Forum de rock6070

C'est bien triste ces affaires de ruminants qui trépassent. Voici un blues pour égayer un peu le sujet : un comble !

Jeanne-Marie Sens - "Rosette Blues" (1974)
(J.-M. Sens - J.-P. Castelain)

On m'as prêté un petit livre, il y as un passage, où il est indiqué l'interdiction des corridas à la fin du 19°siècle.
Déjà à cette époque le débat avait lieu.



Je cite :

En province par contre, à Nîmes surtout, l'enthousiasme pour les "corridas de muerte" enivra les populations. La Société protectrice des animaux s'en mêla, les courses de taureaux furent interdites, ce qui ne les empêcha pas d'avoir lieu, ouvertement et à grand tapage.
Une foule en gaieté emplissait les arènes; elle sifflait, à s'écorcher les lèvres, le malheureux commissaire de police qui venait, ponctuellement, dresser procès-verbal pour réunion illicite, après avoir, toutefois, assisté à la course et acclamé les toreros.

Bon je vais reprendre un peu de vache qui rit à midi,histoire de.

il y a un excellent article de 4 pages sur la corrida , paru dans le magazine Nexus (septembre-octobre) :

un passage assez touchant :

L' ex-torrero (repenti) Chiquilin , alias Rafael Jimenez Gonzalez s'est exprimé ainsi dans un journal espagnol :
"il n'y a aucune méchanceté dans le regard des taureaux, leur regard ressemble à celui des braves gens. il m'en a couté de porter mes dernières estocades quand j'ai compris la bonté de l'animal"

et plus loin il raconte : "j'étais à terre, le taureau m'a regardé et ne m'a pas attaqué, il m'a regardé comme si il me disait : qu'est-ce que je fais ? je te tue ? " Et le taureau l'a épargné.

Depuis , ce sont toutes les formes de vies animales que Chiquilin s'est mis peu à peu à respecter.

il y a un excellent article de 4 pages sur la corrida , paru dans le magazine Nexus (septembre-octobre) :

un passage assez touchant :

L' ex-torrero (repenti) Chiquilin , alias Rafael Jimenez Gonzalez s'est exprimé ainsi dans un journal espagnol :
"il n'y a aucune méchanceté dans le regard des taureaux, leur regard ressemble à celui des braves gens. il m'en a couté de porter mes dernières estocades quand j'ai compris la bonté de l'animal"

et plus loin il raconte : "j'étais à terre, le taureau m'a regardé et ne m'a pas attaqué, il m'a regardé comme si il me disait : qu'est-ce que je fais ? je te tue ? " Et le taureau l'a épargné.

Depuis , ce sont toutes les formes de vies animales que Chiquilin s'est mis peu à peu à respecter.
Surprenant en effet
Il y a mis le temps,mais cette repentance l honore

La corrida?