Un thread mêlant Rock et SF est en cours sur « Posez vos questions ici ». Puis-je me permettre de faire doublon en posant ce qui suit à la fois sur les deux fils...? Si je commet une bévue prière de me massacrer sans se géner.
Personnage intéressant que ce
Michael Moorcock, il diriga la revue
« New Worlds » initiatrice de la
New Wave (Ballard, Priest et quelques autres). Mais là je m’égare en territoire SF. Je recentre en précisant que ses entréees en milieu rock semblent tout aussi intéressantes.
Ps ; j'omet délibérément d’insérer des images rock, supposant qu’elles ne vous apporteront rien et me permet à contrario de le faire pour des détails spécifiquement SF.
En fouillant de droite et de gauche sur le Net, il semblerait que :
A_ l’auteur est écrit :
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”Black Blade” (in « Cultosaurus Erectus, 1980) BOC
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”Veteran of the psychic Wars” (in “Fire of Unknow Origin”) BOC, que l’on retrouve aussi sur la BOF de “Metal Hurlant”
_De nombreuses chansons d’
Hawkwind issues de « Zones », « Sonic Attack », « The Chronicle Of The Black Sword » (D’après le cycle consacré à Stormbringer et à Elric des Dragons)
_Le roman «
The great rock’n’roll swindle » qui nous ramène aux S.Pistols
B-Il apparaisse sur « Live Chronicles » et que le dit album soit cité in « L’assassin anglais » (Jerry Cornelius)
C_Il est fondé « Michael and the Deep Six » >>> deux 45t & un 33 (The New World's Fair)(chant, guitare, mandoline) qui est cité in « Jerry Cornelius ».
NB : « The Deep Six » (Lee Seward contre M-A 19) apparaît en tant que nouvelle sur « Le Livre d’Or de la SF » qui lui est consacré en Presses Pocket »
D_Qu’il est un temps envisagé un double Lp sous le titre de « Mother London/ Queen Of The city » mais qu’un bouquin portant ce titre soit récemment sorti en « Lunes’d’Encre » puis en Folio SF.
E : Brian Eno a produit un disque de Robert Calvert (ex Hawkwind) intitulé « Lucky Leif and the longships » et sur lequel il apparait.
NB : Pour répondre à Winsterhand, je préciserai que Moorcock est proteiforme en tant qu’auteur SF, alimentaire de son propre aveu avec Elric, provocateur avec « Voici l’homme », expérimental avec « Jerry », élitiste avec « Mother London », et j’en oublie et que sans délaisser Cornelius je préfère Bastable ou « Le navire des glaces »

