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Cathy Jean 2010 - In the Remains

Genre: Blues Rock, Modern Electric Blues, Electric Blues, Funk, Neo Soul

"In the Remains" de Cathy Jean , sorti en 2010, est un album de rock très concentré et tout à fait cohérent.
L'impact vient principalement de sa voix. Ses paroles alternent acide, amour, douleur, indifférence et mépris, à la manière d'une véritable chanteuse Soul.
Musicalement, les musiciens qui l'accompagnent s'acquittent avec brio de la tâche consistant à poser les bases de la sentimentalité de Cathy Jean, inspirée par les accidents de voiture, la guitare de Keith Stafford justifiant aisément sa place sous les projecteurs. Ce sont les moments plus subtils, comme ceux de "King Civilian", qui fonctionnent le mieux.
Elle se situe quelque part entre Lady Gaga, Ana Popovic et Billie Holliday, si c'est possible. Cette guitariste hors pair joue une guitare d'enfer, ses chansons ont plus de paroles qu'un roman, qui ont tendance à être assez pointues et crues. Ce qui attire, ce sont les influences Jazz mêlées de Blues, de Funk et de Rock.
Cette chanteuse a également écrit toutes les chansons. Elle lie bien tous ces éléments ensemble, même s'ils sont énormes en eux-mêmes...
Cathy Jean a très certainement un son qui lui est propre, en tant que chanteuse et compositrice et "In the Remains" est un album "inovant"...

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Jadis 1992 – More Than Meets The Eye

Genre: Prog Rock

Producteur – Rob Aubrey
Basse – John Jowitt
Batterie, percussions – Stephen Christey
Guitare, chant – Gary Chandler
Claviers, chœurs, flûte, producteur – Martin Orford

A la sortie de son album "More Than Meets The Eye", en 1992, Jadis était alors un quatuor électrique composé de Martin Orford (IQ) aux claviers, Steve Christey à la batterie, John Jowitt à la basse et l'incroyable Gary Chandler aux guitares et au chant.
C'est l'un de ces albums où tout s'est parfaitement bien passé et il se démarque de tous les autres. Les chansons sont savoureuses et elles offrent de superbes changements de tempo et d'énergie, avec des touches de Rock Progressif.
La batterie de Steve Christey atteint un niveau de compétence extrêmement élevé. Le jeu de guitare de Gary Chandler est époustouflant: Il joue avec une dextérité extrême et une grande émotion. Martin Orford ajoute ses ambiances symphoniques et ses claviers luxuriants, et John Jowitt ses basses précises. Un autre point fort est l'utilisation de l'harmonie par Chandler, et il a aussi une belle voix…
C'est du Rock Progressif tout simplement stellaire, avec une belle dose d'originalité.
Jadis est peut-être arrivé un peu tard pour un groupe Néo Progressif, mais il s'est avéré être l'un des meilleurs groupes du genre de l'époque. Il a su se démarque par sa prédominance de guitare. Les solos de guitare inspirés du Blues, souvent à indice d'octane élevé, mais toujours mélodiques, sont au premier plan, constituant la plupart des chansons.

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Cactus 2012 -- Do Not Kick Against The Pricks

Genre: Blues Rock, Hard Rock

Basse, chant – Tim Bogert
Batterie, chant – Carmine Appice
Invité, Harmonica – Randy Pratt
Guitare – Jim McCarty (2)
Chant principal – Jimmy Kunes

"Do Not Kick Against The Pricks" est un double album live de 2006 de Cactus de grande qualité.
Enregistré au légendaire BB King’s Club de New York, ce disque révèle un show de Cactus reformé devant un public extatique.
Un petit défaut saute à l'oreille au niveau du son qui est trés bon mais on ne retrouve pas ce mur du son comme sur les lives sorties par Rhino. Le son n’est pas extraordinaire, un peu bootleg, mais la puissance évocatrice générée par Cactus et son passé digne d’adoration ne laisse que les grands moments liés à ce groupe de légende.
Le groupe est dans son élément, la scéne! Les musiciens et le chanteur sont en grande forme, avec l'aide d'un harmoniciste sur quelques titres.
On y trouve quelques titres récents mais beaucoup de leur titres des années 70 avec des solos inspirés mais pas trop long notamment celui de la batterie et de la basse...

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Hatfield And The North 1975 - The Rotters' Club

Genre: Art Rock, Jazz-Rock, Prog Rock

Producteur – The Hatfields
Basse, chant – Richard Sinclair
Batterie, percussions – Pip Pyle
Clarinette – Tim Hodgkinson
Flûte, Saxophone soprano, Saxophone ténor – Jimmy Hastings
Cor d'harmonie – Mont Campbell
Hautbois, Basson – Lindsay Cooper
Chant – Amanda Parsons, Ann Rosenthal, Barbara Gaskin, The Very Wonderful Northettes
Guitare – Phil Miller, Richard Sinclair
Orgue, piano électrique, – Dave Stewart

"The Rotters' Club", sorti en 1975, est un albul live d'Hatfield And The North.
On y trouve une musique et des paroles pleines d'images, d'une expression magnifique et abstraite, des détails subtils et des touches de son velouté.
Des comparaisons peuvent être facilement établies avec Gong et Camel, entre autres... et pourtant c'est plus typiquement canterburyien dans le Jazz oft délibérément mais délicatement perturbée par des humeurs plus sombres.
Ce n'est pas un chef-d'œuvre, car il n'a rien de particulièrement révolutionnaire, pas il est complètement envoûtant et captivant à sa manière douce, et une musique exquise, avec une qualité qui est presque tangible.
"The Rotters' Club" est un incontournable pour les fans des royaumes plus jazzy du Prog. Ce n'est pas du tout un album fait pour impressionner...

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Samantha Fish 2013 -- Black Wind Howlin'

Genre: Modern Electric Blues, Country Blues

Producteur – Mike Zito
Basse – Charlie Wooton
Batterie, percussions – Yonrico Scott
Violon – Bo Thomas
Guitare, chant – Samantha Fish
Guitare, chant, chœurs – Mike Zito
Harmonica – Johnny Sansone
Chant – Paul Thorn

Samantha Fish, originaire de Kansas City, a connu une ascension fulgurante des dix dernières années.
Sur son album "Black Wind Howlin'", sorti en 2013, on y trouve un côté Hard, bien illustré par le morceau "Miles To Go" qui ouvre l'album sur un rythme effréné, mais aussi un côté Blues, qui a fait sa réputation.
Il s'agit d'un disque parfaitement accompli qui a contribué à consolider la réputation croissante de Samantha dans le monde du Blues et du Blues Rock.
Les amateurs de Modern Electric Blues sont servis:...

[andy]

samantha fish vu en concert , excellent , mais j ai pas d albums

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The Buddaheads 2011 – Wish I Had Everything I Want

Genre: Blues Rock

Basse – Johnny Griparic
Batterie – Patric Caccha
Batterie, percussions – Lee Spath
Orgue électrique – Jim Pugh
Chant, guitare, basse, saxophone – Alan Mirikitani
Batteur – Alvino Bennett
Guitare rythmique, guitare slide – Randy Mitchell

Il se passe beaucoup de choses sur cet album richement chargé, même si rien de particulièrement fort, au sens sonore du terme. « Wish I Had Everything I Want » est moins lourd en décibels que sensible..
Des morceaux mélancoliques comme "Blink Of An Eye" prédominent, créant ainsi une atmosphère conviviale.
La chanson titre fait plaisir aux fans de Rock des années 70, et plus particulièrement de Led Zeppelin, avec un côté sudiste, mais ce n'est pas vraiment le point fort de Lee Spath et Johnny Griparic, qui jouent souvent avec artifice plutôt que de se distinguer par une interaction particulièrement éclatante.
Les amateurs de Roots Rock Américain et de Blues Britannique sont bien servis. Deux bons tiers des chansons sont convaincantes, notamment parce que le groupe met l'accent sur le chant, et tant que Mirikitani se comporte en homme de conviction dans ce qu'il produit, tout va bien...

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Fair Weather 1970 -- beginning from end

Genre: Hard Rock, Pop Rock, Prog Rock

Producteur – Andy Fairweather Low
Steel Guitare – B. J. Cole
Batterie – Dennis Bryon
Orgue – Blue Weaver
Basse – Clive Taylor
Guitare – Neil Jones

Fair Weather est un groupe Britanique de Rock formé en 1970 par l'ancien guitariste et chanteur d'Amen Corner, Andy Fairweather Low. Ils sont surtout connus pour leur titre "Natural Sinner".
Fairweather Low était dans les années 60 une pop star, leader et guitariste d' Amen Corner qui s'est séparé en 1970, et le groupe Fair Weather fut fondé sur ses cendres, avec un effectif légèrement réduit: les cuivres Mike Smith et Allen Jones avaient trouvé du travail ailleurs.
En juillet, le premier single du groupe, "Natural Sinner", a progressé dans les Charts, atteignant la sixième place.
"Beginning from an End" est sorti peu après, mais avant la fin de l'année, le groupe s'est définitivement séparé et il est rapidement tombé dans l'oubli.
On y trouve une reprise entraînante du classique Stax "Don' Mess with Cupid" ou une version inspirée et teintée de Psychédélisme de 'I Hear Your Knocking".
Mais ce sont les compositions de Fairweather Low qui illustrent le mieux la transition de Fair Weather vers l'ère du rock.
Du funky "You Ain't No Friend" au mélange enivrant de Blues Progressif de l'instrumental "Looking for the Red Label", en passant par la guitare glissante du Country "Poor Man's Bum a Run", Fair Weather étire le R&B jusqu'à un son de stade imposant, centré sur les magnifiques guitares de Fairweather Low et Neil Jones, et enrichi de mille et une façons par les claviers de Blue Weaver .
Toujours un groupe pop dans l'âme, Fair Weather a accompli avec des chansons percutantes ce que d'autres ont mis une face d'album entière à faire.
Le groupe sonnait déjà bien à l'époque, et c'est toujours le cas aujourd'hui...

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John Phillips 2001 – Pay Pack & Follow

Genre: Folk Rock

Producteur – Keith Richards, Mick Jagger, Harvey Jay Goldberg
Guitare acoustique – Chris Spedding, Richards Keith, Mick Taylor, Sid McGinnis
Choeurs – Keith Richards, Laura MacKenzie Phillips, Michelle Phillips, Mick Jagger, ?
Basse – David Wooford, John Regan, Ron Wood
Batterie – ?, Yogi Horton
Guitare électrique – Chris Spedding, Richards Keith, Mick Taylor
Claviers – Jean Rousell, John Kito, John Phillips, Paul Shaffer
Percussions – Debra Dobkin, Ollie Brown, Rebop Kwaku Baah
Piano – John Kito
Guitare slide – Keith Richards
Tambourin – Jeb Guthrie

John Phillips, membre fondateur des Mamas and the Papas , a sorti "Pay Pack & Follow" en 2001.
Fruit d'une série de sessions d'enregistrement s'étalant de 1973 à 1979, l'album a été lancé alors que Phillips était en Angleterre pour composer la bande originale du film de David Bowie, L'Homme qui venait d'ailleurs. Une fois terminé, les bandes originales de l'album ont été égarées à plusieurs reprises avant d'être finalement récupérées dans un entrepôt de Brooklyn pour la sortie du disque en 2001.
Produit par Mick Jagger et Keith Richards, ce coffret est un mélange de Pop, de Blues et de chansons psychédéliques. Le jeu de guitare toujours captivant de Richards est présent sur chaque morceau, tandis que Jagger chante en chœur sur quatre des neuf morceaux. Mick Taylor et Ron Wood des Stones sont également présents.
Il n'est donc pas surprenant que le coffret ait une saveur particulière des Rolling Stones des années 70.
Les morceaux les plus forts, comme "Oh Virginia", bénéficient grandement de l'interaction habile de Richards et Taylor, tandis que d'autres semblent perdus dans leur dépendance excessive aux membres du groupe.
Le don de Phillips pour la Pop accrocheuse et mélodique est toutefois évident, notamment sur le blasé "Sunset Boulevard" et le rêveur éWilderness of Love".
En 2008, Varese Sarabande a réédité cet album sous le titre "Pussycat", utilisant les masters des mixages de 1978, redécouverts en 2003. Outre l'ordre de parution initial du LP, cinq extraits bonus inédits de "The Man Who Fell To Earth" sont inclus.

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Jadis 1994 – Across The Water

Genre: Hard Rock, Prog Rock

Producteur – Jadis, Rob Aubrey
Basse – John Jowitt
Batterie, percussions – Stephen Christey
Claviers, chœurs, flûte – Martin Orford
Chant principal, guitare électrique, guitare acoustique – Gary Chandler
Chœurs – Ken Bundy
Chœur anglais, Hautbois, Choeurs – Josien Obers

"Across The Water" de Jadis, sorti en 1994, est un bon album de néo Prog.
Il se construit sans cesse, chaque membre du groupe offrant des performances solides et fiables. La basse puissante et la batterie de Christey dégagent une puissance remarquable, notamment sur le final "The World on Your Side" et "No Sacrifice", où il mise sur la puissance.
Chandler et Orford décorent l'album avec de superbes textures.
Les chansons sont d'une bonne qualité. Mélodies et riffs d'une beauté magique se fondent harmonieusement, invitant à la détente et à la rêverie.

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Cactus 2013 – TKO Tokyo-Live in Japan

Genre: Blues Rock, Hard Rock

Producteur, batterie – Carmine Appice
Basse – Pete Bremy
Guitare – Jim McCarty
Harmonica – Randy Pratt
Chant principal – Jimmy Kunes

En 2013, Rusty Day n'est plus là depuis bien longtemps, Tim Bogert non plus, mais depuis peu et Cactus ne sera plus jamais comme avant.
Mais il reste quand même l'immense guitariste Jim McCarty et l'un des meilleurs batteurs en la personne de Carmine Appice. Les remplaçants, à savoir le chanteur Jimmy Kunes, le bassiste Pete Bremy et l'harmoniciste Randy Pratt se débrouillent plutôt bien et le nouveau Cactus délivre un Rock toujours aussi puissant et nerveux.
N.B.: Cactus avait fait 2 shows à Tokyo: Le double CD "Tokyo Nights" avait été enregistré le 07/12/12, alors que celui-ci est certainement le concert du 08/12/12.
Les morceaux sont les mêmes mais les solos sont différents et sur "Tokyo Nights" il y a un DVD en plus!
Les amateurs de Cactus peuvent acheter les deux en toute confiance!

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Hatfield And The North 2005 – Hatwise Choice

Genre: Jazz-Rock, Prog Rock

Basse, chant – Richard Sinclair
Batterie, percussions – Pip Pyle
Guitare – Phil Miller
Claviers – Dave Stewart

Hatfield and the North n'a sorti que deux albums dans sa courte existence, mais ces albums étaient de tels classiques de la scène de Canterbury qu'il n'est pas étonnant que les fans aient ardemment voulu en extraire davantage de leurs archives.
Si certains des nouveaux morceaux présentés sur "Hatwise Choice" renvoient à des enregistrements de morceaux familiers, ce mélange d'enregistrements radio, télé et live offre un aperçu d'un côté plus improvisé du groupe, que la qualité de leurs compositions studio masque.
Sorti en 2005, cet opus est une compilation quasi intégrale d'archives live, issues de sessions radio et de concerts de 1973 à 1975. Il contient un morceau studio qui était une démo.
Même si on a déjà entendu tous ces morceaux, ils ont été rebaptisés et quelque peu modifiés. C'est comme entendre un groupe comme on ne l'a jamais entendu auparavant.
Ce disque permet d'entendre Stewart et Miller jouer hors de leur élément habituel. Quelques morceaux expérimentaux, accompagnés des habituels morceaux vocaux mélodiques et pop. Tant de moments marquants dans cet enregistrement de 70 minutes.
Les amateurs du groupe ont apprécié grandement...

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Samantha Fish 2015 - Wild Heart

Genre: Modern Electric Blues, Country Blues

Producteur – Luther Dickinson

Dans "Wild Heart" d'une grande portée de Samantha Fish, sorti en 2015, celle-ci offre à l'auditeur un avant-goût de Country outlaw, soigneusement dosé au milieu de morceaux d'inspiration Blues.
En dépit de quelques bons sursauts assez électriques, l'ensemble de cet album est paré d’une aura nettement plus roots qu’auparavant. De telle façon que même le "Jim Lee Blues Pt. 1" de Charley Patton, avec Luther à la mandoline et Lightnin’ Malcom, à la guitare, en dépit de son charme rétro, reste à sa place.
Effectivement, cet album n'est pas du tout le même registre que précèdemment, mais c'est plutôt bien, un plus même, pour les personnes qui n'ont pas de préjugés.

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The Buddaheads 2015 – Something New

Genre: Blues Rock

Basse – Johnny Griparic
Batterie – Patric Caccha
Batterie, percussions – Lee Spath
Claviers – Teddy Andreadis
Chant principal, guitare, saxophone – Alan Mirikitani
Piano – Bill Mason
Guitare rythmique – Randy Mitchell
Trompette, Trombone – Lee Thornburg
Chant – Mark Stuart

"Something New" des Buddaheads, sorti en 2015, est, en quelque sorte, une oeuvre posthume du leader du groupe, Alan Mirikitani, alias BB Chung King, avec son groupe après sa mort par crise cardiaque en Juillet de cette année-là.
Dans l'ensemble, "Something New" est un album réussi, avec d'excellentes chansons. Et comme le disque est généreusement garni de 15 titres.
C'est du bon vieux Blues Rock, puissant et superbement interprété. Les musiciens jouent des chansons sur l'abandon, le sexe, la drogue et l'alcool lors des nuits chaudes, authentiques et terreuses.

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Phluph 1968 – Phluph

Genre: Psychedelic Rock

Producteur – Dan Elliot
Basse, chant – John Pell
Batterie, chant – Lee Dudley
Claviers, chant – Joel Maisano
Chant principal, guitare – Ben Blake

L'album éponyme de Phluph est une belle collection de Pop psychédélique; l'accent est mis principalement sur des chansons Pop filtrées à travers un prisme psychédélique, même si certaines chansons ont une orientation plus Prog / psychédélique que d'autres, une ou deux se dirigeant même vers le Folk.
C'est un bel album mais la production semble parfois un peu faible et quelques overdubs auraient pu l'agrémenter.
C'est, en gros, du Pop Rock Psychédélique à l'orgue et cet instrument confère à l'album une ambiance Garage Rock et, à l'exception de quelques morceaux, la plupart des chansons sont interprétées dans un style Rock entraînant...