Pablita Merci PP pour la mise en lumière de ce groupe dont j’ignorais jusqu’à l’existence !
De rien Pablita personnellement je les avait découvert via plusieurs chroniques dans des Zines indie Pop Anglais
A noter que sur une des rééditions anniversaire de 2003 tu as plein de bonus tracks et des morceaux sur DVD
Joyeux Mondialiste Droit de l'Hommiste et Internationaliste convaincu, amateur d'étrangetés Vinyliques tournant en 33 et 45 tours en provenance des quatre coins de la planète et des 7 continents
Bien, Polyphonic Spree, ce n'est pas avec cet album-là que je les avais découverts, mais c'était déjà très impressionnant, et celui-ci est excellent.
Ici présentement à l'écoute de cet album remarquable de Vangelis, l'un de ses plus expérimentaux, comme ne l'indique pas forcément l'année de son enregistrement à savoir 1985 (je me méfie des prods de cette décennie). Un vrai bon album ambient abstrait assez sombre, extrêmement inspiré.
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Dawn est le cinquième album studio du groupe de rock progressif allemand, Eloy. Il est sorti en décembre 1976 sur le label EMI-Harvest et a été produit par le groupe.
Je découvre ces temps-ci Lisa Gerrard, autant via Dead Can Dance que plusieurs de ses collaborations, par exemple avec Klaus Schulze. Ici un album de 2004 avec le compositeur classique Patrick Cassidy, à la fois très profond et atmosphérique.
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Fire, Water, Earth & Air est le cinquième album studio du groupe de rock progressif allemand, Jane. Il est sorti en janvier 1976 sur le label Brain et fut produit par le groupe.
Alors là, je préfère Jane à Eloy...cela joue très bien !
Jusqu'à présent, j'aime tout les albums de Jane...j'espère que les suivants seront aussi bon ?
A la faveur d'un gisement hier chez Abbé Pierre Records, je me fait une révision des fondamentaux, en l'occurrence deux pans distincts de la carrière de celui que j'aime appeler mon Tonton Rufus. La collection d'enregistrements inédits avec Booker T & the MGs et les Mar-Keys est vraiment pas mal, ça s'étend sur la période 1963-67, tandis que l'autre disque montre les débuts du bonhomme, répliquant au "Hound Dog" de Big Mama Thornton par "Bear Cat", et cherchant sa voie sur différents labels (Sun, Chess, Bullet, Star Talent, Meteor).
Jack Bon Slim Combo
What A Good Life ! 2014
En rangeant le dernier Ganafoul j'ai redécouvert cet excellent album de blues rock Français , il est tellement peu épais (Slim) que j'avais oublié que je l'avait sur mes étagères
Le troisième Lp de Scraping Foetus Off The WheelHole sorti fin 1983 sur Some Bizzare / Some Bizzare une sacrée claque Noise Indus un des multiples projets du multi instrumentiste Australien JG Thirlwell
Le premier Cd' de cirKusLaylow sorti en 2006 sur Tent Music , entre Electro Funk Hip Hop et Expérimental un des multiple projets et groupes de la plus que talentueuse Neneh Cherry qui à aussi participé aux groupes Rip Rig & Panic, Float Up CP, The Slits et The The
Joyeux Mondialiste Droit de l'Hommiste et Internationaliste convaincu, amateur d'étrangetés Vinyliques tournant en 33 et 45 tours en provenance des quatre coins de la planète et des 7 continents
Le premier Cd' de cirKusLaylow sorti en 2006 sur Tent Music , entre Electro Funk Hip Hop et Expérimental un des multiple projets et groupes de la plus que talentueuse Neneh Cherry qui à aussi participé aux groupes Rip Rig & Panic, Float Up CP, The Slits et The The
C'est vraiment très sympa, vu sur scène à cette époque-là avec un claviériste-compositeur de talent dont j'ai oublié le nom (j'ai retrouvé sur le Cd, Burt Ford) et Lolita Moon, la fille de Neneh qui assurait bien sur la scène!
Ce matin j'ai écouté un bootleg récent de Bob Dylan
Tout est exceptionnel chez ce bonhomme. Alors bien sûr, il faut avoir les codes pour en saisir la beauté. Avec Dylan, on n’est pas dans un monde aseptisé. Sa musique n’est jamais neutralisée et, de ce fait, il faut accepter les erreurs et les éventuelles impasses où peut le conduire son inspiration du moment (en particulier au piano). Mais, à titre personnel, c’est aussi cela que je trouve beau : accepter les fausses notes comme faisant partie de la musique.
C’est quelque chose dont on parle très rarement dans le travail de Dylan : son rapport à l’erreur. Je crois qu’il voit la musique exactement de la même manière qu’il voit la vie, c’est-à-dire qu’il la vit intensément dans l’instant, en acceptant les conséquences de cette manière d’exister.
J’avais lu une interview d’un musicien qui avait joué avec lui lors des sessions de Shadow Kingdom, et c’est un point sur lequel il a insisté durant l’entretien : Dylan vit chaque instant totalement. Lorsqu’il jamme avec quelqu’un, il est entièrement dans ce moment, son esprit est totalement concentré sur ce qui se produit autour de lui, et sa voix varie énormément selon les pulsations qui l’entourent ou qu’il ressent à ce moment-là.
Parfois, à plus de 80 piges, il lui arrive encore de se perdre dans ce labyrinthe, car chaque jour il est nouveau pour lui. Le passé ne revient jamais — ni dans la vie, ni dans la musique de Dylan.
Si vous vivez la musique ainsi, vous avez deux façons de faire :
Devenir un musicien de jazz, ou devenir Bob Dylan.