Forum de rock6070

Une découverte ce soir pour moi, c'est partis pour deux heures en N&B.



L'un des mes cinq films de chevet. Pas une année sans le revoir. Et toujours le même choc esthétique et la même émotion du propos. Merveille du 7è art.

Superbe
Vu à l'école la 1ère fois, en VO , comme quoi à une époque on avait des possibilités d'apprendre tout en "s'amusant" (mode "vieux con" )
C'était en cours d'anglais je crois

Vas falloir que je me trouve un moment tranquille pour me visionner ce film, qui me paraît excellent.

Version turque, sous titrage français




J'aime bien ce cinéaste. Mais ses films ne s'appréhendent pas à la légère. Ils organisent une temporalité particulière. On peut facilement trouver le temps long.

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L'Homme qui rit - J.P. Améris, 2012
D'après Hugo. Univers particulier mais codifié maintenant, entre Tim Burton, Freaks et le Polanski d'Oliver Twist.
Depardieu en pater n'en fait pas des caisses de vin, quelques moments sympas, mais le film a laissé perplexe la salle venue à l'avant-première.

je me suis fait argo, hier, c'était vraiment bon !
pas de temps mort,je me suis pas ennuyé une seconde
du coup j'ai quand même une question pour ceux qui l'ont vu
quel est la musique lorsqu'ils sont dans l'ambassade du canada, la veille de leur extraction?
ils mettent un vinyle sur une platoche et c'est cette musique que je cherche
merci

Tais toi (2002)

Avec Depardieu et Reno.
Je me suis vraiment marré, le rôle de Depardieu est excellent, il joue un con, un vrai con.
Mais un con sacrément chanceux !

c est vrai que c est un con chanceux ! le voila qui s installe en belgique maintenant

The Descent - Neil Marshall, 2005
Film parmi les plus aboutis dans le genre terrifiant de ces dix dernières années.
Peurs primitives, non-dits entre ces amies de longue date en quête de sensations fortes et peut-être d'autres choses. Ce qui se joue sous terre entre les femmes, les éléments et les créatures des entrailles (du ventre, devrais-je dire) de la terre qu'elles doivent affronter dépasse largement le cadre codifié du film de genre, le survival en l'occurrence.
La mise en scène est inventive, quasi abstraite par moments. Le choix des actrices est très judicieux. Belles, féminines, sportives. Une vision de la femme éloignée des clichés habituels et des sottes qui peuplent le ciné US. Neil est anglais.

Bonne analyse, j'adopte.
Et je me permets d'ajouter ; ce film est super flippant, et oppréssant ! l'angoisse assurée.
Un film d'horreur bien maitrisé.

Ah bon ?! Faut que je le revois alors. Il ne m'a pas laissé un souvenir marquant.

Je suis un gros fan de Neil Marshall ! Un bon petit artisan de série B plein d'audace qui ne m'a jamais déçu ! Son dernier film Centurion est bourré de défauts, mais quel pied...

Et puis surtout il a réalisé l'un des plus grand films de tous les temps, qui écrase à jamais Orson Welles, Kurosawa et Bresson réunis, j'ai nommé le terrible Doomsday dans lequel Rhona Mitra se promène avec un oeil bionique au milieu de zombies contaminés, de chevaliers du moyen-âge et de crétins mad-maxiens...

Une filmographie à découvrir et à suivre de près au même titre que celle de Christopher Smith (Creep, Severance, Triangle, Black Death...).

Une pote est passée dimanche soir avec une pizza, elle voulait des conseils pour s'acheter une platine vinyl.
Elle a vu mes coffrets Edition Collector Limitée du Seigneur des Anneaux, on a lancé le premier.
Dodo, puis réveil à 13h, on balance le second. Petite promenade a 18h histoire de faire une pause, puis retour maison pour matter le dernier volet.

Voilà, j'ai revu les 12h des versions longues de Seigneur des Anneaux, pour une énième fois. Mais maintenant que c'est tout frais, je peux me ruer voir le Hobbit !

Et j'ai fais de jolis screens :

Tiens ! ton dernier screen me fait penser à Claude Lorrain.

Tiens ! ton dernier screen me fait penser à Claude Lorrain.


Claude Lorrain, qui aurait soit disant inventé la pate feuilletée

Ah oui, il fut apprenti-pâtissier, mais paradoxalement, il n'a peint que rarement des croissants.

Il a produit beaucoup de croûtes.

Sa jeunesse ne fut pas de la tarte -très tôt il perd ses parents-.