De mon côté je suis mitigé...
concernant les majors, elles risquent bien de se gaver à court terme, mais elles risquent aussi de vivre leurs dernières heures : avec la fin de l'objet physique elles ne vendront plus QUE des données virtuelles... et comment pourraient-elles lutter face au copier-coller? Les nouvelles productions seront dès leur sortie déjà assimilées au domaine public, ce que je trouve plutôt positif.
J'espère que cette nouvelle ère dézinguera une grosse partie du bizness lié à la musique. Parce que quand je vois actuellement tous les moyens - financiers et humains - mis en œuvre pour vendre des disques comme des barils de lessive, j'en suis vraiment écœuré.
Maintenant ce que je risque de vraiment regretter, c'est effectivement la disparition du concept d'album, avec un visuel et une atmosphère qui lui sont associés...
