Mes tubes imparables
Mes tubes imparables
Teardrops
Last night a DJ ...
NB Danse des Canards interdite, faut pas pousser !
PS Nos amis belges peuvent se lâcher sur Plastic Bertrand
Modifié en dernier par DaFrog le mer. 19 août 2020 05:21, modifié 1 fois.
It’s too late to be hateful
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
De mémoire j'ai toujours apprécié ce groupe. Depuis gamin jusqu'à aujourd'hui, même quand j'écoutais du metal dans les 80's-90's. De toute façon c'était déjà rétro dans les 70s. Volontairement, avec en sus une bonne dose d'humour lors des passages télé. Ce qui n'empêche pas les gars de ciseler les chansons. Imparable donc ! Et même pas honte !
Les sensass silllons : https://leboncraignos.blogspot.com
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
On en parlais hier
Donna Summer, Love to Love You Baby, parce que c'est le morceau par lequel tout a commencé, son premier album n'était sorti qu'en Hollande il me semble. Elle enchainera,avec ses complices Moroder et Bellotte jusqu'au début des années 80 un paquet de tres grands albums.
Dans le genre c'est intouchable.
Et pour rester a la meme époque (même si la c'est extrait du Live de 96, le dernier avec Bernard Edwards qui mourra le lendemain du concert dans sa chambre d'hotel)
Chic avec Good Times. Ya tout, Edwards et Rodgers, musiciens, compositeurs et prodcuteurs surdoués, danseurs et danseuses, chanteuses en tenue légére et durant le concert Slash, SIster Sledge et Steve Winwwod viendront faire une apparition
Donna Summer, Love to Love You Baby, parce que c'est le morceau par lequel tout a commencé, son premier album n'était sorti qu'en Hollande il me semble. Elle enchainera,avec ses complices Moroder et Bellotte jusqu'au début des années 80 un paquet de tres grands albums.
Dans le genre c'est intouchable.
Et pour rester a la meme époque (même si la c'est extrait du Live de 96, le dernier avec Bernard Edwards qui mourra le lendemain du concert dans sa chambre d'hotel)
Chic avec Good Times. Ya tout, Edwards et Rodgers, musiciens, compositeurs et prodcuteurs surdoués, danseurs et danseuses, chanteuses en tenue légére et durant le concert Slash, SIster Sledge et Steve Winwwod viendront faire une apparition
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
Que du bon !
Encore un qui me vrille bien la tête ...
Wishing Well
Encore un qui me vrille bien la tête ...
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It’s too late to be hateful
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
Ce live, je l'ai écouté à Longwy... Les deux chanteuses sont topnunu a écrit : ↑lun. 17 août 2020 07:44On en parlais hier
Donna Summer, Love to Love You Baby, parce que c'est le morceau par lequel tout a commencé, son premier album n'était sorti qu'en Hollande il me semble. Elle enchainera,avec ses complices Moroder et Bellotte jusqu'au début des années 80 un paquet de tres grands albums.
Dans le genre c'est intouchable.
Et pour rester a la meme époque (même si la c'est extrait du Live de 96, le dernier avec Bernard Edwards qui mourra le lendemain du concert dans sa chambre d'hotel)
Chic avec Good Times. Ya tout, Edwards et Rodgers, musiciens, compositeurs et prodcuteurs surdoués, danseurs et danseuses, chanteuses en tenue légére et durant le concert Slash, SIster Sledge et Steve Winwwod viendront faire une apparition
Mais difficile de ne pas penser à la mort de Bernard Edwards qui y est associée
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
- dark pink
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Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
Sheila - Bang bang.
Je sais que c'est une reprise/adaptation et la V.O. de Cher est excellente mais je trouve que tout est bien fait, l'orchestration, les paroles françaises, la voix. Ca arrive même encore à me foutre le blues
Je sais que c'est une reprise/adaptation et la V.O. de Cher est excellente mais je trouve que tout est bien fait, l'orchestration, les paroles françaises, la voix. Ca arrive même encore à me foutre le blues
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
Vu deux fois Chic post-Edwards, à Sète notamment, dans l'enceinte du superbe Théâtre de la mer. Nile, et ben pas un mot sur son camarade. "Moi je... moi je..." J'ai trouvé ça un peu dégueulasse.
Mais, faut l'avouer, concert mortel ! Que de tubes ! Et les musiciens ouf de ouf... En revanche, les voix originales féminines m'ont manqué et, à l'instar de Pointer Sisters d'ailleurs, j'adore ces voix disco-funk qui sont un élément essentiel du succès du groupe et qu'on ne souligne jamais.
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
Il a l'air d'être un bonhomme tout à fait détestable.
Affreux, sale et méchant.
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
J'ai forcément une quantité abusée de tubes imparables dans le registre dans la tête, pêle-mêle me reviennent Can't Live Without You de Connie Laverne, Send Him Back des Pointers Sisters, Love X Love de George Benson mais un des gros tubes qui fait toujours un effet bœuf chez moi c'est par exemple The Hustle de Van MacCoy. Chez moi, ill fait figure un peu de pierre angulaire autour de laquelle s'articulent funk, soul, pop : Aimer les Kinks et apprécier la disco devient évident.
Affreux, sale et méchant.
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
Ma fille a été le voir (jouer). Si je lui dis ça, ça va poutrer l'estime dans lequel elle le tient, qui est haute.Bebeto a écrit : ↑lun. 17 août 2020 09:58Vu deux fois Chic post-Edwards, à Sète notamment, dans l'enceinte du superbe Théâtre de la mer. Nile, et ben pas un mot sur son camarade. "Moi je... moi je..." J'ai trouvé ça un peu dégueulasse.
Mais, faut l'avouer, concert mortel ! Que de tubes ! Et les musiciens ouf de ouf... En revanche, les voix originales féminines m'ont manqué et, à l'instar de Pointer Sisters d'ailleurs, j'adore ces voix disco-funk qui sont un élément essentiel du succès du groupe et qu'on ne souligne jamais.
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
J'ai jamais vraiment pigé pourquoi j'adorais Da Da Da de Trio. Presque pas honte.
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
Y a pas de honte à succomber à un gimmick
Svalutation
Svalutation
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Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
Pattes d'ef' ... à frangettes ! Le plus qui fait tout. Le cameraman l'avait compris.
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
Rod temperton à l'écriture... Et puis cette production de la fin 70's- début 80's (Quincy Jones ou "à la Q") est d'une richesse inouïe. Ce titre, je l'adore, outre le hook, le velouté du chant de Benson mais aussi les voix derrières, elles sont merveilleuses. A écouter aussi "Midnight Love Affair".
Sinon imparable avec la ligne de basse immortelle de Freddie Washington ; musicien de studio, qui, pour l'anecdote, est repassé voir la Patrice pour lui demander des petits comptes après le succès de son titre et pour lequel sa ligne n'y est pas pour rien. J'ignore si l'auteur des handclaps a fait de même.
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
Apparemment, même pas honte de déborder un peu des seventies. Alors le premier tube imparable qui me vient à l'esprit :
Joyeux Noël Félix !
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
On est dans le bistrot, on peut donc déborder en faisant attention à ne pas tomber dans le trop bon goût
Coutin, c’est parfait aussi
Coutin, c’est parfait aussi
It’s too late to be hateful
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
Un gusse qui m'éclatait quand j'étais môme c'est Afric Simone. Pour le coup il n'y avait pas d'équivalent. En plus de proposer des chansons dans la langue de son pays, le mec faisait le show. Il y avait eu le coup de tournoyer avec une chaise entre les dents, mais ici sur "Hafana", son autre tube après "Ramaya", il éteint des pics à brochettes enflammés avec la bouche et les mains. Le genre de pitrerie qui tout môme te met les yeux comme des soucoupes Impossible de faire ce genre de délire aujourd'hui dans une émission de variété !
Les sensass silllons : https://leboncraignos.blogspot.com
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
De nos jours, c'est certain : ça ne passerait plus. Déjà parce qu'une chaise c'est féminin !
Je ne suis pas trop vieux pour ces conneries.
Re: Mes tubes imparables (et même pas honte !)
Perso, c'était Dave and Ansel Collins - Double barrel (1971)