RIP
- gabuzomeuzomeu
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Re: RIP
Après les bouquins de Konrad Lorenz, Tinbergen, un peu à la marge avec Desmond Morris et Gerald Durrell j'ai dévoré les siens dans ma jeunesse étant grand passionné des sciences naturelles !
RIP Madame et aussi pour Chris Dreja
RIP Madame et aussi pour Chris Dreja
L'humour est le seul vaccin contre la connerie… Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie ! (Aphorismes et Blues - Pierre Perret 2020)
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Re: RIP
Voui, de la binouze et pas du biniou de par chez moi.
Basique mais honorable.![Dan.San :]](./images/smilies/8.gif)

Basique mais honorable.
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- whereisbrian
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Re: RIP
Mouais, la Goudale c'est vraiment moyen, je préfère la Britt, et encore mieux l'Orval.
Re: RIP
Renato Casaro, surnommé le dernier peintre du cinéma, vient de nous quitter à l’âge de 89 ans il y a 3 jours.
Son pinceau a marqué des générations entières. On lui doit des affiches devenues mythiques : Rambo, Conan le Barbare, Flash Gordon, Le Bon, la Brute et le Truand, James Bond Octopussy, Danse avec les loups, Misery, Running Man, L’Histoire sans fin, Le Professionnel avec Belmondo, et plus récemment encore Once Upon a Time… in Hollywood.
Des fresques colorées, puissantes, vivantes… qui décoraient nos chambres, nos vidéoclubs, nos cinémas de quartier. À une époque où une affiche n’était pas qu’un support marketing, mais une véritable œuvre d’art qui nous faisait déjà rêver avant même d’entrer dans la salle.
Renato Casaro, c’était un monde.
Un trait, une ambiance, une promesse d’aventure.
RIP Monsieur Casaro. Et merci d’avoir peint nos imaginaires.

Son pinceau a marqué des générations entières. On lui doit des affiches devenues mythiques : Rambo, Conan le Barbare, Flash Gordon, Le Bon, la Brute et le Truand, James Bond Octopussy, Danse avec les loups, Misery, Running Man, L’Histoire sans fin, Le Professionnel avec Belmondo, et plus récemment encore Once Upon a Time… in Hollywood.
Des fresques colorées, puissantes, vivantes… qui décoraient nos chambres, nos vidéoclubs, nos cinémas de quartier. À une époque où une affiche n’était pas qu’un support marketing, mais une véritable œuvre d’art qui nous faisait déjà rêver avant même d’entrer dans la salle.
Renato Casaro, c’était un monde.
Un trait, une ambiance, une promesse d’aventure.
RIP Monsieur Casaro. Et merci d’avoir peint nos imaginaires.
