Avalanche de riffs accumulés en mille feuilles, qui vous chopent direct.
Black metal mélodique, qui lorgne vers Tool ou King Crimson.
Epuisant, mais bon.
Ta description est parfaite, je me suis arrêté à la moitié par manque de temps mais je vais m'y recoller, bien que parfois un peu épuisant, il est vrai...
Le Kadavar était bien également, mais, comme tu l'indiques, très surprenant !
J'ai longtemps fait l'impasse sur les disques du Monsieur, alors quand j'en trouve un par hasard et pas rasé, j'essaie de rattraper mon retard, et ce que j'entends me plait. Pour autant, le morceau que je préfère ici ne comporte pas une seule note d'orgue !
Le cinquième album studio de Van Morrison est sorti en novembre 1971, il sort au moment où le chanteur déménage de Woodstock vers la Californie, il s’apparente au genre country-rock.
Le titre fait référence à un thé de chine particulièrement doux et savoureux qui provient des fleurs de Topelo.
J’ai toujours aimé cette pièce, mais sans savoir ce qu’elle signifiait vraiment, désormais, j’en ai une petite idée…
Van Morrison - Tupelo Honey
Tu peux prendre tout le thé de Chine
Le mettre dans un grand sac brun pour moi
Naviguer autour des sept océans
Et le jeter directement dans la mer bleue
Elle est aussi douce que le miel de Tupelo
C'est un ange venu des cieux
Elle est aussi douce, elle est aussi douce que le miel de Tupelo
Comme le miel, bébé, que nous donne l'abeille
Vous ne pouvez pas nous arrêter sur le chemin de la liberté
Vous ne pouvez pas nous retenir parce que nos yeux peuvent voir
Des hommes perspicaces, des hommes de granit
Chevaliers en armure honneur de la chevalerie
Elle est aussi douce que le miel de Tupelo
C'est un ange venu des cieux - (C'est un ange)
Elle est aussi douce que le miel de Tupelo
Comme le miel, bébé, que nous donne l'abeille
Tu ne peux pas nous arrêter sur le chemin de la liberté
Vous ne pouvez pas nous arrêter parce que nos yeux peuvent voir
Des hommes perspicaces, des hommes de granit
Chevaliers en armure honneur de la chevalerie
Elle est aussi douce que le miel de Tupelo
C'est un ange venu des cieux - (C'est un ange)
Elle est aussi douce que le miel de Tupelo
Comme le miel, bébé, que nous donne l'abeille
Mais tu sais, tu sais, tu sais
Elle est bien, elle est bien avec moi - (C'est un ange)
Tu sais, tu sais, tu sais, tu sais, tu sais
Tu sais, tu sais, elle va bien, elle va bien avec moi - (C'est un ange)
Elle est bien, elle est bien avec moi- (C'est un ange)
Elle est bien, elle est bien avec moi- (C'est un ange)
Elle est bien, elle est bien, elle est bien, elle est bien- (C'est un ange)
Elle est bien, elle est bien avec moi- (C'est un ange)
Elle est bien, elle est bien avec moi- (C'est un ange)
Elle est bien, elle est bien avec moi- (C'est un ange)
Tu peux prendre tout le thé de Chine
Le mettre dans un grand sac brun pour me l’envoyer
Le faire naviguer autour des sept océans
Le lâcher au beau milieu de la grande bleue
Parce qu'elle est aussi douce que du miel de Tupelo, oh oui !
C'est un ange venu des cieux - (C'est un ange)
Tu peux prendre tout le thé de Chine
Comme le miel, bébé, que nous donne l'abeille- (C'est un ange)
Tu peux prendre tout le thé de Chine
C'est un ange, un ange venu des cieux- (C'est un ange)
Elle est aussi douce que le miel de Tupelo
Comme un don de l'abeille
C'est mon bébé, tu sais, elle va bien- (C'est un ange)
C'est mon bébé, mon bébé
C'est mon bébé, tu ne sais pas, elle va bien ? - (C'est un ange)
[…]
Que dire? Steve Albini, guitare et chant, son pote Bob Weston à la basse, également ingénieur du son,
et Todd Trainer à la batterie (et prof' de batterie dans le civil).
Très bien enregistré (forcément, vu le personnel).
Bref un album court et réjouissant, malgré les circonstances de sa sortie.
R-1502008-1409314902-2856.jpg (103.45 Kio) Vu 1589 fois
Special Forces est le 6ᵉ album studio d'Alice Cooper en solo, et 13ᵉ au total. L'album sort en septembre 1981, produit par Richard Podolor et distribué par Warner Bros. Records. Trois titres sont choisis pour paraitre en single : You Want It, You Got It, Wo Do You Think We Are et Seven and Seven Is.
Je me souviens bien de ce disque, il est vrai que c'est pas une grande réussite...
Mais c'est aussi un disque d'époque (81)avec de nombreuses références...
J'avais même enregistré sur VHS le concert Live in Paris avec interview de l'époque !
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Special Forces est le 6ᵉ album studio d'Alice Cooper en solo, et 13ᵉ au total. L'album sort en septembre 1981, produit par Richard Podolor et distribué par Warner Bros. Records. Trois titres sont choisis pour paraitre en single : You Want It, You Got It, Wo Do You Think We Are et Seven and Seven Is.
Je me souviens bien de ce disque, il est vrai que c'est pas une grande réussite...
Mais c'est aussi un disque d'époque (81)avec de nombreuses références...
J'avais même enregistré sur VHS le concert Live in Paris avec interview de l'époque !
Un des plus pourris de Alice celui la. Le début des années 80 d'Alice c'est horrible
Que dire? Steve Albini, guitare et chant, son pote Bob Weston à la basse, également ingénieur du son,
et Todd Trainer à la batterie (et prof' de batterie dans le civil).
Très bien enregistré (forcément, vu le personnel).
Bref un album court et réjouissant, malgré les circonstances de sa sortie.
J’en parlais il y a quelques semaines. Acheté en vinyle à sa sortie, j’ai harcelé mon disquaire pour l’avoir, ils l’ont repressé d’après ce que j’ai vu sur le net.
Après Brian Auger, je poursuis sur le chemin des albums jazz-rock UK que j'ai trop longtemps négligé d'étudier. Et ça tombe bien, je visionnais tout à l'heure une petite youtuberie sur le sujet, et s'il y a dans la sélection du mec des albums que je connais pas mal (Warm Dust, If), d'autres étaient passés sous mon radar et j'ai été intrigué par le rapprochement fait par le reporter entre Nucleus sur cet album, et Miles Davis époque Silent Way, donc ça m'a titillé la curiosité. Pas mal du tout, et ça m'incite à approfondir avec Belladonna de Ian Carr.
Ce sont des disques parmi les meilleurs du jazz anglais. Avec Chris Spedding à la guitare sur les premiers albums de Nucleus. Ian Carr, biographe de Miles, et leader est une pointure en matière de composition et comme instrumentiste.
C'est bien ce que j'ai cru comprendre, oui. C'est très intéressant. Je connaissais Chris Spedding pour d'autres trucs, ses contributions chez Jack Bruce et Pete Brown, ou la prod des démos des Sex Pistols, mais en investiguant un peu, je vois qu'il aurait même joué sur le deuxième album de Sixto Rodriguez ! Et chez John Cale, et chez Roy Harper, la vache cette carrière !
C'est bien ce que j'ai cru comprendre, oui. C'est très intéressant. Je connaissais Chris Spedding pour d'autres trucs, ses contributions chez Jack Bruce et Pete Brown, ou la prod des démos des Sex Pistols, mais en investiguant un peu, je vois qu'il aurait même joué sur le deuxième album de Sixto Rodriguez ! Et chez John Cale, et chez Roy Harper, la vache cette carrière !
Du beau monde sur cet enregistrement pour accompagner Roy Orbison, hormis le TCB Band ancien backing Band d'Elvis, des guests a la pelle. Au milieu de tout ça Roy Orbison, le plus grand chanteur de rock ayant jamais vécu. La voix ultime, parti trop tôt a 52 ans.
Ce sont des disques parmi les meilleurs du jazz anglais. Avec Chris Spedding à la guitare sur les premiers albums de Nucleus. Ian Carr, biographe de Miles, et leader est une pointure en matière de composition et comme instrumentiste.
En effet, Spedding était d'abord un musicien jazz/jazzy, avant même de monter dans le Nucleus ... Il vait fait partie des Battered Ornaments et juste après être sorti du noyau, il a fait un splendide skeud 100% jazzy qui s'appelle Songs Without Words (qui vient de se recevoir une première édition légitime en CD hors du Japon - là où est uniquement sorti le vinyle en 71)
Mais il a totalement renié le jazz (et surtout cet album SWW), car il ne parvenait à en vivre et s'est tourné vers le rock le plus commercial possible
J’ai toujours apprécié cette chanson, complètement sombre et habitée.
Un texte long, une structure brinquebalante et un rythme haletant, Cohen confiera qu’elle était difficile à chanter.
Le texte l’éclaire de façon lumineuse, bien que le « noir » lui aille mieux, neurasthénique et suicidaire…
On croit à peine à cette fin, un peu opportune.
Leonard Cohen - Dress Rehearsal Rag
Leonard Cohen - Répétition générale
Quatre heures de l'après-midi
Et je ne me sentais pas très bien
Je me suis dit : « Où es-tu, golden boy ?
Où est ta fameuse main d’or ?"
Je pensais que tu le savais
Tous les éléphants se couchent
Je pensais que tu étais le prince héritier
De toutes les roues d'Ivory Town
Jette un coup d'œil à ton corps maintenant
Il n'y a plus rien à sauver
Et une voix amère dans le miroir s'écrie
« Hé, Prince, tu as besoin d'être rasé ».
Maintenant, si tu arrives à faire en sorte que
Tes doigts tremblants se tiennent tranquilles
Pourquoi ne pas essayer de déballer
Une lame de rasoir en acier inoxydable ?
C'est vrai, j’en est arrivé là.
Oui, j’en est arrivé là
Et n'était-ce pas un long chemin vers la déchéance
N'était-ce pas un étrange chemin vers la déchéance ?
Il n'y a plus d'eau chaude
Et la froide se fait rare
Eh bien, à quoi t’attendais-tu
Le genre d'endroit où tu as vécu ?
Ne bois pas dans cette tasse
Elle est toute croupie et craquelée sur le bord.
Ce n'est pas la lumière électrique, mon ami
C'est ta vision qui s'obscurcit
Couvre-toi le visage avec du savon
Maintenant, tu es le Père Noël
Et tu as un cadeau pour quiconque
Qui t’applaudira
Je pensais que tu étais côté vainqueur
Ah, mais tu ne pouvais pas prendre le rythme
C'est un enterrement dans le miroir
Et il s'arrête sur ton visage
C'est vrai, tu en es arrivé là
Oui, tu en es arrivé là
Et n'était-ce pas un long chemin vers la déchéance
N'était-ce pas un étrange chemin vers la déchéance ?
Il était une fois un chemin
Et une fille aux cheveux châtains
Et tu passais les étés
A cueillir toutes les baies qui poussaient là
Il y a eu des moments où elle était une femme
Oh, il y a eu des moments où elle n'était qu'une enfant
Et tu la tenais dans l'ombre
Là où les framboises poussent à l'état sauvage
Et vous avez escaladé les montagnes du crépuscule
Et tu chantais la beauté du panorama
Et partout où vous vous promeniez
L'amour semblait t'accompagner
C'est difficile de s'en souvenir
Oui, ça te fait serrer le poing
Et puis les veines ressortent comme des autoroutes
Tout le long de ton poignet
C'est vrai, tu en es arrivé là
Oui, tu en es arrivé là
Et n'était-ce pas un long chemin vers la déchéance
N'était-ce pas un étrange chemin vers la déchéance ?
Tu peux encore trouver un emploi
Sors et parle à un ami
Au dos de chaque magazine
Il y a ces coupons que tu peux envoyer
Pourquoi ne rejoindrais-tu pas les Rosicruciens ?
Ils te redonneront l'espoir
Tu peux trouver ton amour avec des diagrammes
Sur une simple enveloppe brune
Mais tu as utilisé tous tes coupons
Sauf celui qui semble
Être écrit sur ton poignet
Avec plusieurs milliers de rêves
Maintenant le Père Noël s'avance
C'est un rasoir dans sa mitaine
Et il met ses lunettes noires
Et il te montre où frapper
Et puis les caméras font un panoramique
Le cascadeur de service
Le chiffon de la répétition générale
C'est juste le chiffon de la répétition générale
Tu connais le chiffon de la répétition générale
Ce n'est qu'une répétition générale
C'est bien ce que j'ai cru comprendre, oui. C'est très intéressant. Je connaissais Chris Spedding pour d'autres trucs, ses contributions chez Jack Bruce et Pete Brown, ou la prod des démos des Sex Pistols, mais en investiguant un peu, je vois qu'il aurait même joué sur le deuxième album de Sixto Rodriguez ! Et chez John Cale, et chez Roy Harper, la vache cette carrière !
C'est bien ce que j'ai cru comprendre, oui. C'est très intéressant. Je connaissais Chris Spedding pour d'autres trucs, ses contributions chez Jack Bruce et Pete Brown, ou la prod des démos des Sex Pistols, mais en investiguant un peu, je vois qu'il aurait même joué sur le deuxième album de Sixto Rodriguez ! Et chez John Cale, et chez Roy Harper, la vache cette carrière !
Et avec Dick Rivers
Et Johnny sur Rock'N'Roll Attitude, il est à la gratte rythmique alors qu'à la lead c'est Frampton.
C'est bien ce que j'ai cru comprendre, oui. C'est très intéressant. Je connaissais Chris Spedding pour d'autres trucs, ses contributions chez Jack Bruce et Pete Brown, ou la prod des démos des Sex Pistols, mais en investiguant un peu, je vois qu'il aurait même joué sur le deuxième album de Sixto Rodriguez ! Et chez John Cale, et chez Roy Harper, la vache cette carrière !
Et avec Dick Rivers
C'est incrédibeule ces états de services, je ne savais pas tout ça. Son disque éponyme de 76 et Guitar Graffiti de 78 sont des petits classiques à la maison. J'adore la simplicité et le côté artisan de ces disques: le mec force pas, ça vise jamais la lune, il écrit just des bonnes chansons. Ça me rappelle un peu ce que fait Jonathan Richman avec le côté social studies britannique.
Première fois que j'ai entendu son nom, c'était avec son petit hit Guitar Jamboree, qui passait sur France Inter (pas longtemps). Sur ce même LP de 1976. Je me suis procuré le cygnegueule vite fait.
Guitarist/Singer/Songwriter Chris Spedding has been a mainstay of the British session scene since the late 60s, playing with just about everyone from Nucleus, Jack Bruce, John Cale, Elton John, Mike Batt, to Paul McCartney & The Bay City Rollers (anonymously!). In 1975 Spedding had a hit record called "Motorbikin'". In the late 70s he moved to the States and worked with Robert Gordon, Jerry Harrison, Dick Rivers and Johnny Hallyday.
Since 2001, Spedding has been playing live with Roxy Music/Bryan Ferry, The War Of The World and R.Gordon / D.Rivers, Herbie Flowers, Charlotte Glasson among others.
In 2011, put out solo album "Pearls" and formed a legendary band called King Mob with Steve Parsons, Sixteen, Glen Matlock and Martin Chamnbers, but was short-lived unfortunately.
In 2015, he released his 13th original studio album "Joyland". On 29th June 2018, he had the 50th Anniversary Concert in London and this show came out.
Still he is playing with Bryan Ferry, Robert Gordon and The War Of The Worlds.