Roulie a écrit:Heureusement que tu as mis une seconde photo, parce qu'avec juste la première j'étais incapable de deviner qui jouait la groupie de qui !
C'est qui du coup ? Un zicos ?
Juste Jarvis Cocker.

Roulie a écrit:Heureusement que tu as mis une seconde photo, parce qu'avec juste la première j'étais incapable de deviner qui jouait la groupie de qui !
C'est qui du coup ? Un zicos ?
Roulie a écrit:"... et leader du groupe britpop Pulp."
Ah ben voilà. Britpop. Je risquais pas de connaître.
L'est jamais trop tard !Roulie a écrit:"... et leader du groupe britpop Pulp."
Ah ben voilà. Britpop. Je risquais pas de connaître.
Et bien je me contenterai de te croire sur parole, ainsi que sur la foi du seul premier tiers de concert que j'ai pu voir... C'est un souvenir contrasté. Ancien musicien d'un groupe ayant eu par deux fois les honneurs de l'affiche du concert d'ouverture Salon du Disque et de la BD (une première fois en tête d'affiche en 2011, une seconde en première partie de Philippe Ménard en 2013), et étant ami avec les membres de l'association organisatrice, je m'étais fait accorder le privilège de pouvoir assister au soundcheck, ainsi que d'aller en coulisses pour serrer la louche de Phil May. Là, grande émotion, quelques mots bredouillés dans un anglais devenu soudain confus, d'émotion et d'intimidation. Phil May a été adorable : il m'a gentiment signé les pochettes de mon "SF Sorrow" ainsi que de cette vieille compile cheap que je traîne depuis des années mais qui a eu l'avantage de m'introduire à la question. Tout aussi gentiment, il me montre les carnets à dessin sur lesquels il travaille, je reconnais des pièces dont le visuel est du même tenant que la pochette de "The Sweet Pretty Things Are In Bed Now Of Course". Je lui offre une bouteille de Jasnières, qu'il accepte avec joie, et je vois à cet instant le visage de Frank Holland, resté poli mais impassible, s'éclairer d'un sourire réjoui à l'évocation de notre bon vin de la province du Maine. Le manager en revanche semble tout-à-fait courroucé et baragouine un truc menaçant, ce sur quoi mon ami président de l'asso vient me prendre le bras tout doucement et me chuchoter à l'oreille tout bas, "merde, ça coince avec le patron, il dit, no bloody booze before the show"... Je salue avec déférence puis m'éclipse dans la salle, aux bras de Madame et de mon plus jeune fils puis nous allons écouter la fin des balances. Les mecs testent le matos sur "Midnight To Six Man" et "Honey I Need" ! Sur ces instants pleins de magie, de grâce et de promesses, je me dis que je vais assister à un excellent moment de rock & roll. Las, hélas, c'était sans compter sur la mauvaise volonté de mon fiston adoré, qui n'avait - et ce en dépit de mes conseils avisés - pas souhaité faire une petite sieste (p)réparatrice dans l'après-midi. Les deux premiers morceaux, nickel : le bambino de mon coeur danse avec entrain, esquisse même un headbang pas grotesque du tout sur "Defecting Grey", puis s'aperçoit au bout de quelques minutes qu'il est, je cite, fatigué et [a] mal aux jambes... On fait quoi dans ce type de situation ? Et bien, fan des Pretties jusqu'au trognon ou pas, l'on prend son bout de chou sous le bras et on l'emmène se coucher, on le borde. Et l'on enrage.Plôm a écrit:Sacré bon concert !
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