Producteur – George Drakoulias
Basse – Marc Perlman, Charlie Drayton
Batterie – Ken Callahan, Charlie Drayton
Chant, guitare acoustique, harmonica – Mark Olson
Chant, guitare électrique, guitare [Fuzz] – Gary Louris
Claviers – Benmont Tench, Nicky Hopkins
"Hollywood Town Hall" de The Jayhawks, sorti en 1992, est bourré d'harmonies vocales, emporté par Gary Louris, et arrangé par un superbe songwriting.
Le Country Rock des Byrds est remis au goût du jour,
L'album contient des Hits plus que marquants, notamment en début d'album avec "Waiting for the Sun" qui n'a pas fini très loin du haut des Charts à sa sortie en single, qui a tout un tas d'arguments qui, sans abonder dans le sens de l'impact qu'ont pu avoir les Jayhawks sur l'Alt-Country contemporaine, le rendent plus que recommandable...
"Hollywood Town Hall" de The Jayhawks, sorti en 1992, est bourré d'harmonies vocales, emporté par Gary Louris, et arrangé par un superbe songwriting.
Mon favori du groupe et leur âge d'or
Concernant les vocaux, Gary Louris n'en fait que la moitié et la formule secrète de cet âge d'or résidait dans le duo fait avec Mark Olson. Ce ne sera plus tout à fait pareil après son départ même si les albums suivants sont très bons également.
A noter un disque en duo sorti il y a quelques années.
Producteur – Lenny Waronker, Russ Titelman
Accordéon – Nick DeCaro
Choeurs – Arno Lucas, Joe Torano, Leslie Smith, Matthew Weiner, Michael McDonald
Basse – Red Callender
Basse [Fender] – Willie Weeks
Batterie – Andy Newmark, Jeff Porcaro, Steve Gadd
Batterie, percussions – Mark Stevens, Victor Feldman
Guitare – Buzzy Feiten
Guitare, claviers, percussions, chœurs – Rickie Lee Jones
Guitare, mandoline – Fred Tackett
Cors – Chuck Findley, Ernie Watts, Tom Scott
Claviers – Mac Rebennack, Neil Larsen, Ralph Grierson, Randy Kerber
Claviers, percussions – Victor Feldman
Synthétiseur – Michael "Bobby" Boddicker, Randy Newman
La voix de soprano expressive aux variations soudaines de volume et de force de Rickie Lee Jones et son lyrisme sont centrés sur la vie urbaine de Los Angeles.
Les producteurs Lenny Waronker et Russ Titelman , experts dans l'accompagnement d'auteurs-compositeurs-interprètes originaux, ont fait appel à un studio rempli de musiciens de studio expérimentés, dont beaucoup sont issus du Jazz, et leur ont apparemment demandé de suivre le chant saccadé et doux de Jones, puis d'ajouter des parties de cordes ici et là.
La musique possède un rythme soutenu qui épouse les contours ses récits impressionnistes sur les bagarres dans la rue et les bars.
Une vague de mélancolie se fait jour, qui devient plus manifeste vers la fin, lorsque les amis et les amants de la narratrice s'en vont, la laissant "...Standing on the corner / All alone...", comme elle le chante dans le dernier morceau, "After Hours (Twelve Bars Past Goodnight)".
On est loin du morceau d'ouverture enjoué, "Chuck E.'s in Love", qui concluait qu'il était épris de "...la petite fille qui chante cette chanson...".
Mais le romantisme de la rue cède facilement la place à sa solitude.
"Rickie Lee Jones", sorti en 1979, est un premier album tout à fait époustouflant, qui sonne à la fois comme une synthèse de nombreux styles familiers et comme une œuvre inédite, et qui annonce le début d'une carrière potentiellement importante...
Genre: Hard Rock
Producteur -- Alan Niven, Michael Lardie
Basse – Tony Montana
Batterie, percussions – Audie Desbrow
Guitare, chœurs – Mark Kendall
Guitare, piano, synthétiseur, orgue [Hammond], chœurs – Michael Lardie
Chant – Jack Russell
Partant du principe qu’on ne change pas une équipe qui gagne, Great White sert une nouvelle rafale de compositions mélangeant Hard, Rock et Blues pour un résultat à nouveau enthousiasmant.
Le groupe rompt définitivement avec la scène Glam dont on ne retrouve plus aucune trace.
Au contraire, les racines sont désormais pleinement assumées, non seulement en raison de deux nouvelles reprises ('Can’t Shake It' de The Angels, et la délicate ballade 'Afterglow' des Small Faces), mais également aux travers de clins d’œil appuyés aux glorieux anciens, mariant avec classe la sensibilité blues de Led Zeppelin et les riffs irrésistibles d’AC/DC ('Heartbeaker').
Nouvelle démonstration du talent des Kendall, Russell et Lardie, sans négliger une section rythmique indispensable, "Hooked" vient confirmer Great White comme référence d’un savoir-faire à la fois traditionnel et original.
"Hooked" s’impose comme un album indispensable pour tous les amateurs de feeling et d’énergie...
Producteur – Paul Buckmaster
Guitare acoustique, Guitare – Mike Miller
Basse – Leland Bruce Sklar
Batterie, percussions – Ralph Humphrey
Orgue, piano, synthétiseur – J. Peter Robinson
Après plus de dix ans sans aucun nouvel enregistrement, Shawn Phillips livre un album regroupant quelques-unes des plus belles chansons de sa carrière. Il est l'un des plus grands conteurs de tous les temps.
La profondeur de "No Category" de Shawn Phillips, sorti en 2004, est littéralement incroyable. Personne ne peut écrire des paroles comme Shawn Phillips, et personne ne peut les interpréter comme lui non plus.
Ses chansons sont réussies dès la première écoute, mais à mesure qu'on les écoute et qu'on les comprend plus en profondeur, on réalise la spiritualité merveilleuse de Shawn Phillips...
Etta James & The Roots Band 2002 – Burnin' Down The House
Genre: Blues, Rhythm & Blues
Producteur – John Snyder
Saxophone baryton – David L. Woodford
Basse – Sametto James
Batterie, Autre [MVP] – Donto James
Piano électrique [Wurlitzer], synthétiseur [Roland Rd 600 (piano, piano Rhodes, clavinet, cordes, piano)] – David K. Mathews
Guitare – Josh Sklair, Bobby Murray
Orgue [Hammond B-3] – Mike Finnigan
Percussions – Luis Conte
Saxophone ténor, harmonica – Jimmy "Z" Zavala
Trompette – Tom Poole
Trompette, bugle – Ronnie Buttacavoli
Trompette, bugle, trombone – Lee R. Thornburg
Etta James avait 63 ans lorsque cet excellent album live fut enregistré à la House of Blues de West Hollywood, en Californie, en Décembre 2001.
Accompagnée d'un groupe soudé et solide, elle démontre à quel point sa voix est puissante et ample. Elle est plus dynamique que jamais, et elle n'hésite pas à se surpasser pour des interprétations audacieuses de "Something's Got a Hold on Me", "I'd Rather Go Blind", "At Last" et autres Hits.
Il s'agit essentiellement d'un concert Soul mais Etta fait un détour vers le Blues urbain électrique sur "I Just Want to Make Love to You" et "Rock Me, Baby".
Elle surprend agréablement avec des medleys improbables; "I Just Want to Make Love to You" est combiné avec succès avec "Born to Be Wild" de Steppenwolf, et plus intrigant encore est sa capacité à associer le classique "My Funny Valentine" à deux Hits des années 70 d'Al Green ("Love and Happiness" et "Take Me to the River").
"Burnin' Down the House", sorti en 2002, est un témoignage passionnant et puissant d'Etta James alors âgée de plus de 60 ans
et en pleine forme...
Producteur – Walter Becker
Saxophone alto, flûte, clarinette – Lou Marini
Choeurs – Amy Helm, Angela Clemmon Patrick, Brenda King, Katherine Russell, Curtis King, Dian Sorel, Diane Garisto, Fonzie Thornton, Frank Floyd, Jenni Muldaur, Mindy Jostyn
Saxophone baryton – Roger Rosenberg, Ronnie Cuber
Basse, soliste, guitare – Walter Becker
Batterie – Christopher Parker, Dennis McDermott, Leroy Clouden
Guitare – Georg Wadenius
Claviers, chant – Donald Fagen
Orgue [Hammond B3] – Paul Griffin
Soliste, saxophone ténor – Cornelius Bumpus, Illinois Elohainu
Soliste, trombone – Birch Johnson
Saxophone ténor, flûte – Dave Tofani, Lawrence Feldman
Trombone – Jim Pugh
Trompette, bugle – Alan Rubin, Randy Brecker
Avec "Kamakiriad", sorti en 1993, Donald Fagen se consacre pleinement à un album concept détaillant une balade en voiture futuriste à travers le pays dans une voiture japonaise à vapeur avec un jardin hydroponique, ce qui est parfaitement retranscrit, avec une richesse d'images.
La musicalité est aussi superbe qu'on peut l'attendre d'un projet Fagen, mais l'instrumentation est plus fantaisiste et expérimentale, générant des paysages sonores parfois un peu grinçants. Des chansons comme "Tomorrow's Girls" et "Countermoon" peuvent toutefois offrir des moments musicaux mémorables.
Ce disque sert de terrain d'entraînement au Funk doux qui allait définir "Two Against Nature" de Steely Dan en 2000.
En effet, bien qu'il s'agisse de l'album de Donald, Walter l'a produit et a prêté sa basse à tous les morceaux, et a co-écrit "Snowbound". La production a été réalisée numériquement et est indéniablement de son époque, mais elle réussit parfaitement à renforcer le concept futuriste de science-fiction de l'album.