D'accord avec toiAlgernon a écrit : ↑lun. 30 nov. 2020 18:38Je suis assez de cet avis au bout de trois zépisodes, et c'est "un peu" surchargé niveau musique de fond,
avec hommage profond à Bernard Herrmann que j'ai lu ("Cape Fear")
Les couleurs hyper flashy font mal aux yeux par moment, je sais que c'est la charte artistique.
De grosses louches de grand guignol, coup de pouce appuyé à la cause du lesbianisme, pourquoi pas ? On n'est plus vieux jeu en 2020.
Et puis, le showrunner étant...
Mais j'ai l'impression assez nette que c'est de plus en plus inclus dans le cahier des charges de beaucoup de séries,
pour être dans "la vague de la diversité" à tous les étages.
Dénoncer le racisme et défendre la cause gay, c'est devenu comme les banderoles commerciales sur les courts de tennis.
C'est honorable (et comment !) dans l'absolu, mais je soupçonne que ce ne soit pas si désintéressé que ça.
https://www.lepoint.fr/pop-culture/ratc ... 5_2920.php
C'est encore plus présent dans la saison 3 de slasher.
Le fameux soft Power américain