c'est chouette de vouloir partager sa femme ou son homme, mais c'est contre la nature humaine.
Ceci, il faudrait le prouver. Je crois très exactement le contraire (je précise que je suis monogame, et donc fidèle, et ne goûte pas du tout le partage de partenaires) : que la fidélité est une invention (religieuse, principalement).
Et si la new wave des débuts était une sorte de fusion de ces deux genres ? Punk et disco ? Qui a ensuite évolué de nouveau vers une forme plus commerciale ?
A mon sens, TOUS les genres sont amenés à être récupérés, y compris les plus underground (il n'est que de voir comment la jungle, autrefois confidentielle, a très rapidement envahi les spots publicitaires). Ce n'est pas spécialement l'apanage de la new-wave. Il y a toujours des précurseurs, et des musiciens qui font la synthèse et ramassent la mise (ce ne sont pas forcément de mauvais groupes d'ailleurs).
La new-wave est à mon sens un "période" plus qu'un "genre", très hétéroclite, et il me paraît difficile de la comparer à la disco, plus strictement circonscrit (EDIT / circonscritE

). Il y a des liens entre disco et certains courants new-wave évidemment, mais par exemple, pour prendre le groupe new-wave le plus populaire en France, il faudra attendre 1987 pour que Cure fasse un titre un tant soit peu "disco" (et c'est un ratage, "Why Can't I Be You").
Par contre, dans ce bilan "Années 80", je note que personne ne parle du rap (né circa 1979). Il me semble que c'est l'un des phénomènes musicaux les plus importants des eighties, comment l'interpréter si l'on veut rester, comme Leroy, dans une optique "rupture/continuité" ?