Les films vus en salle ou chez vous

[Monsieur-Hulot]

B.O de "La michetonneuse" on reconnait bien le "son" de ZOO :

[Pachy]

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Aussi bien que le précédent film !

[nunu]

Je savais pas quoi regarder hier soir alors j'ai regardé le Commando des Tigres Noirs avec Chuck Norris
Et bien c'était nul

Alors j'en attendais pas grand chose parce que Chuck Norris même si je me suis dit vu que c'est un Chuck Norris précoce ca peut peut etre passer. Et puis le titre ; le commando des Tigres Noirs, je me disait a tiens ca sent le film bien vénère.

Deja je reviens pas sur le jeu de Chuck car tout simplement il n'existe pas. Ensuite qu'est ce qu'on s'ennuie putain. 1h35 mais c'est long. Il se passe quasi rien, en tout et pour tout deux pauvres bastons, d'une molesse rare en plus. C'est lent, c'est nul , on comprend rapidement de quoi ca va causer. Vu en VF je me suis dit que ca serait au moins marrant. Mais même pas, a part deux ou trois punchlines a peine droles (et racistes et misogyne aussi tant qu'on y est). Franchement je préfère revoir Invasion USA c'est du grand n'importe quoi mais ya Richard Lynch en roue libre et c'est fun. la ya rien.

[vox populi]

Est ce dans ce film qu'on entend cette réplique culte?

[vox populi]

Est ce dans ce film qu'on entend cette réplique culte?


Pour moi cette réplique suffit à faire une carrière

[Pilgrim]

J'hallucine ou je lis bien le nom du grand Dana Andrews au générique?
La panouille qui sentait la fin de carrière

Je savais pas quoi regarder hier soir alors j'ai regardé le Commando des Tigres Noirs avec Chuck Norris
Et bien c'était nul

Alors j'en attendais pas grand chose parce que Chuck Norris même si je me suis dit vu que c'est un Chuck Norris précoce ca peut peut etre passer. Et puis le titre ; le commando des Tigres Noirs, je me disait a tiens ca sent le film bien vénère.

Deja je reviens pas sur le jeu de Chuck car tout simplement il n'existe pas. Ensuite qu'est ce qu'on s'ennuie putain. 1h35 mais c'est long. Il se passe quasi rien, en tout et pour tout deux pauvres bastons, d'une molesse rare en plus. C'est lent, c'est nul , on comprend rapidement de quoi ca va causer. Vu en VF je me suis dit que ca serait au moins marrant. Mais même pas, a part deux ou trois punchlines a peine droles (et racistes et misogyne aussi tant qu'on y est). Franchement je préfère revoir Invasion USA c'est du grand n'importe quoi mais ya Richard Lynch en roue libre et c'est fun. la ya rien.

[nunu]

Est ce dans ce film qu'on entend cette réplique culte?


Pour moi cette réplique suffit à faire une carrière

Ca c'est dans Portés Disparus 3

[lienard]

Calmos les gars, l'ami Chuck a quand même compté deux fois jusqu'à l'infini .. respect

[Pachy]

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Afin de se débarrasser définitivement de leurs démons, Josh et son fils Dalton, à présent étudiant, doivent plonger encore plus profondément dans le Lointain pour affronter le sombre passé de leur famille et une multitude d'esprits toujours plus inquiétants qui se cache derrière la Porte Rouge.

[Pilgrim]

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Afin de se débarrasser définitivement de leurs démons, Josh et son fils Dalton, à présent étudiant, doivent plonger encore plus profondément dans le Lointain pour affronter le sombre passé de leur famille et une multitude d'esprits toujours plus inquiétants qui se cache derrière la Porte Rouge.

C'est pas que c'est toujours pareil cette série (comme Conjuring) mais c'est tout comme

[Pachy]

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Afin de se débarrasser définitivement de leurs démons, Josh et son fils Dalton, à présent étudiant, doivent plonger encore plus profondément dans le Lointain pour affronter le sombre passé de leur famille et une multitude d'esprits toujours plus inquiétants qui se cache derrière la Porte Rouge.

C'est pas que c'est toujours pareil cette série (comme Conjuring) mais c'est tout comme

Je trouve encore pas mal ce genre de ciné...

[Pachy]

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Simoni, propriétaire d'une boîte de nuit est assassiné. L'inspecteur Vallois mène l'enquête et tombe amoureux de Lucky, la maîtresse de Simoni, entraîneuse et droguée. Lucky disparaît. L'inspecteur Vallois la retrouve mais son but est maintenant de rendre la vie plus heureuse à la jeune femme.
Ah Jean Gabin, c'était un acteur...ce film est juste sorti après "Maigret Tant un Piège " la bonne période !

[Monsieur-Hulot]

Je vous fait pas l'article hein ? Quel bonheur ce film....

Comment-reuir-quand-on-est-con-et-pleurnichard-Blu-ray.jpg (15.09 Kio) Vu 657 fois

[Pachy]

La-Metamorphose-des-cloportes.jpg (64.4 Kio) Vu 621 fois

Alphonse, un gangster relativement aguerri, se trouve engagé dans un casse en compagnie de trois truands assez minables. Le coup échoue et Alphonse est arrêté par la police. Il ne songe plus qu'à se venger du trio de cloportes qui l'a conduit en prison.
Je cherchais ce film depuis longtemps, malheureusement la version DVD n'est vraiment pas bonne...l'image est pas très nette, le son est avec des coupures tout le temps....
Dommage, j'espère que cela sortira un jour en meilleure qualité et en blu-ray ?

[gabuzomeuzomeu]

Je vous fait pas l'article hein ? Quel bonheur ce film.... Comment-reuir-quand-on-est-con-et-pleurnichard-Blu-ray.jpg

J'ai une caisse de Vulcani à la cave, uniquement pour mes amis qui ont le bec en zinc, pas peur de devenir aveugle et avec une poitrine 130 bonnet E !

[bibabeuloula]

Je reviens du Festival Lumière a Lyon ou je me suis refait une petite cure de Michael Mann qui recevra le prix lumière demain d'ailleurs.

Revu Heat, pour la première fois en salle par contre. L'affrontement entre De Niro et Pacino est toujours aussi exceptionnel, la scène du braquage reste un classique. Film présenté par Natalie Portman en plus. Sinon revu hier avant de rentrer, le Solitaire. Le premier film de Mann porté par un super James Caan. Longtemps que je l'avais pas revu. La encore une scène de casse incroyable, un les scenes intimistes sont toujours aussi parfaites

J'adore Michael Mann et le solitaire

[Pilgrim]

Je vous fait pas l'article hein ? Quel bonheur ce film.... Comment-reuir-quand-on-est-con-et-pleurnichard-Blu-ray.jpg

J'ai une caisse de Vulcani à la cave, uniquement pour mes amis qui ont le bec en zinc, pas peur de devenir aveugle et avec une poitrine 130 bonnet E !

Je me demande combien de patrons de bistrot le formidable Robert Dalban a pu interpréter dans sa carrière

[vox populi]

Ce soir, je regarde Le Vieux Fusil, et je me rends compte que finalement, j’ai vu très peu de films avec Philippe Noiret, Romy Schneider ou Michel Serrault.
Quand j’ai commencé à m’intéresser au cinéma, ces grands acteurs étaient déjà un peu vieillissants. Aujourd’hui, j’aimerais découvrir vraiment leur filmographie, mais je me rends compte qu’on ne diffuse presque plus leurs films à la télévision. Même sur les plateformes comme Canal+, très peu sont inclus dans l’abonnement : il faut presque toujours payer en plus pour les voir.

Évidemment, cela condamne peu à peu ces acteurs à tomber dans l’oubli — eux qui se croyaient, d’une certaine façon, éternels.
Et je me demande : que restera-t-il, dans deux ou trois générations, de tous ces grands noms que nous avons tant aimés ? Peut-être rien, ou presque.

Dans le cinéma, je ne crois pas qu’il y aura un autre Chaplin ou un autre Orson Welles.
Et dans la musique populaire, ce sera sans doute encore pire.
Ca n'est pas très grave bien sûr mais en regardant le vieux fusil et en étant submergé par la beauté, ainsi que la force de ce film je me dis simplement que c'est ..dommage

[vox populi]

Hier, j’ai regardé Sinners, le nouveau film réalisé par Ryan Coogler, déjà à la manœuvre de la saga Black Panther. Cette fois, son ambition est de rendre hommage à la culture et aux croyances ancestrales afro-américaines.

En tant qu’amoureux du blues, j’étais évidemment très impatient de découvrir ce film, d’autant que le pitch s’annonce aussi original qu’audacieux :

Une bande de vampires blancs, tous musiciens de folk, attaque un juke joint pour voler… le blues.


Commençons par les points positifs, à commencer par la bande originale, absolument magnifique. Les morceaux de blues et de folk sont sublimes et prouvent que notre époque sait encore enregistrer avec soin et respect les musiques anciennes, lorsqu’elle s’en donne la peine.
Autre réussite : le jeu des acteurs et la photographie, tous deux très soignés et inspirés.

Malheureusement, pour le reste, le film me paraît être un échec. Le rythme est d’une lenteur frustrante : l’action ne démarre qu’après plus d’une heure de palabres entre des personnages auxquels on ne s’attache jamais.
La seconde partie, consacrée à l’affrontement entre vampires et humains, enchaîne les scènes d’action invraisemblables, dignes d’un mauvais film de Chuck Norris.

Mais le plus gênant, à mes yeux, reste le fond du film. Coogler oppose la musique folk et le blues dans une logique de confrontation, ce qui constitue un contresens historique et culturel. La folk music est en réalité la source directe du blues — bien davantage que la seule culture africaine. Charley Patton, par exemple, a grandi dans la culture blanche et protestante du Sud des États-Unis. Le blues a hérité du langage et des instruments européens (notamment la guitare et le piano), tout en y ajoutant des éléments révolutionnaires : la syncope, la blue note.
En vérité, le blues est une branche de la folk. Des chercheurs comme John et Alan Lomax l’avaient parfaitement compris et se sont battus pour que le blues soit reconnu comme partie intégrante du mouvement folk américain — ce qui a fini par se produire. Aujourd’hui encore, le blues demeure une composante essentielle de la American folk music.
En opposant ces deux genres, Ryan Coogler commet donc une erreur historique et construit son récit sur une idée fausse : celle de musiciens de folk « voleurs du blues ».

Encore plus problématique est la manière dont le film oppose musiciens blancs et musiciens noirs. C’est sans doute la plus grosse erreur du scénario.
Historiquement, les musiciens de folk blancs, appelés hillbillies (que l’on pourrait traduire par « péquenauds » ou « raclures »), étaient méprisés par la bourgeoisie urbaine blanche américaine — parfois plus encore que les musiciens noirs. Il existait, et il existe peut-être encore, un véritable racisme social aux États-Unis, où la réussite économique était perçue comme une preuve de supériorité raciale.
Quand cette bourgeoisie a découvert l’existence des hillbillies, elle les a immédiatement relégués au rang de sous-hommes, au même titre que les Afro-Américains. Ces musiciens blancs partageaient donc la même vie, les mêmes galères, les mêmes routes et parfois les mêmes granges que leurs frères de blues. C’est là, justement, que s’est opérée la rencontre : les chansons circulaient, s’échangeaient, se transformaient. Les chanteurs de blues ont intégré des airs folk à leur répertoire, tandis que les musiciens blancs adoptaient la blue note et remplaçaient peu à peu le banjo par la guitare, instrument privilégié des bluesmen.


Sinners passe, pour moi, totalement à côté du sujet qu’il prétend traiter, préférant une fiction fantasmée d’opposition entre deux musiques qui, en réalité, sont sœurs.
Dommage, car le film tenait là une occasion rare de célébrer ce métissage musical, au lieu de le caricaturer.