Forum de rock6070

« Nous n’étions pas frustrés comme la plupart de ces groupes anglais qui n’avaient que de la rage et de la colère à exprimer. Au contraire, la seule musique qui nous touchait était romantique… »

...

Il est temps de vous inviter à écouter un album qui me tient particulièrement à coeur, un de mes disques de chevet et le hasard, j'allais dire, fait bien les choses (ironie quand tu nous tiens...), puisque mon ADLS tombe quelques jours après la mort d'un certain Robin Gibb. Fin du non-suspens.............

Trafalgar



Face 1

1. How Can You Mend a Broken Heart? (Barry Gibb, Robin Gibb) – 3:58
2. Israel (Barry Gibb) – 3:44
3. The Greatest Man in the World (Barry Gibb) – 4:17
4. It's Just the Way (Maurice Gibb) – 2:33
5. Remembering (Barry Gibb, Robin Gibb) – 4:01
6. Somebody Stop the Music (Barry Gibb, Maurice Gibb) – 3:31

Face 2

1. Trafalgar (Maurice Gibb) – 3:53
2. Don't Wanna Live Inside Myself (Barry Gibb) – 5:24
3. When Do I (Barry Gibb, Robin Gibb) – 3:57
4. Dearest (Barry Gibb, Robin Gibb) – 3:52
5. Lion in Winter (Barry Gibb, Robin Gibb) – 3:59
6. Walking Back to Waterloo (Barry Gibb, Maurice Gibb, Robin Gibb) – 3:51

Vous l'aurez compris, mon choix se porte également sur le fait que je trouve important de rectifier certaines approches ou préjugés que beaucoup de gens ont sur ce groupe qu'on qualifie généralement de "légende du disco". Il faut dire que pour Monsieur et Madame Toutlemonde, l'erreur est pardonnable, mais pas pour vous mes chéri(e)s !

" Trafalgar ", réalisé en 1971, baigne dans une atmosphère chaude et riche en arrangements folkeux, les voix des trois frères nous démontrent la qualité irréprochable de leurs chants, se juxtaposant au fil des chansons afin de donner au disque une ambiance chaleureuse et prenante.

Un petit conseil pour ceux ou celles qui le découvrent : écoutez-le plusieurs fois avant d'émettre telle ou telle impression du genre "mouais, sympa sans plus", "un peu grandiloquent" etc...Et ce dans différentes circonstances : sur l'ordi en sirotant un petit coktail ou en fumant une chtite clope (ou autre chose) seul s'avère la bonne porte d'accès pour découvrir ce riche album, puis en deuxième étape, l'écoute au casque vous donnera (normalement) une meilleure impression en termes de "digestion mélodique".

Bonne écoute :



Mode d'emploi ( ): cliquez sur Narod.ru et après avoir entré le code, à la deuxième page, décochez la case (à coté du verre)

La plupart des beaux albums des Bee Gees sont disponibles en cliquant sur le tag Bee Gees

http://progbeat-vvche.blogspot.fr/2010/ ... -rock.html

Cliquer sur Narod.ru

Allez, connais pas ce disque, je prends, en promettant d'évaluer, ce que je n'ai jamais réussi à faire avec le CharlElie. Merci !

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Thanks !

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Par contre après avoir entré le code, à la deuxième page décocher la case (à coté du verre).

Ah oui, j'oubliais la suite. Mais, c'est intuitif
Un lien bleu (interactif) apparait au-dessus. Faut cliquer là.

A noter que la pochette représente une partie du tableau de Nicholas Pocock intitulé La bataille de Trafalgar. Celle-ci oppose, le 21 octobre 1805, la flotte franco-espagnole sous les ordres du vice-amiral Villeneuve, à la flotte britannique commandée par le vice-amiral Nelson.
Celle-ci marque la victoire totale des Britanniques malgré leur infériorité numérique. Les deux tiers des navires franco-espagnols sont en effet détruits, et Napoléon, faute d'une flotte suffisante, doit renoncer à tout espoir de conquête du Royaume-Uni.

Cette victoire conforte, à cette époque, la suprématie britannique sur les mers, qui devient absolue et incontestée plus d'un siècle durant, jusqu'à la Première Guerre mondiale.

Horatio Nelson, vice-amiral britannique, persuadé de la victoire promise à sa flotte, et afin de motiver ses hommes, a fait hisser par pavillons un message qui deviendra historique :

« England expects that every man will do his duty » (« L'Angleterre attend de chacun qu'il fasse son devoir »)

Cet appel de Nelson restera à jamais ancré et célébré dans le vocabulaire anglo-saxon.

A noter que la pochette représente une partie du tableau de Nicholas Pocock intitulé La bataille de Trafalgar. Celle-ci oppose, le 21 octobre 1805, la flotte franco-espagnole sous les ordres du vice-amiral Villeneuve, à la flotte britannique commandée par le vice-amiral Nelson.

Les frères rejouent la scène mythique de la mort de Nelson dans la , avec Barry en Nelson et Robin en Hardy.

Des informations détaillées sur l'enregistrement de l'album : .

(there must be more we haven't seen)

Deux petites archives concernant cet album des Bee Gees. Je n'en ai point d'autres.
Tout d'abord, extrait du N° 9 d'EXTRA d'août 1971, la page 45 t ou figure le simple "How can you mend a broken heart". Peut-être apprécierez-vous également les autres chroniques ? C'est du service minimum.
Ensuite et enfin, extrait de BEST N° 42, de janvier 1972, la chronique également minimum de l'album. En ces temps reculés, on décernait des étoiles. Peut-on dire qu'on allait droit au but ? A vous de juger.

Oh My Godness les Bee Gees, bon ça aurait pu être pire, on aurait pu avoir Odessa qui lui est double

En tout cas sur le premier titre ya Donald Duck en guest star

je n'ai jamais écouté aucun disque de ce groupe ca sera donc une occsaion parfaite

Très bon album, que je vais prendre plaisir à réécouter tout au long de la semaine. Je suis un fan de cette "pop de chambre".

Je fais partie de ceux qui aiment les deux périodes du groupe. Qui ne sont pas si éloignées l'une de l'autre si l'on écoute attentivement le premier titre How Can You Mend A Broken Heart et How Deep Is Your Love.

Le point commun entre ces deux périodes et pour bien comprendre le glissement du groupe vers la disco me semble être le grand producteur Robert Stigwood (qu'on a déjà évoqué pour Jesus-Christ Superstar, Grease...).
Il a relancé la carrière du groupe quand celle-ci s'essoufflait méchamment. Et quel nouveau souffle ! Rester vivant !

Comment ça "pot de chambre" ?

Merci pour les scans Abuddy. Parmi tous les 45t d'artistes rock : Julien Clerc (de l'époque, hein)

Deux petites archives concernant cet album des Bee Gees. Je n'en ai point d'autres.
Tout d'abord, extrait du N° 9 d'EXTRA d'août 1971, la page 45 t ou figure le simple "How can you mend a broken heart". Peut-être apprécierez-vous également les autres chroniques ? C'est du service minimum.
Ensuite et enfin, extrait de BEST N° 42, de janvier 1972, la chronique également minimum de l'album. En ces temps reculés, on décernait des étoiles. Peut-on dire qu'on allait droit au but ? A vous de juger.



Arf! j'aurai bien aimé lire la chro sur le Komintern"le bal du rat mort", j'aime bien ce disque...
Pour les bee gees j'aime bien le premier, avec son paquet de hits, celui-là je ne connais pas, je vais écouter ça...