One Times One (2007)
"One Times One" n'est pas seulement un nouveau CD de Tangerine Dream, c'est aussi un nouveau format qui peut être considéré comme un juste prix entre les formats de singles et le format régulier de CD.
Le nouveau support, le CUPDISC a une durée d'au moins 35 minutes minimum et ne doit pas dépasser 45 minutes (sur le temps moyen d'un album vinyle classique dans les années 70 et 80) pour 10 € pour chaque CD à venir de cette nouvelle série, enveloppé dans un simple emballage cartonné à la place d'un écrin.
Cet opus contient quatre compositions complètement nouvelles d'Edgar Froese ainsi qu'une version instrumentale d'une piste vocale initialement publiée sur "Madcap's Flaming Duty" de 2007 et un autre remix de "Loved By The Sun".
Celui-ci est basé sur la version publiée sur "Plays Tangerine Dream" de 2006, mais avec une ligne de guitare supplémentaire.
^^^Les deux premiers Earth Band ne sont pas terrible (ce qui est étonnant, car le MM Chapter Three antécédent était très bon) , mais à partir de Messin', c'est assez bon pour la décennie (il y aura des ratés).
Je me demande si il y avait pas un album avant, mais très peu connu ?🫢
Il y en a eu deux si pas trois:
Les 10CC se connaissaient depuis longtemps avant ce premier disque
Auparavant, le groupe s’appelait Hotlegs et avait enregistré un disque avec un hit Neandertal Man (pou un truc du genre)et avant cela, les quatre avaient joué dans Space Hymns de Ramases (que je trouve brilliant, pas loin d'être leur meilleur >> 15CC)
Ceci dit, je trouve ce premier trop unidimensionnel: rien que des parodies et pastiches (même Dean & I et Rubber Bullets). Les trois suivants (Sheet Music , OST et How Dare You) seront bien meilleurs... avant que le groupe ne se fracture en deux... pour le malheur (tout relatif) des deux factions
J'aime bien les 5 premiers albums, après, je ne sais pas ce que ça peut valoir, je ne connais pas!
Sur la pochette, le "1" me fait vaguement penser à quelque chose... Mais je dois avoir l'esprit mal tourné. En même temps, vu la signification du nom du groupe, c'est raccord...
A partir d'un certain âge, si on vous donne 10 ans de moins, un conseil : prenez-les !.
A propos de Hotlegs, je n'ai jamais accroché à ce single simpliste de "Neanderthal Man", donc je n'ai pas approfondi plus avant leur LP "Thinks: School Stinks" paru en 1971!
Age of Madness (1978)
L'album "Age of Madness" de Jane paru en 1978 contient un mélange quelque peu déconcertant de chansons mélodiques progressives de style Pink Floyd et des morceaux de Rock des plus ordinaires.
Au cœur des chansons se trouve le jeu de guitare très efficace de Klaus Hess, tandis que l'ancien musicien d'Eloy Manfred Wieczorke délivre de beaux sons de clavier sphériques .
La musique ne devient jamais très complexe, pas même dans les chansons les plus progressives. L'un des points faibles est sans aucun doute le chant, qui manque de personalité.
"Age of Madness" est un disque plutôt moyen; Jane nous ayant habitué à mieux!
The Future Now (1978)
"The Future Now" est certainement l'un des albums les plus déconcertants de Peter Hammill.
Rempli de ballades au piano, d'expérimentations étranges et de chansons Rock, il présente autant de facettes que l'artiste qui s'est rasé la moitié des poils de son visage pour la photo de la pochette.
"The Future Now" est incontestablement, et avant tout, un album d'artiste. Il demande du dévouement, mais il est récompensé au centuple.
Mind Exploding (1976)
cet album de Lucifer's Friend contient les changements stylistiques ambitieux et les performances instrumentales puissantes qui ont alimenté l'album "Banquet", mais il manque quelque peu les accroches fortes et la cohésion stylistique qui avaient rendu cet album si spécial.
"Mind Exploding" essaye, tant bien que mal, de combiner le Jazz de "Banquet" avec le Garage-Rock de "Rock & Roll Singer", mais il n'est pas aussi bien accueilli que les précédents albums.
En fin de compte, on ne peut véritablement recommander cet album qu'aux complétistes qui veulent écouter tous les albums de Lucifer's Friend.
Après la sortie de cet opus, le chanteur John Lawton quitte le groupe pour rejoindre ses héros de Uriah Heep en Grande-Bretagne et il est remplacé par Mike Starrs, ancien chanteur de Colosseum II.
Après le style Art Rock sur "To the Hilt", Golden Earring change à nouveau de style sur l'album suivant. Le claviériste Robert Jan Stips est remplacé par le guitariste Eelco Gelling et le groupe abandonne le Art Rock pour un son Hard Rock dominé par un nouveau tandem de guitares .
"Contraband" est, par conséquent, l'album le plus fort du groupe depuis "Moontan".
Car, même les morceaux les plus modestes fonctionnent grâce à des arrangements légers et à une performance toujours énergique de la part du groupe.
"Contraband" se doit de faire partie de toute collection de Golden Earring, et l'album vaut la peine d'être écouté par les fans de Hard Rock des années 70 en général.
1974 Sheet Music
"Sheet Music" est l'album de 10CC le plus aventureux de ce qui allait devenir une année extrêmement aventureuse (1974). Mais, c'est aussi, certainement, le meilleur opus du groupe.
D'ailleurs, trois singles en ont été tirés, tous sortis en 1974, et la plupart des autres titres auraient tout aussi bien pu suivre.
Le premier, "The Worst Band in the World", n'a pas réussi à se classer, le suivant, "The Wall Street Shuffle", s'est classé numéro 10 au Royaume Uni et numéro 2 aux Pays-Bas, et le troisième, "Silly Love", a atteint le numéro 24 au Royaume Uni.
Bref, encore un MUST!
Glorified Magnified 1972
Le deuxième album du Manfred Mann's Earth Band, "Glorified Magnified", sorti en Septembre, 1972 est bien supérieur au précédent, mais il ne décolle pas plus dans les Charts.
Pourtant, il y a quelques bons morceaux comme "Meat" (signé par Mann), une nouvelle version du titre du Chapter Three "One Way Glass" et aussi le sacrosaint titre de Bob Dylan (comme dans chacun des albums du groupe de cette période-là), "It's All Over Now Baby Blue".
La sauce commence, petit à petit, à prendre...
J'aime bien les 5 premiers albums, après, je ne sais pas ce que ça peut valoir, je ne connais pas!
Les deux duos y perdent, àmha
Déjà pour Stewart & Gouldman gardant le nom, Deceptive Bends (le 5è 10cc) a bcp moins de bons titres (à la hauteur de ce qu'on connaissait) et Bloody Tourists encore moins (le double Live est OK, mais jouent des titres signés par les 4).
Pour Godley & Creme, ils seront assez aventureux (un projet bruitiste de 4 disques) sur leurs prochaines sorties et vireront producteur vidéo à moyen terme.
Aussi connu sous le nom de Mad Love avec une couve différente en Am du Nord (un titre différent)
Si je défend cet album, c'est en partie parce que les nombreuses (4 ou 5, je sais plus) versions de titres sur le double Live qui suit sont bien supérieures (et parfois considérablement rallongées) là qu'ici.
Après leur mythique double Live, cela va dégringoler question qualité des titres proposés (d'autant plus qu'ils seront plus courts, donc plus nombreux par disque)
J'aime bien les 5 premiers albums, après, je ne sais pas ce que ça peut valoir, je ne connais pas!
Les deux duos y perdent, àmha
Déjà pour Stewart & Gouldman gardant le nom, Deceptive Bends (le 5è 10cc) a bcp moins de bons titres (à la hauteur de ce qu'on connaissait) et Bloody Tourists encore moins (le double Live est OK, mais jouent des titres signés par les 4).
Pour Godley & Creme, ils seront assez aventureux (un projet bruitiste de 4 disques) sur leurs prochaines sorties et vireront producteur vidéo à moyen terme.
Aussi connu sous le nom de Mad Love avec une couve différente en Am du Nord (un titre différent)
Si je défend cet album, c'est en partie parce que les nombreuses (4 ou 5, je sais plus) versions de titres sur le double Live qui suit sont bien supérieures (et parfois considérablement rallongées) là qu'ici.
Après leur mythique double Live, cela va dégringoler question qualité des titres proposés (d'autant plus qu'ils seront plus courts, donc plus nombreux par disque)
Godley & Creme: j'avais acheté un de leur disque, je ne sais plus lequel, je l'avais revendu rapidement! Golden Earring, j'en ai gardé pas mal, mais le dernier en date, c'est "Bloody Buccaneers" de 1991...
The Endless Season (2010)
Les jours légendaires de Tangerine Dream dans les années 70 et au début des années 80 sont révolus pour toujours, mais parfois, ils font quelque chose qui se rapproche de leur ancienne magnificence, et cet album en fait partie.
Sign No. 9 (1979)
Avant le Printemps 1979, Manfred Wieczorke a quitté Jane qui se retrouve sans claviériste pour enregistrer son nouvel album. C'est finalement Klaus Hess qui en plus des parties de guitare décide de s'occuper aussi des claviers.
Le trio restant enregistre "Sign No.9", certainement leur album le plus faible, comme ils l'admettent volontiers eux-mêmes. L'album n'est pas aussi pompeux et ludique qu'il l'était au milieu de la décennie car les chansons sont un peu plus simples.
Musicalement parlant, Jane clôture la décennie avec une collection plutôt animée de morceaux de style Hawkwind / Pink Floyd, avec une bonne dose de Power Pop.
L'écoute est simple mais toujours très sympathique...
pH7 (1979)
Le septième album de Peter Hammill a été enregistré avec la même formation que "The Future Now" mais cela donne des résultats très différents. L'esprit d'expérimentation du précédent opus a, pour l'essentiel, disparu au profit de chansons plus resserrées et plus grand public.
"pH7" est un peu terne, et ne produit pas sa juste part de classiques, mais il reste un album pourtant bien agréable et certainement plus facile à écouter que "The Future Now".
Good Time Warrior (1978)
La sortie de l'album "Good Time Warrior" de Lucifer's Friend en 1978 a vu le départ du légendaire chanteur John Lawton et l'entrée d'un autre talent Anglais en la personne de Mike Starrs.
L'album marque un changement de direction pour le groupe. "Good Time Warrior" contient un son Rock plus direct. Des morceaux tels que "Old Man Roller" et "Sweet Little Lady" le démontrent le mieux. Le dernier morceai, "Warriors", est un long morceau qui rappelle le son précédent du groupe tout en fournissant une plate-forme solide pour la voix de Starrs.
1977 Live
Ce double album "Live" de 1977 représente l'entrée de Golden Earring dans la série des albums live, si populaires à la fin des années 70. Le son live a gagné en puissance grâce à l'arrivée du second guitariste Eelco Gelling. En effet, des classiques comme "Radar Love" et "She Flies on Strange Wings" bénéficient d'une complexité et d'une énergie nouvelles grâce à l'interaction énergique entre les deix lead guitaristes Gelling et George Kooymans.
Ce nouveau son de double guitare permet également au groupe de remanier certains de ses morceaux de manière nouvelle et très intéressante. "To the Hilt" est transformé du court morceau à saveur Country en une épopée trépidante à deux guitares dans l'arène du live.
Le groupe se laisse parfois emporter par son nouveau son et laisse certains morceaux dégénérer en bavardages: "Mad Love's Coming" enfonce son riff hypnotique dans le sol en s'étirant quelques minutes de trop, et la reprise du classique des Byrds "Eight Miles High", avec son souffle de feu, perd de son énergie considérable en s'étirant sur plus de dix minutes.
"Live" reste cependant un portrait solide du groupe en concert à ce stade de sa carrière et il bénéficie en outre d'un son précis (l'ingénieur du son est le futur producteur de U2, Steve Lillywhite). Il prépare le terrain pour la cinquième tournée du groupe aux U.S.A..
N.B.: Durant cette tournée, Golden Earring fera notamment les premières parties de Led Zeppelin, Kiss et Aerosmith.
1975 The Original Soundtrack
"The Original Soundtrack" a enfin valu un succès majeur aux U.S.A., et à juste titre. "I'm Not in Love" se situe entre l'apitoiement et l'autoparodie avec son histoire larmoyante d'un garçon qui n'est pas amoureux, et la production merveilleusement luxuriante ont permis à la chanson de fonctionner merveilleusement bien, que ce soit comme une blague sournoise ou à sa juste valeur.
Le début de l'album, " Une Nuit a Paris ", est une parodie sournoise et souvent hilarante des stéréotypes cinématographiques de la vie et de l'amour en France et de la pop européenne à outrance.
Les meilleurs moments de "The Original Soundtrack" se classent parmi les meilleures œuvres que 10cc ait jamais produites; cependant, en même temps, il montre aussi ce qui allait devenir leur talon d'Achille: l'incapacité de faire un album entier aussi fort et mémorable que ces moments-là.
Modifié en dernier par alcat01 le lun. 24 juil. 2023 05:57, modifié 1 fois.
Messin' 1973
Le succès rencontré sur la route par Manfred Mann's Earth Band prépare le terrain pour l'album qui sort sous le titre "Messin'" en Europe et "Get Your Rocks Off" aux USA (où ul atteint le numéro 196) en Juin 1973.
L'album est considéré de façon tout à fait légitime comme le premier album sérieux et véritablement cohérent du groupe. Dire que Manfred Mann y trouve enfin sa voie serait peut-être excessif mais il y trouve à l'évidence un bien meilleur compromis entre Hard Rock et Rock Prog que sur les précédents opus. Ce fameux compromis semble passer par une sorte de Rock planant saupoudré de multiples solos à rallonge, qui, une fois n'est pas coutume, méritent d'être explorés au moins une fois jusqu'au bout. Même la niaiserie des mélodies est judicieusement revue à la baisse par un Manfred Mann qui parvient même à les rendre plus accrocheuses.
La beauté d'un "Buddah" est dans ses phases qui allient arpèges de guitare et chant. Si le titre ne se perdait pas tant dans d'inutiles digressions, ce dernier lui attribuerait le statut de grand classique de la décennie. Les grooves sont aussi plus évidents et cohérents qu'auparavant. Manfred Mann réalise ses meilleurs solos de claviers dans lesquels il rivalise parfaitement avec les leaders de l'époque (Keith Emerson ou Rick Wakeman), tout comme Mick Rogers qui fait merveilleusement hurler sa guitare.
Les élans Gospels ne disparaissent pas mais ils sont mêlés de façon plus cohérente à l'esprit Hard Rock. Ainsi, les quatre vocalistes féminines s'imposent mais de façon ponctuelle sur l'efficace "Messin'" qui prend d'un coup la forme d'un imposant hymne Rock. En revanche, avec la reprise du "Mardi Gras Day" de Dr. John, le groupe rétrograde directement au niveau de son premier album. Si ce titre n'était pas aussi jubilatoire que ridicule, il ne ferait que nuire à la cohérence de ce disque. Manfred persiste par ailleurs à reprendre Bob Dylan avec un "Get Your Rocks Off" certes, mais un peu alourdi et gospelisé. Mick Rogers devient un véritable guitar hero sur deux titres ("Cloudy Eyes" et "Sadjoy") menés par des leads qui ne sont pas sans rappeler le Carlos Santana des débuts.
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"Messin'" est donc un album porteur d'espoir sur l'avenir musical du Manfred Mann's Earth Band. Ses titres ne sont peut-être pas aussi fameux que sa pochette mais ils sont bons, ce qui représente déjà beaucoup après des débuts assez moyens.
Sign No. 9 (1979)
Avant le Printemps 1979, Manfred Wieczorke a quitté Jane qui se retrouve sans claviériste pour enregistrer son nouvel album. C'est finalement Klaus Hess qui en plus des parties de guitare décide de s'occuper aussi des claviers.
Le trio restant enregistre "Sign No.9", certainement leur album le plus faible, comme ils l'admettent volontiers eux-mêmes. L'album n'est pas aussi pompeux et ludique qu'il l'était au milieu de la décennie car les chansons sont un peu plus simples.
Musicalement parlant, Jane clôture la décennie avec une collection plutôt animée de morceaux de style Hawkwind / Pink Floyd, avec une bonne dose de Power Pop.
L'écoute est simple mais toujours très sympathique...
Considéré comme leur album le plus faible de la décennie en effet mais moi je l'aime bien avec ses chansons simples, mélancoliques et très mélodieuses
« Je peux ne pas croire en moi mais je crois en ce que je fais »
Jimmy Page
