Producteur – Peter Analysis
Basse acoustique, guitare électrique – Orianthi
Batterie – Mark Chewey
Orianthi Panagaris est une guitariste de nationalités Britannique et Australienne. Son style est souvent comparé à celui d'autres virtuoses tels Joe Satriani, Steve Vai, Eddie Van Halen ou Carlos Santana.
Orianthi a été la guitariste de Michael Jackson lors de la préparation de sa tournée This Is It qui n'a pas eu lieu à cause de la mort du chanteur.
Son premier album, "Under The Influence", sorti en 1999, est un mini album qui montre une jeune guitariste pleine de promesses et en devenir.
N.B.: Toutes les chansons sont instrumentales...
Producteur – Jim Kaufman, The Black Moods
Chœurs – Haneka Haynes, Jim Kaufman, Ron Underwood
Basse – Kevin Michael Prier
Batterie – Chico Diaz
Guitare – Josh Kennedy
Percussions – Greg Warner
Chant – Ryan Prier
Le chanteur et guitariste Joshua Kennedy a quitté Wheaton, dans le Missouri, pour s'installer dans le Sud-Ouest Américain à l'adolescence afin de travailler comme technicien pour un autre groupe. Après quelques années d'immersion dans la scène musicale de Phoenix, il a fondé The Black Moods.
En 2005, le groupe offre un son rafraîchissant dans un océan de médiocrité musicale avec "Laurel Canyon".
Leur son évoque les légendes des années 70 comme Tom Petty et Peter Frampton sans paraître démodé.
Josh Kennedy est un véritable tueur au chant comme à la guitare. Avec Ryan et Chico à la batterie, ils égalent les meilleurs, formant l'une des sections rythmiques les plus rythmiques du moment.
Les chansons sont entraînantes et tout simplement rock.
Genre: Electric Blues, Classic Rock, Delta Blues, Hard Rock
Basse – François C. Delacoudre
Batterie – Antonin Guérin
Guitare – Mathieu Albiac
Chant, guitare, guitare lap steel, banjo – Laura Cox
La guitariste et chanteuse Rock Française Laura Cox et son groupe a sorti son album "Burning Bright" qui fait redécouvrir le pouvoir de la musique. Sorti en 2019, cet opus place Laura à l'avant-garde du mouvement New Classic Rock, qui prend de l'ampleur ces dernières années.
Guitariste et chanteuse de premier ordre, elle excelle dans l'esprit du Rock Blues originel.
Elle a formé le Laura Cox Band en 2013 avec le guitariste Mathieu Albiac, un autre jeune musicien aux goûts similaires. Le groupe compte également aujourd'hui le bassiste François C. Delacoudre et le batteur Antonin Guérin. Les quatre musiciens forment un combo musclé et pragmatique qui joue du Rock à la guitare aussi bien que n'importe quel autre groupe.
Laura Cox est une vraie star, et ces excellents morceaux vont indéniablement la faire connaître.
Producteur, Ingénieur – Pedro Ferreira
Basse – Frankie Poullain
Batterie – Ed Graham
Guitare – Dan Hawkins
Chant, guitare, synthétiseur, piano – Justin Hawkins
The Darkness mêlent le faste Rock des années 70, le Metal du début des années 80 et le Rock de stade explosif et brillant.
Ils écrivent des hymnes à la joie débridée de l'amour.
Dès sa sortie au Royaume-Uni en 2003, "Permission to Land" a connu un succès surprise, se classant deuxième des Charts Britanniques.
L'album est un Pop / Rock plus ou moins direct, avec quelques touches de metal des années 80, et The Darkness est à la hauteur des valeurs traditionnelles d'un groupe de rock: louche, décadent et doté d'une mentalité qui ne nous ennuie pas et qui nous pousse à aller jusqu'au refrain.
Si le groupe est assurément kitsch avec une sensibilité typiquement britannique, incarnée par le chanteur Justin Hawkins qui chante le sexe, la drogue et Satan avec une voix de castrat, soutenue par des riffs et des rythmes dignes d'une arène.
Leur meilleur morceau est sans doute "I Believe in a Thing Called Love", qui marie avec brio leur sens du spectacle et de la grandeur à leur penchant pour les refrains pop accrocheurs.
Même si "Permission to Land" n'est pas aussi Metal que ses singles le laissaient entendre, l'album est étonnamment bon...
je les avais quasi oubliés (mais pas tout à fait non plu s....) ceux là, découvert via ces CD qu'on trouvait dans les magazines de l' époque. Sur le morceau que tu as posté, c'est l'influence d' ACDC qui est évidente.
Après, bon, à l'époque, c'était clair que le rock c' était fini. Mais le cadavre avait encore un peu de nerfs et de couleurs !
Producteur – Chas Chandler
Basse, piano, violon, chœurs – Jim Lea
Batterie – Don Powell
Guitare solo, chœurs – Dave Hill
Chant principal, guitare rythmique – Noddy Holder
"Sladest" est sorti en 1973, une année phare pour le Glam Rock.
Les 14 titres sont tous énergiques, et la voix puissante de Noddy Holder porte ces mélodies au sommet, transformant des chansons qui pourraient être tout à fait correctes en classiques Glam Rock scintillants.
On y retrouve l'essentielle de l'œuvre de Slade.
Cet album est un peu le chant du cygne du groupe...
Producteur – Bruce Iglauer
Chant, Producteur – Koko Taylor
Basse – Cornelius Boyson
Batterie – Vince Chappelle
Guitare – Criss Johnson, Sammy Lawhorn
Harmonica – Billy Branch
Claviers – Bill Heid
Guitare solo – Emmett "Maestro" Sanders
Saxophone ténor – A.C. Reed
"From The Heart Of A Woman", sorti en 1981, est un peu différent de la plupart des autres albums de Koko Taylor, qui sont généralement des disques de Blues directs, avec beaucoup de cran et peu de finesse, mais c'est loin d'être un disque Pop.
L'album comprend sa magnifique interprétation de la ballade Soul classique d'Etta James "I'd Rather Go Blind", complétée par un jeu de guitare solo formidable et discret de Criss Johnson, ainsi qu'un excellent et funky "Keep Your Hands Off Him", un swing "Never Trust A Man" et de nombreux autres moments forts.
Le groupe est toujours de premier ordre. L'harmoniciste Billy Branch prête main-forte sur deux morceaux, et le pianiste Bill Heid contribue avec brio au groove R&B entraînant de chansons comme "If You Got A Heartache" et "Sure Had A Wonderful Time Last Night", tandis que les deux guitaristes s'éclatent sur le slow grind de "Thanks, But No Thanks".
C'est l'un des disques les plus intéressants et les plus variés musicalement du catalogue de Koko Taylor...
De De Lind a été un groupe de Rock Progressif axé sur la guitare, avec une flûte magnifique. Le groupe a sorti un magnifique album en 1973, puis il a disparu.
Ce disque offre une belle sélection de chansons de Rock Rrogressif, douces et plus dures, avec de nombreux thèmes Rock classiques.
Le chant, bien que discrètement mis en avant, est plutôt réussi et porte l'influence Italo-Prog classique des années 70.
Les amateurs de flûte dans le Rock riche en passages musicaux seront comblés...
Genre: Alternative Rock, Country Rock, Classic Rock
Producteur – Eric "Roscoe" Ambel
Basse acoustique – Tom Ray
Guitare acoustique – Brian Henneman, Tom Parr, Tom Ray
Basse – Tom Ray
Dobro – Brian Henneman
Batterie – Mark Ortmann
Guitare – Brian Henneman, Tom Parr
Tambourin – Mark Ortmann
Guitare douze cordes – Tom Ray
Chant – Brian Henneman, Tom Parr
Si le style Raunch & Roll est considérablement plus joyeux que la plupart de leurs frères Roots Rock, le talent d'auteurs-compositeurs incisifs et provocateurs de The Bottle Rockets les place parmi l'élite du genre.
"The Brooklyn Side", sorti en 1994, et produit par Eric "Roscoe" Ambel, regorge d'études de personnages pertinentes explorant les réalités et le désespoir silencieux de la vie rurale du Sud, de l'humour noir ("Sunday Sports") au poignant ("Welfare Music").
Ce groupe d'excellents musiciens dont les racines sont profondément ancrées dans l'Americana possède également un côté comique et méchant, comme en témoignent "Idiot's Revenge", "1000 Dollar Car" et le single enflammé "Radar Gun".
Bref, qu'on l'appelle Country Alternatif, Americana, Country Insurrectionnel, No Depression, Country Rock ou Southern rock, peu importe car cela reste excellent...
Producteur – Orianthi
Genre: Pop Rock, Arena Rock
Choeurs – Christina Panagaris
Batterie – Con Perkas, Stelios Kapetanakis
Chant, guitare, batterie, bongos, percussions, synthétiseur de guitare – Orianthi
Née à Adélaïde, en Australie, Orianthi joue de la guitare depuis l'âge de six ans. Elle a assuré la première partie de Steve Vai dans sa ville natale à 14 ans, et celle de ZZ Top à 17 ans. C'est sa rencontre et son concert avec Carlos Santana, à 18 ans, qui lui ont véritablement ouvert les portes de l'univers musical.
A l'âge de 21 ans, elle a signé avec Geffen.
Son album "Violet Journey", sorti en 2006, montre une guitariste sûre d'elle à surveiller pour l'avenir. Les chansons sont dans la veine du Light Metal des années 80, Vixen, Pat Benatar, etc.
Elle possède un jeu de guitare solide, avec un mélange plus Blues Pop qu'autre chose. Son écriture est solide, quoique peu spectaculaire. Son talent exceptionnel a besoin de s'épanouir.
N.B.: Orianthi est aussi une multi instrumentiste accomplie...
L'album éponyme du Power Trio, The Black Moods, originaire d'Arizona, est un disque de Rock solide, mais sa durée n'est que d'une demi-heure.
Des éléments de Rock Alternatif des années 90 et même une touche de Blues, se fondent dans un ensemble attrayant.
Des morceaux Grunge comme "Give It to Me' et les Garage Rocks "Serves You Right", "Like a Wiave" et "Can't Sleep at Night" sont des morceaux percutants et intelligents, sans prétention, avec juste ce qu'il faut d'attitude pour masquer le vague sentiment de déjà entendu.
"Get Off My Back" et "Torn Up Dress"rappellent un peu Guns 'n' Roses.
Le meilleur morceau est "Hey You", qui revisite le Rock classique des années 90 avec modernité.
"Judge Me" conclut l'album avec un Blues hybride sur lequel Kennedy et la section rythmique ont créé une œuvre dynamique, quoique quelque peu originale, qui mérite d'être entendue...
Avec "Burning Bright", sorti en 2023, Laura Cox a confirmé les espoirs nés de son premier album.
La complicité partagée avec les trois membres formant son groupe offre un groove imparable et la production est lisse et sans faille.
Le titre éponyme ouvre les hostilités avec un riff Rock très stonien, un refrain accrocheur et un break aérien précédant un solo rutilant.
Avec ce changement de son, les compositions se font moins classic Hard Rock et plus Rock US. La qualité est toujours présente et l’on retrouve un groove addictif sur des pièces telles que les singles ‘So Long’ et ‘Wiser’ d’une efficacité imparable. L’énergie de la tornade ‘One Big Mess’ ou du bon gros boogie ‘Swing It Out’ emporte également tout sur son passage et aucun morceau ne peut être considéré comme faible.
Avec "Head Over Water", Laura semble vouloir capitaliser sur la plupart des éléments qui ont fait le succès de "Burning Bright". Elle le fait avec classe mais il manque à cet album la chaleur et l’authenticité qui donnaient tout son charme à son prédécesseur...
Producteur – Clive Calder
Basse, chant, percussions – Richard Johnson
Batterie, Percussions – Braam Malherbe
Guitare, percussions – Mark Kahn
Chant principal, guitare acoustique, percussions – Dave Ornellas
Saxophone, flûte, claviers, percussions – Keith Hutchinson
L'album de Hawk, "African Day", sorti en 1971, est très doux et acoustique, avec une atmosphère merveilleuse.
Le soleil semble briller à travers chaque morceau, ce qui est très positif et étrange pour le monde du Rock Progressif.
Si on cherche à se détendre avec un album psychédélique / progressif des débuts pas trop compliqué, "African Day" est idéal pour ça.
Je vais poser une question bête alcat, mais comment choisis tu tes disques? Est ce que par exemple ce sont tous des disques que tu possède en physique?
Non, pas tous!
Il y en a certains que j'ai sur des cassettes, sur des mini CDs, et sur des CDs enregistrés...
Je vais poser une question bête alcat, mais comment choisis tu tes disques? Est ce que par exemple ce sont tous des disques que tu possède en physique?
Ça me paraît évident ce sont ses albums, sinon comme certains il écouterai les nouveautés dématérialisés , je peux me tromper ! En tout cas bravo alcat
Pas tous!
J'ai eu la chance, dans mon jeune temps, d'avoir pas mal de copains et on se prêtait nos nouveautés du moment, ceux que je ne pouvais pas acheter, je les enregistrais sur cassettes.
Plus tard, au travail, il y avait une discothèque avec pas mal de choix qui me permettait de toujours en découvrir plus.
J'ai même fini par être l'un de ceux qui s'en occupaient, donc j'ai eu la chance de pouvoir choisir les disques au moment de leur achat...
Je n'ai plus de 33 tours, mais j'ai une grosse collection de CDs qui me prennent beaucoup de place...
Producteur – Bruce Iglauer, Criss Johnson, Koko Taylor
Basse – Johnny B. Gayden
Batterie – Ray "Killer" Allison
Guitare – Albert Collins, Criss Johnson , Lonnie Brooks, Son Seals
Harmonica – James Cotton
Claviers – Professor Eddie Lusk
Saxophone ténor – Abb Locke
Chant – Koko Taylor
Sorti en 1985 “Queen of Chicago Blues”, est l’apothéose de la brillante carrière de Koko Taylor. Elle excelle sur ces dix titres fortement ancré dans le Blues de Chicago.
Elle a su en plus parfaitement bien s’entourer pour cet album (Albert Collins, James Cotton, Son Seals ou Lonnie Brooks).
C'est un disque qui se termine par une reprise vitaminée de “Come to mama” d’Ann Peebles avec une basse slappée digne des années 80.
Producteur – Anders Lind, Fläsket Brinner
Basse – Per Bruun
Batterie – Erik Dahlback
Guitare – Bengt Dahlén
Orgue, Flûte – Sten Bergman
Saxophone – Gunnar Bergsten
Considéré comme l'un des classiques parmi les albums de prog Suédois des années 70, "Fläsket Brinner", sorti en 1971, se présente comme une combinaison album studio et live avec la première face enregistrée en live et la seconde enregistrée en studio.
La partie live comprend deux morceaux instrumentaux. "Ganglaten" est plutôt bon et structuré. tandis que "Tyska finskan" ressemble plus à une jam étirée, et très probablement ils ont vraiment fait du heavy utilisation d'improvisations.
La face B est presque entièrement instrumentale, enregistrée en studio; l'exception étant "Uppsala Gård", dominé par l'orgue est le seul morceau avec des paroles.
Dans l'ensemble, "Fläsket Brinner" est un album dominé par des guitares brutes et une bonne section rythmique mais avec toujours une utilisation apparente des orgues, Saxophones et flûte.
Il n'est pas très produit, mais c'est voulu, le groupe visait plutôt un son live...
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Producteur – Eric "Roscoe" Ambel
Basse – Tom Ray
Batterie – Mark Ortmann
Chant, guitare – Tom Parr, Brian Henneman
Les deux premiers albums des Bottle Rockets comptaient parmi les plus influents et populaires du mouvement Country Alternatif, ouvrant la voie à la percée de leur troisième album, "24 Hours a Day", dès sa sortie en 1997.
Dommage qu'ils aient um peu raté leur coup avec cet album, car c'était peut-être celui qui aurait pu faire leur carrière. Non pas que le disque soit mauvais, mais il n'est pas, non plus, excellent.
Il y a quand même quelques bons moments, comme le propulsif "Perfect Far Away", mais l'essentiel de l'album est simplement un Country Rock solide et artisanal, digne de n'importe quel groupe d'Alt-Country.
Si l'album est agréable à écouter, il est aussi bien décevant, car les Bottle Rockets ont le potentiel d'être bien plus qu'un simple groupe d'Alt-Country!...
Genre: Pop Rock, Hard Rock
Producteur, claviers – Howard Benson
Basse – Chris Chaney, Paul Bushnell, Tal Herzberg
Batterie – Frank Zummo, Josh Freese
Guitare – Brian Chiusano, Phil X
Guitare, chant principal – Orianthi
Claviers – Kim Bullard
Percussions – Michito Sánchez
"Believe" d'Orianthi, sorti en 2009, est trop en deçà de "Violet Journey'.
Il y a de nombreux excellents moments, mais les quatre premiers morceaux auraient certainement pu être condensés en deux morceaux, car ils se ressemblent pas mal.
Le talent de guitariste d'Orianthi se retrouve malheureusement relégué au second plan face aux tendances Pop actuelles.
Espérons, pour elle, que les managers et les ingénieurs du son d'Orianthi retrouveront la profondeur de l'équilibre artistique et acoustique de "Violet Journey" car le monde de la musique n'a pas besoin d'une autre 'diva pop' ressemblant à Britney Spears et jouant de la guitare.
"Believe" est une grosse déception quand on connait son potentiel...
Basse – Johannes Lar
Batterie, chant – Chico Diaz
Guitare, chant, piano – Joshua Kennedy
Percussions – Jim Kaufman
Avec "Medicine", sorti en 2016, The Black Moods puise dans une époque musicale révolue, s'inspirant de grands noms comme Jim Morrison et les Beatles, avant d'y ajouter sa propre signature sonore, créant un album Rock énergique.
Le son rétro et épuré est chargé de guitares entraînantes et de refrains accrocheurs.
Portant fièrement le drapeau du Rock classique, The Black Moods brillent dans une scène inondée de balivernes médiocres et ordinaires.
C'est vraiment un excellent disque et c'est peut-être la dose de hard rock dont le genre avait désespérément besoin...
Producteur – Steve Ripley, Walt Richmond
Basse, Harmonies vocales – Casey Van Beek
Batterie, Caisse claire, Tambourin, Percussions – Jamie Oldaker
Guitare électrique, guitare acoustique, slide guitare, steel guitare, dobro, mandoline, chœurs – Ron Getman
Guitare, batterie, chant – Steve Ripley
Piano, Orgue électrique, Accordéon, Piano électrique, Clavinet, Batterie, Cors, Basse Chant – Walt Richmond
Avec leur album éponyme sorti en 1994, The Tractors originaires de Tulsa puisent dans leurs racines de l'Oklahoma pour raviver une véritable flamme locale dans les Charts Country.
Sur "The Tulsa Shuffle", le groupe fait un clin d'œil à ses styles musicaux favoris, tout en défendant avec brio son propre mélange et authentique de Country, de Blues, de R&B et de Western Swing.
Une version explosive de "Thirty Days" de Chuck Berry renforce ces liens, tandis que la voix rauque du chanteur Steve Ripley encadre le morceau dans un contexte résolument rétro.
Par ailleurs, the Tractors font appel à une pléiade de musiciens légendaires pour des apparitions remarquées.
Sur "The Little Man", le groupe fantasme sur des banquiers, des larbins du fisc et des politiciens échangeant leurs places avec de vrais travailleurs, tandis que la guitare slide de Bonnie Raitt gémit au loin. Le légendaire guitariste James Burton anime "Baby Likes To Rock It", le vénérable guitariste de Bob Wills, Eldon Shamblin, enfonce le champignon sur "Doreen", et Jim Keltner et Ry Cooder apportent une touche classique à "The Blue Collar Rock".
"The Tractors" est, tout simplement un classique...
