Quelques petites choses, dont on peut bien sûr discuter.
- On n'y pense pas forcément (moi la première), mais il serait bon de recontacter le musicien pour lui faire savoir que son entrevue a été publiée et qu'il peut la lire ou la voir dans le magazine (lui donner l'adresse où télécharger Vapeur Mauve :
http://www.rock6070.com/Vapeur.html)
D'une part, ça donne la confirmation au musicien qu'on ne l'a pas dérangé en vain, mais que nos intentions étaient sérieuses. Et comme l'ont fait Adam Jansch et Randy de Savage Resurrection, les musiciens peuvent en parler sur leur propre site ou MySpace, et nous faire ainsi de la pub.
- Pensez aussi au nombre de questions à envoyer au musicien ! Mieux vaut ne pas en envoyer trop et bien cibler ce qu'on veut lui demander, plutôt que de lui faire peur en lui envoyant 20 questions ou plus. Il risque alors d'y répondre de façon courte, et ça ne donne pas forcément de bons résultats. Pensez aussi à lui poser des questions qui sont réellement de nature à intéresser les lecteurs.
- Ça encore, c'est un point qui se discute. On est là pour ça.
Dans le monde des magazines professionnels, les journalistes posent des questions et ne prennent des réponses que ce qui est réellement pertinent. Le reste, ils l'oublient. Question de contrainte liée à la place qui leur est allouée, à l'intérêt des propos pour le lecteur. Les musiciens en ont l'habitude. Ils ne s'offusqueront donc certainement pas si vous ne reproduisez pas l'intégralité de leurs propos. Par contre, il est important de ne pas couper une partie d'une réponse et de risquer ainsi de modifier le sens des propos du musicien, le citer peut-être hors contexte. Mieux vaut ignorer une réponse en entier quand elle n'est pas intéressante. Important aussi de traduire fidèlement quand on fait une entrevue en anglais !
Ce ne sont évidemment que des petits conseils, à prendre ou à laisser, à discuter. Pas des directives obligatoires, naturellement.
