à l'écoute chez Alcat01 en ce moment

[alcat01]

Off the Ground (1993)
Bien qu'il ne soit pas aussi consciemment ambitieux, "Off the Ground" reprend certainement là où "Flowers in the Dirt" s'est arrêté, car Paul McCartney n'éprouve aucune honte à faire un album qui ne vise pas les Charts, mais qui est tout de même classe, professionnel et ambitieux.
On peut remarquer que la production est plus légère et que la conscience sociale de McCartney domine l'album. Il n'abandonne pas l'amour ou la fantaisie ("Biker Like an Icon" est de loin sa pire tentative de fantaisie, la plus étudiée), et il a encore deux excellentes chansons de McCartney / MacManuss ("Mistress and Maid", "The Lovers That Never Were") à sortir.
Le résultat est un disque net et direct, alors que beaucoup de ses albums solo sont diffus et sinueux, et il est sérieux alors que beaucoup misaient sur la mièvrerie.

[alcat01]

Ame Son 1998 : Primitive Expression
L'album "Primitive Expression" paru en 1998, contient des enregistrements de 1971 et d'autres de 1975.
Avec les années, il y avait des morceaux enregistrés qui n’étaient pas sortis. Il y a un morceau, "Le Grand Cirque De La Lune", qu’ils avaient fait pour le film "La Cicatrice intérieure" (1970) de Philippe Garrel. Il sonnait vraiment comme du Ame Son. Il yavait aussi un morceau live qu’ils jouaient en 71-72 et différentes expériences comme ça. Ils les ont compilées. Il y avait aussi des morceaux qu’ils jouaient du temps des Primitiv’s et qu’ils avaien réenregistrés en 74. Les Espagnols avaient d’ailleurs sorti un 45 tours qui ne contient que les morceaux garage rocks des Primitiv’s.

[alcat01]

The Moody Blues 1993 - A Night at Red Rocks with the Colorado Symphony Orchestra
Le groupe sort, en souvenir, un album live composé d'une série de versions vidéo et audio de leur concert "Night at Red Rocks" de 1992 qui connait un grand succès, notamment en tant que collecteur de fonds pour la télévision publique Américaine où le show a été diffusé en premier.
Le concert est conduit et arrangé par Larry Baird, qui a participé à des concerts orchestraux de nombreux autres groupes en public, comme Kansas, Michael Bolton, Three Dog Night, Al Jarreau, et Alan Parsons.

[alcat01]

Jack Casady 2003 - Dream Factor
"Dream Factor", paru en 2003, est le premier album solo de ce bassiste âgé de 59 ans et c'est un disque plutôt mitigé.
Contrairement à la plupart des bassistes de Rock, Casady ne chante pas, de sorte que ses contributions à son premier album se limitent à un solo de basse occasionnel et à la coécriture de presque tous les morceaux. Malheureusement, son écriture n'est pas aussi innovante ou inspirante que son jeu de basse, ce qui donne un album plutôt moyen de Southern Rock, de Folk et de Blues.
Casady a fait pourtant appel à des amis de Gov't Mule (le batteur Matt Abts et le guitariste Warren Haynes), ainsi qu'au guitariste de Little Feat Paul Barrére, à Ivan Neville et à Fee Waybill des Tubes, entre autres, pour l'aider au chant.
Tous font un travail admirable, mais en fin de compte, l'album repose sur la force de ses chansons, dont la plupart sont adéquates mais loin d'être vraiment captivantes. Lorsque Casady apparaît sur la fusion Jazz Rock instrumentale brûlante "Outside" (à laquelle participe également Haynes), et à nouveau dans la section centrale de la chanson folklorique "Weight of Sin", on a enfin une idée de ses talents uniques de bassiste.
Le disque est dominé par d'agréables ballades Folk Pop West Coast qui ne s'enflamment pas réellement.
Pour conclure, ceux qui s'attendent à ce que le légendaire bassiste fasse ses débuts en solo et mette en valeur ses capacités instrumentales considérables risquent d'être déçus...

[alcat01]

Rare Earth 1978 Band Together
"Band Together", paru en 1978, est freiné par deux choses: Le travail de production médiocre de John Ryan et l'incapacité de Rare Earth à se réinventer car, contrairement aux talents intuitifs du brillant Norman Whitfield qui ont propulsé "(I Know) I'm Losing You" au Top Ten en 1970, Ryan se contente d'imiter la Motown.
La composition exquise "You" et "Love Is What You Get (If Love Is What You Give Me)" ressemblent à un groupe de reprises jouant dans l'arène créée par Berry Gordy.
C'est écoutable, mais pas aussi original que le son rafraîchissant qui avait déchiré les radios lorsque "Get Ready" s'était hissé dans le Top 5 au Printemps 1970.
Ce que "Band Together" montre, ce sont des interprétations originales par Rare Earth des premiers classiques de la Motown. Il y a du Funk, des éléments de disco, et une atmosphère très "jouer en toute sécurité".
"Love Music" de Dennis Lambert et Brian Potter trouve sa place sur le disque, mais il est coincé dans une sorte d'ornière à la John Travolta, et bien que le groupe puisse encore groover, les grooves sont quelque peu vides. Ces innovations qui ont apporté une identité de groupe à des musiciens sans visage avaient besoin d'un duo avec l'ex-partenaire du label Kiki Dee ou d'un autre saut impressionnant hors de la norme pour faire de leur dernière tentative une tentative mémorable. Le morceau "Dreamer" de Jerry Zaremba aurait pu être un bon Hit s'il avait été un peu mieux produit, tandis que le dernier morceau, "Mota Molata", est celui qui a le plus à offrir après "Warm Ride". Il s'agit d'une composition originale du chanteur Peter Hoorelbeke, du claviériste Mark Olson, du guitariste Ray Monette et du producteur John Ryan.
Ce Rare Earth-là sonne malheureusement comme un groupe dont les meilleurs jours sont derrière lui.

[alcat01]

Blues Traveler 1994 four
Sans le côté plus roots de "Save His Soul", "Four" voit Blues Traveler se replier sur sa formule standard de Blues-Boogie, avec des résultats mitigés.
Bien sûr, il y a de très bonnes chansons, le hit single "Run-Around", par exemple, mais trop souvent le groupe donne l'impression de se reposer sur ses lauriers.
"Four" est un disque solide, mais il montre des signes que la formule du groupe est peut-être en train de s'épuiser.

[alcat01]

Kraan 2003 Through
En 2003, Kraan a sorti un album studio intitulé "Through".
Court et doux, avec une belle musique de fond, discrète, le son est bon, mais malheureusement ça devient un peu ennuyeux à la longue car Kraan était tout simplement plus créatif autrefois et cela ressemble parfois un peu à de la musique lounge.
Ce disque est intéressant, mais la magie des années 70 est définitivement perdue.
En résumé, Kraan a été génial à ses tout débuts, mais il s'est empètré dans son propre style jusqu'à l'usure totale, qui les a conduit, petit à petit, à un manque flagrant d'imagination!...

[alcat01]

Flaming Pie (1997)
Selon Paul McCartney, le fait de travailler sur le projet de l'Anthologie des Beatles l'a incité à enregistrer un album dépouillé, immédiat et amusant, moins étudié et produit que la plupart de ses œuvres récentes.
A bien des égards, "Flaming Pie" remplit ces objectifs. Collection essentiellement acoustique de chansons simples, cet album est direct et sans prétention et, dans le meilleur des cas, il rappelle le charme familial de "McCartney" et de "Ram".
McCartney a toujours tendance à se complaire dans des sentiments banals, et ses morceaux les plus ambitieux, comme l'épique "Beautiful Night" ou le psychédélisme stupidement Beatlesque de "Flaming Pie", tombent un peu à plat. Mais lorsqu'il travaille à petite échelle, comme sur les valses "The Song We Were Singing", "Calico Skies", "Great Day" et "Little Willow", il est doucement touchant, et la Pop modérément Rock de "The World Tonight" et "Young Boy" est plus attirante que la paire de jams bluesy sans but avec Steve Miller.
"Flaming Pie" est l'un de ses derniers albums les plus réussis, principalement parce que McCartney est à son meilleur lorsqu'il ne se force pas et laisse ses dons mélodiques remonter à la surface sans effort.

[alcat01]

Leslie West 1969 Mountain
Souvent considéré comme le premier album du groupe Mountain, qui porte son nom, le premier album solo de Leslie West comprend le bassiste et claviériste Felix Pappalardi, qui l'a également produit et a coécrit huit de ses onze chansons, ainsi que le batteur N.D. Smart II. (Ce trio a effectivement tourné sous le nom de Mountain peu après la sortie de l'album, se produisant même à Woodstock, bien que Smart ait été remplacé par Corky Laing et que Steve Knight ait été ajouté en tant que claviériste pour le premier enregistrement officiel du groupe, "Mountain Climbing!" sorti en février 1970).
Pappalardi avait été le producteur de Cream, et ce power trio, ainsi que le Jimi Hendrix Experience, ont servi de modèles pour ce set Rock, dominé par le rugissement guttural de la voix de West et son jeu de guitare Blues Rock inventif.
Bien que West ait mené les Vagrants pendant des années et ait enregistré une poignée de singles avec eux, il s'agissait de son premier album, et ce fut un début prometteur, l'établissant instantanément comme un guitar-hero et définissant le style des enregistrements ultérieurs de Mountain.

[alcat01]

The Moody Blues 1999 : Strange Times
Pour The Moody Blues, un hiatus de six ans s"est terminé en 1999, avec l'album "Strange Times", qui s'avére être le premier album du groupe depuis près de deux décennies à être plus que modérément accueilli par la critique Britannique.
Il a été enregistré à Recco, en Italie, à la suggestion de Hayward, et c'est le premier effort du groupe dans l'autoproduction.
L'album met également en vedette les claviers et les arrangements du musicien Italien Danilo Madonia, qui a travaillé en studio avec le groupe depuis.
"Strange Times" s'ouvre avec "English Sunset", une chanson Pop avec un arrangement moderne proche de la techno. C'est aussi le premier album depuis 1970 à inclure un nouveau poème de Graeme Edge.

[alcat01]

Graeme Edge Band Kick Off Your Muddy Boots (1975)
Membre fondateur et batteur des Moody Blues, Graeme Edge a enregistré cet album classique en 1975 alors que les Moody Blues étaient en congé sabbatique.
Faisant équipe avec les frères Adrian et Paul Gurvitz comme noyau de son groupe, "Kick Off Your Muddy Boots" est un bel effort et il comporte même une apparition de Ginger Baker.
"Kick Off Your Muddy Boots" est une vitrine pour le chanteur / guitariste Adrian car Graeme Edge n'a contribué qu'à trois chansons: la rêveuse "Lost in Space", l'introspective "Have You Ever Wondered" et la dramatique "Somethin' We'd Like to Say", qui offrent des liens très timides avec le son des Moody Blues.
Le reste de l'album, composé par Adrian Gurvitz, suit sa propre voie. L'instrumental fabuleusement funky "The Tunnel" s'éloigne le plus du vaisseau mère, tandis qu'un invité, Ginger Baker, entre dans l'ombre sur le spectaculaire Chicago Blues "Gew Janna Woman", l'apothéose de l'ensemble. "My Life's Not Wasted" est presque aussi épique, passant du Funk au Blues, de la Soul à la démesure orchestrale en une seule fois.
Passant du Rock "Shotgun", teinté de C&W, à "Bareback Rider", au style Californien ensoleillé, "Kick Off Your Muddy Boots" s'aventure dans autant de pâturages musicaux que possible.
Le claviériste Mickey Gallagher fournit un excellent travail, ses jolis paysages sonores et ses lignes mélodiques délicates constituant un parfait complément aux leads et aux riffs puissants de Gurvitz. La section rythmique est bien sûr solide, mais en fin de compte, c'est le spectacle de Gurvitz et Gallagher du début à la fin, et quel spectacle !

[Cooltrane]

The Moody Blues 1991 - Keys of the Kingdom

Je crois (si mémoire est bonne) que c'est l'album où ils ont viré le chuiche Patrick Moraz de manière assez abrupte et se sont conduits comme des connards avec lui après des tractations de rupture qui ne se sont pas biens passées (faut reconnaitre que Moraz n'est pas un modèle du genre diplomate non plus).

C'est arrivé au point où ils ont effacé sa présence sur les photos du groupe où il apparaissait.

[alcat01]

Rare Earth 1978 Grand Slam
Avec "Grand Slam", paru en 1978, Rare Earth en est réduit à se promener dans des versions de "I Wish It Would Rain" et "I Heard It Through the Grapevine" qui donnent l'impression d'avoir été enregistrées un week-end, alors que le groupe se produisait à un concert de mariage.
La conclusion de "Grapevine" est presque réussie, le fondu montrant des étincelles de créativité. Ce que l'on découvre, c'est le passage d'un groupe de Rock aux allures de machine qui transformait les airs de Soul en Pop radiophonique des années 70 à un groupe de reprises essayant d'être un vrai groupe de Soul.
La production de John Ryan est assez triste et Rare Earth se prend beaucoup trop au sérieux. Le point culminant est un morceau de Barry Gibb / Albhy Galuten, "Save Me, Save Me", qui sert de précurseur au succès plus tard la même année, 1978, sur la suite immédiate, l'album "Band Together", avec le morceau "Warm Ride" écrit par les Bee Gees, qui a à peine dépassé le Top 40.
Rien sur cet album n'arrive à la cheville de leurs cinq premiers succès. Au moins, Merry Clayton, Venetta Fields et leurs amis ont touché quelques cachets.

[alcat01]

The Moody Blues 1991 - Keys of the Kingdom

Je crois (si mémoire est bonne) que c'est l'album où ils ont viré le chuiche Patrick Moraz de manière assez abrupte et se sont conduits comme des connards avec lui après des tractations de rupture qui ne se sont pas biens passées (faut reconnaitre que Moraz n'est pas un modèle du genre diplomate non plus).

C'est arrivé au point où ils ont effacé sa présence sur les photos du groupe où il apparaissait.

Sur "Keys of the Kingdom", Moraz ne joue que sur trois chansons et il n'est cité que comme musicien supplémentaire!

[alcat01]

1997 - Straight On till Morning
Le succès commercial de "Four" a été une bénédiction mitigée pour Blues Traveler. Il leur a permis d'élargir leur public, mais il les a également placés dans la position délicate de plaire à leurs nouveaux fans, qui aiment le crochet, tout en conservant leur public de fans purs et durs, adeptes des jams.
Ils y parviennent habilement sur "Straight on Till Morning", la suite bluesy et ambitieuse de "Four". Dans l'ensemble, c"est un album plus dur que tous ses prédécesseurs, avec un son grinçant et plusieurs jams bien senties. Mais la clé de l'album est sa longueur et sa collection tentaculaire de chansons, qui permettent aux Blues Traveler de s'essayer à tout, du Country Rock à la Pop Rock endiablée. Ils parviennent à être à la fois succincts et éclectiques, et ils lancent de temps en temps un bon crochet Pop ou deux.
Les Blues Traveler sont encore trop lâches pour être un vrai groupe Pop Rock, et John Popper aurait encore besoin d'un sens de la mesure, mais "Straight on Till Morning" est le premier album studio qui capture l'essence du groupe.

[alcat01]

Kraan 2007 Psychedelic man
Peter Wolbrandt, Ingo Bischof et compagnie sont de très bons musiciens mais Kraan, sans son son Kraut, est susceptible d'être condamné à la moyenne et la pâleur.
"Psychedelic Man" de 2007 ne fait pas exception, même si on y trouve des belles chansons comme "Dakkar", "Miracle Days" et "Come Back".

[andy]

voila " straigh on till morning " des blues traveller que j ai en cd ! un moment que je l ai pas ressorti , merci pour la chronique alcat

[alcat01]

Tripping the Live Fantastic (1990)
Le retour de Paul McCartney sur scène en 1989 pour la tournée "Flowers in the Dirt" avait fait l'objet d'une grande publicité, car il s'agissait non seulement de sa première grande tournée depuis les années 70, mais aussi de la première fois qu'il incorporait de grandes parties du catalogue des Beatles dans sa liste de concerts.
Le double disque de 37 titres, "Tripping the Live Fantastic", documente la tournée, et c'est un voyage nostalgique agréable, mais finalement sans conséquence, qui met les faiblesses de "Flowers in the Dirt" un peu trop en relief.
En fait, la plupart des défauts de McCartney sont présents, qu'il s'agisse de sa mignonnerie excessive (l'album commence avec Paul et son groupe à qui l'on dit "heidy-ho, it's time for the show", de son penchant pour les vieilleries, et de son désir persistant de charmer la foule entière. Néanmoins, il charme souvent la foule, que ce soit par ses performances éblouissantes et sans effort ou par son catalogue de classiques de la musique Pop qui remporte un franc succès.
Les nouvelles chansons font peut-être pâle figure à côté des classiques de son époque Beatles et solo, et ces classiques sont peut-être livrés dans des versions un peu trop étudiées, mais "Tripping the Live Fantastic" est, cependant, un bel exercice de nostalgie.

[alcat01]

1975 The Great Fatsby
Sorti sur le label RCA de Bud Prager, le manager de Foreigner, Phantom records, c'est l'un des deux albums sortis par Leslie West sur ce label en 1975, l'autre s'intitulant simplement The Leslie West Band.
L'album s'ouvre sur une belle chanson bluesy de Paul Kelly, " Don't Burn Me ", et pour le travail post-Mountain, cette direction fonctionne le mieux. "The House of the Rising Sun" est un duo avec Dana Valery et constitue une lecture intéressante de l'air traditionnel rendu célèbre par les Animals. Mick Jagger joue de la guitare sur un morceau crédité à lui-même, Keith Richards, West, Corky Laing et Sandra Palmer. "High Roller" est un cousin au second degré de "Brown Sugar", et pour les fans des Rolling Stones, c'est un must, une rare coécriture des années 70 et une collaboration avec un autre artiste. Pour les fans de Leslie West, l'album s'éloigne des assauts de Mountain et est un régal.
"I'm Gonna Love You Thru the Night" a un riff de guitare élégant et ramène West au Blues. Bien qu'il s'agisse d'une création de Corky Laing et de son guitariste, l'influence du groupe Free est évidente. West fait un travail admirable sur "Doctor Love" d'Andy Fraser sur la deuxième face, ainsi que sur la chanson de Free "Little Bit of Love". Le morceau "If I Were a Carpenter" de Tim Hardin est un détournement total pour le guitariste de Hard Rock, et il s'en sort très bien. Avec cinq minutes et vingt secondes, "Carpenter" est le morceau le plus long. L'instrumental "E.S.P." est peut-être le morceau le plus fort de l'album. Avec des guitares à 12 cordes et une superbe musicalité, c'est le meilleur de West qui s'affiche. Gary Wright fait une apparition sur cet album au piano, et "The Great Fatsby" apparaît comme un regard unique sur un artiste important du Rock, avec quelques surprises à l'intérieur.

[alcat01]

The Moody Blues 2000 : Hall of Fame

En 2000, le groupe a sorti l'album "Hall of Fame", un nouveau live qui retrace un concert au Royal Albert Hall, avec une sortie simultanée en DVD.
Il a été enregistré lors de la dernière tournée sur lequel le claviériste Tobias Boshell a joué.
On y retrouve la plupart des plus gros Hits du groupe...