Producteur – Ian McDonald, Keith Olsen, Mick Jones
Choeurs – Ian Lloyd
Basse, chant – Ed Gagliardi
Batterie – Dennis Elliott
Guitare, claviers, anches, chant – Ian McDonald
Claviers, synthétiseur – Al Greenwood
Guitare solo, piano, chant – Mick Jones
Chant principal – Lou Gramm
"Double Vision" de Foreigner est sorti en 1978.
On se retrouve clairement dans la lignée du premier album avec ce Hard Rock mélodique accessible au plus grand nombre, ou cette Pop / Rock mélodique qui flirte avec le Hard.
La musique brasse plus large que l’habituel publique Metal, ce n’est pas pour autant que les chansons tombent dans la facilité. L’accroche mélodique est là, et le talent du guitariste Mick Jones permet à certains titres de s’élever au dessus de la masse.
Porté par le succès de ses singles ("Hot Blooded", "Blue Morning, Blue Day" et "Double Vision"), cet album se vendit encore mieux que le précédent, confortant le groupe comme l’exemple à suivre du point de vue des labels lorsqu’il était question de Hard Rock...
Guitare acoustique, guitare – Dan Ar Bras
Basse – Dave Pegg
Batterie – Michel Santangeli
Piano électrique, Piano [acoustique], Synthétiseur, Orgue électrique [Hammond, Eminent] – Benoît Widemann
Flûte, Uilleann Pipes, Cornemuse – Patrig Molard
Vielle à roue – Emmanuelle Parrenin
Percussion – Marc Chantereau
"Douar Nevez" (Terre Nouvelle en Breton) de Dan Ar Braz, sorti en 1977, est un album concept de Rock Breton qui raconte l'histoire d'Ys, l'équivalent Breton de l'Atlantide.
Dan est un excellent guitariste et ce disque est un grand album de musique progressive.
La musique est nettement d’inspiration Bretonne / Celtique avec ses rythmes et ses mélodies modales hyper caractéristiques, sans parler des instruments utilisés.
C' est un album entièrement instrumental qui est un véritable festival de guitares électriques et acoustiques.
D’excellents musiciens accompagnent Dan dans ce voyage initiatique: Patrig Molard, le célèbre "sonneur", Benoit Widemann (ancien membre de Magma) aux claviers, Michel Santangeli à la batterie, et tous les autres qui donnent à cet album un son assez unique.
C'est un album qui n'a pas pris une ride...
J'ai +/- arrêté avec celui-ci (j'ai tdm écouté Head Games), mais pour finir, j'avais surtout accroché le wagon à cause de Ian McDonald (King Crimson) et dans une moindre mesure Mick Jones, les deux Angliches de la bande. Grosse déception au final, surtout venant de IMcD, car il n'a pas eu l'air d'avoir grand chose à dire (lui a-t'on laissé la place) et seulement trois titres (partagés) sur trois albums. Faut croire qu'il était plus du coté production.
La voix si louangée de Gramm m'est souvent limite irritante - c'est pour cela que mon titre préféré du groupe est l'instrumental Tramontane - et en dehors des tubes, il n'y a pas grand chose ) sauver... d'autant plyus que je déteste 4.
Je ne crois pas que j'aurais su faire une compile CDr de leurs trois premier. ... à la rigueur un coté de Maxell XL-II S
Producteur – Dave Armstrong
Choeurs – Christy DeHaven, Shaz Cleator, Christine Collister
Basse – Adam Jones
Batterie – Ross Doyle
Claviers – Dave Armstrong
Chant, guitare, mandoline, steel guitare, chœurs – Davy Knowles
Percussions – Shane Kerwin
Davy Knowles est devenu l'un des bluesmen les plus prometteurs de sa génération, à seulement 20 ans et son groupe, Back Door Slam, est un trio Blues Rock percutant et intense, originaire de l'île de Man.
C'est un chanteur, compositeur et guitariste aux multiples talents.
L'album "Roll Away", sorti en 2007, s'ouvre avec le Rock entraînant "Come Home", une introduction parfaite aux riffs de Knowles et à sa voix quelque peu bourrue.
Le morceau lent et envoûtant "Heavy on My Mind" est certainement le morceau phare. Après une jam session audacieuse ("Outside Woman Blues"), Back Door Slam se calme légèrement pour le doux "Gotta Leave", qui permet à Knowles d'exprimer l'émotion profonde de son art. "Stay", épuré et dominé par la guitare acoustique, ainsi que le titre éponyme illustrent parfaitement son écriture pleine d'émotion, sans fioritures ni accompagnements.
D'autres titres comme "Too Late" et "Too Good for Me" offrent un potentiel crossover Country Rock, sans jamais laisser oublier à l'auditeur qu'il écoute un véritable bluesman.
Avec ce disque, Back Door Slam démontre un énorme potentiel...
Basse – Teddy Landau
Batterie, percussions – Carlos Vega
Guitare, chant – David Frazee , Michael Landau
"Mood Elevator de Burnin' Water, sorti en 1994, est assurément un disque de guitariste.
Michael Landau était connu comme l'un des musiciens de studio les plus importants de la scène de Los Angeles des années 1980 - 1990 et, tel un musicien de studio de haut niveau, il sait travailler son son avec brio. Son jeu est un mélange de Jimi Hendrix et de Stevie Ray Vaughn, délivré avec brio, quoique de manière quelque peu autoritaire.
La seule exception à ce jeu dérivé est le dernier morceau, "Killing Time", un solo extraordinairement beau avec une Octavia qui montre de quoi Landau est capable lorsqu'il se détache de ses influences.
Le chant n'est pas à la hauteur et les morceaux sont plutôt ordinaires, à l'exception de la reprise de "Burning of the Midnight Lamp" d'Hendrix qui n'est cependant en rien supérieure à l'original.
La bonne note revient à l'utilisation de la réverbération car, seul un pro du studio pouvait la régler aussi bien...
Producteur, slide Guitare, guitare rythmique – Mike Zito
Choeurs – Bobby Wallace, Élie Owings, Mike Zito
Basse – Bobby Wallace
Batterie, percussions – Elijah Owings
Guitare, Chant – Eric Gales
Guitare, chant – Ally Venable
Piano [Wurlitzer] – Lewis Stephens
La guitariste / chanteuse Ally Venable a fait appel au guitariste Mike Zito pour produire son album "Texas Honey", sorti en 2019, et à son ami Eric Gales pour faire une apparition en tant qu'invité.
Son jeu de guitare incendiaire est particulièrement percutant, alors qu'elle dirige son power trio composé de Bobby Wallace à la basse et d'Elijah Owings aux percussions.
Lewis Stephens assure les claviers, enregistré aux studios Marz à Nederland, au Texas. Zito prête main-forte à la slide et à la rythmique sur trois morceaux et aux chœurs sur un quatrième, tandis que Gales apporte ses talents de guitariste et de chanteur sur un autre.
Malgré leur présence, Ally est incontestablement la star de cet album composé de neuf originaux.
"Texas Honey" est un disque doux et profond pour les amateurs de Blues Rock authentique. C'est une performance puissante d'une jeune star en pleine ascension.
Producteur – Mike Stone
Batterie – Carl Palmer
Guitare – Steve Howe
Claviers – Geoff Downes
Chant, basse – John Wetton
"Alpha" d'Asia, sorti en 1983 se compose de chansons plus courtes et plus commerciales que celles des groupes précédents. L'album s'inscrit dans la continuité du premier opus du groupe, mais bénéficie d'une meilleure connaissance mutuelle entre les quatre membres, favorisant ainsi une bien meilleure cohésion.
Asia ne fait certes pas du Rock Progressif comme les groupes des années 70.
"The smile has left your eyes" de John Wetton est sans aucun doute le meilleur morceau. La chanson est essentiellement une ballade puissante. Il est intéressant de noter qu'en signe de respect, le groupe ne l'interprète pas en son absence, mais Wetton l'inclut régulièrement dans son set live.
L'album regorge de quelques autres moments forts comme "The heat goes on" et "Don't cry" qui sont de bons singles très commerciaux, mais pratiquement n'importe lequel d'entre eux aurait pu être sélectionné pour une sortie en single.
"Open your eyes" clôt l'album de manière légèrement plus progressive. Il s'ouvre en effet sur un extrait de "Mars" de la suite "the Planets de Holst avant d'exploser dans un morceau extrêmement puissant et mélodique. Le morceau possède une excellente section finale, qui se prolonge jusqu'à la finale instrumentale.
Bref, "Alpha" est un peu une suite copie conforme de l'album éponyme du groupe...
Producteur – Timber Timbre
Accordéon – Katherine Peacock
Guitare électrique, guitare baryton, guitare lap steel, autoharpe, percussions, chant – Simon Trottier
Piano, clavecin, orgue – Mathieu Charbonneau
Saxophone, saxophone ténor, saxophone baryton, saxophone basse, clarinette basse – Colin Stetson
Violon, chant – Mika Posen
Chant, percussions, batterie, guitare électrique, piano – Taylor Kirk
De tous les groupes qualifiés d'Indie Folk, Timber Timbre possède des racines musicales parmi les plus sombres et les plus étranges. Le titre de l'album, "Creep On Creepin' On", paru en 2011, n'est pas une erreur: le groupe s'inspire de séances de spiritisme, de sorcellerie, de ballades meurtrières, de slows rockabilly marécageux et de films d'horreur. Pourtant, dans cette palette des plus noires, Taylor Kirk trouve de subtiles nuances de sens et d'ambiance qui préservent ses chansons de la monotonie, du sérieux ou du kitsch.
"Bad Ritual" ouvre l'album avec Kirk se remémorant une amante disparue; "Black Water" vtransforme des images de funérailles vikings et de lacs pollués en une obscurité qui trahit des siècles d'étrangeté. Mais ce qui fait le succès de cet opus, c'est l'engagement de Timber Timbre pour son son unique.
Le saxophone tonitruant, l'orgue bourdonnant et le ressac de la guitare surf de "Woman" donnent une lueur sombre aux accents de ballade au piano des années 50; "Too Old to Die Young" devient encore plus littéral et théâtral avec des cris de série B et des effets sonores entrelacés de cordes tranchantes. Kirk sait transformer ce drame et cette espièglerie en quelque chose de transcendant, notamment sur "Lonesome Hunter", qui capture à quel point il peut être effrayant de tomber amoureux.
"Creep On, Creepin' On" s'épanouit pleinement avec une touche de romance et d'étrangeté à revendre.
Producteur – Ian McDonald, Mick Jones, Roy Thomas Baker
Basse, chant – Rick Wills
Batterie – Dennis Elliott
Guitare, claviers, chant – Ian McDonald
Claviers, synthétiseur – Al Greenwood
Guitare solo, chant, piano – Mick Jones
Chant principal – Lou Gramm
En 1979, Foreigner a poursuivi sa série de disques de Platine avec "Head Games", leur troisième album.
À la sortie de cet opus, les radios FM avaient déjà adopté des groupes comme Foreigner, Journey et Boston, dont le Hard Rock était suffisamment puissant pour plaire aux adolescents des banlieues, mais suffisamment fluide pour ne pas intimider leurs parents.
Taillés sur mesure pour les ondes, "Dirty White Boy" et "Head Games" ont maintenu Foreigner au sommet de l'Arena Rock jusqu'à la fin de la décennie, et le succès de combo allait se poursuivre encore jusque dans les années 80.
Jacques Bernard -- Producteur
Dan Ar Braz -- chant, guitares
Des Moore : guitares acoustiques, guitare électrique
Dave Keary : guitares électriques, bouzouki
Andrew Boland : claviers, guitares électriques
David Downes : claviers
Nollaig Casey : violon
Rod Mc Vey : orgue Hammond, piano
Eoghan O'Neill : basse
Ray Fean : batterie
Noel Eccles : percussions, timpani
Ronan Le Bars : uilleann pipes, flûte
Michael Buckley : saxophone ténor
Carl Geraghty : saxophone baryton, saxophone soprano
Ronan Dooney : flugelhorn, trompette
Stephen Mc Donnell : flugelhorn, trompette
Karl Ronan : trombone
Martin O’Connor : accordéon diatonique
Irish film Orchestra : cordes, 1er violon : Alan Smale
Bagad Roñsed-Mor de Locoal-Mendon et Kevrenn Alré d'Auray -- batterie écossaise, cornemuses, bombardes
Julien Grellier : cornemuse solo
André Le Meut, Fabrice Lothodé : bombardes
Elaine Morgan : chant
Jean-Jacques Goldman : chant
Bleunwenn : chœurs, chant
En 2003, avec la sortie du deuxième album solo consécutif de Dan Ar Braz, "A Toi Et Ceux", l'Héritage des Celtes était fini et bien fini.
"La Route Vers l'Ouest", avec ses accords de guitare acoustique ouverts, sa guitare électrique en son clean et ses nappes de clavier justifie à elle seule l'achat de cet album.
"Look Around You" et "I'm Here to Stay", interprétées par Elaine Morgan (avec un joli saxophone inédit pour la seconde), "A Toi et Ceux", "Pas d'un Pas", "La Valse de la Longue Espérance", "Je M'en Vais Demain" et "Bretagnes" (avec intervention du bagad pour les deux dernières) sont autant d'exemples de chansons dotées d'une grande sensibilité et d'une certaine élégance, à l'image du mélange des textes et musiques aussi beaux que doux et contemplatifs.
Toutes ces chansons sont vraiment magnifiques.
A noter le duo avec Jean-Jacques Goldman sur "Je M'en Vais Demain", digne représentant de l'optimisme et de la chaleur de cet album.
Les titres restants, instrumentaux pour la plupart, sont des danses bretonnes, gavottes et dans fisels avec un son Rock. Le rendu est assez intéressant, avec l'ajout surprenant de cuivres. Si ces morceaux sont plutôt bien faits dans leurs constructions et leurs mélodies, ils dénotent pas mal au milieu du reste des chansons. On peut aussi se demander ce que la reprise de "Orgies Nocturnes", extrait de "Douar Nevez" fait là. Et les cuivres sont hors-sujet au final.
"Mary's Dancing", duo entre Dan et Bleunwenn est cependant de bonne qualité au point de vue mélodie et ambiance, et les cuivres sont à leurs places.
Avec toutes ces chansons et ballades élégantes, on aurait pu avoir un ensemble vraiment superbe et sans réelle faille, mais ce n'est pas le cas.
Steve Winwood – chant, orgue Hammond B3, Producteur
José Pires de Almeida Neto – guitares
Walfredo Reyes Jr. – batterie, percussions supplémentaires
Karl Vanden Bossche – congas
Richard Bailey – timbales
Karl Denson – saxophone, flûte
En 1997, Steve Winwood a fait une pause prolongée après le fiasco cuisant de szon album "Junction Seven", avant de réapparaître sur son propre label indépendant Wincraft six ans plus tard avec "About Time".
Sur "About Time", Winwood réduit considérablement les choses, se limitant à un trio composé de lui à l'orgue Hammond, du batteur Walfredo Reyes, Jr. et du guitariste José Piresde Almeida Neto.
De temps à autre, des congas, des timbales et autres percussions étoffent le rythme, tandis que Karl Denson joue de la flûte ou du saxophone ailleurs, mais ce sont des ajouts subtils à un album décontracté, intimiste et détendu qui rappelle un peu Traffic, même s'il n'est jamais aussi libre et imprévisible que ce groupe.
Bien qu'un peu trop erratiques par moments, les morceaux sont chaleureux et attrayants, et si les chansons sont un peu floues, l'atmosphère musicale est agréable, ce qui compte beaucoup.
Si la voix de Winwood est désormais un peu plus rauque, elle s'intègre néanmoins à l'atmosphère épurée et détendue.
L'émotion est au rendez-vous, et même si ce n'est pas du Winwood de premier ordre, on a l'impression d'une mise à jour bienvenue d'un vieil ami, ce qui, après plusieurs années d'attente et plusieurs disques inégaux, suffit amplement.
Producteur – Nadav Eisenman, The Entrance Band
Basse – Paz Lenchantin
Batterie – Derek W. James
Chant, guitare – Guy Blakeslee
The Entrance Band est un trio rétro qui est une version élargie de la discrète sortie solo du leader Guy Blakeslee sous le nom d'Entrance qui fait un carton en s'en tenant à la formule classique du Power trio.
"Grim Reaper Blues" a une dominance Blue Cheer et c'est un clin d'œil au Stoner Rock. Et une ode douloureusement sincère à Martin Luther King s'impose par une pure folie psychédélique. Mais au fil du disque, les regards se détournent du succès, abandonnant les solos déchaînés au profit, malheureusement, de copies de Cure ("You're So Fine", "Lives").
Cet album invite cependant à une profonde inspiration et les chansons parlent davantage de résolution de problèmes que d'effondrement total.
"Grim Reaper Blues pt. 2" n'est pas une meilleure suite du premier, mais il reste néanmoins Rock.
Ce disque éponyme de The Entrance Band, sorti en 2009, se présente, en quelque sorte, comme une performance live.
Tout compte fait, c'est un excellent album qui aurait mérité d'être plus connu!
Producteur exécutif – Thomas Ruf
Basse – Bobby Wallace, Landon Moore
Violoncelle – Jana Misener
Batterie – Cody Dickinson, Elijah Owings
Claviers – Patrick Fusco, Rick Steff
Guitare solo – Kenny Wayne Shepherd
Guitare solo, chœurs – Devon Allman
Guitare solo, chant, guitare rythmique – Ally Venable
Avec "Heart Of Fire", Ally Venable sort des sentiers battus. Défiant les temps difficiles et faisant vibrer les amplis, cet album est un disque qui présage des jours meilleurs.
Si Ally offre au monde un amour bien nécessaire, alors le sentiment est tout à fait réciproque.
Aujourd'hui, avec une base de fans qui s'agrandit à chaque passage, Mike Zito, icône du roots texan et producteur de "Texas Honey" est convaincu qu'Ally représente l'avenir du Blues et la musique crossover du Roots Rock Américain.
Perso, je trouve que c'est le seul album Winwood solo qui vaille la peine de garder, car il est excellent , mais s'il n'apporte rien de nouveau sous le soleil.
Producteur – Geoff Downes, Mike Stone
Batterie – Carl Palmer
Guitare – Mandy Meyer
Claviers – Geoff Downes
Gestion – Brian Lane
Chant, basse – John Wetton
Après la sortie d’"Alpha", des tensions entre John Wetton et le reste du groupe, en particulier Steve Howe, conduisirent à son renvoi.
Après avoir envisagé d’inviter divers guitaristes renommés pour jouer sur les différents morceaux, Geffen suggère d’engager un jeune Suisse, Mandy Meyer. A l’époque, on le présente comme un ancien membre de Krokus. En réalité, ce ne fut que très brièvement et sans rien enregistrer. Son groupe principal, c’était les moins connus Cobra avec le futur chanteur de Survivor, Jimi Jamison.
Mais Meyer n’a pas la personnalité musicale de Steve Howe et sa prestation aurait pu être accomplie par n’importe quel bon guitariste studio de l’époque.
"Astra" n’a donc pas l’originalité des deux albums précédents du groupe et les ventes s’en ressentiront.
L'album est pourtant un album globalement réussi malgré quelques petits écarts.
Mais conséquence de ce manque de promotion, les ventes furent très décevantes et donnèrent le bon prétexte au label pour annuler la tournée qui aurait peut-être pu sauver les meubles. Sans surprise, Asia ne tarda pas à se séparer, mettant fin à l’aventure.
Perso, je trouve que c'est le seul album Winwood solo qui vaille la peine de garder, car il est excellent , mais s'il n'apporte rien de nouveau sous le soleil.
J'adore les bons guitaristes quel qu'il soit, et le fait que certains soient de belles et jolies femmes ne gâtent rien!
Les seuls disques de Winwood que j'aime sont ceux que j'ai cité ces derniers temps...
Chas Chandler : production
Noddy Holder : chant, guitare rythmique
Dave Hill : guitare solo, chœurs
Jim Lea : basse, violon, chœurs
Don Powell : batterie
Globalement, "Play It Loud" de Slade, sorti en 1970, est un album qui peut être qualifié de premier album, puisque Slade y présente des morceaux originaux, légèrement dilués par des reprises (trois, pour être précis). Comparé au premier album officiel (Ambrose Slade), ce ratio est pratiquement inversé.
L'image de rockers skinheads imposée par le manager du groupe, Chas Chandler, et le titre tapageur ne se reflètent pas dans le contenu.
Certes, l'album a sa part de bravade et d'agressivité, particulièrement dans le chant criard caractéristique de Noddy Holder. Cependant, le groupe s'est arrêté là et se trouve toujours en quête d'une véritable identité.
Slade trouve des choses intéressantes à dire, se concentrant sur des mélodies rythmées, alimentées par des lignes de basse distinctes et ponctuées par la guitare, toujours prudente mais déjà effrontée et parfois caquetante, de Hill.
Ce qui trahit le caractère excentrique et néophyte du groupe, témoignant de leur maximalisme vibrant et de leur jeu juvénile, ce sont les paroles. Conscients de la nécessité de créer et non d'exploiter, et bénéficiant d'une totale liberté d'écriture, les musiciens se sont précipités sur la plume. Le trinome créatif Holder-Lea-Powell a signé neuf des douze chansons de l'album, dont les paroles reflètent à la fois l'inspiration et l'imagination, ainsi que la rapidité et la légèreté de l'approche.
L'album a tout pour plaire: un nombrilisme évident avec "See Us Here", une description de la vie quotidienne sur la route avec "One Way Hotel", de l'autodérision avec "Pouk Hill", des tentatives de philosophie avec "Know Who You Are", ainsi que des représentations allégoriques d'animaux supérieurs comme "Raven", "Dapple Rose", et des paroles hâtivement assemblées / choisies sans signification particulière comme "Could I", "Angelina" ou "Sweet Box)".
Malgré ces échecs répétés, le groupe a réussi à s'imposer comme une unité créative à part entière. Cet album, qui sonne aujourd'hui comme un parfait exemple de Rock classique, montre Slade déployant toute son énergie et se dirigeant vers un avenir meilleur...
Producteur – Mick Jones, Robert John "Mutt" Lange
Chœurs – Ian Lloyd , Mark Rivera , Robert John "Mutt" Lange
Basse, chœurs – Rick Wills
Batterie, chœurs – Dennis Elliott
Guitare solo, claviers, chœurs – Mick Jones
Chant principal, percussions – Lou Gramm
Synthétiseurs – Tom Dolby
"4" de Foreigner, sorti en 1981, a été un succès commercial record. Il engendra plusieurs Hits singles et marqua le début de la transition du groupe, passant d'un groupe de Hard Rock à une formation Pop plus grand public.
L'album symbolise la réduction de la taille de Foreigner, passant de six membres à quatre car les cofondateurs Al Greenwood et Ian McDonald furent renvoyés du groupe par le guitariste et compositeur principal Mick Jones, qui souhaitait une plus grande liberté créative dans la direction du groupe.
"4" a été enregistré aux studios Electric Lady et il présente plusieurs collaborations d'écriture entre Jones et Lou Gramm , qui a réalisé des performances particulièrement remarquables tout au long de cet album.
Le disque a connu un succès immédiat à l'époque, se classant numéro un du classement Billboard pendant dix semaines. Au fil des ans, l'album a été certifié Disque de Platine six fois et il a certainement marqué l'apogée commerciale de Foreigner.
Basse – Dave Myers
Batterie – Fred Below
Guitare – Jimmy Rogers, Louis Myers
Piano – Willie Mabon
Chant – Koko Taylor
Composé entre les labels Chess et Alligator, "Southside Lady", sorti en 1974, est une sélection de 15 chansons, enregistrée en studio en France et en live aux Pays-Bas en 1973. C4est un album puissant où Koko Taylor est accompagnée avec brio par les Aces, le guitariste Jimmy Rogers et le pianiste Willie Mabon.
On y retrouve de nombreux titres familiers comme un "Wang Dang Doodle" live, des reprises studio de "I'm a Little Mixed Up" et "Twenty-Nine Ways", et quelques morceaux peu associés à la reine incontestée du Blues de Chicago...
Producteur – Mick Jones, Robert John "Mutt" Lange
Chœurs – Ian Lloyd , Mark Rivera , Robert John "Mutt" Lange
Basse, chœurs – Rick Wills
Batterie, chœurs – Dennis Elliott
Guitare solo, claviers, chœurs – Mick Jones
Chant principal, percussions – Lou Gramm
Synthétiseurs – Tom Dolby
"4" de Foreigner, sorti en 1981, a été un succès commercial record. Il engendra plusieurs Hits singles et marqua le début de la transition du groupe, passant d'un groupe de Hard Rock à une formation Pop plus grand public.
L'album symbolise la réduction de la taille de Foreigner, passant de six membres à quatre car les cofondateurs Al Greenwood et Ian McDonald furent renvoyés du groupe par le guitariste et compositeur principal Mick Jones, qui souhaitait une plus grande liberté créative dans la direction du groupe.
"4" a été enregistré aux studios Electric Lady et il présente plusieurs collaborations d'écriture entre Jones et Lou Gramm , qui a réalisé des performances particulièrement remarquables tout au long de cet album.
Le disque a connu un succès immédiat à l'époque, se classant numéro un du classement Billboard pendant dix semaines. Au fil des ans, l'album a été certifié Disque de Platine six fois et il a certainement marqué l'apogée commerciale de Foreigner.
J ai découvert le groupe avec celui la , je l ai eu en k7 , beaucoup écouté dans ma gs ! Vu la tournée à pantin sans être vraiment convaincu en live , revu au zénith pour voire les doobie brothers ! Je suis parti avant la fin , sinon je me contente d une compile en vinyle
