Forum de rock6070

Mouais...un pitre !

je l'aime malgré ses pitreries(ou à cause de).

bon ca valait que je rouvre ce topic !

The daily Planet:
Chanson un peu plus anecdotique pour moi, elle s'intègre bien dans le reste de l'album mais ne présente pas l'attrait des autres morceaux du moins dans sa première partie, la fin de la chanson étant plus originale.

Je comprends pas de tout pour moi c'est la meilleure chanson de l'album mais bon, passons...

J'adore ces simples vers de "The Red Telephone":

Sitting on a hillside
Watching all the people die
I'll feel much better on the other side.

Traduction:
Assis sur un flanc de coteau
En regardant tous les gens mourrir
Je me sens beaucoup mieux de l'autre côté.

J'adore ces simples vers de "The Red Telephone":

Sitting on a hillside
Watching all the people die
I'll feel much better on the other side.

Traduction:
Assis sur un flanc de coteau
En regardant tous les gens mourrir
Je me sens beaucoup mieux de l'autre côté.

je n'avais jamais fait attention
merci alcat

The daily Planet:
Chanson un peu plus anecdotique pour moi, elle s'intègre bien dans le reste de l'album mais ne présente pas l'attrait des autres morceaux du moins dans sa première partie, la fin de la chanson étant plus originale.

Je comprends pas de tout pour moi c'est la meilleure chanson de l'album mais bon, passons...

Bah... c'est mon avis... çà n'implique que moi... Certains diront peut être que Live And Let Live ou encore The Red Telephone sont des chansons chiantes comme un bulot dans un bocal même si elles font parties des meilleures chansons sixties SELON MOI...

et n'oublions pas"Bummer in the summer",classique punk 60's instantané!!!

Moi, ce qui m'a toujours fasciné dans "bummer in the summer", c'est que t'es en 1967, le spermatozoïde de l'embryon du hip hop n'est pas encore crée et le mec...rappe

Moi, ce qui m'a toujours fasciné dans "bummer in the summer", c'est que t'es en 1967, le spermatozoïde de l'embryon du hip hop n'est pas encore crée et le mec...rappe

Petit hors sujet mais dans le style "précurseur" j'ai pris une claque énorme avec la chanson America du groupe Public Nuisance, trouvez pas que l'instrumentale sonnent... Punk!!
Faut attendre le chant pour se rendre compte que ça vient des sixties.

Excellent album soit dit en passant (enfin, selon moi )

Je vais mettre mon grain de sel mais autant que mon premier post utile ait trait à Love

J'ai découvert cet album il y a 20 ans et depuis, j'y reviens toujours... CD, CD remasterisé, vinyl (en double ), DVD. Fan absolument total

Pour Public Nuisance, je suis d'accord avec toi, cet album tue et avait une bonne dizaine d'années d'avance sur son époque.

C'est également l'un de mes albums préférés . J'aimerai tellement le trouver en vinyle mais c'est pas gagné

C'est également l'un de mes albums préférés . J'aimerai tellement le trouver en vinyle mais c'est pas gagné

Pour Love, Je l'ai eu alternativement en cassette, mp3, CD, puis DVD... (enfin, le live), c'est dire

Pour Public Nuisance je suis fier d'être l'un des 600 possesseurs du "First Print", une magnifique édition

Love, c'est spécial; très spécial ...

une chro extraite de l'île déserte du VM6

LOVE Forever Changes(67)

Entre spontanéité garage, fluidité folk, complexité psychédélique et sous le couvert d’arrangements subtils et luxuriants, qui empruntent au classique ou à d’autres genres, Love a accouché avec Forever Changes d’une oeuvre pop à la production parfaite et d’autant plus incontournable que cette réussite formelle ne s’appuie pas sur du vide, mais sur une riche palette d’émotions qui évolue notamment entre l’ombre et la lumière.

La tonalité dominante de cet album, assez étrange, reste de plus très mélancolique, ce qui explique peut-être en partie qu’il n’ait bénéficié que d’une reconnaissance tardive. À l’image de son leader Arthur Lee, Love a en effet toujours été un groupe d’idéalistes tourmentés, et il faut peut-être l’être un peu soi-même pour y être parfaitement réceptif.
Certains passages sont pourtant comme enjoués et susceptibles de vous laisser un sourire de béatitude sur le visage, ou encore de vous donner envie de bouger tellement l’impact peut être physique. C’est notamment le cas en ce qui me concerne avec Maybe the people would be the time or between Clark and Hilldale, dont, par exemple, le petit passage irrésistible où les papapapapapapa du chant se transforment soudainement en notes de trompettes, illustrant une finesse d’arrangements qui va au-delà de ce qu’aucun autre groupe n’a produit dans les 60’s, voire depuis, et sans qu’on puisse pour autant parler de boursouflure tellement le résultat est limpide.
Les compositions regorgent de tellement de richesses que des pages pourraient être noircies sans que leur mystère ne soit percé : complexité des arrangements, donc, mais aussi complexité rythmique, harmonique, mélodique, et avec des variations permanentes. Par exemple sur The good humor man (...), on passe de la musique baroque à la musique romantique, mais aussi à la pop voire à la bossa-nova et que sais-je encore, le tout avec une fluidité qui tient de la magie.

Un disque fascinant qui semble donc appartenir à un autre monde tout en renvoyant au nôtre, à la fois accessible et inaccessible et dont on a jamais fini de faire le tour tellement chaque écoute est révélatrice de nouvelles richesses.