Les reprises et leurs originales.
- Elie Köpter
- Top contributeur
- Messages : 662
- Enregistré le : jeu. 1 août 2019 09:17
- Localisation : South-Breizh
Re: Les reprises et leurs originales.
Une reprise de "Just want a little Bit ", morceau de John Thornton, Ralph Bass, Earl Washington, Piney Brown & Sylvester Thompson
Morceau enregistré en 1959 par Rosco Gordon :
Une autre de Magic Sam Blues Band à la fin des années 60 :
Et la version pétaradante de Slade en 1974 sur Old new Borrowed and Blue
Morceau enregistré en 1959 par Rosco Gordon :
Une autre de Magic Sam Blues Band à la fin des années 60 :
Et la version pétaradante de Slade en 1974 sur Old new Borrowed and Blue
Re: Les reprises et leurs originales.
Mais mais mais ! Je croyais que Slade c'était que du glam stomp stomp stomp maquillage et platforms !Elie Köpter a écrit : ↑jeu. 22 févr. 2024 09:26Et la version pétaradante de Slade en 1974 sur Old new Borrowed and Blue
Blague à part, elle déchiquette bien, leur version.
Re: Les reprises et leurs originales.
Quel plaisir cette reprise
Ils étaient tout jeunes. Peut-être même époque N'Betweens ? Ambrose Slade ?
Ils étaient tout jeunes. Peut-être même époque N'Betweens ? Ambrose Slade ?
Re: Les reprises et leurs originales.
Ambrose Slade devenu Slade tout court, époque Play It Loud ; le titre est sur Beginnings, qui compte de nombreuses covers.
https://en.wikipedia.org/wiki/Beginning ... ade_album)
http://denimdisco.blogspot.com/2011/10/ ... slade.html
https://en.wikipedia.org/wiki/Beginning ... ade_album)
http://denimdisco.blogspot.com/2011/10/ ... slade.html
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
Re: Les reprises et leurs originales.
Algernon a écrit : ↑jeu. 22 févr. 2024 13:20Ambrose Slade devenu Slade tout court, époque Play It Loud ; le titre est sur Beginnings, qui compte de nombreuses covers.
https://en.wikipedia.org/wiki/Beginning ... ade_album)
http://denimdisco.blogspot.com/2011/10/ ... slade.html
- gabuzomeuzomeu
- Membre VIP
- Messages : 8918
- Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 17:36
- Localisation : Dans les rades
- Contact :
Re: Les reprises et leurs originales.
Le Vince en a fait d'autres des Who, celle là est pas mal, bien électrique et avec un bon batteur pour pas faire trop mauvais à côté de l'original !
Alice Cooper - Magic Bus (album Road 2023)
Alice Cooper - Magic Bus (album Road 2023)
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
- Elie Köpter
- Top contributeur
- Messages : 662
- Enregistré le : jeu. 1 août 2019 09:17
- Localisation : South-Breizh
Re: Les reprises et leurs originales.
Allez revenons encore un coup avec Slade et leurs reprises tonitruantes :
Move over de Janis :
Et celle de Slade où on pourra apprécier le jeu de basse de Jim Lea.
Une version presque Punk
Comme dit Pablitta ça déchiquète là aussi.
Move over de Janis :
Et celle de Slade où on pourra apprécier le jeu de basse de Jim Lea.
Une version presque Punk
Comme dit Pablitta ça déchiquète là aussi.
- Romulien
- Membre VIP
- Messages : 1249
- Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 19:50
- Localisation : Lévis, Québec
Re: Les reprises et leurs originales.
La reprise est meilleure
Herman's Hermits-For your love
La version originale par The Yardbirds
Herman's Hermits-For your love
La version originale par The Yardbirds
- gabuzomeuzomeu
- Membre VIP
- Messages : 8918
- Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 17:36
- Localisation : Dans les rades
- Contact :
Re: Les reprises et leurs originales.
Bonne version et bon film !
Classique du Boing Boom Tschak
Snakefinger - The Model (1979 album Chewing Hides the Sound et ici en live) Très bon guitariste qui a officié chez The Residents on retrouve d'ailleurs dans la version double vinyle du Commercial Album de The Residents un bonus paru et commun.
Original en anglishe et en teuton
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
- Monsieur-Hulot
- Membre VIP
- Messages : 5479
- Enregistré le : mer. 31 juil. 2019 06:40
- Localisation : Third Stone From The Sun
Re: Les reprises et leurs originales.
Bien vu ! Je ne la connaissais absolument pas ! Merci Romu !
FILLES & MOTEURS, JOIES & DOULEURS.
Re: Les reprises et leurs originales.
Gwen Stefani serial killeuse
"The 1930's-style music video for the song was directed by David LaChapelle. In the video, Stefani portrays a black widow
whose look closely resembles that of actress Jean Harlow, whom Stefani portrayed in the Martin Scorsese film The Aviator."
Et le clip (zoologique) de l'original.
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
Re: Les reprises et leurs originales.
En fait, l'originale n'est pas des Yardbirds, ni de Herman's Hermits, le premier groupe à l'avoir interprétée était The Devil's Disciples, avec Peter Banks (futur Yes et Flash) à la guitare.
A signaler aussi, celle du Ace Kefford Stand, le groupe monté par le guitariste du même nom à la suite de son départ de The Move.
Je ne suis pas surpris par le fait que Herman's Hermits, en dépit de leur image niaiseuse, propre sur elle et cul-cul la praline, ait pu proposer des interprétations de morceaux, supérieures à celles de groupes pourtant peu à même d'être pris en défaut de vigueur. Je suis convaincu de cela depuis que j'ai entendu leur version de Tallyman (Jeff Beck Group) pour la BBC, qui était tout sauf ridicule.
Et je rebondis sur Move Over par Slade, un groupe-miracle pour sa capacité époustouflante à pondre des hymnes et à faire des covers de premier ordre. La version sur l'album est extraordinaire, mais je crois bien que je préfère encore celle enregistrée pour la BBC, il me semble qu'elle est encore un brin plus saignante, si tant est que cela soit possible. Je me souviens que lorsqu'il s'était agi de la jouer en groupe, on avait pris cette version précise pour modèle, et... wow, tu sens du vent te pousser dans le dos.
Aimable euphémisme ! Bande de sauvages.
Re: Les reprises et leurs originales.
Les chansons ont parfois le pouvoir de sauver des vies. Elles le font inconsciemment, arrivant précisément à ce moment où tout semble perdu, où le désespoir prend le dessus et où des pensées sombres et menaçantes envahissent l'esprit. C'est le pouvoir thaumaturgique de la musique, cette piqûre émotionnelle qui parfois fait pleurer et bouger, parfois divertit, ou encore parfois donne une sérénité et un espoir.
Certaines chansons naissent donc précisément dans cette intention, elles s'adressent consciemment à l'auditeur, elles lancent une bouée de sauvetage lorsque l'eau atteint notre cou et que nous risquons de nous noyer. C'est le cas de Lonely People, le deuxième single du groupe America qui figure sur l'album Holiday paru en 1974.
L'écouter, c'est comme recevoir une caresse affectueuse ou un câlin chaleureux, c'est comme entendre de doux mots de réconfort et d'encouragement murmurés à vos oreilles. La guitare acoustique, une jolie ligne de basse, le piano, l'harmonica et l'entrelacs persuasif des voix développent deux minutes d'une mélodie très douce, dont la seule intention est de donner de l'espoir à ceux qui l'écoutent .
Ecrite par Dan Peek (un des trois membres fondateurs) et sa femme Catherine Maberry, la chanson est une réponse optimiste au refrain du single des Beatles Eleanor Rigby, sorti quelques années auparavant. "All the lonely people, where do they all come from.... where do they all belong ?"... Cette vision défaitiste de McCartney a longtemps hantée Dan Peek, lui qui était resté seul de longues années avant de rencontrer Catherine. Cette chanson, c'est sa façon à lui de dire aux "Lonely People" de ne pas baisser les bras et de croire en des jours meilleurs.
Coté anecdote : En 1977, Dan Peek quitte le groupe et met fin à sa consommation d'alcool et de drogue. Il se tourne alors vers la religion et modifia les paroles de Lonely People pour en faire une chanson chrétienne.
Certaines chansons naissent donc précisément dans cette intention, elles s'adressent consciemment à l'auditeur, elles lancent une bouée de sauvetage lorsque l'eau atteint notre cou et que nous risquons de nous noyer. C'est le cas de Lonely People, le deuxième single du groupe America qui figure sur l'album Holiday paru en 1974.
L'écouter, c'est comme recevoir une caresse affectueuse ou un câlin chaleureux, c'est comme entendre de doux mots de réconfort et d'encouragement murmurés à vos oreilles. La guitare acoustique, une jolie ligne de basse, le piano, l'harmonica et l'entrelacs persuasif des voix développent deux minutes d'une mélodie très douce, dont la seule intention est de donner de l'espoir à ceux qui l'écoutent .
Ecrite par Dan Peek (un des trois membres fondateurs) et sa femme Catherine Maberry, la chanson est une réponse optimiste au refrain du single des Beatles Eleanor Rigby, sorti quelques années auparavant. "All the lonely people, where do they all come from.... where do they all belong ?"... Cette vision défaitiste de McCartney a longtemps hantée Dan Peek, lui qui était resté seul de longues années avant de rencontrer Catherine. Cette chanson, c'est sa façon à lui de dire aux "Lonely People" de ne pas baisser les bras et de croire en des jours meilleurs.
Coté anecdote : En 1977, Dan Peek quitte le groupe et met fin à sa consommation d'alcool et de drogue. Il se tourne alors vers la religion et modifia les paroles de Lonely People pour en faire une chanson chrétienne.
Re: Les reprises et leurs originales.
Je ne connaissais ni la chanson ni l'histoire, merci beaucoup
Re: Les reprises et leurs originales.
Merci encore. A présent je me rends compte que je ne connais pas BNP Paribas
Re: Les reprises et leurs originales.
Superbe chanson ..
- gabuzomeuzomeu
- Membre VIP
- Messages : 8918
- Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 17:36
- Localisation : Dans les rades
- Contact :
Re: Les reprises et leurs originales.
Étonnement je n'ai point vu celle-ci, sous réserve de biturage ou de manip foireuse, ... bon c'était peut-être dans les précédentes versions du forum ?
Le Ramon largement guitar hero pour cet étendard sixties et ça lui va bien !
Ramon Pipin (&) - Les happenings de mes 18 ans (album Ready, Steady, Go ! de 1992)
et l'original des Yarbirds de 1966, mais ici en live en 1967 !
Le Ramon largement guitar hero pour cet étendard sixties et ça lui va bien !
Ramon Pipin (&) - Les happenings de mes 18 ans (album Ready, Steady, Go ! de 1992)
et l'original des Yarbirds de 1966, mais ici en live en 1967 !
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)