La lecture du moment ...

[Pachy]

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Le Lutin du Bois aux Roches est la troisième histoire de la série Johan et Pirlouit de Peyo. Elle est publiée pour la première fois du nᵒ 845 au nᵒ 858 du journal Spirou. Puis est publiée sous forme d'album en 1956. C'est la première histoire de la série dans laquelle Pirlouit apparaît.

[Pachy]

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Margareth Manson n'est plus à présenter à Los Angeles. La Star est plus connue que les plus grandes marques. Ce n'est donc pas étonnant que Bob Garcia, un ami journaliste people de Lefranc, parte aux Etats-Unis pour y rencontrer la doublure de l'actrice en espérant, par la même occasion, rencontrer la vraie. Mais lorsque celui-ci disparaît à Los Angeles, notre héros se rend compte que cet événement n'est pas anodin. Il se rend donc à Hollywood pour retrouver son ami et enquêter sur ceux qui pourraient vouloir nuire à Margareth Manson.

[Pachy]

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Rejoignant le fort Scott, le lieutenant Blueberry et sa troupe se font attaquer par les rebelles de Quantrill, un Sudiste sanguinaire qui terrorise la région. Le haut commandement confie alors à Mike la mission de maîtriser Quantrill et ses hommes avant que le sénateur Lane (un Nordiste tout aussi boucher que son adversaire) ne s’en mêle, saccageant à son tour la campagne alentour ! En civil Blueberry réussit à repérer le repaire de Quantrill mais très vite il se rend compte que ni l’endroit, ni la colère du rebelle ne vont être pratique à abattre…
Très bien, vivement la suite !

[Phil]

La saga Sambre...1er tome Plus ne m'est rien acheté en 1986.

https://www.glenat.com/glenat-bd/series-sambre/

[vox populi]

À chaque fois que je débute un livre de Philip Roth, je sais que, compte tenu de ma vitesse de lecture, la traversée du roman (près de 600 pages) va me prendre plusieurs mois. Entre le début et la fin, j’ai failli abandonner le projet à plusieurs reprises, tant Roth dissèque ses personnages et leurs obsessions — parfois à l’excès, il faut bien le reconnaître. Pourtant, comme pour le précédent roman de Roth que j’ai lu, la tâche est largement récompensée à la fin. Tout est pardonné tant on a le sentiment d’avoir vécu une expérience marquante en lisant les dernières lignes du roman.

Pastorale américaine raconte l’histoire d’un homme à qui tout réussit. Il possède toutes les qualités : physiques, intellectuelles et morales. Tout lui sourit. Il a hérité d’une entreprise de fabrication de gants qu’il a su faire prospérer, il est marié à une femme magnifique, et ils vivent dans une belle demeure, au cœur de la campagne américaine, avec vue sur les montagnes. Seymour est heureux.

Il aurait pu avoir un tout autre destin : il avait le talent pour devenir footballeur professionnel. Mais jamais il n’a regretté son choix. Le star-système ne l’intéresse pas, et l’argent n’est pas non plus son principal moteur. Ce qu’il veut, lui, c’est construire une vie de famille harmonieuse, un petit monde bien à lui où chacun serait heureux. Ce "chacun", ce sont lui, sa femme Dawn, et leur fille Merry, une enfant vive et intelligente qui fait la fierté de ses parents. Seymour n’en demande pas plus à la vie. Il passe ses journées à être un homme de bien, attentif à ceux qui l’entourent, prenant le temps d’écouter et de comprendre les opinions de chacun.

Tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes... jusqu’au jour où sa fille commence à bégayer. Un très léger bégaiement, comme un grain de sable, une infime distorsion qui altère à peine une mélodie jusque-là absolument parfaite. Mais ce petit dérèglement va peu à peu s’envenimer, jusqu’au jour où Seymour apprend que sa fille a commis un crime : un acte terroriste, pour protester contre la guerre du Vietnam et l’impérialisme américain. Pire encore : après cet attentat, sa fille disparaît.

Qu’est-elle devenue ?
Pourquoi a-t-elle commis cet acte ?
Qu’a-t-il raté dans son éducation ?

Petit à petit, le monde de Seymour s’effondre — brique après brique, croyance après croyance — jusqu’à cette conclusion brutale :

"Le fait est que comprendre les autres n’est pas la règle, dans la vie. L’histoire de la vie, c’est de se tromper sur leur compte, encore et encore, encore et toujours, avec acharnement et, après y avoir bien réfléchi, se tromper à nouveau."

Ce roman interroge à mes yeux avant tout la notion de transmission.
Que pouvons-nous transmettre à la génération suivante si celle-ci choisit de ne rien recevoir ?
Quand ce que nous considérons comme le plus sacré dans l’existence ne suscite aucun intérêt chez ceux qui nous survivent, quel sens reste-t-il à être parent ?

Bob Dylan avait un jour déclaré, lorsqu’on lui demanda son avis sur le monde qui l’entourait :

"Je sais ce qui est sacré pour moi, et je sais que tout cela n’aura aucune importance pour les générations futures. "
C’est, peut être, la chose essentielle à comprendre si l’on veut vivre en paix avec le monde qui vient. Un monde qui ne sera pas le nôtre

[Harvest]

Grand livre. Œuvre chef. Bonne lecture.

[CCR]

@ vox populi
Excellent, ton compte rendu !
Et la question qu'il soulève est vraiment très intéressante.

Si je devais y répondre à brûle-pourpoint, je dirais que ce n'était sans doutes pas le cas dans les siècles passés, ou les valeurs se transmettaient d'une génération à l'autre. Mais depuis, je ne sais pas, le 19ème, et surtout le 20ème, le monde a évolué tellement vite que les "normes" ne sont plus les mêmes d'une génération à la suivante...

[vox populi]

@ vox populi
Excellent, ton compte rendu !
Et la question qu'il soulève est vraiment très intéressante.

Si je devais y répondre à brûle-pourpoint, je dirais que ce n'était sans doutes pas le cas dans les siècles passés, ou les valeurs se transmettaient d'une génération à l'autre. Mais depuis, je ne sais pas, le 19ème, et surtout le 20ème, le monde a évolué tellement vite que les "normes" ne sont plus les mêmes d'une génération à la suivante...

Je crois que c’est un peu le point de vue de l’auteur aussi. Seymour a tout hérité de son père (entreprise, valeurs, religion, etc.), comme le père de Seymour avait lui-même tout hérité de la génération précédente. Tout se transmettait et tout progressait parfaitement bien. Chaque génération était plus riche et plus comblée que la précédente… jusqu’à ce très léger bégaiement qui apparaît dans la voix de Merry, jeune fille plongée dans un tout nouveau monde, celui des années 60 et des grands changements politiques et culturels. Et c’est à partir de là que les questions remplacent les certitudes dans la tête de Seymour.

J’ai lu deux bouquins de Roth : celui-ci et La Tâche. Je te le conseille aussi si tu ne l’as pas lu. La Tâche parle de la transformation "woke" dans les facultés américaines, avec un professeur juif qui est exclu pour des raisons que je te laisse découvrir. Ce qui est dingue, c’est que ce bouquin a été écrit en 2000, il y a 25 ans. Il est incroyablement prémonitoire.

[Pachy]

Johan&Pirlouit4LapierreC_17102003.jpg (57.16 Kio) Vu 1433 fois

4ème albums et la première grande aventure avec Pirlouit !
C'est peut-être celui que j'aime le moins !

[CCR]

@ vox populi
Excellent, ton compte rendu !
Et la question qu'il soulève est vraiment très intéressante.

Si je devais y répondre à brûle-pourpoint, je dirais que ce n'était sans doutes pas le cas dans les siècles passés, ou les valeurs se transmettaient d'une génération à l'autre. Mais depuis, je ne sais pas, le 19ème, et surtout le 20ème, le monde a évolué tellement vite que les "normes" ne sont plus les mêmes d'une génération à la suivante...

Je crois que c’est un peu le point de vue de l’auteur aussi. Seymour a tout hérité de son père (entreprise, valeurs, religion, etc.), comme le père de Seymour avait lui-même tout hérité de la génération précédente. Tout se transmettait et tout progressait parfaitement bien. Chaque génération était plus riche et plus comblée que la précédente… jusqu’à ce très léger bégaiement qui apparaît dans la voix de Merry, jeune fille plongée dans un tout nouveau monde, celui des années 60 et des grands changements politiques et culturels. Et c’est à partir de là que les questions remplacent les certitudes dans la tête de Seymour.

J’ai lu deux bouquins de Roth : celui-ci et La Tâche. Je te le conseille aussi si tu ne l’as pas lu. La Tâche parle de la transformation "woke" dans les facultés américaines, avec un professeur juif qui est exclu pour des raisons que je te laisse découvrir. Ce qui est dingue, c’est que ce bouquin a été écrit en 2000, il y a 25 ans. Il est incroyablement prémonitoire.

C'est sûr que la grande bascule, le fossé entre génération a dû avoir lieu dans les années 60, enfin c'est évident si je compare la génération de mes parents à celles de leurs parents, ou la rupture avec la "tradition" a sans doute été la plus marquée, annonçant la nôtre ( libération de la femme, passage du primaire au tertiaire et secondaire, émergence de l'adolescence puis enfant roi, radio et TV etc etc etc.

Pour le wokisme, je ne suis pas trop le truc que ja trouve d' un ennui vu que de toutes façons le racisme n'a jamais eu de frontières, qu'elle soit géographiques, de couleurs, de classe sociale, de sexe et que sais-je encore .... Mais pour rester en territoire US, je me souviens avoir lu un livre d'un blanc qui s'est teinté la peau histoire de vivre de l' intérieur ce que vivaient les black ....Je n'ai pas dû le lire en entier parce qu'au bout d'une bonne dizaine de pages on a tout compris....

ok, je viens de faire une recherche sur le livre de Roth.... Disons que ce que ça m'inspire c'est toute la complexité de la vie en société : ne pas être trop individualiste mais en même temps se méfier de l'"effet" de groupe comme de la peste... Équilibre difficile qui demande à la fois du courage et des valeurs morales. Autant dire qu'un pourcentage non-négligeable de la population est largement exclu du game.
J'espère juste ne pas en faire partie. Enfin quoique ....

[Pachy]

Couv_382958.jpg (229.54 Kio) Vu 635 fois

Alors là, c'est du Ric Hochet très moderne...
Plus rien à voir avec l'ancienne séries...

[Jitoma]

Pas encore en lecture mais ça ne saurait tarder, puisque l'écoute d'un entretien assez enthousiasmant avec l'auteur sur la chaîne Le Média m'a convaincu d'aller le commander pas plus tard que demain (il serait temps, le bouquin est sorti il y a près d'un an et demi). Le sommaire en lui-même est assez alléchant sur le plan des thèmes abordés :



Et les illustrations sont superbes.

Plus d'infos ici : https://editionsatelier.com/boutique/no ... 54343.html

[Pachy]

Couv_495188.jpg (293.92 Kio) Vu 529 fois

Ce dernier album est excellent, comme les autres...
Un nouveau arrive en septembre !

[Pachy]

Couv_23998.jpg (171.05 Kio) Vu 327 fois

Le rebelle Quantrill et ses hommes, malgré les tonnes de pierres qui les retiennent dans les mines de Iron city, réussissent à en réchapper et se promettent de se venger de ces Nordistes qu’ils haïssent ! De son côté le sénateur Lane rentre à fort Scott en victorieux, néanmoins, il ne tarde pas à entendre que Quantrill est de retour et qu’il sème une terreur encore plus meurtrière dans le Kansas. Lane, vexé par cette nouvelle se lance à nouveau sur la piste du rebelle. Le général Totten, qui sent que Lane lui échappe complètement, se doute qu’il va y avoir encore de nouveaux massacres, il envoie Blueberry avec un message pour le général Ewing, mais il arrive trop tard, Lane a à nouveau les mains libres. Ce dernier décide alors de capturer toutes les femmes proches de la troupe de Quantrill pour attirer ce dernier dans un guet-apens meurtrier…
Celui-ci est vraiment superbe, un rien cruel...mais c'est l'histoire...

[Pachy]

Couv_18812.jpg (100.35 Kio) Vu 209 fois

Celui-là est vraiment superbe comme aventure...une très bonne idée avec des vikings !
Humour garanti et gag à gogo pour notre duo....

[Jitoma]

Tout juste commandé, sur recommandation du site Néosphères. https://neospheres.org/disques/tallon-terry-riley.htm Grande hâte que cela arrive et que je puisse le lire.



Plus d'infos ici : https://www.lemotetlereste.com/musiques/terryriley/

[Pachy]

les-nouvelles-enquetes-de-ric-hochet-commissaire-griot.jpg (164.13 Kio) Vu 17 fois

Suite à un échange international, Bourdon est envoyé au Sénégal tandis que le commissaire Dior prend sa place au Quai des Orfèvres. Un commissaire noir, ça bouleverse les habitudes et Dior est confronté à un racisme brutal. Entre-temps, Cupidon, un redoutable tueur en série, rôde dans les rues de Paris…
Ben c'est encore un bon celui-ci...