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2011 Unusual Suspects
L'album de Leslie West, "Unusual Suspects", paru en 2011, présente un assemblage de 'superstars' dont Slash, Billy F. Gibbons, Zakk Wylde, Steve Lukather et Joe Bonamassa.
Il était très attendu et il est considéré comme l'un des meilleurs albums solo de West à ce jour.
C'est du tout bon!

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Music from Big Pink (1968)
L'album, "Music from Big Pink" de The Band, sorti en 1968, a été largement acclamé.
Il comprend trois chansons écrites ou co-écrites par Dylan ("This Wheel's on Fire", "Tears of Rage", et "I Shall Be Released"), ainsi que "The Weight", dont l'utilisation dans le film "Easy Rider" a permis de rendre probablement cette chanson, plus connue.
Même si une continuité court certainement à travers leur musique, il y a des tendances stylistiques dans un certain nombre de directions.
Le premier disque d'un groupe si particulier se devait de contenir au moins une chanson 'psychedelique', et "Chest Fever" démontre certaines similitudes avec ce genre.
Contrairement à son jeu de guitare avec Dylan, Robertson opte pour un riff dans une approche plus modérée.

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1985: Serious Business
Johnny Winter s'est amélioré en tant que guitariste au fil des ans, mais sa carrière a connu des hauts et des bas pour des raisons personnelles et professionnelles.
En signant avec le label de Blues indépendant Alligator Records, basé à Chicago, il a fait son propre retour sur le devant de la scène avec "Guitar Slinger" en 1984, et son successeur, "Serious Business", s'inscrit dans la même veine.
Cette veine, c'est le Blues électrique de Chicago, à la manière de Muddy Waters.
Sur Alligator, Winter est plus détendu. Ken Saydak fournit quelques interludes au piano et Jon Paris, un ancien membre du groupe de Winter, joue de l'harmonica sur plusieurs chansons. Mais pour l'essentiel, c'est Winter et sa section rythmique, le bassiste Johnny B. Gayden et le batteur Casey Jones, qui explorent les styles familiers du Blues électrique. Johnny Winter n'essaie peut-être plus d'être une superstar, mais ses efforts pour être un bluesman accompli sont pleinement réussis.

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1975 Symphonion Dream
"Symphonion Dream" du Nitty Gritty Dirt Band, paru en 1975, est un album d'une autre sorte de Country / Bluegrass psychédélique très différent de "Will the Circle Be Unbroken". Le groupe est rejoint par Linda Ronstadt, Leon Russell et l'acteur Gary Busey (sous le nom de "Teddy Jack Eddy" à la batterie).
Le son est plus varié que sur les albums précédents, avec une touche de Country électrique plus Hard sur "Bayou Jubilee", qui passe directement à l'instrumental Bluegrass "Sally Was a Goodun". Linda Ronstadt chante très bien sur "Hey Good Lookin'", mais le groupe chante aussi bien, avec notamment une superbe interprétation de "(All I Have to Do Is) Dream". Le groupe avait déjà sorti une interprétation live amusante de "The Battle of New Orleans" de Jimmie Driftwood, et ils la reprennent dans une version studio un peu plus funky. John McEuen offre également un avant-goût de certains des sons qu'il explorera plus tard de manière plus approfondie sur ses albums solo avec "Classical BanjoI / Malaguena / Classical Banjo II". The Nitty Gritty Dirt Band propose un instrumental non Country, "Sleeping on the Beach", qui aurait pu provenir d'un album instrumental des années 50, suivI de "Santa Monica Pier", inspiré par la musique de carnaval de William McEuen, qui enchaîne avec le magnifique single perdu "Ripplin' Waters", de Jim Ibbotson, l'un des deux Hits qui auraient dû figurer sur cet album (l'autre étant "Mother of Love" de Ken Edwards).
Le disque se termine par un instrumental de harpe éolienne de William McEuen et un morceau de boîte à musique intitulé "Symphonion Montage".

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Black Oak I'd Rather Be Sailing 1978
Cet album est largement considéré comme le couronnement de l'échec de Black Oak.
Ce matériel est très éloigné du tempérament sauvage et redneck du matériel "classique"de Black Oak Arkansas. Les ratés sont assez faciles à repérer, comme le trop disco "You Can Count On Me". La deuxième face est rendue totalement inécoutable car chaque chanson tombe sous le poids de sa propre banalité.
Cependant, les quatre premiers morceaux de cet album sont de bons exemples de la compétence du groupe dans l'écriture de morceaux chargés d'accroches, joliment arrangés.
C'est un album qui ne ressemble plus à rien, et surtout pas à Black Oak Arkansas...

[alcat01]

1978 Showdown
L'album "Showdown" de Gallagher and Lyle, sorti en 1978, est composé de dix chansons que l'on pourrait classer entre le Soft Rock et la Pop adaptés à la radio.
De temps en temps, on entend un son légèrement funky, par exemple dans la chanson titre, ou des sonorités reggae retenues dans la chanson 'Backstage'.
Il n'y a malheureusement pas de véritable coup de cœur.

[alcat01]

Magic Two 1995
Il ne fait aucun doute que Jorma Kaukonen est un très bon guitariste de Blues. Et il ne fait aucun doute non plus qu’il met en valeur ses compétences sur cet album live.
Mais, il y a, avant tout, un manque de qualité sonore. L'installation de l'équipement dans le bar où l'enregistrement a été enregistré semble au mieux aléatoire, et ce qui reste, c'est un son mince et beaucoup trop de bruit de foule. À tel point que cela noie parfois les interventions de guitare de Jorma.
Celui-ci semble fatigué vocalement. Il est plus âgé maintenant, et il n'a tout simplement plus ce grognement de l'époque de Hot Tuna. Mais cela arrive à tout le monde, et en fin de compte, il y a toujours ce très, très bon jeu de guitare. Il faudrait juste que l'on puisse mieux l'entendre!

[vox populi]

1984: Guitar Slinger
Johnny Winter fait vraiment mouche sur ce nouvel album qui s'annonce comme le disque de Blues Rock de 1984.
Il devait faire pour Johnny Winter ce que "Texas Flood" avait fait pour Stevie Ray Vaughan l'année précédente.
Soutenu par certains des plus grands artistes de Blues de Chicago, dont l'harmoniciste Billy Branch et la section rythmique Albert Collins de Johnny B. Gayden et Corey Jones, Winter prouve qu'il est toujours l'un des guitaristes les plus dangereux du moment en se déchaînant sur des morceaux comme "Lights Out" (écrit Dr. John) et «"Don't Take Advantage of Me".
Et sa célèbre slide guitare est brûlante sur "It's My Life, Baby", "My Soul" et le morceau de Muddy Waters "Iodine in My Coffee".
Même si c'est difficile à croire, Winter devient de plus en plus vif et rapide au fil des années. C'est du moins l'impression quil donne après avoir entendu "Guitar Slinger".

Les fans de Winter détestent souvent les années 80 du bonhomme..moi je les aime beaucoup car c'est à travers ces albums que j'ai découvert Winter avec quelques années de décalage. C'est vrai que la production est un peu un rouleau compresseur, rien ne se fait vraiment dans la finesse à cetet époque chez Winter..mais bon ca n'a jamais été un artiste qui faisait dans la sensibilité de toute façon...et puis je trouve qu'au niveau de la guitare il était à sommet à cette période ..

[alcat01]

1984: Guitar Slinger
Johnny Winter fait vraiment mouche sur ce nouvel album qui s'annonce comme le disque de Blues Rock de 1984.
Il devait faire pour Johnny Winter ce que "Texas Flood" avait fait pour Stevie Ray Vaughan l'année précédente.
Soutenu par certains des plus grands artistes de Blues de Chicago, dont l'harmoniciste Billy Branch et la section rythmique Albert Collins de Johnny B. Gayden et Corey Jones, Winter prouve qu'il est toujours l'un des guitaristes les plus dangereux du moment en se déchaînant sur des morceaux comme "Lights Out" (écrit Dr. John) et «"Don't Take Advantage of Me".
Et sa célèbre slide guitare est brûlante sur "It's My Life, Baby", "My Soul" et le morceau de Muddy Waters "Iodine in My Coffee".
Même si c'est difficile à croire, Winter devient de plus en plus vif et rapide au fil des années. C'est du moins l'impression quil donne après avoir entendu "Guitar Slinger".

Les fans de Winter détestent souvent les années 80 du bonhomme..moi je les aime beaucoup car c'est à travers ces albums que j'ai découvert Winter avec quelques années de décalage. C'est vrai que la production est un peu un rouleau compresseur, rien ne se fait vraiment dans la finesse à cetet époque chez Winter..mais bon ca n'a jamais été un artiste qui faisait dans la sensibilité de toute façon...et puis je trouve qu'au niveau de la guitare il était à sommet à cette période ..

Pour moi, Winter était un maitre du Blues avant tout, mais quel guitariste!

[alcat01]

2013 Still Climbing
Leslie West montre qu'il n'est pas prêt de ralentir malgré une carrière qui s'étend sur six décennies, avec cet album de rock & roll passionné et influencé par le blues.
Sur Still Climbing, West propose ses riffs de guitare charnus et sa voix puissante, accompagné d'une poignée d'invités, dont la légende de la guitare blues Johnny Winter, le guitariste de Creed, Mark Tremonti, le leader de Twisted Sister, Dee Snider et le bluesman des temps modernes Jonny Lang.
En plus d'une poignée de nouvelles chansons originales, Still Climbing comprend également de nouvelles interprétations de "When a Man Loves a Woman", "Over the Rainbow" et "Feeling Good".

[lienard]

Diantre, il y en a des trous à boucher dans ma "speudo" culture ROCK .. heureusement que je peux compter sur toi ..

[alcat01]

The Band (1969)
L'album éponyme "The Band" est sorti en 1969.
Les chansons évoquent spécialement l'Amérique rurale de l'ancien temps, de la guerre civile ("The Night They Drove Old Dixie Down") ou la syndicalisation des ouvriers agricoles ("King Harvest (Has Surely Come)").
Ce disque a été produit par John Simon, qui était pratiquement un membre du groupe: il a aidé aux arrangements, et même joué des instruments occasionnels (du piano ou du tuba).
"The Band", parfois intitulé l''album brun", triomphe critique et commercial, a établi un modèle musical (parfois appelé 'Country Rock') qui plus tard sera amené à des niveaux encore plus élévés grâce au succès commercial d'artistes tels que the Eagles.
Les deux premiers albums du Band, "Big Pink" et "The Band", ont influencé leurs contemporains musicaux, Eric Clapton et George Harrison citant le Band comme une influence majeure sur leur direction musicale de la fin des années 1960 et début 70.
En effet, Clapton a, par ailleurs, révélé plus tard qu'il avait voulu se joindre au groupe.

[alcat01]

1986: Third Degree
Johnny Winter a fait appel à Dr. John pour jouer de l'orgue sur "Love, Life and Money" et, surtout, du piano sur "Tin Pan Alley". Il joue d'une steel guitare National sur "Bad Girl Blues" (un Blues sur les lesbiennes) et utilise sa slide avec une autre National sur "Evil on My Mind". Et surtout, il retrouve son ancienne section rythmique, composée du bassiste Tommy Shannon et du batteur Uncle John "Red" Turner (avec qui il a joué de la fin des années 60 à 1970), sur "See See Baby", "Shake Your Moneymaker" et "Broke and Lonely". Sur ces trois titres en particulier, il ressemble au chanteur / guitariste de Blues Rock qui avait attiré tant d'attention lorsqu'il avait émergé du Texas pour devenir une star nationale du jour au lendemain en 1969.
Cette époque est révolue, mais Winter a mûri et il est devenu un musicien de Blues fiable, capable de briller dans une grande variété de styles et de faire ressortir le meilleur de ses collègues musiciens.

[alcat01]

1978 The Dirt Band
Peu après avoir compilé la rétrospective "Dirt, Silver & Gold", le Nitty Gritty Dirt Band a été réduit à un trio composé de Jeff Hanna, John McEuen et Jimmie Fadden, qui a saisi l'occasion pour recruter de nouveaux membres et s'attaquer au Country Rock commercial de leurs frères californiens. Sentant que c'était le début d'une nouvelle ère, ils décidèrent également de supprimer "Nitty Gritty" de leur nom.
Il s'agit d'un groupe lisse et élégant qui a les yeux rivés sur les Charts. De temps en temps, ils sortent des banjos pour une jam instrumentale, mais il s'agit d'un disque de Soft Eock moelleux, et en tant que tel, il a été critiqué par leurs fans qui chérissaient la musique roots en roue libre du groupe, quelque chose qui semble déjà être un lointain souvenir à cause du polissage de cette musique.
Cela dit, The Dirt Band est vraiment bon dans le milieu qu'il a choisi, ne trébuchant que lorsqu'il essaie de revenir aux racines du groupe.
La production est élégante et stylée, convenant parfaitement aux chansons mid-tempo comme "In for the Night", "For a Little While" et "Whoa Babe" ainsi qu'aux ballades plus douces comme "Wild Nights", "Escaping Reality" et le charmant "You Can't Stop Loving Me Now".
Pour les amateurs de Soft Rock Californien, cet album est un petit joyau négligé.

[alcat01]

Black Oak Arkansas The Black Attack Is Back 1986
En 1986, Jim Dandy est de retour avec un line-up plus jeune et plus Heavy.
L’album qui en résulte est bizarrement intéressant.
Le titre "The Black Attack is Back" est du Metal accrocheur et torride. Ceci contraste avec la chanson Country intitulée "I Don't Want Much Out of Life".
Ce n'est pas le Black Oak Arkansas d'antan, mais il n'y a pas photo avec le Black Oak intermédiaire!

[Remi Aldo]

Black Oak Arkansas The Black Attack Is Back 1986

Je ne connaissais rien de ce groupe, si ce n'est qu'il avait accueilli le futur shredder Shawn Lane, par contre je pensais qu'il avait enregistré avec eux? Visiblement pas.

[alcat01]

1979 Lonesome No More
Sur "Lonesome No More" de Gallagher and Lyle, paru en 1979, on retrouve essentiellement de la même écriture de chansons mélodiques, bien jouées et chantées.
C'est une belle musique mais dommage que la qualité sonore ne soit pas à la hauteur!
C'est bien dommage, car le son 'sourd' ne rend pas justice aux bonnes chansons du duo...

[Titis]

1978 The Dirt Band
Peu après avoir compilé la rétrospective "Dirt, Silver & Gold", le Nitty Gritty Dirt Band a été réduit à un trio composé de Jeff Hanna, John McEuen et Jimmie Fadden, qui a saisi l'occasion pour recruter de nouveaux membres et s'attaquer au Country Rock commercial de leurs frères californiens. Sentant que c'était le début d'une nouvelle ère, ils décidèrent également de supprimer "Nitty Gritty" de leur nom.
Il s'agit d'un groupe lisse et élégant qui a les yeux rivés sur les Charts. De temps en temps, ils sortent des banjos pour une jam instrumentale, mais il s'agit d'un disque de Soft Eock moelleux, et en tant que tel, il a été critiqué par leurs fans qui chérissaient la musique roots en roue libre du groupe, quelque chose qui semble déjà être un lointain souvenir à cause du polissage de cette musique.
Cela dit, The Dirt Band est vraiment bon dans le milieu qu'il a choisi, ne trébuchant que lorsqu'il essaie de revenir aux racines du groupe.
La production est élégante et stylée, convenant parfaitement aux chansons mid-tempo comme "In for the Night", "For a Little While" et "Whoa Babe" ainsi qu'aux ballades plus douces comme "Wild Nights", "Escaping Reality" et le charmant "You Can't Stop Loving Me Now".
Pour les amateurs de Soft Rock Californien, cet album est un petit joyau négligé.

Je l'aime bien celui là, je l'ai chopé en cd il y a quelques années en édition Magic Records

[alcat01]

The Land Of Heroes 1995
Troisième album de 1995, "The Land Of Heroes" est le premier album studio solo de Jorma Kaukonen depuis dix ans.
Entre-temps, il avait participé à la reformation de Jefferson Airplane et de Hot Tuna, mais "The Land Of Heroes" s'inscrit dans la tradition de "Quah", "Jorma" et "Too Hot To Handle", des collections essentiellement acoustiques qui combinent de nouveaux morceaux originaux (vocaux et instrumentaux) avec des reprises de morceaux originaux plus anciens et des reprises de chansons du répertoire Folk Blues standard.
Kaukonen a toujours largement évité de travailler en solo au cours de sa carrière, et sur cet album, il a travaillé en étroite collaboration avec Michael Falzarano, qui a coproduit l'album, joué de la guitare et de la mandoline, et a écrit trois chansons.
La seule nouvelle chanson de Kaukonen avec des paroles, "From The Land Of Heroes", est un hommage émouvant à ses ancêtres Finlandais, ce qui fait regretter qu'il ne passe pas plus de temps à écrire, même s'il est agréable d'entendre des remakes d'Airplane comme "Trial By Fire" et des chansons de Blues du Révérend Gary Davis.
N.B.: Le matériel de Falzarano est toutefois assez faible.

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2015 Soundcheck
Sur "Soundcheck", paru en 2015, Leslie West livre son interprétation de certaines des musiques les plus cool du Blues, du Rock, de la Country et de la musique traditionnelle des cent dernières années. Ce set bien choisi démontre que le son de guitare et la voix de Leslie West sont toujours aussi forts. "Soundcheck" est brut et audacieux du début à la fin.
Considérant une carrière qui remonte aux Vagrants à la fin des années 1960, aux titans du Hard Rock Mountain dans les années 1970 et à une carrière solo légendaire qui s'étend sur cinq décennies, "Soundcheck" est un excellent ajout au catalogue et à la légende de Leslie West...