Non je crois pas. MAis il parle de ses grand parents déportes dont l'usine a été racheté et que c'est eux qui en fait fabriquait les pyjamas des déportés.Monsieur-Hulot a écrit : ↑ven. 1 août 2025 16:54Est ce qu'ils parlent de cette histoire où le grand père de son producteur était nazi qui avait déporté ou fait des misère à ses grands parents à lui ?nunu a écrit : ↑ven. 1 août 2025 15:52Je reviens sur ce doc. 5 heures sur et avec Billy Joel. Heureusement que je l'aime bien. Deux parties la premiere qui couvre ses premieres années de musicien jusqu'a la fin des années 70 et le seconde qui va de 80 a aujourd'hui. Sa musique, ses mariages, ses déméles avec la critique (pas assez rock, les comparaisons permanentes avec Elton John) dans laquelle il n'a jamais eu bonne presse, ses mariages ratés. On suit un artiste qui dit au début du doc qu'il trouve un peu genant qu'on fasse un doc sur lui et qui finalement se prend au jeu. Le tout entrecoupé de l'histoire de sa famille, juif ayant fuit l'Europe a l'arrivé du nazisme et de témoignage de ses proches dont ses ex femmes, son groupe et quelques musiciens dont Le Boss et Mccartney.
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Son producteur pendant longtemps a été Phil Ramone. Il ont fait 5 albums ensemble a partir de The Stranger. Avant l'autre l'a surtout escroqué
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Re: Documentaires
Comme Nunu, j’ai pris Oasis dans la tronche très jeune et ça m’a marqué. What’s The Story (Morning Glory?) fait parti des tout premiers disques que je me suis offert en K7 en tondant des pelouses. Cela dit, j’entends tout les griefs qu’on peut leur reprocher (que ce soit musical ou dans leur comportement) — l’amateur éclairé et passionné trouvera sûrement plus intéressant ailleurs. Un truc qu’on a peut être moins capté en France c’est ce classisme bien plus prononcé en Angleterre (sans parler de schisme nord/sud) qui explique en grande partie les outrances du groupe, comparé à Blur ou Pulp qui sont relativement assez middle-class avec des références un peu plus raffinées. Oasis c'est clairement plus prolétaire sur la forme comme sur le fond - un peu plus binaire quoi- et d'une certaine manière c'est de la musique populaire.Jitoma a écrit : ↑jeu. 31 juil. 2025 17:53Ah, ce bon vieux Ray Dorset. Je n'aurais jamais eu l'idée de faire la même analogie à son sujet, alors que Gaz Coombes a vraiment une mâchoire qui se pose là !
Tiens, sinon j'ai essayé de visionner le docu "Supersonic", j'ai tenu 35-40 minutes. Ce qui ne m'a pas handicapé outre mesure quant à l'appréciation esthétique : les types décrètent qu'ils sont les meilleurs, que leurs morceaux sont des bombes, qu'eux-même sont la rencontre la plus achevée du cool et du sexy, je me suis dit, c'est bon, tu peux éteindre...![]()
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Re: Documentaires
Entièrement d'accord, cet aspect culturel et politique est à prendre en compte impérativement pour pleinement saisir ce qui a rendu ce groupe populaire, en particulier dans son pays d'origine. Et je ne dénie ni ne critique aucunement la dimension populaire de leur travail, je pointe juste le fait que réécrire des hits de T-Rex ou Lennon ne suffit pas pour s'autoriser à se proclamer génie.
Je sais apprécier des artistes de rock de second plan, pour leurs qualités strictes, par exemple Slade, mais les postures des frères Gallagher m'ont privé de toute possibilité de garder ce point de vue : ils ont toujours, dès le début, témoigné d'une telle prétention que lorsque je confronte - et à plus forte raison, lorsque je découvre la musique après les avoir lu comment ils la présentaient - leur travail à ce qu'il me semble valoir réellement, ça disqualifie l'affaire d'emblée. Parce que dans le fond, leur travail n'a rien de désagréable, et je sais combien ça a pu compter pour les ados des 90s (voire, et l'on ne peut que s'en réjouir, susciter des vocations et forger des goûts sûrs), pour résumer, écouté comme on mange un produit transformé en usine, je ne vois pas où est le problème.
Je sais apprécier des artistes de rock de second plan, pour leurs qualités strictes, par exemple Slade, mais les postures des frères Gallagher m'ont privé de toute possibilité de garder ce point de vue : ils ont toujours, dès le début, témoigné d'une telle prétention que lorsque je confronte - et à plus forte raison, lorsque je découvre la musique après les avoir lu comment ils la présentaient - leur travail à ce qu'il me semble valoir réellement, ça disqualifie l'affaire d'emblée. Parce que dans le fond, leur travail n'a rien de désagréable, et je sais combien ça a pu compter pour les ados des 90s (voire, et l'on ne peut que s'en réjouir, susciter des vocations et forger des goûts sûrs), pour résumer, écouté comme on mange un produit transformé en usine, je ne vois pas où est le problème.
Re: Documentaires
Dans le contexte que l'on sait, où l'on réécoute beaucoup Black Sabbath. Ici c'est passionnant, et les interventions de Brandon Toews très éclairantes !
Re: Documentaires
Bon, maintenant qu'est paru Smile des Beach Boys, ça reste probablement le dernier Graal parmi les choses que je voudrais entendre un jour avant de quitter ce monde. Je ne suis même pas sûr que ce soit réellement bon sur le strict plan musical, mais depuis que j'ai lu les descriptions qui en ont été faites par Mark Hertsgaard dans son ouvrage L'Art Des Beatles et Mark Lewisohn dans The Complete Beatles Recording Sessions, c'est une curiosité prenante qui ne me lâche pas. Il avait été question il y a quelques mois de la sortie d'un possible énième coffret deluxe, cette fois-ci autour de Magical Mystery Tour, et dont ce morceau constituerait le plus fort argument marketing, la chaîne Parlogram en avait parlé de façon très émoustillante, mais comme d'hab, des promesses, toujours des promesses !