévisibles, et particulièrement attachants.
Il contient du bon Hard Rock, du Hardprog et grâce à ses deux excellents chanteurs, Ruphus s'est inscrit comme un groupe dans une classe entièrement à part: Cet opus possède, en effet, quelque chose d'unique qui lui confère une ambiance particulière, le duo de chanteurs masculin / féminin qui chantent avec une passion enthousiaste.
Les parties vocales sont incroyables et vraiment poétiques: les voix masculines et féminines se fondent dans de puissantes incantations. Leurs mélodies sont instantanément accrocheuses et ne peuvent être oubliées.
Gudny Aspaas, sans aucun doute, est une chanteuse talentueuse et peut-être plus qu'un peu folle qui n'a pas le temps pour des termes comme la subtilité ou la retenue, elle pourrait même facilement rivaliser avec les Robert Plant ou Roger Daltrey de ce monde. Dès son introduction sur la première piste, elle monte dans les notes élevées d'une manière presque déséquilibrée, mais cela sonne bien.
Rune Sundby, quant à lui, joue plus de manière adéquate le rôle de fleuret masculin, distribuant de puissants vibratos et prenant le lead sur certains morceaux.
La dynamique vocale globale est excellente et ajoute beaucoup de caractère à l'album.
Le son est remarquablement années 70 dans son meilleur sens (bon mixage, son chaud). Les compétences techniques des musiciens sont de haut niveau! De plus, l'utilisation de mellotron apporte de la magie à cet incroyable voyage musical!
Sérieusement, chaque morceau est essentiel et certains d'entre eux fourmillent de ponts fantastiques et de mélodies exceptionnelles qui les traversent. Chaque piste a son propre groove accrocheur avec des harmonies vocales, des orchestrations aux claviers, des grosses parties de guitare et de l'orgue Hammond.
L'énergie et la dynamique de "New Born Day" ne peuvent pas être exagérées avec ses arrangements fluctuants qui ont aussi des suggestions classiques et des aspirations Jazz qui prendront de l'importance à mesure que la carrière du groupe progressera.
Ne manquant pas de prouesses, la musique plonge dans de multiples directions avec des sections plus mélodiques avec des guitares acoustiques, du saxophone et de la flûte particulièrement efficaces sur des titres tels que les prophétique "Scientific Way" et le rapide "Still Alive" donnant aux compositions encore plus de couleur.
Bien qu'il ne s'agisse pas d'un album conceptuel, tous les titres sont vaguement reliés par des thèmes de la guerre froide qui sont évidents sur des titres tels que "Scientific Ways", "The Man Who Start It All" et "Day After Tomorrow".
C'est certainement l'un des meilleurs disques Norvégiens de l'époque avec un son très excitant et un enthousiasme extraordinairement communicatif, même s'il sonne un peu daté. Sans aucun doute, il personnifie le véritable esprit de ce qui était en cours à cette époque.
Pour conclure, "New Born Day" est une excellente performance réalisée avec une exubérance absolue, et cet album mérite d'être recommandé à quiconque s'intéresse aux racines du Rock Progressif Scandinave.
Modifié en dernier par alcat01 le dim. 4 sept. 2022 13:02, modifié 1 fois.
Composé du batteur Doug Tull, du guitariste Richard Avitts, et du bassiste chanteur Doug Walden, Christopher commença sous le nom de United Gas en 1968 et le trio se forgea un ensemble de fans dans et autour de Houston, jouant dans des clubs locaux comme Tangerine Forest, dont le propriétaire, Nick Lee, développa un intérêt pour le groupe, avant de devenir leur manager.
Son seul LP, sorti en 1970, est le seul enregistrement autorisé par le guitariste Richard Avitts et le bassiste Doug Walden.
Ceux-ci avaient commencé à écrire leur propre matériel et ils enregistrèrent une demo que Lee fit circuler autour de Las Vegas et Los Angeles par ses relations dans ces villes.
United Gas déménagea ensuite à Las Vegas pendant une brève période, puis à Los Angeles, après que le label Metromedia de Los Angeles leur ait offert un contrat de deux ans.
C'est d'ailleurs à la demande de Metromedia que le groupe changea son nom en Christopher pour qu'ils ne soit pas confondu avec le groupe Californien similaire appelé Pacific Gas & Electric.
Walden et Avitts décrivaient Christopher comme un groupe religieux, car le nom est dérivé de Saint-Christopher, et ils voulaient transmettre celà à travers leur musique.
L'enregistrement de cet album, à Sound City, à Van Nuys en Californie, a commencé au début de l'année 1969, mais il a été beaucoup géné par l'usage de drogue par Tull et une tentative de suicide ratée.
Celui-ci fut congédié (plus tard, de retour à Houston, il rejoindra Josephus) et le reste des sessioins furent réalisées avec les batteurs John Simpson et Terrence Hand.
Le résultat fut cet album pressé à environ un millier d'exemplaires et publié en 1970 par Métromédia.
A partir du Blues tribal psychédélique d'ouverture "Dark Road" jusqu'à la fin de l'album, Christopher montre à quel point la musique psychédélique de la deuxième partie de la fin des années 60 pouvait être fort.
Il n'y avait pas de pénurie de grands musiciens originaires de Texas à l'époque, et ceux qui sont restés en l'état firent partie des groupes les plus singuliers et parfois les plus inventifs: des groupes de haut vol tels que Thirteenth Floor Elevators, Lost & Found, the Golden Dawn, et Christopher.
Christopher, cependant, ne peut pas exactement être confondu avec ces pairs. Le groupe a dû quitter le Texas pour la Californie pour se démarquer, et en effet, le groupe doit beaucoup à la musique de cet Etat: des chansons comme "Magic Cycles" et "In Your Time" sont porteuses des qualités de rêve du son de San Francisco, en particulier les longues pérégrinations de Jefferson Airplane et Grateful Dead.
On trouve aussi les empreintes de groupes amis de Los Angeles, the Doors et Spirit, tout au long de l'album, et comme le meilleur de la musique en provenance de Californie, les chansons de Christopher sonnent en quelque sorte révolutionnaires et prémonitoires, comme s'il y avait quelque chose de sombre cachée juste sous la surface de la musique.
Parfois, Christopher occupe un territoire musical très similaire à Cream. Les musiciens n'étaient pas étrangers avec le Blues, et, comme le 'super groupe' Britannique, ils étaient un 'power trio' avec énormément de capacité au niveau instrumental et compositions.
En outre, les vocaux de Doug Walden sont pratiquement la copie conforme de Jack Bruce.
Cela dit, l'album sonne finalement très différent de Cream. Christopher est, en quelque sorte, à la fois plus mystique et plus proche de la terre.
En conclusion, "Christopher" est l'un des albums les plus fins à être tombé complètement à travers les mailles du filet des années 60, et le groupe, un des meilleurs groupes oubliés de cette période.
Christopher aurait pu (dû!) aller bien plus loin qu'un simple album, mais la formation fut abandonnée par sa maison de disques qui voulait plutôt pousser l'acteur Bobby Sherman dans une carrière de chanteur!
Modifié en dernier par alcat01 le dim. 4 sept. 2022 13:03, modifié 1 fois.
Hi !
J'ai pris ALAMO que je trouve très bon, je vais le recommander chaudement à un pote.
Et Art me plait beaucoup aussi.
Voilà deux belles découvertes.
The Fallen Angels est un groupe légendaire et intemporel de Rock Britannique sans précèdent, oh combien éphèmère, composé du chanteur Phil May (chanteur des Pretty Things), du guitariste Bill Lovelady, du guitariste Mickey Waller (alias Mickey Finn, ancien Steve Marriott All Stars), du bassiste Allen Wally Waller (ancien Pretty Things), du claviériste Brian Johnston (ancien Streetwalkers), du batteur Brian "Chico" Greenwood(ancien Moonrider), du claviériste John Povey (ancizn Pretty things), du batteur Fran Byrne (ancient Ace, ancien Frankie Miller Band), et du guitariste Ed Deane(ancien Frankie Miller Band).
Album que j'avais acheté dès sa sortie et .. comique, à l'époque, j'ai suivi des cours chez Canon à Amsterdam et pour m'y rendre, c'est l'album que j'avais enregistré sur k7 qui n'a pas arrêté de tourner ... .. il était donc retourné chez lui ..
J'adorais "my good friend" ...
Etant fan des Pretty Things, je savais que le disque existait, mais je ne l'ai écouté et acheté (en CD) qu'au début des années 2000.
Et, malgré les quelques critiques plutôt négatives que j'avais pu lire dans la presse spécialisée, je le trouve bon...
J'aime aussi beaucoup les PRETTY THINGS dont j'ai récupéré plusieurs albums il y a quelques temps grâce à l'ami Lienard que je salue au passage s'il me lit. Grâce à lui toujours, j'ai maintenant cet album de Phil MAY qui est excellent lui aussi. Je l'ai récupéré en vinyle... Je ne savais pas que Fallen Angels était le nom du groupe. Je l'ai classé à May Phil dans ma discothèque. Pas grave.